À l'émission « La période de question » de Radio-Canada du 8 août 2014, deux invités venaient parler des 25 ans de l'affaire Chantale Daigle : la présidente du conseil du Statut de la femme, Julie Miville-Dechêne, et un avorteur de métier de la clinique Fémina. Julie Miville-Dechêne sera également en entrevue sur les ondes de la radio d'État.
Même si les spectateurs peuvent poser des questions, ils doivent passer un premier filtrage au téléphone. S'ils réussissent à le passer et qu'ils posent leur question, le contrôle de la parole demeure à l'animatrice et aux deux invités qui ont ainsi toujours le dernier mot.
Il en était de même le 6 août où l'émission portait sur la propagande LGBT dans les garderies, propagande désirée par la Centrale des Syndicats du Québec. Deux invités en faveur de l'« homoparentalité » détenaient le pouvoir du dernier mot.
Il est important de savoir que dans ce domaine, Radio-Canada fait office de propagandiste.
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