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Survivre au cancer du cerveau

cancer_cerveau.JPG(Photo : Tdvorak sur wikimédia.org, licence creative commons)

Mme Heather Knies, de l’Arizona, vient d’informer la télévision de sa ville de Phoenix, qu’elle a survécu au même cancer du cerveau dont Mme Brittany Maynard était atteinte, alors que Mme Maynard, à qui on a donné aucun espoir, est déménagée en Oregon pour se prévaloir du suicide assisté, qu’elle a mis à exécution, au tout jeune âge de 29 ans, samedi dernier. Toutes deux avaient reçu un pronostic de six mois à vivre. Il y a dix ans, Mme Knies a subi deux opérations ainsi que des traitements de chimiothérapie et de radiothérapie, et depuis, des examens d’imagerie par résonance magnétique (IRM) aux trois mois démontrent l’absence totale de cancer chez elle. Pourquoi Mme Maynard n’a-t-elle pas reçu la chance que Mme Knies a eue ? Les diagnostics et les pronostics fatalistes pourraient-ils être, parfois, une façon de décourager les gens à se prévaloir de traitements bénéfiques ?

Isabelle O’Connor
Montcerf-Lytton (Québec) Canada

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Nouveau cas de censure à Radio-Canada d'un conférencier « gravitant dans l'orbite de l'Opus Dei »

denis_florent.jpg(Photo de Denis Florent par Paristocrate sur wikimédia.org, licence creative commons)

Lorsqu'il s'agit de l'Opus Dei, la paranoïa s'installe à Radio-Canada, comme s'ils avaient eux-mêmes fini par croire aux bêtises mensongères du Code Da Vinci... Sur le site du journal Le Devoir du 6 novembre 2014 :

(...)La direction de Radio-Canada a mis fin à une série de conférences commandées à un consultant français après la dénonciation par des employés de certaines de ses opinions jugées réactionnaires. (...)

Le « pure player »Rue89, lié au magazine Le Nouvel Observateur, a établi que ce Denis Florent Cheyrouze, sans en être un membre actif, est « une figure importante gravitant dans l’orbite de l’Opus Dei ». (...)

Pire, certains membres de Radio-Canada iraient jusqu'à le soupçonner de catholicisme...

Naturellement, le journal Le Devoir applaudit à cet exercice de censure. De même que La Presse du 5 novembre 2014 :

La Première chaîne de Radio-Canada a embauché un conférencier aux positions anti-gais et anti-musulmans pour donner des ateliers de formation à ses employés ces derniers jours.

Lorsque l'information à son sujet - qu'on peut trouver facilement sur l'internet - est venue aux oreilles de la direction mardi, les conférences ont été annulées in extremis.

La réplique de Denis Florent ? Dans le Journal de Montréal du 5 novembre 2014 :

(...)Je me sens donc très privilégié d’avoir pu côtoyer les magiciens et les fées qui concoctent chaque jour les programmes de Radio-Canada. Notre échange, court, fut passionnant et intellectuellement enrichissant.»

Quelques minutes plus tard, il publiait la locution latine suivante sur Twitter et Facebook : «Cogitationis poenam nemo patitur.» Traduction : Personne ne peut être puni pour ses idées.

Ah mais, pour ne pas punir quelqu'un pour ses idées, il faut avoir une certaine ouverture d'esprit...

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Nathalie Petrowski se prononce contre l'exploitation de mères porteuses dans un débat avec Judith Lussier

radio-canada.jpgSur le site de Radio-Canada du 5 novembre 2014, à l'émission de Catherine Perrin on trouve ce débat, entre une mère défendant l'attachement maternel, et une défenderesse de l'« homoparentalité ». À écouter.

« Le ventre d'une mère, ce n'est pas un four, ce n'est pas un stationnement, ce n'est pas un espace à louer, estime-t-elle valoir. Ce qui m‘a vraiment choquée quand Joël Legendre est allé à Tout le monde en parle, c'est que la mère dont il parlait, c'était une mère en kit. On la congèle, on la décongèle, on l'envoie par avion, et puis, de toute façon, elle n'existe pas, ce n'est pas bien grave. [...] Non, je refuse ça. »

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Québec restreint le « bar ouvert » de la procréation médicalement assistée

philippe_couillard.jpg(Photo : TheClimateGroup sur flickr.com, licence creative commons)

Sur le site du journal Le Devoir du 6 novembre 2014 :

Selon Radio-Canada, il continuera de financer les traitements, mais seulement en partie et pour les couples médicalement infertiles uniquement.

Sur le site de Radio-Canada du 6 novembre 2014 :

Depuis sa création en 2010, le programme public de procréation assistée s'est avéré extrêmement populaire auprès des Québécois, y compris les femmes célibataires et les couples homosexuels.

C'est plus de 60 millions de dollars gaspillés annuellement...

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Les chrétiens ne peuvent être commissaires au mariage en Saskatchewan

gay_mariage.jpgSur le site de Radio-Canada du 5 novembre 2014 :

(Photo : wikipédia sans copyright)

En mai 2010, le gouvernement du Parti saskatchewanais avait tenté de faire adopter une loi qui aurait permis aux commissaires au mariage de refuser de célébrer des mariages gais si cela contrevenait à leurs croyances religieuses. Toutefois, huit mois plus tard, la Cour d'appel de la province a jugé le projet de loi inconstitutionnel et le gouvernement n'a pas interjeté appel de la décision.

Aujourd'hui, tous les commissaires au mariage de la province sont obligés de célébrer les mariages de tous les couples, qu'ils soient homosexuels ou hétérosexuels.

 

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L'adoption pour résoudre le gâchis des embryons congelés ?


fecondation_in_vitro.JPGRadio-Canada du 5 novembre 2014
nous apporte la nouvelle d'un couple qui croit bien agir en adoptant un embryon congelé d'un autre couple :

(Photo : wikipédia sans copyright)

Miriam et son mari Mark Hordyk ne pouvaient pas concevoir d'enfants. Au bout de trois ans d'attente, ils ont abandonné l'idée d'adopter.

C'est alors qu'ils ont entendu parler d'une agence aux États-Unis qui se chargeait de mettre en contact des familles qui souhaitaient faire don de leurs embryons non utilisés à des couples qui ne peuvent pas avoir d'enfants.

Charité chrétienne pour sauver des vies ? Pas sûr... Cette situation engendre de graves problèmes. Sur le site de liberation.fr du 23 septembre 2004, une réflexion de Geneviève Delaisi de Parseval, psychanalyste, consultante en bioéthique et Pauline Tiberghien gynécologue-obstétricienne, responsable d'un centre d'aide médicale à la procréation :

Imaginons un instant ce qui peut se passer dans le psychisme de parents potentiels qui reçoivent par courrier un questionnaire leur demandant, en cas d'absence de nouveau projet parental, de choisir entre la destruction de leurs embryons congelés, le don à la recherche scientifique ou le don à un autre couple infertile (QCM quelque peu pervers !) Certains parents croient en outre trouver dans le don la moins mauvaise des solutions, ce comportement généreux leur apparaissant également comme une marque de reconnaissance envers la médecine qui leur a permis d'avoir des enfants. Mais quelle sera la douleur de ces parents donneurs si quelques années plus tard, un de leurs enfants venait à mourir ? Et qui peut faire le pari que jamais un nouveau désir d'enfant ne germera chez eux ? Quant aux enfants de ces couples, en apprenant qu'ils ont des frères et soeurs élevés dans une autre famille, quelle culpabilité ressentiront-ils, eux les «chanceux» qui ont été «choisis» par le biologiste et transférés dans le «bon utérus», celui de la mère qui les a gardés ? 

La congélation d'embryons entraîne des situations irréparables. Sur le site de evangeliumvitae.org du 19 mars 2009, on trouve des pistes de sortie qui ne sont en aucune façon des solutions. Il n'existe aucune solution au sort tragique des embryons congelés :

Il n'y aurait que deux autres solutions, également inacceptables :
la conservation indéfinie de ces embryons. Elle n'est pas envisageable pour des motifs à la fois techniques et moraux. Ces embryons humains ainsi « conservés » sont en fait dans une situation absurde, de vie suspendue, sans aucun espoir de sortie, indigne d'une vie humaine ;
le transfert des embryons dans l'utérus maternel, si l'on arrive à retrouver les « parents » des embryons et à les persuader de se prêter à cette opération, que ces embryons se développent ou non in utero. Sans parler des risques tératogéniques inacceptables d'une telle opération (risques d'anomalies génétiques ou de malformations, liés à la conservation prolongée) cette implantation tardive ne ferait que reprendre le programme de FIVET interrompu par la congélation et serait de ce fait illicite.

S'il fallait traduire en clair ce paragraphe 19, cela donnerait, à l'égard des praticiens de la fécondation in vitro, et des parents qui se sont soumis à cette technique :

Vous avez pris sur vous de créer, de façon immorale, ces embryons surnuméraires, en prévoyant de les congeler pour une éventuelle reprise de la FIV. Vous êtes responsables de cette situation pour laquelle il n'existe aucune solution morale. 

Il ne vous reste comme solution pratique que de détruire ces embryons, qui ne peuvent être conservés indéfiniment. L'Église ne saurait approuver cette destruction de vies humaines. Toutefois elle ne se déclare pas directement sur l'illicéité de cette destruction. On peut en effet soutenir que ces embryons surnuméraires, congelés, et abandonnés, sont maintenus artificiellement en survie, dans des conditions totalement anormales, non proportionnées, et que l'interruption des moyens assurant cette survie artificielle pourrait être comparée à l'interruption des moyens extraordinaires de soutien vital dans les cas de fin de vie. 
Ces embryons, encore animés d'une vie humaine, doivent être respectés dans leur intégrité jusqu'à constatation de leur mort. La perspective utilitariste d'en extraire la masse cellulaire interne pour en tirer des cellules souches n'est pas acceptable. Elle reviendrait à utiliser des êtres humains comme moyen, au travers d'un acte qui les détruit directement.

Comme le disait Mgr Suaudeau : « Il n'y a pas de solution morale à une situation immorale » 

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Francine Pelletier du journal Le Devoir : toujours dans le mythe de la surpopulation...

fred_pearce.jpg(Photo de Fred Pearce par wwf_france sur flickr.com, licence creative commons)

Francine Pelletier, dans le journal Le Devoir du 5 novembre 2014, appelle à un retour d’une pensée malthusienne infondée et irrationnelle où, pour protéger l’équilibre planétaire des ressources naturelles, on submergerait de condoms et de pressions internationales les populations les plus pauvres, qui ont très peu à voir avec la pollution de la planète. Mais comme on n’arrive pas à gérer la gourmandise des Occidentaux, il faut bien que quelqu’un se sacrifie pour nos excès.

Bien que des écologistes renommés, comme Fred Pearce, aient à maintes reprises montré que la question de la surpopulation est un faux problème, avec surtout son livre remarquable L’apocalypse démographique n’aura pas lieu (un résumé de CQV se trouve ici), les acharnés du contrôle des populations pauvres s’obstinent. Dans un interview donné au site internet 7 sur 7 du 22 septembre 2014, Fred Pearce rappelait :

(...)pourquoi blâmons-nous ces pauvres Africains d'avoir des bébés alors que le vrai problème du réchauffement climatique est la surconsommation qui se passe quant à elle chez nous, pays développés? ». Il rappelle que ce sont les exigences voraces du monde riche qui marque son empreinte sur notre planète à coups de gaz à effet de serre, de pollution des océans, de saccages marins, forestiers, etc. Et l'augmentation des populations pauvres joue à peine dans ce processus. (...)

Mais il serait plus facile pour certains Occidentaux d’empêcher de vivre des populations entières, ailleurs, que de changer de comportement, ici, chez nous… Il est triste de constater qu'un tel néo-colonialisme fondé sur des principes malthusiens qui n'ont jamais survécu aux examens critiques de la réalité, sévit toujours en 2014

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Le Royaume-Uni vote une loi contre l'avortement sélectif

fiona_bruce.jpgSur le blog de Jeanne Smits du 4 novembre 2014 :

(Photo : Fiona Bruce)

Véritable fléau dans les pays asiatiques, l’avortement sélectif pour favoriser la naissance d’un enfant du sexe désiré existe aussi dans les pays développés. Le Parlement britannique a adopté mardi, à une majorité écrasante, une loi bannissant les avortements à cette fin : 181 élus contre 1. La deuxième lecture du texte est attendue pour janvier.

(...)

La loi, portée par Fiona Bruce, aura été soutenue a contrario par le fait que le représentant de la couronne a refusé l’an dernier d’engager des poursuites en cas d’avortements pratiqués pour la seule raison du sexe de l’enfant, au motif que la loi en vigueur « ne les interdit pas ».

Il faudra faire de même au Canada où l'avortement sélectif est bien présent.

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Magnifique cadeau d'un père pour son enfant

conte.jpgSur le site de yahoo.fr du 4 novembre 2014 :

(Photo :  Quimperlémediatheque sur flickr.com, licence creative commons)

Avant que la sclérose latérale amyotrophique, aussi surnommée maladie de Lou Gehrig, lui dérobe progressivement toutes ses fonctions et finalement sa vie, Ian et sa femme avaient un rêve : avoir un enfant ensemble. Ils ont donc donné naissance au petit Archie, conscients que Ian ne le verrait pas grandir. Avant de partir, le jeune papa a donc enregistré, tous les soirs, des histoires pour son bambin afin que ce dernier puisse entendre sa voix (...).

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Propagande sur l'homosexualité dès la 3e année dans les écoles Ontariennes

panneau.jpgSur le site de actualitegouvernementale.ca du 31 octobre 2014 :

(Photo : OliBac sur flickr.com, licence creative commons)

Dès septembre prochain, les élèves du primaire vont suivre des cours d’éducation sexuelle a fait savoir la ministre de l’Éducation de l’Ontario, Liz Sandals. En 3e année, les jeunes vont en apprendre plus sur l’homosexualité et les couples du même sexe.

Encore une fois, on veut usurper la responsabilité des parents de donner une éducation sexuelle selon le rythme de l'enfant pour s'assurer que ces derniers reçoivent un endoctrinement et une promotion de l'homosexualité qui ne fait que troubler les enfants de l'école primaire.

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