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La maîtrise sexuelle n’est pas innée : elle est à conquérir tant par la femme que par l’homme

solange_lefebvre_pageau.jpgPar Solange Lefebvre-Pageau

Ce qui m’a particulièrement remué le cœur, suite aux allégations de harcèlement faites par deux députées néo-démocrates sur la colline de notre Parlement, c’est de constater qu’une authentique égalité homme-femme ne va pas de soi. Constat étonnant ? Pas vraiment pour moi, infirmière de profession, maman et grand-maman qui, depuis plus de quatre décennies, lutte pour le bien de nos enfants et de nos jeunes dans le monde de l’éducation à l’amour et à la sexualité intégrés.

Pour devenir des êtres affectivement et sexuellement harmonieux, capables de vivre d’honnêtes relations interpersonnelles homme-femme dans le monde du travail ou ailleurs, cela exige, au départ et avant tout, une famille ! Oui, une famille saine, aimante et disponible où, dans le cadre de l’éducation familiale, l’enfant, de sa naissance à sa maturité, apprend graduellement à intérioriser puis à intégrer deux éléments d’humanité essentiels et indissociables : l’amour et la sexualité.

Mais, dans notre société de droits, y compris sexuels, qu’est devenue l’estime et le respect de la noble institution de la famille, qui est appelée à favoriser pour l’enfant une enfance véritable, accompagnée d’une solide éducation à la vie familiale ? À mon avis, la famille a été oubliée, négligée. On a fait fi de son statut, de sa mission et de ses droits. La famille, première école d’humanisation et de socialisation, est l’école la plus essentielle à tout être humain. Jean Vanier, prophète de notre temps, l’a déjà bien souligné. Il semble qu’on en soit arrivé à ignorer cette vérité : qui sait vivre en famille, sait vivre en société.

Alors, est-il surprenant qu’aujourd’hui un grand nombre de personnes, victimes d’une carence dans l’éducation à une vraie vie familiale, ne puissent avoir des rapports respectueux entre hommes et femmes ? Pour parler clairement, a-t-on à nous surprendre qu’aujourd’hui trop d’hommes (leur nature étant plus génitale que celle de la femme) sous l’influence de leurs pulsions sexuelles non maîtrisées, osent des paroles et même des touchers licencieux sur des compagnes en vue de les amener progressivement à l’acte sexuel ? Il arrive même que les « séducteurs » se fassent agresseurs en usant de force et de violence pour obtenir ce qu’ils désirent.

Je ne peux passer sous silence l’envers de la médaille : la femme (de nature plutôt affective) souhaite plaire à l’homme, aux hommes. Aussi, lui arrive-t-il parfois, par légèreté et imprudence, d’être provocatrice pour certains collègues, de se prêter à un début d’un jeu sexuel et, inconsciemment ou pas, de se situer avec l’homme sur la pente très glissante conduisant à l’acte sexuel. Souvent l’attitude équivoque de la femme peut laisser entendre à l’homme une invitation implicite, une acceptation à poursuivre.

Allons encore plus loin. Nous savons que l’homme aime toucher la femme et que la femme aime être touchée par l’homme, comme en témoignent ces paroles d’une grande amie : « J’ai tellement aimé le toucher à mes seins par cet homme que j’arrive difficilement à le regretter. C’était si bon ! Mais, je ne voudrais pas recommencer. » Cette confidence ne nous démontre-t-elle pas la faiblesse de la chair pour tous et pour toutes et aussi le défi pour chacun d’acquérir une grande force d’âme qui nous achemine vers la difficile conquête de la maîtrise sexuelle ?

Pour assumer de saines relations interpersonnelles entre hommes et femmes, en milieu de travail et ailleurs, tant chez les jeunes que chez les adultes, il ne nous suffit pas d’avoir été correctement éduqués en milieu familial. Nous avons aussi besoin d’un environnement qui soutienne et fortifie notre être intérieur afin de vivre dans la dignité, le respect et la fidélité de l’amour. Nous avons besoin d’un climat social sain et responsable.

Malheureusement, ce climat social si nécessaire pour nous aider à maîtriser notre instinct sexuel n’existe plus dans nos sociétés contemporaines engagées sur la voie du relativisme et du libéralisme sexuel ou encore sur la voie d’une laïcité fermée à Dieu, lui, qui dans sa sagesse, nous invite à situer l’œuvre de la chair dans le mariage.

Constatons deux moteurs de ce changement social :

1. La modification répétée du Code criminel pour l’adapter au mode de vie sexuelle de certains groupes de pression, sans référence à Dieu. Cela débuta avec le bill fédéral omnibus, le 14 mai 1969.

2. Le complot mondial d’une pseudo éducation à la sexualité dissociée de l’amour, dépourvue d’un cadre anthropologique pertinent, soutenue par une Charte des droits et libertés et des lois déshumanisantes. Cette « éducation » contribue à développer chez les jeunes une attitude irresponsable face à leurs forces affectives et sexuelles.

En ce moment précis de notre histoire, je réaffirme mon indignation et ma tristesse de voir tant d’hommes et de femmes victimes de la pseudo éducation sexuelle imposée dans nos écoles du Québec, tant privées que publiques et tant primaires que secondaires, depuis le 1er juillet 1988. À la lumière de la pédagogie de la démarche d’intégration de l’amour et de la sexualité, de la naissance à la maturité, que j’ai développée, j’y vois le plus grand des viols : viol du corps, du cœur et de l’âme de nos jeunes !

On a oublié que les intervenants auprès des enfants, des adolescents et des jeunes adultes, à commencer par leurs parents, avaient la cruciale responsabilité de les aider à découvrir le sens et la finalité de l’amour et de la sexualité, à acquérir la force intérieure pour se vaincre soi-même et à développer leur volonté pour résister à ce qui ne leur convient pas.

Face à la grave problématique de la non-éducation à la maîtrise de l’instinct sexuel, cause de dommages profonds et longs à guérir, tant chez les victimes de viol que chez leurs agresseurs, je souhaite qu’on ait rapidement le courage de proposer le débat de société qui s’impose. Et qu’ensuite nous unissions nos forces pour favoriser chez chaque nouvelle génération une saine éducation où amour et sexualité sont intégrés.

C’est le défi que je nous propose comme société en quête d’un monde plus beau, meilleur et en santé.

Solange Lefebvre-Pageau, M. Sc., infirmière à la retraite

Fondatrice et directrice
Centre international de recherche et d’éducation familiale
209-3500, av. Benny, Montréal, QC H4B 2R8
514.342.0695 [email protected] www.ciref.ca

 

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45 minutes après un arrêt cardiaque, elle revient à la vie!

lit_hopital.jpgSur le zenit.org du 11 novembre 2014 :

(Photo : jackhynes sur flickr.com, licence creative commons)

« C’est un miracle, Dieu a écouté nos prières » estime la sœur de Ruby Graupera-Cassimiro, 40 ans, de Deerfield Beach (Etats-Unis) : elle n’hésite pas à parler d’une intervention céleste.

Le cœur de cette maman de deux enfants a en effet cessé de battre pendant 45 minutes après la naissance de sa petite fille, par césarienne, à l’hôpital régional Boca Raton de Floride, le 23 septembre dernier, rapporte The Sun Sentinel.

L’équipe d’une douzaine de médecins et infirmières n’a pas réussi à la réanimer pendant plus de deux heures et a annoncé à la famille qu’il n’y avait plus rien à faire.

(...)

À lire.

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Quelques détails sur l'histoire d'une stérilisation de masse « consentante » qui tue des femmes en Inde

pensive.jpgSur le site du Journal de Montréal du 13 novembre 2014 :

(Photo : Des millions de femmes trompées pour obtenir un « consentement »...)

(Photo par R. Mitra sur flickr.com, licence creative commons)

(...)L'ONG Human Rights Watch (HRW) estime que l'Inde a un lourd passé de décès dus à une stérilisation, en partie parce que les employés du secteur de la santé sont poussés à recruter à tout prix des femmes pour remplir des objectifs mensuels «informels».

Selon HRW, certains risquent des baisses de salaires ou même le renvoi dans au moins un Etat de l'Inde, s'ils ne remplissent pas ces objectifs, censés ne pas exister.  (...)

« ... poussés à recruter à tout prix ... » Cela donne une bonne idée des moyens utilisés pour obtenir un « consentement »...

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Deux mois après, il pleure toujours... Témoignage sur un récent avortement

regard_vide.jpgSur le site de mamanpourlavie.com du 10 novembre 2014 :

(Photo : Alyssa L. Miller sur flickr.com, licence creative commons)

J'ai 16 ans.
Je suis une ado tout ce quil y a de plus ordinaire. Je ne fume pas je ne bois pas. Je ne couche pas à gauche à droite.
Pourtant, je suis tombé enceinte..
Le jour ou je l'ai su, enfait que jai fais le test et qu'il en est resorti positif, parce que j'avais deja beaucoup de signes ( nausées, mal au ventre, toujours faim, retard des regles),jai voulu mourrir. Pourquoi moi? Une adolescente avec une vie bien banale?
Jai tout de suite envoyer la reponse a mon amoureux. Il se sentait attrocement coupable. On a convenu que le lendemain, on irais à l'urgence. On avait aucune idée quoi faire. Et pas question d'en parler à nos parents. On arrive à l'urgence, on explique à l'infirmière au triage notre situation, et je vous jure, elle s'est mise à pleurer. Elle avait pitié..
Elle nous a réferé a une travailleuse sociale, qui elle nous a référé à une clinique d'avortement situé a 1h30 de chez moi, c'étais la plus proche. On a appeller et on a pris rendez-vous le 17 septembre.
C'étais difficile de me faire à l'idée que ce petit bout qui grandissait en moi, devait partir. Mais c'étais pour son bien.
J'avais peur, peur d'avoir mal, peur de ne plus vouloir, peur de le regretter.
Le jour J, on a rencontré une travailleuse sociale qui nous a tout expliqué comment ça se deroullerait, mais pour être très franche, je n'écoutais rien. J'avais la tete ailleurs.
Quand est venu l'heure, ils n'ont amener que moi dans la salle, mon copain me regardait partir, impuissant. Quand il est arrivé j'avais une robe d'hopital, une seringue dans le bras, et un regard qui le suppliait de me sortir de là.
Ont nous a amené dans une autre salle, on ma couché sur une table, et on ma fais l'echographie. 6,1 semainea ma petite crevette. Ensuite tout est flou, on ma injecté des trucs, je ne me souviens de presque rien. Juste qu mon amoureux a été avec moi tout au long. Je devais avoir un regard vide. Cest comme ça que je me sentais, vide.

Ça été un des pires jours de ma vie. Mais jai réalisé beaucoup.
Jai réalisé la chance que j'avais d'avoir quelqu'un comme lui à mes cotés.

Je ne te cacherai pas, encore aujourdhui cest tres difficile, juste l'autre soir, mon amoureux cest couché sur mon ventre, et il s'est mis a pleurer.
Notre bébé nous manquera toujours. Mais il veille sur nous..
Voila mon histoire d'avortement, et si vous avez des questions, n'hésitez pas.

Alors qu'ils ont demandé de l'aide, on ne leur a proposé aucun autre choix, aucune autre solution que l'avortement. Et « encore aujourd'hui cest tres difficile», et «il s'est mis à pleurer », et « Notre bébé nous manquera toujours »...

Une société inhumaine qui n'apporte aucune aide, au contraire, et laisse dans les larmes, avec seulement ce vide à l'intérieur... et un discours stupide pour tenter d'oublier, selon lequel tout est pour le mieux, pour le mieux de l'enfant... L'avortement, « c'étais pour son bien »...

Le gâchis total...

La raison pour laquelle nous combattons, pour que de telles histoires ne se reproduisent pas.

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La CSN se prononce pour l'abolition de la prostitution

prostitution2.JPGSur le site de newswire.ca du 12 novembre 2014, un article à lire, dont voici un extrait :

(Photo : dualdflipflop sur flickr.com, licence creative commons)

« Plusieurs mythes circulent au sujet de la prostitution, rappelle à cet effet Véronique De Sève. Cette activité n'est pas un travail, même si plusieurs le prétendent, mais bien de l'exploitation. On invoque aussi le libre-choix des prostituées pour défendre la légalisation. Or, la grande majorité des prostituées n'ont pas voulu, comme choix de carrière, vivre de la prostitution. (...) »

La majorité des prostitué(e)s ont commencé le « métier » alors qu'elles étaient des mineures...

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En Allemagne, les parents refusant les cours d'« éducation » sexuelle pour leurs enfants sont mis en prison

prison.jpgSur le site de pour une école libre du 8 novembre 2014 :

(Photo : Indiana Public Media sur flickr.com, licence creative commons)

L’Allemagne ne menace pas seulement de prison les parents qui veulent éduquer leurs enfants à la maison. Elle emprisonne aussi les parents qui s’opposent à des cours d’éducation sexuelle qu’ils considèrent prématurés et hédonistes.

La répression judiciaire et policière outre-Rhin dans le domaine de la politique familiale et de l’éducation se poursuit.

Selon l’Association Besorgte Eltern (Parents inquiets), en Allemagne, des enfants tombent littéralement dans les pommes durant certains cours d’éducation sexuelle explicite ou refusent d’y retourner. Quand les enfants ne suivent plus ces classes, l’école menace les parents et dépose une plainte si les parents ne veulent pas obéir. Puis la justice condamne les parents à payer une amende. Si par principe, les parents refusent de payer l’amende, c’est la police qui se présente à leur domicile pour les mettre en prison !

Sous peu, une mère d’un des couples déjà menacés de prison devrait être mise derrière les barreaux.

Le nouveau totalitarisme occidental a maintenant pour ennemi la famille...

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Franc-parler de Mgr Schneider sur le synode de la famille

Sur le blog de Jeanne Smits du 7 novembre 2014 :

En réalité les évêques favorables à la communion pour les divorcés remariés sont les nouveaux Pharisiens et les scribes, parce qu’ils font fi du commandement de Dieu. Participant au fait que du corps et du cœur des « divorcés remariés » les adultères continuent de procéder (Matth 15,19), parce qu’ils recherchent une solution extérieurement propre, et qu’ils veulent être « propres » également aux yeux de ceux qui ont le pouvoir : les médias, l’opinion publique. Mais lorsqu’ils paraîtront devant le tribunal du Christ, ils entendront sûrement, avec un grand désarroi, ces paroles du Christ : « Au méchant aussi, Dieu s’adresse : “Pourquoi rabâches-tu mes lois ? Tu as mon alliance à la bouche, mais tu détestes l’instruction et tu rejettes mes paroles au loin, derrière toi. A peine as-tu vu un voleur, tu deviens son complice, et puis, tu fais cause commune avec les adultères.” » (Ps 50, 16-18).

(...)

En ces temps extraordinairement difficiles le Christ purifie notre foi catholique pour qu’à travers cette épreuve, l’Eglise finisse par briller davantage et devienne réellement sel et lumière pour ce monde néo-païen insipide, grâce à la fidélité et à la foi simple et pure des fidèles, des petits de l’Église, de l’ecclesia docta, l’Église enseignée, qui en nos jour donnera force à l’ecclesia docens, l’Eglise enseignante, le Magistère, ainsi que cela s’est produit lors de la grande crise de la foi au IVe siècle.

(...)

Nous devons encourager les catholiques ordinaires à rester fidèles au catéchisme qu’ils ont appris, à être fidèles aux claires paroles du Christ dans l’Évangile, à être fidèles à la foi qui leur a été transmise par leurs pères et leurs aïeux. Nous devons organiser des cercles d’études et de conférences sur l’enseignement constant de l’Eglise sur la question du mariage et de la chasteté, en y invitant spécialement les jeunes et les couples mariés. Nous devons montrer la beauté même d’une vie chaste, la beauté même du mariage chrétien et de la famille, la grande valeur de la Croix et du sacrifice dans nos vies. Nous devons présenter toujours davantage les exemples des saints et des personnes exemplaires qui ont montré qu’ayant pourtant souffert les mêmes tentations de la chair, et subi la même hostilité et la même dérision de la part du monde païen, ils ont vécu avec la grâce du Christ une vie de joie dans la chasteté, au sein du mariage chrétien et de la famille. La foi, la foi pure et intégrale catholique et apostolique vaincra le monde.

Nous devons fonder et promouvoir des groupes de jeunes au cœur pur, des groupes de familles, des groupes d’époux catholiques, qui s’engageront à rester fidèles à leurs vœux matrimoniaux. Nous devons organiser des groupes qui aideront moralement et matériellement les famille brisées, les mères seules ; des groupes qui assisteront, par la prière et par les bons conseils, les couples séparés ; des groupes de personnes qui aideront les « divorcés remariés » à entamer un processus de conversion sérieuse, en reconnaissant avec humilité leur situation de péché qui viole le commandement de Dieu et la sainteté du sacrement de mariage. Nous devons créer des groupes qui aideront avec prudence les personnes ayant des tendances homosexuelles afin de les faire entrer sur le chemin de la conversion chrétienne, ce chemin beau et joyeux d’une vie chaste, et pour leur proposer éventuellement, de manière délicate, une aide psychologique. Nous devons montrer et prêcher à nos contemporains de ce monde néo-païen le pouvoir libérateur de la bonne nouvelle de l’enseignement du Christ : que le commandement de Dieu, y compris le sixième commandement, est sagesse et beauté. « La Loi de Dieu est parfaite, elle nous redonne vie. Toutes ses affirmations sont dignes de confiance. Aux gens sans détour elle donne la sagesse. Justes sont ses exigences, elles font la joie du cœur ; et ses ordres, si limpides, donnent du discernement. » (PS 19, 7-8.) (...)

Il est inconcevable que des chrétiens puissent imaginer un seul instant une pratique différente de ce que le Christ a établi par des paroles parmi les plus claires et compréhensibles des évangiles. Le mariage est indissoluble et qui se « remarie » est adultère. Sauf si au départ, les conditions pour un mariage valide n'étaient pas réunies ( mariage forcé, etc.). Dans l'histoire de l'Église, les hérésies, sans aucune valeur intrinsèque, ont tout de même permis de faire avancer l'Église par cet effort constant de l'Église d'approfondir et vulgariser l'enseignement du Christ pour que les hérétiques parviennent un jour à le comprendre.

On peut espérer que l'aveuglement des partisans d'un « remariage » avec communion permettra cet approfondissement et un effort d'explicitation qui apportera de nouvelles lumières et de nouvelles grâces pour une compréhension plus grande du don de Dieu qu'est la famille, à Son image.

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L'Unicef et l'Organisation mondiale de la santé stérilisent à leur insu les femmes Kényanes par un vaccin contre le tétanos modifié

kate_perry_unicef.jpgSur le site de ihsnews.net du 10 novembre 2014 :

(Photo : Kate Perry, ambassadrice de l'Unicef, par ONU Brasil sur flickr.com, licence creative commons)

Les évêques catholiques du Kenya accusent deux organismes des Nations Unies de procéder à la stérilisation de millions de filles et de femmes sous couvert d’un programme de vaccination anti-tétanos parrainé par le gouvernement kenyan.
Selon un communiqué publié mardi par l’Association des Médecins catholiques du Kenya, l’organisation a trouvé un antigène qui provoque des fausses couches dans un vaccin administré à 2,3 millions de filles et de femmes par l’Organisation mondiale de la Santé et de l’UNICEF. Des prêtres à travers le Kenya auraient conseillé à leurs congrégations de refuser le vaccin.

« Nous avons envoyé six échantillons en provenance de tous les endroits du Kenya à des laboratoires en Afrique du Sud. Ils ont été testés positifs pour l’antigène HCG« , a déclaré le Dr Muhame Ngare du Mercy Medical Centre à Nairobi à LifeSiteNews. « Ils contenaient tous de l’HCG.(Hormone chorionique gonadotrope humaine) »

Le Dr Ngare, porte-parole de l’Association des médecins catholiques au Kenya, a déclaré dans un bulletin publié le 4 novembre « Ceci confirme nos pires craintes ; que cette campagne de l’OMS ne sert pas à éradiquer le tétanos néonatal, mais est en fait un exercice contrôle de la population par une stérilisation de masse bien coordonnée utilisant un vaccin connu pour réguler la fertilité. Cette preuve a été présentée au ministère de la Santé avant le troisième tour de la vaccination, mais a été ignorée« .

Quel média de masse québécois en parle?

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10 femmes meurent, 24 dans un état grave, plusieurs malades suite aux pratiques de stérilisation de masse en Inde

femmes_indiennes.jpgSur le site du journal La Presse du 11 novembre 2014 :

(Photo :  M Prem Kumar sur flickr.com, licence creative commons)

Ces opérations de stérilisation sont organisées dans divers États dans le cadre d'un programme national qui prévoit d'accorder 1400 roupies (28 $) aux femmes volontaires.

(...)certains gouvernements offrent également des biens, tels qu'une voiture ou de l'électroménager, pour recruter des couples volontaires.

Nombre d'ONG dénoncent la fixation d'objectifs chiffrés au niveau de certains États qui entraîne des dérives, certaines femmes se retrouvant contraintes à une stérilisation, (...).

L'an dernier, les autorités du Bengale-Occidental (est) avaient été vivement critiquées après la diffusion d'images montrant des femmes laissées inconscientes dans un champ à la suite d'une opération de stérilisation de masse.

Des gouvernements qui, loin d'aider leurs populations,  profitent de la pauvreté pour faire miroiter une rémunération contre la stérilisation, avec l'appui des gouvernements occidentaux et de l'ONU. Quand entendra-t-on l'ONU critiquer inlassablement les conditions faites aux pauvres en Inde et en Chine concernant une VÉRITABLE « justice reproductive » (terme désignant malheureusement habituellement la promotion de l'avortement chez les plus pauvres...).

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Excellent texte dans le journal Le Devoir sur la liberté, la morale et la capacité de juger...

lea_clermont_dion.jpgSur le site du journal Le Devoir du 11 novembre 2014, un texte de Patrick Moreau, professeur de littérature et rédacteur en chef de la revue « Arguments ». Un texte à lire en entier, dont voici un extrait :

(La Chroniqueuse Léa Clermont-Dion a reçu sa part de critiques pour avoir osé porter un jugement moral sur l'événement du Boule-o-thon, où une actrice porno a couché avec 22 hommes pour que son patron lui paie une augmentation mammaire...)

(Photo : Francis Bourgouin sur flickr.com, licence creative commons)

Un refus viscéral de tout jugement, qui s’apparente dans les faits à une démission, car derrière ces proclamations hautaines de tolérance (« je ne me permettrai pas de juger cette fille »), on trouve ce refus de prendre son « propre jugement pour guide » qui rend l’individu « absolument incapable de distinguer le bien du mal » et qui est de ce fait, selon Hannah Arendt, à la racine de ce phénomène qu’elle nomma dans Eichmann à Jérusalem la « banalité du mal ». Cette apparente tolérance est à double tranchant et, en vérité, cache bien mal le fond d’indifférence à l’égard d’autrui sur lequel elle s’exprime ; comme dira une autre intervenante au sujet de cette douteuse performance sexuelle de la jeune actrice porno : « de toute manière, on s’en tape de ce qu’elle fait ». C’est sans doute là le fin mot de cette prétendue tolérance qui permet dans ce beau monde du libéralisme triomphant la résurgence de nouvelles formes d’exploitation.

Ne pas juger le mal, c'est lui donner toute la liberté d'agir... "Le pire, (disait le journaliste burkinabé Norberto Zongo), ce n'est pas la méchanceté des gens mauvais, c'est le silence des gens bien"

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