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Comme au Québec, l'offre des soins palliatifs en Ontario est insuffisante pour répondre aux besoins

maison_michel_sarrazin.jpgSur le site de Radio-Canada du 15 décembre 2014 :

(Photo de la maison de soins palliatifs Michel Sarrazin par Éric Fortin sur wikimédia.org, licence creative commons)

(...)seulement 30 % des Ontariens souffrant de maladies chroniques reçoivent des soins palliatifs adéquats, la plupart étant des personnes atteintes du cancer.

L'étude commandée par le gouvernement ontarien conclut qu'il s'agit d'un « enjeu de plus en plus pertinent », alors que le nombre de décès au pays « augmentera de 40 % d'ici 2026 », en raison du vieillissement de la population.

Le Québec a choisi d'aller de l'avant avec l'euthanasie des patients. Que fera l'Ontario?

 

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Liberté de choix?


sad-girl-236769_640.jpgUn témoignage parmi tant d'autres, paru ce 12 décembre 2014 sur le site doctissimo.fr :

Bonjours, je suis tombée enceinte à l'âge de 15 ans, j'étais en couple depuis presque 2 mois, ce n'étais pas volontaire, j'ai fait une échographie, a écoutée son cœur.

Quand je l'ai annoncée à mes parents ils m'ont de suite forcé à avorter, je l'ai finalement fait à contre coeur.

Le matin à l'hôpital pour une aspiration j'étais bien, je pense que j'arrivais pas à me faire à l'idée qu'on allait m'enlever mon petit bout.

Au moment où on est venu me chercher pour commencer l'ivg j'ai ressenti beaucoup de douleur je voulais tout arrêter et rentrer chez moi, à mon réveil j'étais bien, les jours suivant aussi sauf la nuit, j'arrivais plus à dormir, je faisais cauchemars sur cauchemars, puis j'ai dû faire une visite de contrôle pour une échographie et là...
plus rien en mois, depuis, jours et nuits moral à zéro, pendant 3 mois tous les week-ends je buvais de l'alcool jusqu'à en vomir et ne plus se souvenir de rien, je fumais...

Pendant un moment j'allais mieux puis arriva le mois où j'aurais dû accouchée et depuis c'est repartie comme au début, et plus je me rapproche des 1 an de l'ivg plus j'ai mal.

Je me fais aussi dû mal physiquement et j'ai dû mal à bien communiquer comme avant avec ma famille.

Je regrette vraiment cet avortement, malgré mon jeune âge j'aurais préférée être maman et avoir au moins une vie avec mon bout de chou que souffrir cause de mes parents.

J'ai un nouveau copain et cette idée de grossesse me revient et mon ivg me fait très très mal, que dois-je faire ? Merci

Des témoignages que les centres d'aide aux femmes enceintes en difficulté entendent trop souvent...

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Méditations d'un chapelet pour la Vie

chapelet.png(Pour le chapelet au complet, voir Le blog de Jeanne Smits du 29 novembre 2014)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Notre Père


Une vidéo du groupe Glorious, à voir : 

 

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Avec l'amour de tout le monde, cet enfant-là n'aura pas une vie misérable...

mother_child.jpg(Photo : patrix99 sur flickr.com, licence creative commons)

Elle a sauvé son enfant du désir d'avortement des médecins. Elle reçoit des appuis de partout. Et elle a cette phrase magnifique qui peut s'appliquer à tout enfant en danger d'être avorté « Mais avec l'amour de tout le monde, cet enfant-là n'aura pas une vie misérable. » Sur le site du Journal de Québec du 12 décembre 2014, un article à lire :

Un fort vent de sympathie souffle sur les médias sociaux à la suite de la révélation jeudi par le Journal de l'histoire du petit Atreyu Savard, ce bambin de quatre mois au visage difforme, de Cap-Chat, en Gaspésie.

« Je me dis qu'il y a encore du monde qui a le cœur à la bonne place et qui compatit avec ma décision de poursuivre ma grossesse », explique sa mère, Marie-Karyne Savard, 24 heures après s'être confiée au Journal.

Oui, il y a toujours du monde qui ont le coeur à la bonne place...

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Une femme sauve la vie de son enfant en la respectant malgré le regard défavorable des médecins et des médias...


handicap.JPGLe titre de l'article du Journal de Montréal est totalement dégoûtant : « Une maman gaspésienne choisit de mettre au monde son enfant malgré de graves déformations ». Cette maman n'a pas choisi de laisser vivre son enfant , elle n'avait pas le droit de vie ou de mort sur lui, elle a respecté la vie de son enfant et l'a aimé, inconditionnellement. Sur  le site du Journal de Montréal du 11 décembre 2014, un article à lire :

(Photo : iamdat sur flickr.com, licence creative commons)

Malgré la pression populaire pour qu’elle se fasse avorter, Marie-Karyne Savard, de Cap-Chat, en Gaspésie, a accouché du petit Atreyu, victime d’une déformation de la boite crânienne. Le bambin de quatre mois subira deux opérations après les Fêtes à Québec et Montréal et la mère demande de l’aide pour subvenir à ses besoins.

(...)

Mme Savard, qui a quatre autres enfants, demande l’aide du public afin de subvenir à ses besoins lors de ces deux opérations et prendre soin de quatre autres enfants durant son absence. Un compte a été ouvert à la caisse populaire de la Haute-Gaspésie pour les contributions du public au folio 12060es1.

L'enfant handicapé a tout autant le droit à la vie que toute autre personne.

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Les autorités ontariennes prennent des mesures contre les médecins qui refusent l'avortement et la contraception

medecins.jpgSur le site de theglobeandmail.com du 11 décembre 2014 :

(Photo : Alex E. Proimos sur flickr.com, licence creative commons)

Les Médecins de l'Ontario pourront refuser de donner des ordonnances de planification des naissances, d’avortements et de vasectomies aux patients, à la condition qu'ils les renvoient à un autre médecin, selon une nouvelle politique créée par l’ordre de réglementation de la province.

(…)En plus de l'obligation de référence, les médecins devront traiter les patients en cas d'urgence, même si cela va à l'encontre de leurs croyances. Et s’il n'y a pas de possibilité d'un transfert, les médecins doivent traiter le patient.

Une nouvelle atteinte à la liberté de conscience qui veut transformer tous les médecins en « collaborateurs »...

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Le racisme de l'Obamacare?

alveda_king.jpgSur le blog de Jeanne Smits du 9 décembre 2014 :

(Photo : La nièce de Martin Luther King, Alveda King, poursuit le combat de son oncle en combattant pour la défense des enfants à naître aux États-Unis visés par l'avortement, majoritairement dans les quartiers noirs des États-Unis.

(Photo : roanokecollege sur flickr.com, licence creative commons)

Le Pr Jonathan Gruber du Massachussetts Institute of Technology a été l’une des chevilles ouvrières de l’Obamacare ; c’est aussi un partisan de l’avortement.

(...)

L’architecte de l’Obamacare a ainsi signé, en 1997, une étude tendant à démontrer que l’avortement légal avait à cette date épargné aux contribuables américains la somme de 14 milliards de dollars en aides sociales, et évité nombre de crimes.

(...)

C’est cet eugénisme qui est à l’œuvre dans le « ciblage » – oui c’en est un – des quartiers noirs pour l’installation des avortoirs aux Etats-Unis : il se traduit par des taux d’avortement bien plus importants au sein de la population afro-américaine. 

(...)

Jonathan Gruber est actuellement sous le feu de l’actualité pour avoir avoué que la rédaction complexe des lois régissant l’Obamacare est une sorte de bénédiction, faisant accepter aux Américains ce que jamais ils n’auraient avalé en termes « transparents et clairs ».

Parce que les populations noires aux États-Unis sont plus pauvres que les blanches, ce sont elles que l'on vise à « contrôler »... Mais le mouvement pro-choix a toujours tiré ses racines dans le racisme et l'eugénisme, comme vous pourrez le constater dans l'article « « L'apocalypse démographique n'aura pas lieu... ».

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Homosexualisme : nouvelles attaques à la liberté de conscience

liberte2.jpgEn Irlande. Sur le site de Riposte catholique du 10 décembre 2014 :

(Photo : Genevy (welcome) sur flickr.com, licence creative commons)

L’Irlande du Nord admet depuis 2012 l’adoption d’enfants par des paires homosexuelles, sur décision de la Haute Cour de Justice. C’est donc à regret que les évêques catholiques d’Irlande du Nord ont annoncé s’être résolus à couper tous les liens qu’ils entretenaient avec une association fondée en son temps par l’Église, la Family Care Society, qui sert de pourvoyeur dans les adoptions d’enfants.

(...)

Des personnalités politiques se sont émues de ce divorce, et ont dénoncé avec les prélats l’absence dans la loi d’une clause de conscience qui permettrait aux organisations religieuses de ne pas être obligées d’aller contre leurs croyances.

Et aux États-Unis. Sur le site de Riposte catholique du 10 décembre 2014:

La Conférence des Évêques Catholiques des États-Unis a condamné un nouvel ordre exécutif du président Barack Obama qui vise à interdire la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre. Tout en rappelant que le catéchisme de l’Église catholique prohibe la haine envers les personnes touchées par des attractions vers des personnes de même sexe, les évêques américains ont avancé qu’il y avait dans ce nouveau texte bien plus que l’interdiction des discriminations. Plusieurs des clauses criminalisant la simple désapprobation portée sur des actes homosexuels tendent en réalité à faire de cette nouvelle mouture une atteinte flagrante à la liberté d’opinion. (...)

Certains aimeraient que toute pensée critique sur le phénomène de l'homosexualisme soit interdite...

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Jean Béliveau tenait à assister à la messe du dimanche, quel que soit le calendrier des joutes des Canadiens de Montréal

beliveau2.jpgSur le site du journal La Presse du 10 décembre 2014 , lors d'un petit déjeuner de la prière au restaurant parlementaire de l'Assemblée Nationale à Québec :

(Photo : Jean Béliveau en compagnie de l'ambassadeur américain au Canada, David Jacobson. Tout au long de sa vie l'ancien capitaine du Canadien a manifesté une écoute des personnes qu'il rencontrait qui laissait toujours un bon souvenir)

(Photo : US Embassy Canada sur flickr.com, licence creative commons)

Il parla des voyages par train que l'équipe devait effectuer après la joute du samedi soir au Forum pour se rendre à Toronto, Boston, New York, Detroit et même Chicago, et expliqua comment durant sa carrière de hockeyeur il s'arrangeait pour assister à la messe le dimanche.

(...)monsieur Béliveau laissa dans l'esprit et le coeur de son auditoire un sentiment de respect au point où, plusieurs années après, on me parlait encore comment son témoignage avait marqué et influencé dans leur spiritualité personnelle les invités de cet événement.

Ne devrait-on pas respecter au Québec la foi des jeunes et inclure dans leurs calendriers sportifs une plage horaire pour assister à un service religieux la fin de semaine?

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