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Amnistie Internationale pleure le non-avortement du bébé de Béatriz

(Sur la photo, une campagne de promotion d'Amnistie Internationale que l'organisme n'applique malheureusementt pas aux enfants à naître...)

 

Il y a quelques semaines, nous vous racontions l’histoire de ce montage médiatique destiné à faire pression sur le Salvador pour l’obliger à permettre un avortement, à l’encontre de la loi du pays. Seul cet avortement aurait pu, selon Amnistie Internationale, sauvée la mère d’une mort atroce.

L’avortement n’a pas eu lieu, la mère est bel et bien en vie et Amnistie Internationale rage et crie à l’hypocrisie parce que plutôt que de tuer l’enfant et de le démembrer, les médecins ont choisi de procéder à une césarienne, à la 26e semaine, pour en tout temps, prendre soin de la mère et de l’enfant. Et non pas tuer l’un des deux. L’enfant est bel et bien mort… mais il a été aimé par sa mère et par le personnel médical jusqu’au bout. Personne n’a attenté à sa vie, ce qui est inacceptable pour Amnistie Internationale :

« Début mai, Amnesty a lancé une campagne de soutien en faveur de Beatriz et a demandé aux autorités d’autoriser cet avortement. Plus de 170'000 signatures ont été récoltées à travers le monde et envoyées au président du Salvador. L’affaire est allée jusqu’à la Cour suprême. Fin mai, les juges ont refusé à Beatriz le droit d’avorter.

Mais après quatorze semaines d’attente interminable, elle a enfin obtenu le droit à une césarienne, ce qui a entraîné la mort du fœtus. Quelle hypocrisie! Une césarienne était acceptable pour les autorités, alors qu’elles refusaient un avortement, qui aurait pourtant conduit au même résultat. »

Une césarienne n’entraîne pas la mort du fœtus. Sinon cette pratique ne serait jamais utilisée pour pallier un accouchement par voie naturelle. L’enfant est bel et bien mort du fait qu’il était anencéphale, et non pas parce qu’une autre technique que l’accouchement naturel a été utilisée. Il a été aimé et accompagné jusqu’au bout. Et la vie de la mère, sous surveillance médicale, n'a jamais été en danger.

C’est une gifle monumentale à tous ces médias et organismes qui réclamaient l’avortement pour sauver la vie de la mère. Il n’y a pas eu d’avortement, la vie de la mère est sauve, et ces médias internationaux, et Amnistie Internationale, sont plus enragés que jamais, alors qu’ils devraient, en théorie, être heureux et fêter la vie de la mère…

Amnistie Internationale poursuit sa campagne pour que l’avortement soit libre et gratuit partout sur la planète, tout en utilisant un langage rempli d’euphémismes :

« Les Nations unies préparent actuellement la révision du Programme d’action du Caire de 1994 pour la population et le développement, qui met justement l’accent sur les droits sexuels et reproductifs. Une conférence régionale aura lieu en juillet à Genève. Il est essentiel que ce programme en sorte renforcé, car des retours en arrière sont aussi à craindre dans les pays européens, notamment en Suisse : deux initiatives populaires qui visent à limiter l’éducation sexuelle ou à interdire totalement les interruptions de grossesse sont au stade de la récolte de signatures.

Le Programme d’action du Caire affirmait pour la première fois que les droits reproductifs sont des droits humains et que les États ont l’obligation de veiller à ce que chacun·e puisse librement, sans aucune contrainte ou discrimination, obtenir des informations sur la sexualité et la contraception, décider d'avoir ou non des enfants, et avoir accès à des services de santé. Un texte historique que certains États voudraient aujourd’hui reléguer aux oubliettes. Ne les laissons pas nous priver de ces droits! »

L’histoire de Béatriz demeure l’illustration de cette volonté morbide et inhumaine de défendre à tout prix le « droit » de tuer les enfants à naître. Béatriz est vivante. Elle n’a pas subi d’avortement. Et c’est à une explosion de rage qu’un avortement n’ait pas eu lieu auquel nous avons droit… Et à une volonté renouvelée de porter l’avortement d’enfants partout à travers la planète…

Le mal, comme le bien, est aimé et servi, aurait dit Bernanos…

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