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Être maman, un temps pour être prête?

Un article paru sur le site de Yahoo du 29 mai 2012:

 

 

 

Comment se sont préparées nos lectrices à la venue d’un enfant? À partir de quel moment, assumant qu’il en existe vraiment un, sait-on que l’on est fin prête à assumer le rôle de maman? Nos lectrices, parentes et amies partagent avec vous l’instant où elles sont passées de femme à mère. Comme on s’y attendait, les réponses diffèrent largement. Comme quoi l’expérience de la maternité est toute personnelle à l’exception d’une chose : elle transforme à tout jamais!

« J’ai su que j’étais prête à devenir mère quand j’ai tenu ma nièce dans mes bras. Quelque chose de magique s’est déclenché en moi. Je n’ai eu ma propre fille que quelques années plus tard, mais c’est au moment où j’ai tenu cette toute petite chose dans mes bras que j’ai vraiment senti que ma vie avait un sens. C’est un sentiment plus fort que tout! » Sofia, Montréal.

« J’ai continué d’avoir peur jusqu’au jour de mon accouchement! Vais-je en vouloir à mon fils de prendre tout mon temps? Vais-je regretter ma décision? Mon couple va-t-il survivre au manque de sommeil et de temps en amoureux? Finalement, quand mon fils est né, tout s’est plus ou moins placé par soi-même. C’est dur par moments, mais les doutes n’y sont plus. Je crois qu’on n’est jamais prête à devenir mère, on devient mère, tout simplement. Je ne reviendrais en arrière pour rien au monde.» Martine, Sherbrooke.

« Durant les deux derniers mois de ma grossesse, j’ai parlé tous les jours à mon enfant. Chaque soir, je lui racontais ma journée, lui parlais de notre futur, lui racontais l’histoire d’amour de moi et son père, qu’il ne connaitrait pas. C’est lui, en fait, qui m’a aidée à surmonter la peur d’être une mauvaise mère. J’allais accoucher de lui toute seule et je n’avais aucune idée de ce que je devais faire. Mais je le sentais fort, et quand il est né, tout s’est mis en place. Par contre, pour être honnête, rien n’aurait pu me préparer aux défis auxquels je devrais faire face en devenant mère. C’est un rôle d’une force et d’une importance qui dépasse l’entendement. Il faut vraiment le vivre pour comprendre.» Sylvie, St-Lambert.

« J’ai su que j’étais prête à être mère quand j’ai su que j’attendais un enfant, tout simplement. C’est arrivé par hasard, on n’avait pas prévu la grossesse. On a surcompensé dans l’achat de tout en triple, très rapidement, et les 4 derniers mois ont été interminables! On avait tellement hâte qu’elle arrive. Quand le temps est finalement venu, on se sentait parents depuis longtemps déjà. » Mylène et Maxime, Montréal.

« Pour être honnête, je n’étais vraiment pas prête! J’étais très jeune quand ma fille est née et les trois premières années ont été très difficiles. Je l’ai élevée seule, j’étais fatiguée, usée à la corde, confuse et j’avais de la misère à joindre les deux bouts. Mais ce que j’ai aimé, par contre, c’est que dès qu’une vie dépend de toi, ça te pousse à te dépasser. J’ai accompli des choses dont je n’aurais jamais cru être capable, j’ai puisé de l’énergie dans des réserves dont j’ignorais l’existence! C’était dur mais ça m’a transformée. J’aime dire que je suis née en même temps que ma fille! En la mettant au monde, j’ai mise au monde la femme que je suis aujourd’hui. » Laura, Ottawa.

Et vous, chères lectrices qui êtes mères… Avez-vous la réponse magique? À quel moment s’est-il fait le déclic?
 

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