« Si chaque enfant en Amérique avait un père aimant à la maison... »
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Anastasiya/Adobe Stock
« Si chaque enfant en Amérique avait un père aimant à la maison, nous aurions à faire face à beaucoup, beaucoup moins de problèmes en tant que société », a déclaré DeSantis au cours d’une entrevue le 27 mai.
LifeSiteNews rapporte qu’« En avril, DeSantis a signé une loi reliant les garçons à des programmes de mentorat et les hommes à des services de carrière dans l’espoir d’unir les enfants aux pères. »
La perspicacité du gouverneur de la Floride DeSantis sur l’importance de la paternité est révélatrice, surtout pour une société qui s’écroule tranquillement, et dans laquelle les familles se brisent, les mères se retrouvent seules, les enfants sont déstabilisés.
La société est simplement hostile à la Famille, car ce que DeSantis dit au sujet du père est aussi applicable à la mère.
Récemment au cours de la période de questions d’un point de presse, la députée de Sherbrooke de Québec solidaire et responsable en matière d’éducation, de famille, et de condition féminine, Christine Labrie « a lu un témoignage poignant d’une femme qui s’est fait avorter à cause du manque de places en garderie. »
Des histoires comme celle-ci ne devraient jamais se produire. Une mère ne devrait jamais se sentir obligée de choisir entre la vie de son enfant et une place à la garderie.
En premier lieu, les mères ne devraient pas être obligées d’abandonner leurs enfants à la garderie pour partir travailler. Si chaque enfant avait une mère aimante à la maison, pour emprunter les paroles à DeSantis, qui pouvait prioriser ses enfants par-dessus un travail, il y aurait certainement moins de problèmes dans la société.
La société si hostile à la maternité, si hostile à la paternité, et si hostile aux familles ne devrait-elle pas plutôt favoriser un environnement permettant à tout enfant d’avoir une famille stable, et des parents présents et aimants ?
Des femmes racontent comment la maternité leur a donné « une liberté inimaginable »
Par Anne Marie Williams (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : user18528052/Freepik
Les femmes milléniales sont plus susceptibles que les membres des générations précédentes de retarder la conception d’un enfant, et les raisons de ce retard ont fait couler beaucoup d’encre. Il est certain que les finances jouent un rôle. Il semble également y avoir un thème récurrent chez les jeunes femmes, à savoir la peur de se perdre en ayant des enfants avant de savoir vraiment qui elles sont. Cependant, certaines femmes milléniales affirment avoir vécu exactement le contraire. En devenant mères, elles ont appris beaucoup sur elles-mêmes et ce dont elles étaient capables. Elles ont découvert que les enfants ne sont pas des boulets et des chaînes miniatures, largement responsables de la mort des rêves de leurs mères. Au contraire, les enfants rendent ces rêves plus brillants et plus précieux.
Un récent article de Verily présentait une femme qui, dans la vingtaine, n’avait aucun projet concret de maternité... elle n’en avait jamais eu. Selon Mara Measor, « Je n’étais pas enthousiaste à l’idée d’avoir des enfants parce que j’avais des projets pour ma propre vie, des choses que je voulais accomplir. Dans mon esprit, les enfants auraient fait obstacle à ces projets. Je voyais la maternité comme un rôle d’abnégation sans fin, ce qui ne m’enthousiasmait pas particulièrement. Puis, j’ai senti que l’horloge commençait à tourner pour mes ambitions. » Lorsqu’elle a réussi à concevoir un enfant à l’âge de 29 ans, « mon cœur a lentement sombré pendant dix mois inconfortables. C’est fini, ai-je craint. C’est sur le point de se terminer pour moi ». Measor redoutait d’entrer dans « un monde fade de préparation des repas, de sorties au terrain de jeu et de nettoyage d’appartement ».
Mais au contraire, Measor a découvert qu’« avant même de prononcer son premier mot, mon enfant m’avait entraînée sur un magnifique chemin de découverte de soi… » Peu à peu, sa fille nouveau-née « a commencé à me contaminer avec sa joie de vivre sans limite. Je ne pouvais m’empêcher de m’émerveiller chaque jour de voir qu’elle n’avait aucune honte à être pleinement elle-même. Elle n’était pas obsédée par l’idée de faire ses preuves. Elle n’avait pas peur de demander ce qu’elle voulait. Elle n’avait pas peur qu’on lui dise “non”. Quel que soit l’obstacle qu’elle rencontrait, elle trouvait le moyen de continuer à avancer. » Inspirée par sa fille, Measor a ravivé son ancienne passion pour le chant et l’écriture de chansons, ce qui l’a amenée à sortir un nouvel album.
Lire la suiteAlice von Hildebrand : la femme, la féminité et le féminisme
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Piqsels
Quel est la qualité même qui caractérise la femme et que le féminisme a rejeté comme « faiblesse » ? : la féminité.
C'est ce que démontre Alice von Hildebrand, qui obtint un doctorat en philosophie à l’Université de Fordham et est professeur émérite du Hunter College de la City University of New York, dans un un entretien accordé à Zenit en 2003 que le site a rapporté sous forme d’extraits.
Dans cette entrevue, l’épouse du célèbre philosophe feu Dietrich von Hildebrand, elle-même philosophe et auteur du livre The Privilege of Being a Women (Le privilège d’être une femme), elle explique que le rôle de mère a une valeur infinie aux yeux de Dieu, et que la femme peut trouver une force surnaturelle dans ce que le féminisme considère comme une faiblesse : la féminité que caractérise la douceur, la patience, le désintéressement, le don de soi, la tendresse, féminité qui en Marie atteint sa perfection.
Mme von Hildebrand dénonce la sécularisation qui a empoisonné en profondeur la société en progressant par étapes et s'attaquant d'abord à l’homme, selon Zenit :
« Le poison de la sécularisation a pénétré en profondeur dans notre société, explique Alice von Hildebrand. La pénétration a eu lieu par étapes. L’homme a été sa première victime : il s’est laissé convaincre de plus en plus que pour être “quelqu’un” il devait réussir dans la vie. Le succès signifie l’argent, le pouvoir, la célébrité, la reconnaissance, la créativité, l’esprit inventif, etc. »
Pour devenir ce « quelqu’un », beaucoup d’hommes ont sacrifié leur vie de famille, le travail représentant pour eux la partie sérieuse de leur existence, ne rentrant à la maison que pour se détendre ou s’amuser, attitude qui a détruit de nombreux mariages. Il ne leur restait que peu de temps et d’attention à porter à leur femme ou a leurs enfants. Les femmes, à juste titre, se sont senties considérées comme secondaires, sortes d’appendices ou de délassements ; de là une souffrance compréhensible et légitime.
Mais la réaction du féminisme a conduit les femmes à adopter une mentalité sécularisée, qui leur a enseigné qu’elles devaient aussi se jeter dans le monde du travail pour entrer en compétition avec les hommes, afin de se prouver qu’elles étaient « quelqu’un », qu’elles étaient leurs égaux, souligne-t-elle. En suivant ce chemin, elles oublièrent la beauté et la dignité du rôle de femme et de mère, méprisant la féminité comme une faiblesse, méconnaissant le pouvoir spirituel qu’elles peuvent exercer auprès de leur mari, et perdant de vue qu’étant égaux en dignité ontologique, l’homme et la femme sont différents et complémentaires, explique-t-elle :
Lire la suite« Elles se sont laissées convaincre que féminité signifiait faiblesse, poursuit Alice von Hildebrand. Elles ont commencé à mépriser les vertus comme la patience, le désintéressement, le don de soi, la tendresse, et ont cherché à devenir comme les hommes en tout […] Elles sont devenues aveugles au fait que les hommes et les femmes, bien qu’égaux en dignité ontologique, ont été créés différents par choix de Dieu : homme et femme il les créa. Différents et complémentaires.
Chaque sexe a ses propres forces et ses propres faiblesses. Selon le plan admirable de Dieu, le mari doit aider sa femme à surmonter ces faiblesses afin que tous les trésors de sa féminité puissent s’épanouir pleinement, et vice versa ».
L'Annonciation, le jour où Dieu s'est fait enfant à naître
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Joconde database/Wikimedia Commons
En ce jour de la fête de l'Annonciation, souvenons-nous de Dieu qui s'est fait homme dans le ventre d'une vierge, devenant ainsi un petit enfant à naître dépendant d'une femme. Divine humilité ! Le Tout-puissant se fait tout-petit et vulnérable pour nous racheter du péché et de l'enfer, combien devrions-nous nous rappeler qu'Il a voulu devenir semblable à nous afin que nous devenions semblables à Lui (dans nos limites, bien sûr) ?
En souvenir de l'incarnation du Christ, aimons, secourons et protégeons les enfants à naître, qui sont la proie de Hérodes modernes.
Souvenons-nous aussi de la Très Sainte Vierge Marie, qui a acceptez en toute humilité la demande que Dieu lui adressait par l'un de ses ministre céleste, « Je suis la servante du Seigneur, qu'il me soit fait selon votre parole ». Quel contraste avec le « mon corps, mon choix » des féministes pro-avortement qui réclament le droit de verser le sang des enfants à naître au nom de la possession de leur corps, qu'elles doivent pourtant à leurs parents et à Dieu.
C'est en se soumettant à Dieu que la Sainte Vierge a accédé à l'une des positions les plus hautes : Mère de Dieu dans Son humanité !
Souvenons-nous également de l'archange Gabriel, qui était le messager de Dieu, afin de nous souvenir (en bon Québécois : « Je me souviens ») de porter la vérité au monde.
Irlande : Financement prévu pour des maternités utilisé pour l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le gouvernement irlandais, puisqu’il prétend se préoccuper de la santé des femmes, pourrait au moins avoir la cohérence de financer de façon décente autre chose que le « soin » que représente pour lui l’avortement. La majeure partie d’un financement initialement prévu pour l’amélioration des maternités d’État sera détourné au profit de la pratique de l’avortement, selon Gènéthique :
Après le décès d’une irlandaise dans un hôpital de Galway en 2012, l’Irlande a décidé d’améliorer la qualité des soins dispensés dans les 19 maternités d'État. Ainsi 77 préconisations ont été retenues pour mener un plan stratégique national en matière de sécurité des maternités. Un programme étalé sur dix ans.
Et le mois dernier :
Le Conseil d’administration du HSE a publié le plan de financement de la santé en Irlande qui ne prévoit qu’une allocation « symbolique » destinée au financement de l’amélioration des services des maternités. La majeure partie des fonds initialement prévus pour le financement de ce projet national a été détournée en 2019 pour financer les nouveaux services d'avortement.
La suspicion des censeurs pro-avortement
Billet de blogue d’augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Image (montage) : Alliance Vita
L’organisme Alliance Vita avait fait poser quelque 300 affiches dans les réseaux de transports de Paris, comme il est légalement loisible à tout citoyen contre rémunération des services de la compagnie opérant les réseaux. Les affiches étaient banales et visaient plutôt la PMA, la GPA et défendaient la paternité et la maternité. Anne Hidalgo, maire de Paris, elle, y a entre autres vu une attaque contre l’avortement chose que les censeurs de la république répriment. Mme Hidalgo obtint donc de la compagnie de faire retirer les offensantes images. D’après Liberté politique :
Au commencement était une campagne d’affichage somme toute assez banale. Du noir et blanc, une photo et une mise en page sobre et dépouillée, une célébration du progrès et de la différence. Pas de quoi fouetter un chat. Une campagne qu’on pourrait presque trouver consensuelle… si elle n’avait pas utilisé les mots désormais idéologiquement piégés de « paternité » et de « maternité », et si le commanditaire de la campagne n’avait pas été Alliance Vita. Une association qui promeut la dignité de la personne humaine et la défense des personnes fragiles, ce qui est interprété par le système comme « pro-vie », donc dangereux. Qu’une telle association s’exprime, dans la France, dans le Paris de 2020, ce n’est tout simplement pas envisageable.
Nous vivons dans un monde parallèle, où les mots ne signifient plus ce qu’ils devraient signifier, ou signifient ce qu’ils ne signifient pas, où les présupposés attachés à tel ou tel vocable sont si lourds que des termes autrefois anodins sont désormais passibles de déportation symbolique ou médiatique.
Afficher sur le mur d’une station de métro parisien que « la société progressera à condition de respecter la maternité », c’est se rendre coupable de « délit d’entrave à l’IVG », comme autrefois, emballer le poisson du marché dans un journal à l’effigie de Staline vous faisait soupçonner de manquer de respect au marxisme-léninisme. L’écart qu’il y a entre les termes inoffensifs de « respecter la maternité » et le concept de « délit d’entrave à l’IVG » est plus que patent. La campagne ne parle pas de l’IVG. C’est un fait. Respecter la maternité, cela peut signifier 1001 choses…
Rajoutons enfin qu’Alliance Vita s’étant fait donner raison devant le tribunal des référés, Mme Hidalgo a dit vouloir faire appel de la décision de la Cour, dénotant par là son fanatisme, si ce n’est pro-avortement, sinon LGBT.
Elle a eu 15 avortements en 16 ans : une «dépendance à l’avortement»
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere
Une « dépendance à l’avortement » sont les propos qu’une femme tient sur elle-même, elle qui a eu quinze avortements en seize ans et a mis sur papier son expérience de vie, dans un livre au sombre titre Impossible Motherhood ou Maternité impossible.
Irene Vilar eut une enfance marquée ; une grand-mère nationaliste portoricaine qui a fait 25 ans de prison, pour avoir pris d’assaut avec une arme à feu les marches du Capitole ; sa mère stérilisée de force dans le cadre d’une campagne de stérilisation au Puerto Rico entre 1955 et 1969, celle-ci devint dépendante au diazépam puis se suicida ; et deux de ses frères prenaient de l’héroïne. Maintenant Mme Vilar a deux enfants, mais les souvenirs du passé continuent à la hanter.
Mme Vilar craint cependant que les pro-vie déforment ses propos (qu’elle n’ait crainte, nous resterons scrupuleusement honnêtes), d’après ABC.News :
Irene Vilar craint que son autodescription de « dépendance à l’avortement » ne soit mal comprise et déformée par le mouvement pro-vie pour priver les femmes du droit de choisir.
« Droit » qui n’en est pas un en cette matière. L’article continue :
Lire la suiteSon livre, « Impossible Motherhood » (Maternité impossible), qui sera publié par Other Press le 6 octobre, relate ses propres sombres choix : 15 avortements en 16 ans […]
Enceinte et atteinte d’un cancer, elle décide d’accoucher avant de commencer la chimiothérapie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Charlie Davidson/Flickr
Quand Sheila Downing apprend qu’elle a une tumeur au cerveau, elle est enceinte de 17 semaines. Cette Américaine se fait promptement opérer et « les médecins lui proposent deux options : débuter une chimiothérapie sans attendre, avec le risque d’exposer son bébé, ou attendre l’accouchement pour protéger le bébé, mais risquer sa vie. La jeune femme choisit la seconde option, avec le soutien de son mari. Son fils Josiah naît en août, » rapporte Gènéthique. Début 2019 elle commence le traitement.
Être maman, un temps pour être prête?
Un article paru sur le site de Yahoo du 29 mai 2012:
Comment se sont préparées nos lectrices à la venue d’un enfant? À partir de quel moment, assumant qu’il en existe vraiment un, sait-on que l’on est fin prête à assumer le rôle de maman? Nos lectrices, parentes et amies partagent avec vous l’instant où elles sont passées de femme à mère. Comme on s’y attendait, les réponses diffèrent largement. Comme quoi l’expérience de la maternité est toute personnelle à l’exception d’une chose : elle transforme à tout jamais!
« J’ai su que j’étais prête à devenir mère quand j’ai tenu ma nièce dans mes bras. Quelque chose de magique s’est déclenché en moi. Je n’ai eu ma propre fille que quelques années plus tard, mais c’est au moment où j’ai tenu cette toute petite chose dans mes bras que j’ai vraiment senti que ma vie avait un sens. C’est un sentiment plus fort que tout! » Sofia, Montréal.
« J’ai continué d’avoir peur jusqu’au jour de mon accouchement! Vais-je en vouloir à mon fils de prendre tout mon temps? Vais-je regretter ma décision? Mon couple va-t-il survivre au manque de sommeil et de temps en amoureux? Finalement, quand mon fils est né, tout s’est plus ou moins placé par soi-même. C’est dur par moments, mais les doutes n’y sont plus. Je crois qu’on n’est jamais prête à devenir mère, on devient mère, tout simplement. Je ne reviendrais en arrière pour rien au monde.» Martine, Sherbrooke.
« Durant les deux derniers mois de ma grossesse, j’ai parlé tous les jours à mon enfant. Chaque soir, je lui racontais ma journée, lui parlais de notre futur, lui racontais l’histoire d’amour de moi et son père, qu’il ne connaitrait pas. C’est lui, en fait, qui m’a aidée à surmonter la peur d’être une mauvaise mère. J’allais accoucher de lui toute seule et je n’avais aucune idée de ce que je devais faire. Mais je le sentais fort, et quand il est né, tout s’est mis en place. Par contre, pour être honnête, rien n’aurait pu me préparer aux défis auxquels je devrais faire face en devenant mère. C’est un rôle d’une force et d’une importance qui dépasse l’entendement. Il faut vraiment le vivre pour comprendre.» Sylvie, St-Lambert.
« J’ai su que j’étais prête à être mère quand j’ai su que j’attendais un enfant, tout simplement. C’est arrivé par hasard, on n’avait pas prévu la grossesse. On a surcompensé dans l’achat de tout en triple, très rapidement, et les 4 derniers mois ont été interminables! On avait tellement hâte qu’elle arrive. Quand le temps est finalement venu, on se sentait parents depuis longtemps déjà. » Mylène et Maxime, Montréal.
« Pour être honnête, je n’étais vraiment pas prête! J’étais très jeune quand ma fille est née et les trois premières années ont été très difficiles. Je l’ai élevée seule, j’étais fatiguée, usée à la corde, confuse et j’avais de la misère à joindre les deux bouts. Mais ce que j’ai aimé, par contre, c’est que dès qu’une vie dépend de toi, ça te pousse à te dépasser. J’ai accompli des choses dont je n’aurais jamais cru être capable, j’ai puisé de l’énergie dans des réserves dont j’ignorais l’existence! C’était dur mais ça m’a transformée. J’aime dire que je suis née en même temps que ma fille! En la mettant au monde, j’ai mise au monde la femme que je suis aujourd’hui. » Laura, Ottawa.
Et vous, chères lectrices qui êtes mères… Avez-vous la réponse magique? À quel moment s’est-il fait le déclic?