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«Demander l'interruption des soins quand la mort est présente...»

Sur le site de veroniquehivon.org du 15 janvier 2013, cette description des plus « tarabiscotées » de l'euthanasie proposée par le gouvernement:

(La députée Véronique Hivon et le député libéral Geoffrey Kelly, débutant la comédie de la Commission « Mourir dans la dignité »)

 

Les patients ne pourront demander l'interruption des soins que «quand la mort est présente», qu'ils sont en fin de vie, atteints d'une maladie incurable et en proie à des souffrances psychologiques ou physiques devant lesquelles la médecine est impuissante.

Dans le cas d'un patient atteint d'alzheimer, un mandataire pourra demander la fin des soins seulement si le patient y a consenti au moment où il était conscient. Ce consentement ne devra pas être antérieur à cinq ans. Aussi, l'imminence du décès devra être évidente, a expliqué Me Ménard. Le Collège de médecins est à réfléchir sur le cadre à établir pour ces pratiques, a ajouté Mme Hivon.
Le rapport propose aussi de réfléchir sur les pratiques de sédation permanente en fin de vie. Les patients devraient être totalement informés de leur condition, des possibilités qui s'offrent à eux, tout cela dans la confidentialité la plus complète

On ne parle pas d'interruption de soins. Ce qui est déjà permis par la loi. Toute personne a déjà le droit de refuser l'acharnement thérapeutique. On parle de tuer par injection létale. Cela n'a rien à voir. Comme on peut le constater, le gouvernement, la ministre Hivon, mélangent expressément les notions d'acharnement thérapeutique et d'euthanasie. Tout faire pour cacher la réalité : tuer des patients, des personnes alzheimers et d'autres catégories, comme en Hollande et en Belgique, suivront.

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