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Épluchette de blé d'Inde de Campagne Québec-Vie

Vous êtes cordialement invités à une épluchette de blé d’Inde de Campagne Québec-Vie !

Évènement sur Facebook>>

Dimanche le 18 août de 12h00 à 15h00 à l’arrière de l’église Saint-Émile (3330 rue Rivier, Montréal, à 10 minutes de marche du métro Joliette).

À l’extérieur, ou à l’intérieur en cas de pluie. Avec invité spécial : Le père René Larochelle.

10$ pour du maïs à volonté, gratuit pour les enfants accompagnés âgés de moins de 14 ans. Café et jus seront servis.

SVP nous laisser savoir par téléphone (514) 344-2686 ou par courriel ([email protected]) si vous pensez venir. À bientôt !

Courte auto-biographie du père René Larochelle: "Après mon cégep, j’ai fait une année de travail dans un quartier pauvre comme travailleur de rue avec une idéologie plus marxiste et aussi une rencontre du Bouddhisme. Pendant cette année j’ai fait une rencontre avec Jean Vanier qui a ouvert la porte en moi pour une conversion au Christ Jésus, à cause de son implication si aimante avec les plus pauvres. Après une retraite de discernement d’un mois, je suis entré comme moine à Saint-Benoit-du-Lac en octobre 1973. Cette vie de prière, d’étude et de travail m’a beaucoup formé à l’écoute de Dieu. À partir de 1983 j’ai fait beaucoup d’accompagnement spirituel. À partir de 1992, plusieurs m’ont demandé pour des fin de semaine de retraite à l’Abbaye sur la prière contemplative, sur la lecture pliée de la Bible, sur le cheminement spirituel. En 2000, un groupe de familles m’a interpelé à partir quelque chose pour les ressourcements spirituels des familles avec leurs enfants. En 2001 nous avons commencé avec l’aide d’une religieuse et d’une grand-mère à accueillir des groupes de familles dans une maisons pour ces ressourcements. J’ai quitté l’Abbaye en octobre 2009 pour me donner plus au ressourcement des familles. Je travaille à mi-temps dans une paroisse et je travaille pour les familles, les groupes de jeunes et les différents groupes de prières."

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Procréer à tout prix

L'INDUSTRIE de la procréation roule à plein régime au Québec : fécondation in vitro et in vivo, ovules et sperme en vente libre, mères porteuses, bébés éprouvettes, embryons congelés, manipulations génétiques de plus en plus sophistiquées où on parviendra à fabriquer des bébés sur commande aux goûts délirants de parents inconscients, etc.

En 2010, le gouvernement du Parti Libéral du Québec avec l'appui du Parti Québécois a posé un geste spectaculaire : sous la très forte pression du milieu artistique ( au Québec, les artistes mènent le gouvernement par le bout du nez ) et de la grande vedette de la télévision, Julie Snyder, Jean Charest et le ministre de la Santé de l'époque Yves Bolduc avaient annoncé au bon peuple, lors d'une spectaculaire conférence de presse où Julie pleurait à chaudes larmes devant les caméras, que la procréation assistée serait maintenant totalement gratuite et ouverte à tout le monde sans aucune balise et sans aucune exception.

En 2013, nous récoltons ce que nous avons semé. Le Québec nage en pleine dérive absolument délirante sur cette question de la vie manipulée artificiellement.

Après une enquête très sérieuse, le Journal de Montréal du 31 juillet 2013, nous informait que la politique « bar ouvert » pour la procréation assistée est un véritable fiasco ; ce ridicule programme gratuit avec la carte soleil coûte annuellement au trésor public 63 millions de dollars et ça n'arrête pas d'augmenter ; TOUTES les femmes en âge de procréer sont admissibles ; les questions déontologiques et éthiques n'existent pas, car le droit sacré de la femme de procréer à n'importe quel prix ne se discute même plus au Québec : femmes en dépression, couples de lesbiennes, femmes immigrantes sans emploi et au statut précaire, femmes qui ont été forcées de placer leurs enfants en foyers d'accueil, femmes mariées à un conjoint qui vit en Afrique, femmes célibataires qui exigent un enfant, femmes de prisonniers incarcérés pour encore 20 ou 25 ans, femmes âgées de 50 et 60 ans en mal de procréer, femmes handicapées et vivant seules, femmes qui purgent des sentences de prison, femmes dépendantes de l'alcool, du jeu et de la drogue, prostituées actives, jeunes étudiantes sous le seuil de la pauvreté, etc.

La course à l'enfantement de style Frankenstein sombre dans le chaos le plus complet au Québec. On se fout éperdument du bien-être de ces pauvres bébés à naître. C'est l'anarchie la plus complète.

Cette situation décadente fait bien l'affaire des cliniques de procréation assistée qui font maintenant fortune grâce à notre gouvernement irresponsable.

Procréer à tout prix n'est pas un droit fondamental. Notre système de santé au Québec tombe en ruines pendant qu'on accepte de dépenser des dizaines de millions pour toutes ces pirouettes et ces diaboliques manipulations de la vie pour faire plaisir à des femmes qui n'ont aucun souci de la morale et de l'éthique.

Cette folie collective sans aucune balise dépasse l'entendement. Cela ressemble beaucoup à tous les épouvantables dérapages de l'avortement où, là aussi, c'est la politique du « bar ouvert » avec la carte soleil.

L'infertilité n'est pas une maladie qui met la santé de la femme en danger. Avoir un enfant n'est pas un droit fondamental. Les sornettes de Julie Snyder et de Céline Dion sur cette question sont ridicules et irrecevables même si notre gouvernement a croulé encore une fois sous la pression de groupes ou de vedettes qui médiatisent gratuitement leur cause et leur lubie sur la place publique.

Les âmes sensibles du bon peuple s'émeuvent très facilement, le gouvernement s'écrase ridiculement et le contribuable doit maintenant payer pour les pots cassés.

Quand on voit ce fiasco humain et cette décadence abyssale, on ne peut que constater la très grande sagesse de l'Église catholique dans le dossier de la transmission de la vie.

Pendant que la société athée, neutre et laïque massacre la vie de façon ignoble et dégradante tout en s'autoproclamant civilisation moderne et très avancée, l'enseignement de l'Église de son côté proclame haut et fort le respect de la vie et la dignité de l'acte de procréer uniquement entre un homme et une femme dans le cadre sacré du mariage chrétien tel que voulu par notre Créateur.

Voilà pourquoi toutes ces folies de procréation assistée sont dénoncées et strictement interdites par l'Église catholique au nom de la DIGNITÉ HUMAINE.

Nous vivons dans un monde où les apprentis sorciers, qu'on qualifie de très grands savants, sont rois et maîtres. Dans nos sociétés où la science se croit tout permis, on a totalement exclu Dieu et la loi naturelle. Les savants se prennent de plus en plus pour des dieux avec leurs spectaculaires réalisations contre nature étalées sur la place publique et applaudies par le bon peuple qui refuse de réfléchir.

Quand on se moque des lois de Dieu, on accouche de terribles débordements où le laxisme et le relativisme font leur œuvre de destruction massive.

La populaire procréation à tout prix nous montre très clairement qu'au Québec, en matière de respect de la vie, nous venons de faire de très grands pas EN ARRIÈRE.

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L’heure du martyre a sonné, il faut s’y préparer

Ce mois-ci, le dernier mois de l’été avant que ne débutent les activités parlementaires et avant que ne reprenne le rythme habituel de nos vies après les vacances, je veux proposer une sorte de lettre ouverte à tous les artisans d’une culture de vie qui constatent qu’il y a de sérieux problèmes dans notre société et qui tentent d’y remédier à leur façon. Je pense surtout à ceux qui ont la charge de contrer la culture de mort (l’euthanasie, l’avortement, les déformations récentes du mariage, l’éclatement de la famille, etc.) dans une perspective de foi – c’est-à-dire au nom de Jésus-Christ.

Les efforts de plusieurs individus et organismes sont très louables, à plusieurs niveaux. Il ne faut pas hésiter à les féliciter pour leur engagement, leur patience, leurs sacrifices envers cette cause. Par contre je vois que domine en ce moment, chez trop de gens parmi nous – et c’est une tentation constante pour nous tous – un certain aveuglement sur l’ampleur du problème et sur les remèdes à y apporter.

D’abord un mot sur l’ampleur du problème. Est-il si difficile d’avouer ce simple fait que nous sommes, au Québec en 2013, en terre païenne ? Que seulement, je dirais, 5% de la population est à proprement dite « chrétienne » selon le cœur de Dieu ? Que même si, en principe, les normes morales sont inscrites dans le cœur même de l’être humain, que cette inscription de nos jours est tellement salie par des mensonges et par des idolâtries puissamment véhiculés par les médias de masse et par le système d’éducation qu’il devient, en réalité, rarissime qu’une personne non pratiquante puisse discerner le bien du mal et agir en conséquence ?

Nous ne pouvons plus prendre pour acquis une vision saine et commune de ce qu’est l’être humain, son bien ultime, sa vocation, sa dignité. S’il existe une vision de l’homme partagée par la majorité de la population, c’est celle d’un homme réduit à une volonté enrobée d’une boule de matière formable ou déformable à souhait. Son but dans la vie est de s’amuser et de mourir sans douleur ! Voilà la vision du monde de plusieurs de nos contemporains. Dégradante et déprimante, cette vision entraîne un surcroît de distractions (alcool, drogue, musiques assourdissantes) pour masquer l’effroi et le manque d’espoir devant une vie sans sens et sans issue.

Alors quel remède apporter ? Tous ceux qui nous lisent savent qu’il n’existe qu’un seul médecin de l’âme, un seul maître pour montrer le chemin du salut à chaque humain et à l’ensemble de la société, et son nom est Jésus. Mais trop d’acteurs pro-vie et pro-famille de nos jours font ce que Pierre tenta de faire ce jour où Jésus annonça qu’il s’en ira à Jérusalem pour être crucifié : ils veulent « protéger » Jésus, protéger l’Église et, au bout du compte, se protéger eux-mêmes – ils ne veulent pas être malmenés.

Et, pour la première fois, [Jésus] leur enseigna qu’il fallait que le Fils de l’homme souffre beaucoup, qu’il soit rejeté par les anciens, les chefs des prêtres et les scribes, qu’il soit tué, et que, trois jours après, il ressuscite. Jésus disait cela ouvertement. Pierre, le prenant à part, se mit à lui faire de vifs reproches. Mais Jésus se retourna et, voyant ses disciples, il interpella vivement Pierre : « Passe derrière moi, Satan ! Tes pensées ne sont pas celles de Dieu, mais celles des hommes. » (Mc 8, 31-33)

Plusieurs acteurs pro-vie et pro-famille pratiquent cette même prudence toute mondaine que Jésus qualifia de « satanique ». Ils jouent au faux politiciens, ils scrutent sondages et opinions pour bien « cibler » leur message. Quand une vérité évangélique fait scandale, malgré leurs efforts, dans un quotidien ou bien à la télé, ils font du damage control, ils cherchent à « réparer les dégâts » causés par ce « dérapage » car, selon ces gestionnaires de l’Évangile, les non-croyants accueilleront toujours les vérités sur la vie, la famille et Dieu avec sérénité et joie si elles sont présentées habilement. Les réactions colériques ou hystériques seraient toujours le résultat d’un manque de jugement de la part du messager.

Je ne suis pas ici pour condamner en bloc tous ceux qui tentent de faire passer le message de l’Évangile sur la vie et la famille dans la paix et la sérénité. Toutefois, l’expérience des évangélisateurs de l’histoire et les faits rapportés dans les Saintes Écritures nous montrent que souvent – très souvent – l’annonce de la vérité sur la vie telle que voulue par Dieu est reçue avec colère, mépris et persécutions multiples et violentes. Pour le prouver, il ne faut qu’un exemple qui récapitule et contient tous les autres : l’exemple de Dieu lui-même qui est mort sur la croix. Voilà où ses « efforts d’évangélisation » l’ont mené ! Nous croyons-nous plus habiles que lui, plus fins connaisseurs de la nature humaine, plus fins psychologues ? Même lui fut rejeté … Serions-nous meilleurs que Celui qui fut rejeté ? Car sa vérité sur la vie et la famille est tellement bouleversante qu’elle dérange terriblement les gens. Quiconque ne dérange pas comme lui et ne se fait pas martyr comme lui ne fait simplement pas le travail voulu par Dieu pour le salut des hommes et de la société.

C’est pourquoi la Croix est au centre de notre vie et c’est pourquoi nous sommes dès aujourd’hui appelés au MARTYRE. Pour ceux qui persistent à faire comme Pierre et à « protéger » Jésus, en empêchant l’Église de souffrir, ils empêchent en fait l’Église de ressusciter. Ils bloquent le relèvement de la société. Ils sont en cela des traitres et non des serviteurs de Jésus.

Eh oui, l’heure du martyre a sonné, il faut s’y préparer; rien de moins fera l’affaire : il n’y a que le Christ pour sauver notre âme et celle de notre société à la dérive.

Pour la Vie !

Georges Buscemi

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Et maintenant c'est au tour des pédophiles — Ils réclament les mêmes droits que les homosexuels

par Gina Miller, traduction CQV

2 août 2013 (Renewamerica.com) — Qui aurait pu prévoir cela? Eh bien, ceux d'entre nous qui voient depuis le début le développement « logique » du mouvement homosexuel radical. Depuis que les activistes homosexuels sont en marche partout, dans notre gouvernement, parmi les militaires, dans les écoles et la société en général, beaucoup d'entre nous ont averti que leur poussée pour obtenir des « droits » spéciaux — en plus de piétiner les libertés d'expression, de religion et d'association de ceux qui s'opposent à eux — conduirait inévitablement à des demandes de la part d'autres groupes de personnes à la sexualité « atypique », comme les pédophiles, pour leur propre affirmation sociétale.

Jack Minor, dans sa chronique intitulée « Les pédophiles veulent les mêmes droits que les homosexuels », a écrit:

En utilisant les mêmes tactiques que celles utilisées par les militants des droits des « gays », les pédophiles ont commencé à chercher un statut similaire, affirmant que leur désir sexuel envers les enfants est une orientation sexuelle aussi valable que celle des hétérosexuels ou des homosexuels. 

Les détracteurs de l'homosexualité ont longtemps soutenu que lorsque l'homosexualité serait considérée comme un simple « mode de vie alternatif » ou une orientation sexuelle parmi d’autres, logiquement rien ne serait hors limite. Les défenseurs des « homosexuels » se sont offensés de cette opinion, insistant sur le fait que cela n'arriverait jamais. Toutefois, des psychiatres commencent maintenant à préconiser la redéfinition de la pédophilie, de la même façon dont l'homosexualité a été redéfinie il y a plusieurs années.

En 1973, l'American Psychiatric Association (APA) a déclassifié la tendance à l'homosexualité de sa liste des désordres mentaux. Un groupe de psychiatres a récemment organisé, avec l’organisme B4UAct, un colloque proposant une nouvelle définition de la pédophilie dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles de santé mentale de l'APA.

B4U-Act appelle pédophiles les « personnes qui ressentent une attirance envers les mineurs. » Le site internet de l'organisme affirme que son but est d’« aider les professionnels de la santé mentale à en apprendre davantage sur l’attirance envers les mineurs et d’examiner les effets des stéréotypes, de la stigmatisation et de la peur. »

En 1998, l'APA a publié un rapport affirmant « que le potentiel négatif » des relations sexuelles d’un adulte avec des enfants a été « exagéré » et que « la grande majorité des hommes et des femmes n'a rapporté aucun effet négatif, au point de vue sexuel, des expériences d'abus sexuels subis dans l'enfance. »

Je ne sais pas comment l'APA en est venue à de telles affirmations absurdes. Les agressions sexuelles durant l'enfance ont bousillé des millions de personnes. C'est un mensonge de la fosse de l'Enfer de dire qu’en fracassant l’innocence fragile d'un enfant d'une façon abominable, dans la « grande majorité » des cas, cela n'a pas d'effets négatifs « sexuels ». Les sévices sexuels durant l'enfance ont de claires et fortes corrélations à de nombreux problèmes, sexuels ou autres, dont les victimes font l’expérience jusque dans l'âge adulte. Certains de ces problèmes, cités par l'American Counseling Association, comprennent :

... des niveaux plus élevés de dépression, la culpabilité, la honte, le blâme, les troubles alimentaires, les préoccupations somatiques, l'anxiété, les modèles dissociatifs, la dépression, le déni, les problèmes sexuels et les problèmes relationnels.

Les victimes d'agressions sexuelles pendant l’enfance peuvent aussi avoir à lutter contre une dépendance à la drogue ou à l'abus d'alcool, contre des tendances suicidaires et peut-être même devenir eux-mêmes des agresseurs. Ceux qui disent que les sévices sexuels pendant l'enfance ne font pas vraiment mal aux enfants, mentent et leurs projets sont suspects.

J'ai lu le site internet de B4U-ACT pour voir de quoi il s'agit. C'est une organisation exonérée d'impôt 501 (c) (3). Le site de B4U-ACT (pourquoi ce nom abrégé et simplifié à l’extrême?) est plutôt répétitif. Son sous-titre est « Vivre dans la vérité et la dignité ». La vérité et la dignité pour qui? Les pédophiles? Que diriez-vous de leurs petites victimes? J'ai cherché partout sur le site une quelconque condamnation des contacts sexuels entre adultes et enfants, mais je n'en ai trouvé aucune.

En changeant le terme d’agresseurs d'enfants en celui, aseptisé, de « personnes attirées par les mineurs, » le gang B4U-ACT essaye de supprimer la répulsion tout à fait justifiée que la société ressent envers les actes pédophiles et leurs auteurs. Ils analysent également la définition de la pédophilie en essayant de mettre les agresseurs d’enfants dans diverses catégories inoffensives pour suggérer que certains d’entre eux n’agiraient jamais sur la base de leur « affection » envers les enfants.

Tiré de leur page intitulée « Principes et perspectives de pratique » :

... Nous voyons les gens attirés par les mineurs comme des êtres humains à part entière, et non comme des criminels dangereux ou « déviants ».

... Nous reconnaissons la stigmatisation sévère à l'encontre de personnes attirées par les mineurs de la part des médias, des politiciens, des fonctionnaires de police, et de certains professionnels de la santé mentale. Nous nous opposons à la perpétuation des stéréotypes faux et à l'usage du langage qui instille la peur dans le public, ne parvient pas à promouvoir la compréhension, et ignore l'humanité des personnes attirées par les mineurs.

... Les fournisseurs ont l'obligation d'offrir et de s'engager dans la poursuite des activités de perfectionnement professionnel et d'éducation sur une base continue afin de promouvoir et de développer une compréhension plus précise des personnes qui sont sexuellement attirées par les mineurs et à améliorer les services pour eux. Ces activités devraient combattre les stéréotypes populaires plutôt que de les renforcer et de présenter la pleine humanité des personnes attirées par les mineurs.

Les auteurs de ce texte défendent les pédophiles. Bien que certaines déclarations sur le site indiquent qu'ils ne veulent pas que les adultes enfreignent la loi, il n'y a aucune condamnation des toujours détestables contacts sexuels entre adultes et enfants. Au lieu de cela, ce groupe cherche à lutter contre les « faux stéréotypes » des prédateurs sexuels d'enfants. Quelle imposture! En dépit de leurs affirmations contraires, oui, les gens qui convoitent les enfants risquent d’agir sur la base de ces « sentiments ».

Le public n'a pas besoin d'être « éduqué » afin de développer une « compréhension » des pédophiles. Nous savons déjà tout ce qu'il faut savoir à leur sujet. Ceux qui passent aux actes font quelque chose d’ignoble, (et, comme pour tous les pécheurs que nous sommes, --rédaction) seule une transformation de leurs esprits par Dieu peut briser la chaîne du mal des sombres péchés qui enlacent leurs âmes (...).

Notre nation marche dans les ténèbres, et il fait plus sombre de minute en minute. Le mouvement homosexuel militant exerce des pressions à travers le pays, nous envoyant dans la gueule la dégénérescence sexuelle, pervertissant l’intelligence et l’esprit de nos enfants à l'école, broyant la signification du mariage, (...). Ne pensez pas une minute que ceux qui pratiquent d'autres actes sexuels désorodonnés ne suivront pas le même plan de bataille que le mouvement homosexuel dans leur quête pour forcer la société à accepter l'inacceptable. La première étape consiste à créer de la sympathie et de la « compréhension » pour ce genre d'actes, et le site internet B4U-ACT fait exactement cela.

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L’Association médicale mondiale s'oppose à l'euthanasie

par Wesley J. Smith, traduit par CQV

Les associations professionnelles médicales du monde s'opposent massivement à l’euthanasie et au suicide assisté. L'Association médicale mondiale (AMM) a réitéré cette année son ferme engagement pour une pratique éthique de la médecine. Voici des extraits de la résolution de l'AMM sur l'euthanasie:

L'euthanasie, c'est-à-dire mettre fin à la vie d'un patient par un acte délibéré, même à sa demande ou à celle de ses proches, est contraire à l'éthique. Cela n'empêche pas le médecin de respecter la volonté du patient de laisser le processus naturel de la mort suivre son cours dans la phase terminale de la maladie.

De la même manière, l'AMM s'oppose au suicide assisté.

Le suicide médicalement assisté est, comme l'euthanasie, contraire à l'éthique et doit être condamné par la profession médicale. Le médecin qui, de manière intentionnelle et délibérée, aide un individu à mettre fin à sa propre vie, agit contrairement à l'éthique. Cependant, le droit de rejeter un traitement médical est un droit fondamental pour le patient et le médecin n'agit pas contrairement à l'éthique même si le respect de ce souhait entraîne la mort du patient.

La prochaine fois que des organisations prônant le suicide assisté, comme Compassion et Choix, prétendront que le monde médical est dans leur camp parce que certains petits organismes en appuient la légalisation, montrez- leur la déclaration de l’AMM. Et aussi celle de l'American Medical Association (AMA):

« L'euthanasie est fondamentalement incompatible avec le rôle du médecin en tant que guérisseur ; l’euthanasie serait difficile, voire impossible à contrôler, et poserait des risques sociétaux graves. »

Et ainsi de suite, encore et encore.

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Pour une culture de Vie en vacances pour 2 semaines

Mes dernièrs vacances étaient plutôt un congé de paternité. Voici mes réelles vacances de deux semaines et je serai de retour le 19 août 2013. Il y aura toujours de nouvelles informations,mais moins nombreuses, pendant ces deux semaines sur le site. À bientôt,

Pour une culture de Vie

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L'apport à la société des déficients intellectuels

Sur le site de Valeurs Actuelles du 1er août 2013:

 

 

 

 Ce n’est pas un handicap comme les autres, il pose des problèmes spécifiques et nous incite à réfléchir sur nous-mêmes et sur la société que nous voulons.

 
Nous n’avons pas besoin des Juifs, où que ce soit, écrivait Hans Frank, le gouverneur général de la Pologne occupée par les nazis, en décembre 1941. Les conséquences de cette déclaration sont connues. Rien ne peut être comparé à la Shoah, la grande “catastrophe” annoncée dans Isaïe (10, 3), mais on peut en tirer la leçon que lorsqu’une société décrète qu’une catégorie de gens est inutile, ces derniers sont en grand danger. Personne ne sait si on aurait sauvé les juifs en criant haut et fort tout ce qu’on leur devait. Mais on ne peut taire aujourd’hui ce que les personnes déficientes intellectuelles apportent à une société évoluée.
 
Comment définir simplement la déficience intellectuelle ? Celle-ci entraîne le besoin d’un soutien pour les activités requérant le fonctionnement normal de l’intelligence humaine. Ce n’est pas un handicap comme les autres. Les progrès techniques font espérer que bien des personnes en situation de handicap gagneront en indépendance (les aveugles verront grâce aux rétines artificielles), mais une personne déficiente intellectuelle aura toujours besoin d’un accompagnement humain qu’aucune aide technique ne pourra remplacer.
 
(...) 
 
Dans une société où tout va vite et où les relations personnelles directes se font rares, les personnes déficientes intellectuelles obligent à écouter, à regarder et à toucher l’autre. Elles nous ancrent dans le domaine du réel. Elles représentent éminemment l’altérité. S’ouvrir à la personne déficiente intellectuelle protège contre toute pensée totalitaire, c’est choisir un modèle de société bienveillant, c’est préférer “la cité de l’amour de l’autre jusqu’au mépris de soi” à “la cité de l’amour de soi jusqu’au mépris de l’autre”.
 
(...)
 
Enfin, les personnes déficientes intellectuelles sont un appel permanent à l’humilité : lequel d’entre nous peut affirmer qu’il est beau, fort et intelligent parce qu’il l’a mérité ? Nous ne sommes responsables que de nos choix. La Bible compare le riche à un chameau cherchant à passer par le trou d’une aiguille. Il ne s’agit pas seulement d’argent, cela vise aussi la suffisance que procure tout sentiment de puissance, y compris celui qu’on tire d’une intelligence brillante.
 
La personne déficiente intellectuelle éprouve au quotidien une des plus grandes pauvretés qui soient : ne pas pouvoir comprendre autant et aussi vite que les autres. Mais pour la société qui se met à son service, elle constitue la source d’une grande richesse.
 
 
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Procréation assistée : malgré l'évidence de dérives dénoncées, le gouvernement est allé de l'avant. Pourquoi?

Dès les débuts du programme de procréation assistée, on a accepté pratiquement toutes les demandes sans trop poser de questions. Pourquoi? Sur le site du Journal La Presse du 15 juillet 2010, cet article d'Ariane Krol :

( À gauche, un livre de Dominique Forget apportant des questions troublantes. Dans une entrevue, l'auteure affirmait : « Jusqu'où nous mèneront les technologies de la procréation assistée? Aussi loin, semble-t-il, que le désir d'enfant saura les pousser, conclut l'auteure. Et le désir d'enfant, ai-je découvert, du moins chez certaines personnes, ne semble pratiquement pas avoir de limites (...) »)

Québec n'est pas seulement le premier État en Amérique du Nord à payer pour les traitements de procréation assistée. Il est l'un de ceux qui offrira l'accès le plus étendu au monde. Une largesse étonnante dans le contexte de nos finances publiques.
 
La loi a été conçue de façon à n'exclure personne, nous a-t-on expliqué au ministère de la Santé. Toutes les femmes en âge de procréer qui sont incapables de concevoir sans l'aide des techniques de reproduction y auront accès. Ça inclut les couples infertiles, mais aussi les femmes seules ou homosexuelles, ainsi que celles qui sont à un âge où la fertilité naturelle diminue de beaucoup.
 
Pour le traitement le plus coûteux, la fameuse fertilisation in vitro (FIV), l'État couvrira trois cycles d'implantation. Et une femme qui a eu un enfant grâce à cette technique et en désire d'autres aura droit à de nouvelles séries de traitements.
 
(...),il est possible d'offrir des traitements à ceux qui souffrent de réels problèmes d'infertilité, sans pour autant tenir un coûteux bar ouvert. Pourquoi ce gouvernement, qui peine à assumer la couverture des soins essentiels, tient-il tant à payer des services qui ne répondent pas à des problèmes médicaux, mais à des situations normales - pas de fécondation possible en l'absence de spermatozoïdes, baisse de fécondité avec l'âge?
 
Ce n'est pas parce qu'un service est couvert par le régime public qu'il doit être offert à toutes celles qui pourraient s'en prévaloir. La RAMQ ne paye pas de bande gastrique aux femmes qui veulent perdre 15 kg. Pourquoi paierait-il une insémination artificielle à celles dont l'absence de géniteur est le seul obstacle à la maternité?
 
(...)
 
Le programme québécois fera sans doute augmenter la natalité. Mais quand donc avons-nous décidé de privilégier ces technologies pour régler nos problèmes de démographie? Et de prendre l'argent dans le réseau de la santé? Jamais. Ce débat-là n'a pas eu lieu. Et à en juger par les réactions, ce n'est pas l'idée du siècle.

Et même si le gouvernement réfléchit actuellement sur la question, parions qu'il n'y aura toujours pas de débat. Quel gouvernement osera mettre sur la table la question de la procréation médicalement assistée pour des partenaires de même sexe, fabriquant ainsi volontairement des orphelins de père ou de mère?

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200 millions de filles seraient manquantes dans le monde par cause d'avortement sélectif...

Sur le site de aleteia.fr du 1er août 2013 (via Famille Chrétienne):

(Evan Grae Davis

 

Les Nations Unies estiment que 200 millions de filles sont "manquantes" aujourd’hui dans le monde, la majorité de l’Inde et de la Chine. Quels sont les modèles culturels et les récits individuels derrière cette statistique choquante ? 
 
 Evan Grae Davis, un Américain qui possède une vaste expérience du monde en développement, a produit un film documentaire qui répond à cette question par la bouche de femmes plongées dans ces cultures et de militants faisant campagne pour elles. Dans cette interview accordée par email à Mercator Net, il a expliqué comment il en est venu à faire faire le film et ce qui doit arriver.
 
 
MercatorNet: C'est un film poignant. Comment en êtes-vous venu à le faire?
 
Evan Grae Davis: J'ai passé ces deux dernières décennies à parcourir le monde pour recueillir des histoires de personnes nécessitant une aide humanitaire,  et faire le point sur le développement des ONG et des organismes sans but lucratif. Pendant tout ce temps, j'ai été témoin de beaucoup d'injustice. J'ai commencé à poser la question : quelles sont les racines culturelles et les mentalités qui permettent de telles violations des droits de l'homme à l'échelle mondiale aujourd'hui ? Je me suis mis à explorer cette question pour faire  un film documentaire. Je me suis rendu avec mon équipe dans neuf pays pour recueillir des histoires pour ce film. Un des pays  que nous avons visités a été l'Inde, dans l'espoir de comprendre comment la soumission et la dévalorisation des femmes pouvaient se justifier par la traditionnelle préférence culturelle pour les fils.
 
Ce que nous avons découvert lors du tournage en Inde au sujet de l'épidémie de “filles manquantes” et des ratios garçons-filles radicalement faussés,  avec pour conséquence les abus et la négligence dont sont victimes les filles, a changé la donne pour nous.
 
Après avoir entendu les statistiques de  l'ONU  estimant à pas moins de 200 millions les « filles manquantes » aujourd’hui dans le monde  à cause du «gendercide » (néologisme anglais désignant le fait de tuer délibérément des personnes en raison de leur genre ndt), nous avons effectué  des recherches  également en Chine, et nous avons été stupéfaits de voir que peu de gens semblaient être conscients de ce qui s’avérait être le plus grand problème des droits de l'homme de notre temps, et certainement la plus grande forme de violence contre les femmes dans le monde aujourd'hui. Il y avait là-bas, semblait-il, très peu de choses sur le sujet. C'est alors que nous avons décidé de consacrer le projet de film à exposer cette histoire inédite,  à éduquer et mobiliser les gens pour mettre fin  au « gendercide » en Inde et en Chine.
 
(...)
En Chine, la politique de l'enfant unique a contribué à l'élimination de millions de filles au cours des dernières décennies. Les fils prennent soin de leurs parents âgés, et les filles quittent leur famille pour se joindre à la famille de leur mari, comme en Inde. Donc, si une famille n'est autorisée à n’avoir qu’un seul enfant, elle est déterminée à identifier le sexe de chaque grossesse et les filles avortent systématiquement les fœtus féminins jusqu'à ce qu'elles portent un fils.
 
Peut-être le témoignage le plus choquant dans votre film est-il celui d'une femme indienne qui a tué huit filles - et semble considérer froidement la question. Vous avez interviewé cette femme personnellement :  avez-vous fini par comprendre comment elle a pu faire ça? Quelle lumière son cas peut-il jeter sur l'ensemble du problème en Inde? 
 
Me trouver debout au bord d'un champ, dans le sud de l'Inde, et écouter une mère partager avec moi comment elle avait personnellement étranglé huit de ses propres petites filles nouveau-nées, a été de loin l'interview la plus choquante et difficile. Elle a partagé cela avec moi d'un ton neutre, souvent souriant ou riant, lorsqu’elle a raconté qu’elle ne pouvait pas se permettre d’élever des filles et faisant de grandes déclarations comme quoi « les femmes ont le pouvoir de donner la vie et le pouvoir de l’enlever."
 
Plus tard dans l'entrevue, elle a partagé une chanson sur sa situation difficile de femme et la douleur d'avoir été  contrainte à un mariage arrangé, dès son plus jeune âge. Elle nous a raconté comment, à l’âge de 15 ans, elle excellait à l'école et nourrissait de grands espoirs pour son avenir, quand il a été décidé qu'elle serait donnée comme deuxième épouse au mari de sa sœur, parce que sa sœur ne pouvait pas avoir d’enfants. Son but dans la vie était de donner naissance à un fils pour son mari.
 
(...)
 
La politique de l'enfant unique en Chine rend la situation un peu différente là-bas, mais les femmes y adhérent-elles dans la même mesure? Avez-vous trouvé des gens qui étaient d’accord avec cette politique ?
 
L'impression que j'ai eu en parlant avec les militants et ceux qui travaillent pour mettre fin à ce gendercide en Chine est que la nature coercitive et oppressive de la politique de l'enfant unique est extrêmement impopulaire parmi les femmes chinoises.
 
Cependant, elles n’ont pratiquement comme seul choix que d’endurer  en silence l'intrusion du gouvernement dans leur vie privée et ont que peu de recours contre la mainmise sur leurs droits reproductifs des responsables de la planification familiale. Celles qui manifestent leur désaccord ou refusent de se soumettre à cette mesure  subissent des châtiments sévères, ainsi que les membres de leur famille.
 
L'Inde est un pays démocratique et religieux, tandis que la Chine, officiellement, ne l'est pas. L'Inde possède donc une meilleure chance de rompre avec cette  horrible guerre faite aux filles? 
 
La religion en Inde n’a un impact sur le gendercide  que dans la mesure où certaines communautés religieuses comme les musulmans et les chrétiens ne pratiquent pas le foeticide et l'infanticide féminins au même niveau que les bouddhistes, les hindous et les sikhs. Cependant, la culture de la préférence patriarcale pour les fils, profondément ancrée,  imprègne l'Inde, et la dévalorisation des femmes reste très répandue indépendamment de la conviction religieuse.
 
(...)
Pour les deux pays, une action gouvernementale est nécessaire mais de différentes manières. La Chine doit mettre fin à sa politique de planification familiale coercitive, alors que le gouvernement de l'Inde doit faire pression pour faire appliquer ses lois existantes contre la dot, la sélection du sexe et l'infanticide.  
 
Vous avez exprimé l'espoir que votre film continuera à inspirer un mouvement mondial pour mettre fin au  gendercide. Quels sont les objectifs spécifiques que doit viser ce mouvement? 
 
Le premier objectif du mouvement est d’augmenter le niveau de sensibilisation au  gendercide dans le monde. Nous encourageons toute personne désirant voir la valeur et de la dignité des filles  restaurée en Inde et en Chine à passer le mot à propos de la question et à propager notre film auprès de vos amis et votre famille, à travers les réseaux sociaux Facebook and Twitter, et en organisant  la projection du film dans vos communautés. Pour en savoir plus sur comment passer le mot ou organiser une projection, reportez-vous au site www.itsagirlmovie.com.
 
Lorsque les gens informés du problème seront plus nombreux, nous espérons les mobiliser pour passer à l’action. Il existe de nombreuses façons de s'impliquer, que ce soit en signant nos pétitions demandant aux leaders mondiaux d’exiger la fin du gendercide en Inde et en Chine, ou en soutenant nos partenaires qui œuvrent sur le terrain pour sauver des filles et défendre les droits des femmes en Inde et en Chine. Encore une fois, les personnes intéressées peuvent en savoir plus sur notre site.
 
A ce jour, nous avons mobilisé près d'un demi-million de personnes à prendre des mesures. Imaginez si nous avions des dizaines de millions  de personnes exigeant des gouvernements de l'Inde et la Chine de promouvoir la justice et l'égalité pour les filles et les femmes qui subissent le gendercide, et exigeant des leaders mondiaux qu’ils rendent des comptes pour cette violation massive des droits de l'homme.
 
Dans une émission de la BBC sur ce thème, un orateur indien a souligné que l'Occident est profondément impliqué dans le gendercide en raison de sa promotion du contrôle de la population en Inde et en Chine - et ailleurs - et l'acceptation de l'avortement comme méthode de contrôle des naissances. N'est-ce pas là un obstacle majeur à tout rôle positif  que la pression politique occidentale pourrait jouer? 

Il est exact que le déséquilibre entre les sexes en Inde, en Chine et dans autres pays d'Asie a été alimenté par la pression des gouvernements occidentaux et des ONG pour le contrôle de la population,  qui dans nombre de cas ont exploité la préférence culturelle  pour les fils pour le « plus grand bien » ”du contrôle des populations.

Et même si les sexes-ratios dans les pays occidentaux ne sont pas aussi extrêmes qu’en Inde ou en Chine, le gendercide  existe  dans tous les pays occidentaux, à des degrés divers. En particulier, des études ont montré que des communautés d’immigrés asiatiques en Occident ont des sex-ratios similaires à ceux de leurs pays d’origine, ce qui indique que le gendercide (et en particulier, la sélection du sexe) peut se produire à un rythme similaire au sein des communautés d’immigrés. (...)
 
www.itsagirlmovie.com
 
Texte original publié par MercatorNet le 30 Juillet 2013.  Traduit avec sa permission, tous les autres droits étant préservés.

 

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Ce que vos enfants peuvent lire à l'école sur l'homoparentalité et l'homosexualité...

Sur le site du magazine Le Libraire du 1er août 2013, pour commencer un lavage de cerveau le plus tôt possible chez les enfants, ces propositions de livres :

(« Tango a deux papas et pourquoi pas? » et « Où est maman? » devrait être le sous-titre...)

 

 

1. Jean a deux mamans - Ophélie Texier

"Mes deux mamans s'aiment comme un papa et une maman." Jean a deux mamans. Une maman ou deux mamans, est-ce vraiment si différent ?

2. Marius - Latifa M. Alaoui et Stéphane Poulin

Le petit Marius, dont les parents sont divorcés, partage son temps entre ses deux familles recomposées. Sa mère vit avec un autre homme, et son père... aussi. Marius raconte son histoire avec beaucoup de naturel et semble bien moins embarrassé par la situation que sa grand-mère ou son institutrice. Avec tact et tendresse, cet album aborde un sujet dont il est toujours délicat de parler aux tout-petits.

3. Ulysse et Alice - Ariane Bertouille et Marie-Claude Favreau

Cette fois-ci, l'oncle Dédé a apporté un cadeau bien spécial : une souris aux longues moustaches expressives. Ulysse n'en croit pas ses yeux. Il est fou de joie ! Mais pour combien de temps ? Pourra-t-il convaincre son chat et ses deux mamans de garder une invitée aussi pleine d'imagination et d'énergie ? Même si toute la richesse du monde tient dans sa diversité, le quotidien de nombreuses familles - si différentes les unes des autres - se ressemble souvent beaucoup.

4. Tango a deux papas et pourquoi pas? - Béatrice Boutignon

Béatrice Boutignon raconte et illustre l’histoire (vraie) de Tango, femelle manchot née il y a quelques années dans le zoo de Central Park, à New York.

Ce poussin a la particularité d’avoir été couvé par deux mâles : Roy et Silo. Les deux manchots, inséparables et amoureux depuis des années ont pu, avec la complicité d’un gardien, couver un oeuf et s’occuper de la petite Tango.

5. La princesse qui n'aimait pas les princes - Alice Brière-Haquet

Les princes de la Terre entière défilèrent un à un pour demander la main de la princesse. Aucun d'entre eux ne lui plaisait jusqu'à ce qu'une jolie fée apparaisse...

Pour les plus grands

1. Philippe avec un grand H - Guillaume Bourgault

« Philippe avait alors fermé les yeux afin d'imaginer Keanu Reeves en train d'embrasser un autre homme. » Frappé de stupeur, Philippe découvre ce dont il se doutait depuis toujours. Il est différent de ses amis. Il est marginal. Il est homosexuel. Comment réagir, quoi dire ou ne pas dire, quelle attitude prendre envers son entourage?

2. À copier 100 fois - Antoine Dole

« Papa m'’a dit 100 fois comment il fallait que je sois. » Et surtout, « pas pédé ». La consigne est claire et quand le narrateur se fait harceler par les gros bras du collège, il n’'a qu’'à se débrouiller tout seul. Heureusement que Sarah est là, qui n'’a pas peur, elle. Pour le baume au cœoeur, c’'est bien. Mais la question reste : comment gagner l'’amour d'’un père qui vous rejette pour ce que vous êtes ?

3. La fille qui rêvait d'embrasser Bonnie Parker - Isabelle Gagnon

Après avoir vu le film Bonnie & Clyde, Forence réalise qu'elle s'imagine embrasser non pas le héros masculin du célèbre duo, mais la belle Bonnie Parker. S'enchaînent alors, pour elle, une vague déferlante de questionnements, d'appréhensions, de confidences et de découvertes.

4. Mon frère, ma princesse - Catherine Zambon

Alyan est un petit garçon. Pourtant il préférerait être une princesse ou une fée, avoir des cheveux longs et des vêtements roses. Sa mère s'inquiète, son père ne voit rien. À l'école, on se moque de lui, on l'insulte, on le frappe. Il essaie de s'échapper en faisant de la magie, mais ça ne marche pas toujours. Seule sa soeur Nina est consciente de son chagrin. Elle est décidée à le défendre envers et contre tous.

Jusqu'où ira-t-elle pour protéger son frère ?

5. Je me marierai avec Anna - Thierry Lenain

Cora est amoureuse d'Anna, sa meilleure copine. Sa mère lui dit qu'une fille ne peut pas se marier avec une fille. Mais Cora s'en fiche pas mal !

6. Philomène m'aime - Jean-Christophe Mazurie

Tout le monde aime Philomène. Quand elle passe sur son vélo, tous les garçons deviennent idiots ! Pourtant, le coeur de Philomène ne bat pour aucun garçon, mais pour qui alors ? Une histoire sur le droit d'aimer sans avoir peur du regard des autres.

7. Tous les garçons et les filles - Jérôme Lambert

Avec Clément, c’est différent. Dès le premier jour, Julien décide que ce garçon calme et silencieux, assis en classe devant lui, avec sa grande nuque et son col de chemise impeccable, sera son meilleur ami. Un ami dont il se surprend à écrire le nom en tout petit sur ses classeurs...

8. F comme garçon - Isabelle Rossignol

La narratrice est inséparable de Nina, sa cousine et meilleure amie. Un jour, lors de son déménagement, elle la serre dans ses bras et ressent une vive attirance. Elle comprend alors qu'elle est amoureuse de son amie. Mais ces sentiments ne sont pas réciproques.

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