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La crise de la foi et de la vie exige des bergers francs et non des « chiens muets », déclare Mgr Aillet


Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne.

Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : KTOTV/YouTube

9 février 2024, Bayonne, France (LifeSiteNews) — Un évêque français connu pour son orthodoxie a fait l’éloge des évêques américains en tant qu’exemples de franc-parler face à une profonde crise de foi au sein de l’Église, une crise qui, selon lui, rappelle la grande apostasie qui sera observée à l’âge de l’Antéchrist.

Dans une récente entrevue accordée au National Catholic Register, Mgr Marc Aillet, évêque du diocèse de Bayonne, Oloron et Lescar, dans le sud-ouest de la France, a déclaré qu’aujourd’hui « la vérité elle-même est menacée, et avec elle l’humanité tout entière ».

Insistant sur la nécessité pour les évêques de s’exprimer en tant que véritables bergers des âmes et déplorant le silence de tant d’évêques français sur les questions de foi, Mgr Aillet a fait l’éloge des évêques américains qui élèvent leur voix pour défendre des questions telles que le caractère sacré de la vie et qui sont présents à la Marche pour la vie qui a lieu chaque année à Washington, D.C.

« Lorsque je me suis rendu aux États-Unis, j’ai constaté que les paroisses avaient des services spécifiquement consacrés à la dignité de la vie et qu’un nombre important d’évêques participaient à chaque Marche pour la vie, ce qui n’est pas le cas en France ou ailleurs ».

« On peut dire que beaucoup de leurs évêques ne sont pas des “chiens muets” », a ajouté Mgr Aillet. Exprimant son espoir de voir les évêques français suivre leur exemple, il a poursuivi : « peut-être peuvent-ils nous encourager, nous les évêques français, à aboyer un peu plus fort ».

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Le Canada de Trudeau se classe troisième sur la liste des pays occidentaux persécutant les chrétiens


Justin Trudeau.

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pete Baklinski/LifeSiteNews

(LifeSiteNews) — Le Canada est troisième sur la liste des nations occidentales persécutant les chrétiens, sous la direction du premier ministre Justin Trudeau.

Selon un rapport publié le 31 janvier par le Center for Religious Liberty du Family Research Council (FRC), le Canada se classe au troisième rang des pays occidentaux qui persécutent les chrétiens pour leur foi.

« Ces histoires sont alarmantes et montrent les diverses façons dont les gouvernements occidentaux — qui devraient être les porte-drapeaux de la défense de la liberté de religion et d’expression — sapent le droit humain fondamental à la liberté religieuse », a déclaré Arielle Del Turco, auteur du rapport et directrice du Center for Religious Liberty du FRC, dans un communiqué de presse.

« Ce rapport sert d’avertissement sur la façon dont les libertés fondamentales peuvent s’éroder même dans les démocraties occidentales », a-t-elle poursuivi. « La liberté de religion doit être protégée dans notre pays afin que nous puissions également défendre la liberté de religion dans le monde entier et défendre les personnes persécutées ».

Le rapport, intitulé « Free to Believe ? The Intensifying Intolerance Toward Christians in the West » [Libres de croire ? L’intolérance croissante à l’égard des chrétiens en Occident], documente 168 incidents de persécution ou de discrimination injuste à l’encontre de chrétiens dans 16 pays entre 2019 et 2023.

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Une petite fille sauvée par la première boîte à bébé Safe Haven du Missouri quelques heures après sa naissance


Boîte à bébé Safe Haven.

Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Facebook

13 février 2024, Saint-Louis (LifeSiteNews) — Le Missouri a récemment enregistré son premier bébé sauvé par l’installation de sa première boîte à bébés Safe Haven, où une petite fille a été remise en toute sécurité à une caserne de pompiers et a rapidement reçu des soins.

Les boîtes à bébés « Refuge sûr » sont conçues pour permettre aux mères de déposer leurs bébés en toute sécurité et dans l’anonymat dans un endroit sûr où ils seront pris en charge et placés dans une famille consentante. Elles sont équipées de chauffage, de climatisation et d’alarmes silencieuses pour garantir que le bébé soit rapidement pris en charge après son placement. Une fois le bébé déposé, la boîte se verrouille à l’extérieur afin que les passants ne puissent pas le prendre ou lui faire du mal.

Bien que les détails exacts varient d’un endroit à l’autre, chaque État dispose d’une loi sur les lieux de refuge en vertu de laquelle les mères qui ont décidé qu’elles ne voulaient pas ou ne pouvaient pas élever leur bébé peuvent le laisser dans certains lieux où travaillent des professionnels qualifiés, tels que les casernes de pompiers, les hôpitaux ou les commissariats de police, sans craindre de sanctions légales et sans qu’on ne pose de questions.

Live Action rapporte qu’une petite fille âgée de quelques heures seulement a récemment été remise à la caserne de pompiers de Mehlville, où la première et jusqu’à présent unique « Boîte à bébé » du Missouri a été installée en août dernier. L’enfant a rapidement été emmenée dans un hôpital voisin, où elle a été jugée en bonne santé.

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Une vidéo hilarante montre à quel point il est facile de démystifier la propagande transgenre


Socrate.

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Tloutakos/Wikimedia Commons

5 février 2024 (LifeSiteNews) — Une vidéo publiée sur X (Twitter) par Lee Harris, le commentateur de GB News, dans laquelle un enseignant interroge calmement un élève sur les raisons pour lesquelles il pense que J.K. Rowling est « transphobe », est devenue virale, accumulant 36 millions de vues et 36 000 rediffusions. La vidéo dure un peu plus de quatre minutes et mérite qu’on s’y attarde :

L’élève demande au professeur s’il aime toujours le travail de Rowling « malgré ses opinions intolérantes ».

« Mais soyons précis. Définissons les “opinions intolérantes”. Quelles sont les opinions intolérantes ? », répond l’enseignant. « Il s’agit d’une expérience de pensée. Je ne vais pas dire ce qui est bien ou mal ou ce qu’il faut penser. L’objectif est d’apprendre à penser, pas de savoir ce qu’il faut penser. Oui, lorsque vous dites “intolérantes”, vous partez de la conclusion suivante : “étant donné ses opinions intolérantes”. Commençons donc par demander si elle a des opinions intolérantes. Ainsi, lorsque vous dites “opinions intolérantes”... »

L’élève : « J’ai entendu dire qu’elle était extrêmement transphobe ».

Enseignant : « Vous avez entendu, et alors ? Pouvez-vous me donner un exemple ? »

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Elle a perdu quatre frères et sœurs à cause de l'avortement — aujourd'hui, elle est pro-vie

Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : studentsforlife/Instagram

Lors de la Marche pour la Vie à Washington, le mois dernier, une femme a défilé en tenant une pancarte sur laquelle on pouvait lire : « Quatre de mes frères et sœurs ont été avortés. Choisissez la vie ». Elle s'est arrêtée pour raconter son histoire à Students for Life of America, et celle-ci a été partagée sur les comptes de médias sociaux du groupe pro-vie.

Élevée dans un milieu "pro-choix, pro-avortement", elle a expliqué qu'elle avait dû réfléchir à la question de l’avortement provoqué lorsqu'elle a appris que chacun de ses parents avait perdu deux enfants par avortement à des moments différents.

« Je marche pour mes quatre frères et sœurs », explique-t-elle, « parce qu'il n'y a pas de tombe. Il n'y a aucun endroit où déposer des fleurs. Ils n'ont pas de nom, pas de date de naissance, pas de date de décès. Ils n'ont donc pas eu de voix ».

Elle a déclaré qu'à l'adolescence, son père avait deux amies qui s'étaient fait avorter. Il lui en a parlé lorsqu'elle avait une vingtaine d'années et ils ont eu une conversation franche sur l'avortement. Elle a ajouté qu'il lui avait également parlé des deux avortements que sa propre mère avait subis. Le premier avortement a eu lieu avant sa conception et a été pratiqué parce que sa mère estimait à l'époque qu'elle « n'était pas prête » à avoir un enfant. Le second avortement a été pratiqué entre trois et six mois après que sa mère l'ait mise au monde.

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La loi néerlandaise autorisant l'euthanasie des enfants entre en vigueur

Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik

Le 1er février, une loi néerlandaise autorisant l'euthanasie des enfants en phase terminale est entrée en vigueur. Cette loi légalise l'euthanasie des enfants âgés de 1 à 12 ans qui sont considérés comme « souffrant désespérément et de manière insupportable ».

Auparavant, le pays autorisait l'euthanasie des enfants de plus de 12 ans, ainsi que des nourrissons de moins d'un an qui pouvaient être tués si leurs parents et leurs médecins étaient d'accord et s'ils étaient atteints d'une maladie qualifiée de terminale ou s'ils étaient confrontés à de graves souffrances. En 2023, les législateurs ont adopté une extension controversée des directives d'éligibilité pour inclure les enfants de tous âges.

Selon les articles, les nouvelles directives stipulent que « l'opinion de l'enfant doit être recherchée autant que possible d'une manière appropriée à la compréhension et à l'âge de l'enfant », bien que les parents puissent décider de faire euthanasier leur enfant en collaboration avec un médecin même si l'enfant ne veut pas ou ne peut pas donner son consentement.

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La transition du genre ne règle aucun problème chez les mineurs, selon une méta-étude

Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Freepik

Quoi qu’en dise la gauche, les interventions hormonales et chirurgicales sur les transgenres ne règlent pas les problèmes de santé mentale des enfants souffrant de dysphorie de genre, révèle une nouvelle évaluation de la littérature scientifique disponible sur le sujet. L’analyse d’une soixantaine d’études par l’American College of Pediatricians l’affirme carrément : « Il n’existe pas d’études à long terme démontrant les avantages ni d’études évaluant les risques associés aux interventions médicales et chirurgicales pratiquées sur ces adolescents. Il n’existe aucune preuve à long terme que les problèmes de santé mentale diminuent ou s’atténuent après une thérapie d’affirmation du genre. » Avant comme après la thérapie, les jeunes concernés, dont l’« identité de genre » ne correspondrait pas au sexe dit « biologique », présentent un risque plus élevé de psychopathologie que ceux ne souffrant pas de cette discordance. Le traitement ne change rien à leur mal-être, en somme…

L’étude note une véritable explosion du nombre de jeunes qui se disent eux-mêmes « bisexuels, gays ou en questionnement », en se fondant sur les statistiques des Centers for Disease Control : le pourcentage est passé de 11 % en 2015 à plus du double (25 %) en 2021. Parmi ceux-ci, les mineurs diagnostiqués comme souffrant de « dysphorie de genre » sont ceux qui présentent des taux plus élevés de problèmes de santé mentale, allant jusqu’aux tendances suicidaires. L’étude Adolescent Brain Cognitive Development Study a étudié les cas de plus de 11 000 enfants de 9 et 10 ans…

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Notre entretien sur Radio X

Je vous présente aujourd'hui le reportage de Théovox sur la conférence de presse d'Art Lucier, ce chrétien dont l'organisme Harvest Ministries s'est vu refuser l'accès au centre des congrès de Québec au motif qu'il était pro-vie. Harvest Ministries intente actuellement un procès contre le gouvernement du Québec pour bris de contrat et atteinte à la liberté d'expression et de religion, procès piloté par nos amis du Centre de justice pour les libertés constitutionnelles.

Aussi, j'ai pour vous une courte vidéo issu de mon séjour à Washington D. C. pour la Marche annuelle pour la vie, marche qui attire vers la capitale américaine près de 100,000 personnes par année. Cette vidéo a pour but d'expliquer l'importance de Marcher pour la vie et d'encourager votre assistance à une première Marche pour la vie à Québec, le samedi, 1er juin 2024 (rassemblement à partir de 11h00 devant l'Assemblée Nationale).

Finalement, je partage avec vous un entretien que j'ai eu avec Jean-Francis Blais et Camille Bergeron, animateurs à Radio X de Québec. J'aimerais remercier ces derniers d'avoir poser de bonnes questions et de m'avoir permis de m'exprimer librement sur leur émission. 



Souper du 35e anniversaire de Campagne Québec-Vie

35 ans d’existence ça se fête ! Cela fait depuis 1989 que Campagne Québec-Vie se bat pour la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle. Venez fêter en famille avec nous, en toute simplicité : nous tiendrons un souper pour notre 35e anniversaire le samedi 24 février 2024 à la salle de l’église Saint-Ambroise à Montréal (porte latérale située sur la rue de Normandville, église située au 1215 rue Beaubien E, Montréal, QC H2S 1T8) avec nul autre que le président de la Coalition nationale pour la vie, Jeff Gunnarson, et moi-même, Georges Buscemi, président du CQV ainsi que le Dr Paul Saba, récipiendaire cette année du prix Gilles Grondin, pour activiste québécois pro-vie exceptionnel. Soyez des nôtres ! Les portes ouvrent à partir de 16 h 30, le souper commence vers 17 h 30.

Les billets sont de 30 $ chacun (15 $ pour enfants 6-12 et 0 $ pour 5 et moins) et peuvent être achetés en ligne ou par téléphone : 1-855-996-2686 ou (514) 344-2686.

Colloque le samedi, 2 mars à Lévis — Préparer la société chrétienne de demain


Un colloque est organisé pour le samedi, 2 mars à Lévis, de 9 h 30 à 12 h 30. Trois intervenants montreront trois facettes d’une future société chrétienne qui protège la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle : Le Dr Jean-Claude Dupuis, historien, présentera l’économiste catholique François-Albert Angers (1909-2003), Arpad Nagy, directeur des opérations politiques de CQV parlera de son voyage en Hongrie, ce pays de l’Europe centrale qui défend la culture chrétienne et la vie, de la conception à la mort naturelle. Finalement, Georges Buscemi, président de CQV parlera de la façon dont la première Marche pour la vie à Québec pourrait servir de bougie d’allumage pour une culture de vie ici au Québec et au Canada.

Où : Auditorium de l’école Sainte-Famille, 10425 bd Guillaume-Couture, Lévis, QC G6V 9R6.

Heure : 9 h 30, après la messe du 1er samedi du mois (qui débute à 8 h 15, avec chapelet à 7 h 20)

Café et collation seront servis. Vous êtes invité à donner ce que vous pouvez à l’entrée.

Pour la Vie,


Georges Buscemi
Président de Campagne Québec-Vie

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Un projet de loi de l’Illinois condamnerait les parents qui tentent d’empêcher l’avortement d’une mineure

Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Adobe Stock

Un nouveau projet de loi présenté dans l’Illinois suscite l’inquiétude des groupes de défense des droits des parents.

Le projet de loi HB4876, présenté par la députée Anne Stava-Murray, vise à modifier la loi sur le signalement des enfants maltraités et négligés afin d’inclure les enfants à qui l’on refuse les « soins médicaux nécessaires » dans la catégorie des victimes de maltraitance. Si le fait de se voir refuser des soins de santé légitimes constitue en fait une forme de maltraitance, Mme Stava-Murray a inclus l’avortement et les « soins d’affirmation du genre » dans la catégorie des « soins médicaux nécessaires », de sorte que si un parent refuse que son enfant subisse un avortement, il peut être accusé de maltraitance.

Elle réaffirme également que les enfants peuvent consentir à obtenir un avortement ou des « soins d’affirmation du genre » sans avoir besoin de l’approbation d’un parent.

Modifie la loi sur le signalement des enfants maltraités et négligés. Prévoit que l’expression « enfant maltraité » désigne un enfant dont le parent ou un membre de la famille immédiate, ou toute personne responsable du bien-être de l’enfant, ou toute personne résidant dans la même maison que l’enfant, ou un amant du parent de l’enfant refuse à l’enfant l’accès aux soins médicaux nécessaires, y compris, mais sans s’y limiter, les services de soins primaires, les services d’avortement ou les services d’affirmation du genre. Modifie la loi sur le consentement des mineurs aux soins de santé. Précise que le consentement à la prestation de services d’avortement et de services d’affirmation du genre exécuté par un mineur n’est pas annulable en raison de sa minorité. Prévoit qu’un professionnel de la santé fournissant des services d’avortement et des services d’affirmation du genre n’encourt pas de responsabilité civile ou pénale pour défaut d’obtention d’un consentement valable ou de sanction professionnelle pour défaut d’obtention d’un consentement valable si le professionnel de la santé s’est appuyé en toute bonne foi sur les déclarations faites par la personne mineure.

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Un sondage montre que la majorité des Albertains sont pour le consentement parental aux mineures souhaitant avorter

Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock

5 février 2024 (LifeSiteNews) — La majorité des Albertains sont en faveur du consentement parental pour les mineures qui veulent se faire avorter, selon les résultats d’un sondage téléphonique mené auprès de milliers de citoyens la fin de semaine dernière.

L’enquête « Position des Albertains sur le consentement parental », publiée aujourd’hui par Recherche publique nationale Canada (NPRC), a révélé que 62 % des Albertains ont exprimé [leur appui à] « une certaine forme de consentement parental ou de notification pour les mineures cherchant à se faire avorter ».

Le sondage téléphonique a été réalisé le 1er février par réponse vocale interactive et a obtenu 6 047 réponses d’Albertains à la question suivante : « Les droits parentaux devraient-ils inclure le consentement parental pour un enfant mineur cherchant à se faire avorter ? » Le taux de réponse à l’enquête a été de 16,2 % de toutes les personnes appelées.

52 % des personnes interrogées ont répondu qu’elles étaient favorables à la fois à la notification et au consentement des parents, tandis que 10 % d’entre elles ont déclaré qu’elles souhaitaient être informées, mais que le consentement n’était pas nécessaire. Au total, 30 % des personnes interrogées ne pensaient pas que le consentement parental ou la notification pour l’avortement d’une mineure étaient nécessaires.

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