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10 raisons pour une femme d’être pro-vie

prolife_women_810_500_55_s_c1.jpgDes participantes à la manifestation nationale contre Planned Parenthood, sur le site de construction de la filiale de Planned Parenthood à Washington, DC, le 10 octobre 2015.

Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

4 novembre 2015 – Dans notre société, on attend de toute femme qu’elle soit en faveur de l’avortement. Vous êtes presque un paria si vous confessez vos penchants pro-vie et, si vous êtes pro-vie, on vous traite souvent d’antiféministe. Voilà l’un des plus gros mensonges que vous ne pourriez jamais entendre. Quiconque se préoccupe de la femme, croit en elle ou en est une devrait sans aucun doute être contre l’avortement. Voilà pourquoi…

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1. L’avortement est une insulte à toutes les femmes 

Suggérer à une femme d’avoir recours à l’avortement est dénigrant. Dire à une femme qu’elle est trop jeune ou qu’elle ne peut pas gérer à la fois ses études et son enfant ou bien son travail et son enfant, c’est lui dire qu’elle n’est pas à la hauteur, qu’elle n’est pas assez forte ou intelligente.

« Pourquoi le ‘féminisme’ devrait-il décider que nous sommes trop irresponsables ou trop fainéantes ou pas assez préparées pour accueillir un enfant ? », demande Kristen Hatten, vice-présidente de New Wave Feminists. « Que nous devrions avorter ou attendre du gouvernement qu’il paie pour diriger nos vies ? C’est tout le contraire du féminisme, tout le contraire de la responsabilisation. »

2. La grossesse est valorisante, contrairement à l’avortement

Vous êtes résolument féministe quand vous portez votre enfant et donnez la vie alors que vous faites vos études, que vous travaillez ou que vous poursuivez votre carrière. De plus, il est gratifiant de se voir réussir quand tout le monde autour de vous vous assure que vous allez échouer. Vous pouvez aimer et prendre soin de votre enfant tout en poursuivant d’autres objectifs. La souffrance ou la mort de vos enfants ne sont pas une fatalité pour assurer votre succès dans d’autres domaines de votre vie.

3. Les femmes ne sont pas des objets sexuels

Voilà l’un des principaux thèmes auxquels s’attèle le vrai féminisme. L’avortement fait plus que jamais des femmes des objets sexuels.

« L’avortement, c’est la misogynie en action. Rien ne participe plus à l’objectification de la femme par l’homme, à laquelle coopère (malheureusement) celle-ci, que l’avortement », selon Mme Hatten. «  Les hommes qui traitent les femmes comme des objets, qu’ils soient des violeurs, des pédophiles ou de simples goujats, ce sont eux qui profitent le plus de l’avortement. C’est en persuadant la femme qu’il est libérateur pour elle de soumettre sa fécondité aux désirs d’un autre qu’on la laisse se faire utiliser à des fins sexuelles, puis rejeter. En la persuadant aussi qu’il est libérateur de tuer son propre enfant. Les femmes n’avortent pas parce qu’elles sont libérées, bien au contraire : elles sont contraintes, piégées, désemparées, apeurées et humiliées. »

Pour preuve, rappelons les vidéos de Live Action tournées en caméra cachée qui montraient des employés du Planning Familial américain (Planned Parenthood) prêts à et désireux de travailler avec des trafiquants sexuels à des buts lucratifs. Ajoutons que l’organisme s’est fait prendre à couvrir des cas d’abus sexuels dans le but de faire de l’argent grâce à des avortements. L’avortement permet à des femmes et à des jeunes filles d’être utilisées et abusées, et les fonds qui découlent de ce commerce sont tels que les victimes d’abus ne peuvent trouver aucune sécurité entre les murs d’une clinique d’avortement. Un juge a même déclaré que l’avortement faisait de l’inceste une pratique acceptable.

4. Les premières féministes étaient pro-vie

Considérez les premiers pas du mouvement féministe et vous verrez que les vraies féministes étaient contre l’avortement. De Susan B. Anthony à Elizabeth Cady Stanton, les premières féministes voulaient que les femmes soient traitées en toute égalité, tout en restant ce qu’elles sont.

En effet, la première femme diplômée d’études de médecine aux Etats-Unis était le Dr. Elizabeth Backwell. Elle avait hésité à choisir cette voie, mais elle voulait tant en finir avec « la destruction de la maternité » par l’avortement et apporter aux femmes de réels soins qu’elle a consacré sa vie à la médecine.

La femme et l’homme sont différents, mais égaux. La femme n’a pas à abandonner sa fécondité, sa capacité à engendrer une nouvelle vie ou à renoncer à donner la vie à ses enfants pour être traitée à l’égal de l’homme. La fécondité n’est pas une maladie. Les premières féministes avaient compris cela.

5. L’avortement est une discrimination

Les femmes se sont battues plusieurs dizaines d’années contre les inégalités, et elles se battent encore aujourd’hui à plusieurs égards. Pourquoi donc laisser cette discrimination toucher aussi nos enfants ? Les enfants non nés ont les mêmes droits que tous les autres êtres humains, quelle que soit leur situation : garçon, fille, en bonne santé ou avec un mauvais diagnostic prénatal. Le mouvement pro-vie ne dit pas que le fœtus est plus important que la femme, mais que le fœtus est aussi une personne et que, à ce titre, il mérite d’être traité comme tel. Être pro-vie, c’est se battre pour les droits de tous nos enfants, comme les femmes d’hier se sont battues pour que nous ayons les mêmes droits que les hommes.

6. Les femmes sont indépendantes et nous avons travaillé dur pour cette indépendance

Planned Parenthood veut que les femmes croient qu’elles ne peuvent pas réussir sans lui et sans ses services d’avortement, mais les femmes sont bien plus fortes que ne voudrait nous le faire croire Planned Parenthood. Rien ne nous lie à Planned Parenthood ni à l’avortement, surtout qu’il y a littéralement des milliers d’autres établissements de santé qui ne cherchent pas à faire de l’argent sur notre dos avec des avortements. Planned Parenthood donne des sommes folles à des politiciens tels que le président Barack Obama pour qu’ils continuent de marteler le message selon lequel cet organisme est la seule option des femmes.

«  (…) Toutes ces femmes qui ne jurent que par Planned Parenthood me rendent perplexe », déclare Mme Hatten. « Si vous êtes vraiment féministe, tout organisme qui vous dit ‘Vous ne pouvez pas vous en sortir sans nous’ devrait vraiment vous rendre méfiante et furieuse. En réalité, toutes ces ‘féministes’ répondent : « C’est vrai, nous ne pouvons rien sans eux ! ». C’est vraiment tout le contraire du féminisme. »

7. L’avortement a un lien avec la santé mentale

On ne compte plus les femmes qui souffrent du syndrome post-avortement. Il s’agit d’une forme de stress post-traumatique qui présente les symptômes de la culpabilité, de l’angoisse, de la dépression, et même des pensées suicidaires. Il marque tout le reste de la vie d’une femme et touche sa relation avec son conjoint et ses enfants nés ou à naître. D’après Jill Marquis, mère ayant déjà avorté, l’avortement entraîne « une dévastation dont vous n’auriez jamais pu avoir idée ». Son avortement, subi avant d’enfanter, l’a éloignée de ses enfants et lui a laissé un sentiment de vide. Si l’avortement est censé être la solution aux problèmes des femmes, pourquoi cela rend-il la vie pénible à nombre d’entre elles ?

8. Les associations pro-vie apportent un réel soutien

Saviez-vous que Planned Parenthood ne vous propose aucun soutien si vous choisissez de laisser la vie à votre bébé ? Ils n’offrent aucun programme pour aider les femmes en situation difficile qui veulent choisir la vie. C’est parce que Planned Parenthood n’a pas vocation à vous proposer sans rien demander en retour ; ils ont réalisé un bénéfice de 127 millions de dollars en 2014 seulement. En cas de naissance de votre bébé, ils ne font aucun bénéfice parce qu’ils ne pratiquent pas d’accouchements et qu’ils ne fournissent pas de services d’adoption.

A l’inverse, les centres pro-vie, en plus d’aider les femmes à réaliser leurs projets, les récompensent quand ils les voient travailler dur, prendre des cours d’éducation parentale ou remonter la pente. Certains les aident même à éponger leurs dettes, à se diplômer et à commencer une nouvelle vie loin des problèmes qui les tenaillaient auparavant, afin qu’elles puissent avancer et devenir des femmes autonomes qui ne dépendront plus jamais de quiconque.

9. L’avortement peut entraîner le cancer du sein

L’American College of Pediatricians a récemment évoqué une étude de 2013 qui établissait un lien entre l’avortement et le cancer du sein. Plus une femme subit d’avortements, plus elle s’expose au risque de développer un cancer du sein. Des études de différents pays ont conclu qu’un avortement provoqué avant 32 semaines de gestation affecte la maturation des cellules du sein, ce qui augmente les risques de cancer. L’American College of Pediatricians déclare que « Bien que largement ignorée de la communauté médicale dans son ensemble, cette information sur les risques encourus mérite d’être largement diffusée parmi les adolescentes qui pourraient à l’avenir envisager une IVG. »

Chaque année, les femmes dépensent des millions pour la prévention, la lutte et la collecte de fonds contre le cancer du sein, mais leurs médecins ne les informent pas que l’avortement peut accroître les risques d’en être atteinte un jour.

10. L’avortement, une menace pour la santé de la femme

Les femmes qui se rendent dans des cliniques d’avortement n’ont aucune idée des risques réels auxquels elles s’exposent, parce que, comme pour le cancer du sein, personne ne prend la peine de les leur exposer. Depuis que l’avortement est devenu légal, des centaines de femmes sont mortes pendant l’opération. Selon Life Dynamics, personne n’a connaissance de cette information parce que les défenseurs de l’avortement sont très actifs pour maquiller le fait que le décès est dû à un avortement. De plus, certains Etats n’enregistrent même pas les données sur les décès liés aux avortements. Cependant, elles sont nombreuses les victimes qui ne sont plus là pour témoigner, toutes ces femmes qui pensaient que l’avortement était sûr et qui ont perdu la vie à cause de cette procédure.

En plus du décès, les autres risques liés à l’avortement incluent des infections (de bénignes à fatales, et qui peuvent engendrer des douleurs chroniques), la perforation de l’utérus, des embolies et des hémorragies. On ment aux femmes tous les jours, et il est temps que nous prenions les choses en main en hommage à celles qui ont perdu la vie.

Les femmes n’ont pas besoin de l’avortement. Pour les femmes abusées dans leur relation de couple, pour celles qui sont à l’université, qui travaillent, qui ont des difficultés financières, qui ont été violées, qui ont des problèmes de santé, l’avortement n’est une solution pour aucune d’elles. Ce n’est qu’un moyen de masquer les réels problèmes auxquels les femmes et les couples font face et c’est un moyen pour des organismes tels que Planned Parenthood de faire de l’argent en exploitant ces difficultés. Au lieu de proposer des ressources pratiques pour aider les nouvelles mères, les défenseurs de l’avortement préfèrent avorter le bébé, ce qui entraîne des problèmes d’un tout autre genre pour les femmes et n’arrange en rien leurs problèmes antérieurs.

« Nous devons nous libérer de l’idée que nous avons besoin de l’avortement », déclare Mme Hatten. « Il est difficile pour moi de comprendre comment les gens qui se font appeler féministes pensent sérieusement que, si on ne prend pas notre petite pilule rose de notre petit emballage rose et qu’on n’a pas le choix de faire évacuer nos bébés, on n’est pas vraiment libres. »

Les femmes devraient être pro-vie. L’avortement n’est pas un droit pour lequel nous devrions nous battre, c’est un outil qui contrôle les femmes et notre fertilité, et nous devrions le combattre. Aucune femme ne devrait penser que l’avortement est son seul choix, parce que ce n’est pas un choix du tout.



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