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Exemple d'un diocèse français soutenant les manifestations pour la Vie!

Le diocèse de Belley-Ars soutient une manifestation pour la Vie. Cela fait rêver! Imaginer que dans tous les diocèses, il y ait un tel appui, un tel mouvement d'Église pour les plus pauvres! Quelle Joie et quel message pourrions transmettre à nos dirigeants québécois dont pas un seul n'ose se prononcer pour les droits de l'enfant à naître! Voici le texte que l'on trouve sur le site du diocèse de Belley-Ars:

Devant le drame de l’avortement et l’isolement de plus en plus de femmes enceintes, nous n’avons plus le droit de nous taire, mais notre action ne portera du fruit que si elle est vécue dans la dignité et dans l’unité.

C’est dans la mesure où nous marcherons dans un esprit de témoignage gratuit de respect envers toute vie humaine que notre démarche sera réellement féconde. Par l’engagement de chaque marcheur, elle peut aider à renouveler ainsi toutes initiatives pour la vie (caritatives, sociales, politiques). Par la dignité, le sérieux et l’unité, elle est un témoignage et une dynamique qui peut toucher les personnes de bonne volonté pour bâtir concrètement une société juste et ouverte à la vie.

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Le Pape soutient les marches et manifestations pour la Vie!

Via le site du Salon Beige, ou directement en cliquant ici, vous pouvez accéder à cette excellente nouvelle: le Pape appuie les manifestations pour la Vie!

"Ce message, émanant directement du Nonce apostolique, à la demande de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, précise que « tout le monde sait le prix que l’Église catholique attache à la vie humaine et l’estime qu’elle nourrit pour ceux qui prennent sa défense par des moyens légitimes, comme le Saint-Père l’a affirmé dans le message qu’il a fait transmettre à l’occasion de la Marche pour la vie du 23 janvier dernier ».

« Ce que le Pape a dit alors vaut aussi pour les autres actions de ce genre, quels que soient les organisateurs, sans multiplier les messages pontificaux ou même les rencontres avec des personnalités du Saint-Siège ou des Représentants pontificaux. La doctrine de l’Eglise et les paroles du Saint-Père à ce propos sont claires et souvent réitérées. C’est avec les évêques diocésains qu’il convient d’entretenir un dialogue et une collaboration à ce sujet. »

Campagne Québec-Vie est favorable à ce dialogue pour être plus efficace dans sa lutte pour la défense de l'enfant à naître.

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Ne pas révéler le sexe des enfants à naître pour éviter des avortements... au Canada!

Le magazine le Point apporte cette nouvelle:

"Il faudrait interdire aux médecins de révéler le sexe de l'enfant à naître avant la 30e semaine de grossesse, afin d'éviter des avortements de foetus féminins, fréquents dans certains groupes d'immigrés asiatiques, a proposé lundi un important journal médical canadien.

Certes, le foeticide en fonction du sexe "touche des millions d'individus en Inde et en Chine", alors qu'il est beaucoup plus rare en Amérique du Nord, mais "ce n'est pas une raison pour l'ignorer", écrit le rédacteur en chef du Journal de l'Association médicale canadienne (CMAJ), le Dr Rajendra Kale.

Il cite des recherches confirmant que ce genre de sélection existe au Canada dans les communautés d'origine indienne, chinoise, coréenne, vietnamienne et philippine.

Après une échographie, "de nombreux couples qui ont deux filles et pas de fils se débarrassent sélectivement de foetus féminins jusqu'à ce qu'ils soient sûrs que leur troisième enfant est un garçon", écrit le médecin né à Bombay."

(...)

"Interrogé par l'AFP, le Dr Kale a estimé le nombre d'avortements au Canada motivés par le sexe du foetus à "quelques centaines par an".

L'interdiction de révéler le sexe du foetus avant la 30e semaine de grossesse, moment où un avortement légal est pratiquement impossible, "est un prix modeste à payer pour sauver des milliers de filles au Canada", souligne le médecin, qui ne réclame pas une loi mais une décision de tous les "collèges" provinciaux, organismes professionnels des praticiens.

"Si le Canada est incapable de contrôler cette pratique répugnante, quel espoir peut-on avoir en Inde et en Chine?", a-t-il dit à l'AFP, insistant sur le fait que l'information sur le sexe du foetus est "médicalement sans importance"."

(il faut noter que l'avortement légal est fait après la 30e semaine de grossesse est tout à fait légal au Canada, contrairement aux affirmations du Dr Kale)

Mais que font les féministes québécoises???

"Pour Alexia Conradi, présidente de la Fédération des Femmes du Québec, "la sélection selon le sexe est une pratique inacceptable".

"Mais, ajoute-t-elle, il faut se demander si le fait de ne pas donner l'information est une bonne chose quand ce genre de question est posé par les conservateurs aux Etats-Unis et au Canada dans le but de faire tranquillement reculer le droit à l'avortement".

Est-ce que le "droit" de tuer les enfants à naître est plus importante que la défense de l'égalité homme-femme pour la Fédération des Femmes du Québec? Quand l'idéologie passe avant le bien des personnes que l'on est censé défendre...

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82 parlementaires français s'opposent au "mariage" homosexuel et à l'adoption d'enfants par les partenaires "Gais"

Il faut saluer le courage de ses députés qui manifestent leur opposition à ces atteintes aux droits de l'enfant. Voici la lettre demandant aux députés d'adhérer au manifeste:

Chères collègues, chers collègues,

Nous vous proposons d'adhérer à l'ENTENTE PARLEMENTAIRE et à son MANIFESTE « pour la défense du droit fondamental de l'enfant d'être accueilli et de s'épanouir dans une famille composée d'un père et d'une mère ».

Les problèmes de Société — et notamment le « mariage et l'adoption homosexuels » — seront au coeur des élections de 2012.

Pour certains, le déni de la différence sexuelle, du sens de la procréation et de la filiation, laissent entendre que les sentiments et le désir d'avoir un enfant seraient suffisants pour devenir parent. Rappelons que « le mariage civil ne relève pas que du domaine sentimental mais du Droit. Les règles qu'il prévoit, n'ont d'autre vocation que de garantir l'environnement le plus stable possible pour la croissance de l'enfant. C'est la raison pour laquelle le mariage interdit la polygamie, l'union entre personnes de la même famille, ou encore pose une question d'âge pour les époux ». C'est ce que consacre l'article 12 de la Convention européenne des droits de l'homme qui stipule que « l'homme et la femme ont le droit de se marier « à partir de l'âge nubile ».

Prenons garde, sous prétexte de lutter contre une soi-disant discrimination entre adultes, d'en créer une, bien réelle, entre les enfants, entre ceux qui auraient le droit de grandir auprès d''un père et d'une mère et ceux qui ne le pourraient pas.

Déjà en 2007, ces problèmes étaient au coeur du débat politique et nous avions été 315 députés et sénateurs à adhérer à l'ENTENTE PARLEMENTAIRE et à son MANIFESTE, soutenus par les associations familiales, par les représentants des trois religions monothéistes, par de nombreux cercles scientifiques, médicaux, philosophiques, sociologiques et anthropologiques, par le collectif « Maires pour l'enfance » (11 699 maires) et par le collectif « Professionnels et Associations du monde de l'enfance ».

 LE MANIFESTE:

 

Manifeste pour la défense du droit fondamental de l’enfant d’être accueilli et de s’épanouir dans une famille composée d’un père et d’une mère

Le mariage et l’adoption d’enfants par deux personnes du même sexe sont déjà au cœur du débat politique. Les députés et sénateurs ayant adhéré à l’Entente s’opposent à ces revendications dans l’intérêt supérieur de l’enfant.

Il s'agit d'un choix de société capital.

Le droit « à » l’enfant qui relève d’un désir d’adulte certes légitime ne doit en aucun cas passer avant le droit « de » l’enfant. Celui-ci demeure une personne à part entière et son existence ne peut pas répondre à la simple réalisation d’un droit au bénéfice d’un adulte.

Le déni de différence sexuelle véhiculé par la théorie du « genre », le déni du sens de la procréation et de la filiation laissent entendre que le désir d’avoir un enfant serait suffisant pour devenir parent. Les partisans de l’adoption par des couples homosexuels soulignent que l’aspect perturbant pour les enfants d’une telle situation n’a jamais été démontré. Notons que le principe de précaution si souvent invoqué est ici curieusement absent alors que c’est un enfant qui est en jeu. D’autre part, il y a un certain paradoxe à prôner la parité en tous lieux et à ne pas l’affirmer dans un cadre parental et éducatif.

La promotion - au profit de partenaires du même sexe - de l’adoption, du mariage qui ne peut que déboucher sur la possibilité d’adopter, de la procréation médicalement assistée, de la gestation pour autrui est en contradiction avec les principes universels d’indisponibilité et de non-patrimonialité du corps humain (Code civil, droit de la famille, Convention internationale de droits de l’enfant).

L’objectif de la loi ne peut être que l’intérêt général et non l’intérêt particulier d’une communauté. Il n’y a donc pas lieu de légiférer ici.

Enfin, il nous paraît légitime de dire qu’un enfant, quelles que soient les conditions de sa naissance, demeure le fruit de l’union d’un homme et d’une femme et que de ce fait, il a vocation à vivre avec cette femme et cet homme auteurs de ses jours et, qu’à défaut, le cadre dans lequel il se développera doit ressembler le plus possible aux pré-requis à toute naissance.

Nous pouvons comprendre la souffrance de personnes qui n’ont pas d’enfant mais il ne nous paraît pas conforme à l’intérêt de l’enfant de permettre que sa filiation ne soit pas basée sur l’altérité sexuelle des parents. Cela en effet l’exposerait à des difficultés d’identification et de structuration de sa personnalité comme le souligne la grande majorité des pédopsychiatres.

Coordonnateurs de l'Entente : Jean-Marc NESME, député de Saône-et-Loire

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La joie des parents

Le dernier article du Dr Nadia Gagnier paru dans le journal Le Droit, parle des joies et peines des parents. Elle conclue ainsi:

"Finalement, je crois qu'être parent est le rôle le plus difficile, le plus important et le plus beau que quelqu'un puisse avoir dans sa vie.

Il s'agit de procurer chaleur, amour et sécurité à un petit être, pour qu'il devienne un adulte responsable et épanoui. C'est un rôle qui nous ramène constamment au fait que nous ne sommes que de simples humains, car aucun parent n'est parfait. C'est le défi de l'encadrer pour le protéger et lui apprendre à vivre en société, tout en permettant à sa personnalité unique d'émerger et de le laisser faire éventuellement ses propres choix. C'est penser un peu moins à soi pour veiller au bien-être d'un autre..."

Les parents ont besoin du soutien et de la reconnaissance de leur rôle indispensable dans notre société. Tout ce qui tend à banaliser et modifier la notion de couple, de famille, de parent, vient attaquer cette base essentielle de la société. Pour le bien des enfants, travaillons à ce que soit respecté leurs droits, dont les premiers, vivre avoir un papa et une maman...

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Le ruban rose a besoin d'un bon nettoyage...

L'une des campagnes des plus visible est celle du ruban rose. Le Devoir du 16 janvier 2011 laisse la parole à la cinéaste Léa Pool:

«Je n'en revenais pas de constater combien un objet aussi minuscule pouvait receler de mystères et de mensonges», se souvient la réalisatrice d'Anne Trister. Par exemple, les liens étroits — et parfois incestueux — qu'entretiennent des organismes charitables aux allures de multinationales avec l'industrie cosmétique et pharmaceutique laissent perplexe. «Le manque de coordination entre les différentes entités de recherche sur le cancer du sein est également flagrant. Cela donne lieu à de la redite.» 

L'industrie cosmétique et pharmaceutique a besoin d'une enquête très serré sur, notamment, la composition de ces produits.

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Ginette Leblanc ne recevra pas d'aide financière pour son combat pour la légalisation du suicide assisté

C'est une excellente nouvelle que relate le journal Le Nouvelliste du 13 janvier 2011. Vos taxes et impôts ne serviront pas à financer ce combat pour la légalisation du suicide assisté:

"Jeudi, le Comité de révision de la Commission des services juridiques lui a fait parvenir une lettre selon laquelle elle n'aura pas droit à une aide financière pour payer ses frais.

On sait que Me René Duval, du cabinet trifluvien Duval, Lauzon, Ménard, a accepté de porter la cause de Mme Leblanc pro bono, c'est-à-dire gratuitement, devant la plus haute cour du pays. Toutefois, certains frais associés de nature administrative sont inévitables, même si l'avocat ne reçoit pas d'honoraires. 

Le Comité de révision explique dès les premiers paragraphes que «le recours envisagé par la demanderesse a manifestement très peu de chances de succès. En effet, la constitutionnalité de l'article 241-b du Code criminel a déjà été contestée.

La Cour suprême du Canada a, le 30 septembre 1993, rendu une décision confirmant la constitutionnalité de cette disposition législative. Le Comité n'a donc d'autre choix que de conclure que l'état du droit fait en sorte que la constitutionnalité de l'article 241-b du Code criminel est établie par le plus haut tribunal du pays et qu'il revient au législateur d'en changer s'il le juge à propos.»

La Comité ajoute que le service demandé par Mme Leblanc «n'est pas nommément couvert par la Loi sur l'aide juridique et sur la prestation de certains autres service juridiques».

Il rejette donc la demande en réitérant qu'il «y a manifestement très peu de chance de succès et que, en conséquence, l'affaire ou le recours n'apparaît pas fondé»."

Espérons que Mme Leblanc rencontrera une équipe de soins palliatifs qui saura la rassurer sur les soins qui lui seront apportés dans ses derniers moments.

Espérons aussi que son avocat cessera de vouloir défendre cette cause immorale. La journaliste Brigitte Trahan et Maître René Duval semblent particulièrement tenir à cette cause, au point que l'avocat ne reçoit aucun honoraire. Ils expliquent leur plaidoirie dans cet article de Brigitte Trahan:

"L'avocat qui plaide sa cause pro bono, Me René Duval du cabinet Duval, Lauzon, Ménard de Trois-Rivières, vient de déposer aux procureurs généraux du Canada et du Québec un avis d'intention de soulever l'inconstitutionnalité de l'alinéa 241-b du Code criminel. Rappelons que cet article de loi criminalise l'aide au suicide au Canada.

Le débat sur cette question a déjà été fait en Cour suprême du Canada, en 1993, dans la célèbre cause de Sue Rodriguez."

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Les "mariages" de partenaires de même sexe sont déclarés nuls pour les étrangers

Le Devoir du 13 janvier rapporte cette nouvelle:

"Ottawa — Le sort de milliers de couples de même sexe venus se marier au Canada pour profiter de la légalité de cette union au pays semble soudainement incertain, alors qu'un avocat du gouvernement défend qu'une telle alliance n'est légale que s'il elle l'est dans l'État de résidence des ressortissants. L'onde de choc a été instantanée; l'opposition accuse le gouvernement de Stephen Harper de rouvrir, en catimini, le débat sur le mariage gai.

C'est la demande de divorce d'un couple de lesbiennes venues de l'étranger se marier à Toronto en 2005 qui est à l'origine de la crise. Les deux femmes, depuis séparées, se battent maintenant devant la Cour supérieure de l'Ontario afin de dissoudre leur union, car le mariage de même sexe n'est pas reconnu par les juridictions de leur lieu de résidence (la Floride et l'Angleterre). Or, le ministère de la Justice du Canada ne veut pas lui non plus reconnaître cette alliance, pourtant accordée en sol canadien."

Les pays étrangers, la majorité, qui ont conservé leur  bon sens et refusé d'instituer un "mariage" pour les partenaires de même sexe, sauront-ils ramener le Canada vers la raison?

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Sur l'éducation au Québec

Le journal de Montréal du 12 janvier 2011 publie cette chronique sur les problèmes majeurs de notre système d'éducation dont ceux-ci: les enfants roi et le manque de culture. À lire.

Les enfants rois sont les victimes d'un manque d'autorité destructeur pour la construction de leur personnalité.

Le déni des classiques, de l'héritage des humanités gréco-latines a appauvri considérablement la pensée québécoise. Nous avons troqué la vision ample pour le pragmatisme à courte vue, échangé le regard de l'aigle pour l'utilitarisme de la fourmi.  Mathieu Bock Côté écrit:

Il s'agit d'un héritage des années 1970. La gauche radicale de l'époque détestait l'école. Elle l'imaginait au service des bourgeois. Elle détestait aussi la culture humaniste. Trop élitiste ! Elle se disait contre-culturelle. Elle était simplement contre la culture."  

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Sur un cas de "mariage" de partenaires homosexuels

Le journal Le Devoir du 12 janvier 2012 nous informe de ce cas spécial de partenaires homosexuels ne pouvant obtenir le divorce puisque leur mariage est nul.

"Ottawa - La position du gouvernement fédéral dans une cause de divorce en Ontario remet en question le droit au mariage pour les conjoints de même sexe, selon l'opposition libérale.  

La cause est celle de deux lesbiennes étrangères qui se sont mariées au Canada et qui tentent, aujourd'hui, de divorcer ici.
 
Or, selon un article du Globe and Mail, Ottawa plaide que le divorce n'est pas permis aux deux femmes. Étant étrangères et habitant des juridictions où le mariage entre conjoints de même sexe n'est pas reconnu, leur mariage canadien serait nul, selon les avocats du gouvernement. Pas de mariage, donc pas de divorce." 
 

De toute façon, le terme mariage désigne une association de choses qui peuvent se combiner entre elles, le mariage de couleurs étant le plus connu. Le mariage d'un homme et d'une femme permet un assemblage sexuel grâce à la complémentarité des sexes qui a pour résultat la vie. C'est l'évidence. Et la liaison de partenaires homosexuels sans complémentarité sexuelle ne peut entrer dans cette définition. La France a inventé le "pacs" plutôt que de détourner le sens du mot mariage...

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