Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : NDML
Quelle n’est pas la douleur d’une famille quand elle apprend que son bébé tant attendu est atteint de nombreuses malformations, et même de trisomie 18 ; comble d’ignominie, les médecins leur proposent d’éliminer l’enfant à naître, comme si cela allait arranger quoi que ce soit. C’est ce qui est arrivé à Frédéric et Aurélie qui attendait une petite fille, eux qui avaient déjà deux enfants, mais ils ont refusé la proposition insensée, préférant accueillir la petite enfant, Azélie, et lui laisser le peu de temps qui lui restait à vivre. L’idée d’accepter cet avortement n’a même pas effleuré l’esprit des parents, c’est une question qu’ils avaient résolue depuis longtemps, avant de se marier : ils accueilleraient un enfant handicapé s’il devait leur advenir.
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