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Projet de loi 52 sur l'euthanasie : la manipulation médiatique se poursuit

(Le Dr Mengele, patron des euthanasistes...)

(Photo : wikimédia sans copyright)

Que ce soit dans le Devoir du 23 mai ou le Journal de Montréal, on se réjouit de la grande démarche « démocratique » qui vient d’avoir lieu. On n’aurait pas tordu de bras de députés pour qu’ils votent contre leur conscience, à l’unanimité, pour le retour de projet loi permettant le crime de l’euthanasie. On a respecté également le droit de parole des spécialistes et organismes qui se sont majoritairement prononcés contre l’euthanasie à la commission « Mourir dans la Dignité ». Ils ont pu faire sortir des mots de leur bouche autant qu’ils le voulaient, comme le pourront les députés opposés au projet de loi, qui n’ont pas eu la liberté de le faire tomber alors que la loi et la tradition parlementaire leur reconnaissaient ce droit. C’était avant la ligne de parti du Parti libéral du Québec. Le parti qui vous laisse parler, du moment qu’on vous a dictatorialement enlevé le pouvoir qui vous revenait de droit de changer les choses…

On reconnaît l’immense talent de la Ministre Hivon, dont le projet de loi portera le nom, qui par ses sourires, laissait couler au fond du gouffre de l’indifférence toute l’argumentation des médecins spécialistes en fin de vie et les organismes luttant contre le suicide, les personnes les mieux placées pour discuter de l’euthanasie.

C’est ainsi qu’elle a participé à une mission en Belgique où le président de la commission de contrôle des euthanasies en Belgique l’a rassurée sur les dangers inexistants d’une pente glissante. Les balises règlent tout. Ce même président est actuellement poursuivi en justice pour avoir euthanasié des patients sans avoir suivi ses propres balises et sans même avoir averti les famille.

Et le professeur et chef d'un service de soins intensifs en Belgique réclame qu'on légalise l’euthanasie sans consentement des patients, euthanasies les plus nombreuses en Belgique de son propre aveu, même si l’on ne prend pas la peine de faire un rapport pour indiquer qu’on se fout des balises ou qu’on les a suivies à la lettre, puisque le patient ne peut plus témoigner que ce ne fut pas le cas…

Depuis le début au Québec, il n’y a eu qu’un rapport de force entre des missionnaires de l’euthanasie et des gens qui ne savaient pas encore qu’on avait besoin d’eux pour laisser l’image d’une démarche démocratique.

Et les médias se réjouissent de « l’unanimité » parlementaire, du bon esprit des députés qui travaillent main dans la main, peu importe que plusieurs de ces mains soient liées serrées à ne plus pouvoir bouger, de la grande démarche démocratique consistant à laisser parler et faire passer l’euthanasie.

Il faudrait que les partisans d’une culture de vie cesse la bonasserie de prêter de bonnes intentions. Quand un adversaire vous parle avec un sourire aimable de tuer les personnes qui consentent à l’être, la colère peut être la réaction la plus charitable…

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