Enfant à naître de 23 semaines -- Shutterstock
- Considérant que bon an, mal an, une vingtaine de femmes enceintes sont envoyées aux États-Unis aux frais des contribuables du Québec pour commettre un avortement au-delà de 24 semaines de grossesse ;
- Considérant que souvent, ces bébés ainsi que leurs mères sont en parfaite santé physique ;
- Considérant que dernièrement, le gouvernement du Québec a exprimé sa volonté de rapatrier au Québec la pratique odieuse de ces avortements tardifs, souvent réalisés sur des bébés en santé.
- Considérant que l’avortement direct n’est pas nécessaire pour sauver la vie d’une femme enceinte et qu’il est d’autant plus dangereux quand il est tardif ;
- Considérant que la science démontre que la vie humaine commence dès la conception;
- Considérant que la vie humaine innocente est sacrée depuis la conception jusqu’à la mort naturelle;
Nous soussignés demandons au gouvernement de François Legault, premier ministre du Québec, de ne pas rapatrier l’odieuse pratique des avortements tardifs au Québec, que cette pratique continue ou non aux États-Unis.