Il y a des vies qui semblent être des échecs complets. C'est d'une grande tristesse de contempler ces existences amères, semble-t-il absurdes. On peut penser aux grandes figures stériles du féminisme, Simone de Beauvoir, Benoite Groult, ou, pour ce qui est des Québécois, à Lise Payette bien sûr... Sur le site du journal Le Devoir du 3 mai 2013, elle écrit:
Je finirai bien par mourir. C’est inévitable. Mais tant que je saurai écrire, que je saurai penser, vous serez bien obligés de m’endurer.
Mon souhait le plus fort serait que le moment venu, je puisse mourir sans souffrance, au moment choisi…
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