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La Suède : pays totalitaire qui sépare les enfants des parents...

Ces parents Suédois viennent de se faire retirer de nouveau la garde de leur enfant, en cour d'appel de Suède, révoquant une décision d'une cour inférieure. Leur seul crime : avoir fait l'école à la maison. Aujourd'hui, Annie et Christer n'ont plus aucun droit sur leur enfant.Voici un reportage paru sur le site wordpress.com du 13 décembre 2010, il y a deux ans de cela, sur cette histoire:

(Dominic et sa mère Annie Johansson)

En 2008, les citoyens suédois Annie et Christer Johansson décident de déménager en Inde, le pays d’origine d’Annie. En attendant le grand jour du départ, ils choisissent l’instruction à domicile pour leur fils, afin de lui épargner les perturbations liées à un changement d’école, et aussi parce que Dominic leur a dit qu’il était très stressé à l’école du quartier.
 
Le home-schooling est légal en Suède. Le directeur de l’école de Dominic donne tout naturellement son accord pour superviser l’enseignement de Dominic et accepte de fournir des livres et divers matériels aux parents. Mais la situation change mystérieusement. Quand les parents viennent chercher les livres, le directeur refuse, et dit que Dominic doit aller à l’école. Les services sociaux exigent même que les Johansson paient une amende de 250 couronnes (environ 28 euros) pour chaque jour où Dominic ne va pas à l’école. Les parents refusent, parce qu’ils savent qu’ils ne font rien d’illégal, et continuent d’instruire leur fils à la maison, comme ils avaient prévu de le faire.
 
Le jour du déménagement en juin 2009, alors qu’ils sont dans l’avion qui s’apprête à décoller pour l’Inde, et donc que la famille quitte la Suède définitivement, la police empêche l’avion de décoller, un véritable commando fait irruption et enlève Dominic. Dominic, traumatisé, vomit. Au poste de police, sa mère s’évanouit, et personne ne l’aide.
 
Les parents ne sont pas condamnés – puisque, rappelons-le, ils ne font rien d’illégal… – , mais on leur refuse le droit d’engager leur propre avocat. Malgré de nombreux appels et plaintes de la part des parents et d’associations de home-schooling internationales auprès des services sociaux, du gouvernement, de ministres, etc, le gouvernement suédois décide de retirer la garde de Dominic à ses parents : ils n’ont le droit de le voir que pendant 1 h toutes les 6 semaines…
 Au bout de plusieurs mois, il est même dit à la mère que si elle ne cessait pas d’avoir quelques larmes lors des visites à son fils, le temps et la fréquence des visites seraient réduits. Aujourd’hui, environ 1 an et demi plus tard. La situation n’a toujours pas changé.
 
Selon la Home School Defense League Association, basée aux Etats-Unis, le « virus anti home-schooling » s’empare maintenant du reste de l’Europe, après avoir gravement sévi en Allemagne. Selon les politiciens suédois qui s’opposent à l’instruction à domicile, cette méthode d’enseignement est à prohiber parce qu’elle « favorise la création de dangereuses sociétés parallèles », ce qui est « contre l’unité d’une société multiculturelle ».

Michael Farris, président de l’association ParentsRights.org, chargée de faire respecter les Droits de l’Enfant auprès des Nations Unies, conclut : « toute nation qui restreint sévèrement la capacité des parents à choisir des formes d’éducation alternatives (incluant l’enseignement à domicile) au nom de l’unité nationale, ne peut pas s’appeler une nation libre. La liberté  nécessite qu’un individu puisse avoir le choix de penser différemment des programmes établis par les dirigeants d’une nation. La liberté de l’éducation est la pierre angulaire de la liberté de penser et de la conscience ».
 

Pour plus de détails, vous pouvez consultez l'article (en anglais) publié par LifeSitenews du 12 décembre 2012.

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