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La « Grande Noirceur » fut plus lumineuse que la petite « révolution tranquille »...

Le mythe de la « Grande noirceur » répandu par les auto-proclamés enfants-martyrs de cette époque, Jacques Godbout et Jacques Hébert, entre autres, tombe en lambeaux. De plus en plus d'historiens et économistes apportent les preuves que la situation québécoise s'améliorait plus rapidement avant la « révolution tranquille » qui a endetté le Québec et entraîné la déchéance du système de santé, du système d'éducation et de l'entretien des infra-structures d'une ville comme Montréal! Sur le site de Newswire.ca du 15 janvier 2013:

 

 

(Il est reconnu maintenant que Duplessis a fait mieux pour l'économie et l'instruction, entre autres, au Québec, que ses successeurs, à commencer par l'orgueilleux Jean Lesage)

 

  

La plupart des historiens prétendent que le Québec a connu une période sombre durant la « Grande Noirceur ». Pourtant, les données statistiques de l'époque contredisent cette interprétation. Loin de connaître le déclin relatif et le retard croissant suggérés par les livres d'histoire, le Québec a plutôt vécu une période de « Grand rattrapage » économique et social de 1945 à 1960. C'est ce que montre Vincent Geloso, candidat au doctorat en histoire économique à la London School of Economics, dans une publication qu'il signe aujourd'hui avec l'Institut économique de Montréal (IEDM).

Au chapitre de l'éducation supérieure par exemple, pour chaque tranche de 100 Ontariens qui possèdent un diplôme universitaire, seulement 71 Québécois en détiennent un en 1951. Dix ans de « Grande Noirceur » plus tard, cette proportion passe à 85. Durant la « Révolution tranquille », le Québec recommence à perdre du terrain et ce chiffre baisse à 78 en 1981. Les plus récentes données disponibles indiquent que ce ratio est maintenant de 80.

De plus, la croissance économique durant les années d'après-guerre est elle aussi caractérisée par un grand rattrapage. En effet, l'écart entre le revenu personnel disponible par habitant du Québec par rapport à celui du reste du Canada a été réduit de 8,8 points de pourcentage de 1945 à 1960, mais seulement de 3,7 points additionnels de 1960 à 1975.

« L'instauration d'un État plus interventionniste à partir des années 1960 n'aura donc pas accéléré le rattrapage du Québec. Au mieux, on observe que le progrès entamé des années plus tôt par rapport aux autres provinces se poursuit à un rythme un peu plus lent. Au pire, on voit s'effriter des gains comme pour l'éducation supérieure », conclut M. Geloso.

 

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