Aux Philippines, un journaliste tué pour sa défense de la culture de la vie
Sur le site de l'agence de presse zenit.org du 11 mai 2012:
(Nestor Libaton)
Laissez un commentaireROME, vendredi 11 mai 2012 (ZENIT.org) – Un journaliste catholique a été tué par balles le 8 mai dernier, dans la ville de Mati, sur l’ile de Mindanao, aux Philippines : Nestor Libaton, 45 ans, père de 4 enfants, était engagé en faveur de la culture de la vie et dans les questions liées au développement de l’île.
Le journaliste travaillait à la radio catholique DXHM de Mati, connue aussi sous le nom de Radio de la Vérité, qui fait partie du réseau des radios soutenues par l’Eglise.
L'Eglise a exprimé sa détermination à ne pas se laisser « réduire au silence », rapporte l'agence vaticane Fides.
Nestor Libaton est le quatrième journaliste à avoir été assassiné depuis le début de l’année dans ce pays considéré comme l’un des plus dangereux pour la presse.
Des tireurs non identifiés l'ont attaqué, alors qu'il circulait à moto sur une route, a précisé le chef de la police régionale. Les mobiles de l'agression ne sont pas encore connus, a ajouté la police, mais pourraient être liés à son travail.
« L’Eglise catholique est bouleversée et Mgr Jose Palma, président de la Conférence épiscopale des Philippines, s’exprimant à Radio Veritas, a condamné l’épisode et invité les autorités à élucider le cas le plus vite possible », rapporte la même source.
Le P. Francis Lucas, secrétaire exécutif de la Commission pour les communications sociales de la Conférence épiscopale, a confié à l’agence : « Nous sommes secoués et attristés suite au meurtre de Libaton. Ils ont frappé une personne honnête, un innocent, marié et père de quatre enfants. Nous condamnons la violence et demandons que justice soit faite. »
L’Eglise aux Philippines a déclaré en ce sens qu’elle continuerait à « annoncer l’Evangile » et ne se laisserait pas « réduire au silence », confirmant sa détermination à poursuivre sa « bataille culturelle » pour la sauvegarde des valeurs telles que la vérité, la justice, les droits humains.
Mise au point concernant l'article "L'archevêque de Montréal participe à une messe pro-vie" paru le 11 mai 2012
Et maintenant que faisons-nous?

« Vous imaginez bien que les femmes qui travaillaient avec moi à la clinique n’étaient pas anormales ou sans sentiments. Nous étions juste entraînées dans une entreprise sanglante et déshumanisante, chacune pour ses propres raisons. Que ce soit pour justifier une ancienne affaire juridique (comme c’était mon cas), où pour justifier un avortement subi auparavant (comme c’était le cas pour beaucoup), ou pour n’importe quelle autre raison, nous essayions juste de faire face – et si nous n’avions pas pu rire des situations, je crois que nous aurions perdu la tête. Ce n’est pas facile d’essayer d’embrouiller une conscience qui ne veut pas rester endormie. » (McCORVEY, Norma. L’affaire Jane Roe, histoire d’une manipulation, éd. De L’Homme Nouveau, Paris, 2008, p.94).
Ce témoignage nous rappelle celui de soldats nazis racontant les rires déments, la perte de raison de leurs confrères devant l’inimaginable, les tas de corps nus des personnes sacrifiés à l’eugénisme d’état. Les expériences sont semblables. Les sacs de poubelles emplis d’enfants démembrés ne doivent pas être réjouissants à voir, sauf pour de véritables possédés…
Les mères au foyer désavantagées par le droit du Québec
Sur le site du journal La Presse du 13 mai 2012, cette nouvelle:
Laissez un commentaireLes mères au foyer sont désavantagées par le droit social et le droit privé au Québec, montre une étude.
«On a parlé des mères au foyer lors de l'implantation des garderies subventionnées, mais il y a beaucoup d'autres cas», explique Dominique Barsalou, qui a fait l'étude dans le cadre de sa maîtrise. «Par exemple, les allocations familiales sont deux fois moins importantes à partir du deuxième enfant. Ailleurs dans le monde, ce n'est pas nécessairement le cas. Or, les mères au foyer ont tendance à avoir plus d'enfants.»
N'y a-t-il pas des économies d'échelle quand on a plusieurs enfants? «Ce qui est le plus dommageable, c'est la perte de revenus à long terme, l'impact sur la RRQ. Pour ça, il n'y a pas d'économies d'échelle, parce que les pertes financières augmentent à partir du deuxième enfant.»
Le droit privé est aussi défavorable aux mères au foyer. «Au Québec, on est les champions des enfants hors mariage, dit Me Barsalou. Or, les femmes qui ne sont pas mariées sont désavantagées pour le partage du patrimoine familial en cas de séparation.»
Même les femmes au foyer mariées ne sont pas aussi bien protégées au Québec qu'ailleurs au pays. «Ici, on hésite à accorder une pension alimentaire pour la mère, dit Me Barsalou. Sur le plan des mesures sociales, le Québec est très favorable aux femmes, mais pour le droit privé, le Québec est plus conservateur.»
***
12%: Mères québécoises au foyer
17%: Mères canadiennes au foyer
Note: Ces mères en couple sont au foyer par choix et non chômeuses.
Sources: Statistique Canada et Université de Montréal
ECDQ.tv et Sel et Lumière -- des vidéos de la Marche pour la vie
http://www.youtube.com/embed/Qp2y-M1g7yo
http://www.ecdq.tv/embed/3006/
http://www.ecdq.tv/embed/3007/
Voir aussi:
http://www.ecdq.tv/embed/3002/
Laissez un commentaireLa joie de Vivre!
Au Japon, les couches pour adultes se vendent plus que celles de bébé!
Sur le site du journal Le Soleil du 11 mai 2012, cette nouvelle surprenante:
Laissez un commentaireAu Japon, dont la population jouit d'une longévité record, les ventes de couches pour adultes viennent pour la première fois de dépasser celles pour bébés, a annoncé vendredi Unicharm, le plus gros fabricant nippon.
Quelque 23% des Japonais sont âgés de 65 ans ou plus, une proportion unique dans le monde, et si le taux de naissances continue de baisser, ils seront plus de 40% en 2060, indique une étude officielle publiée en janvier.
Un porte-parole d'Unicharm a révélé qu'au cours de l'année budgétaire qui s'est terminée en mars, les ventes de couches pour adultes ont «légèrement surpassé» celles pour bébés, pour la première fois depuis que le fabricant s'est lancé sur le créneau des séniors en 1987.
Le vieillissement de la population est un casse-tête pour le gouvernement qui doit assurer le financement des retraites et des dépenses de santé avec une population active qui décline d'année en année du fait de la baisse de la natalité.
Le Japon comptait 127,7 millions d'habitants au 1er octobre 2011, soit un recul de 259 000 personnes, ou de 0,2%, par rapport au 1er octobre 2010, selon le ministère des Affaires intérieures.
La durée de vie moyenne des femmes, déjà exceptionnelle, devrait passer de 86,39 ans en 2010 à 90,93 ans en 2060, et celle des hommes de 79,64 ans à 84,19 ans.
D'après une étude officielle publiée fin janvier, si les tendances actuelles se poursuivent, la population nippone va chuter de 32,3% entre 2010 et 2060, et s'établir à 86,74 millions d'habitants.
Un chercheur de l'Université du Tohoku, Hiroshi Yoshida, a lui poussé l'extrapolation encore plus loin, en annonçant que le Japon risquait de ne plus avoir d'enfant d'ici un millier d'années.
Il a mis au point une «pendule démographique» qui montre que l'archipel compte un enfant de moins toutes les 100 secondes. En partant du chiffre de 16,6 millions d'enfants et du faible taux de naissances actuel, le chercheur en arrive à la conclusion que le Japon n'aura plus aucun enfant en 3011.
19 500 personnes ont marché pour la Vie!
D'année en année, le nombre de participants augmente. La couverture médiatique également!. Le site Lifesitenews nous apporte ces informations:
Si vous ne pouvez être de la marche, vous pouvez écrire dans les journaux et parler dans les tribunes!
Vous pouvez envoyez vos commentaires au journal Le Devoir en espérant que la censure, submergée par le nombre de vos courriels, en publiera quelques-uns! Voici l'article du journal:
Le mouvement pro-vie tiendra aujourd’hui sur la colline parlementaire à Ottawa sa 15e grande manifestation contre l’avortement, mais le discours sera légèrement différent cette année. Le mouvement braque cette fois les projecteurs sur « l’hypocrisie » des gens se disant pro-choix, mais qui condamnent du même souffle les avortements de foetus féminins.
« Il est très hypocrite d’être pour l’avortement, mais contre l’avortement sélectif », lance Alissa Golob, la coordonnatrice jeunesse de la Coalition nationale pour la vie. « La seule façon d’être favorable à l’avortement, c’est si vous pensez qu’un enfant non encore né n’est pas un être humain et s’il n’est pas humain, cela ne devrait pas faire de différence qu’il soit féminin ou masculin. » Selon Mme Golob, l’intérêt grandissant des médias pour cet enjeu « est positif pour le mouvement pro-vie. Si vous êtes pro-avortement, vous ne pouvez pas gagner avec ce débat ».
L’avortement de foetus féminins est un phénomène galopant en Inde, en Chine et en Corée, mais une récente étude canadienne tend à démontrer que les ressortissants de ces pays auraient peut-être importé cette pratique au Canada.
En avril, le chercheur Joel G. Ray a fait état des résultats d’une étude sur toutes les naissances en Ontario entre 2002 et 2007 selon les origines ethniques des mères. En temps normal, il y a 105 naissances de garçons pour 100 naissances de filles, et ce, partout dans le monde. Or, les Sud-Coréennes avaient plutôt 120 garçons pour 100 filles à leur deuxième enfant. Les Indiennes en avaient 111 à leur deuxième enfant et 136 au troisième. Sur le total des troisièmes enfants de mères indiennes, ce sont donc 500 garçons de plus qui sont nés en Ontario (1883 contre 1385 fillettes). Les chercheurs ont mis en garde contre les conclusions hâtives, notamment parce qu’ils n’ont pas déterminé le sexe des précédents enfants. Le sujet a fait suffisamment couler d’encre pour qu’on découvre que certains hôpitaux refusaient de dévoiler le sexe des foetus dans certains quartiers multiethniques.
Joyce Arthur, coordonnatrice de la Coalition pour le droit à l’avortement, rejette les accusations d’hypocrisie parce que le mouvement pro-choix n’a jamais condamné les avortements sélectifs. « Nous appuyons le droit des femmes d’obtenir un avortement, que nous aimions leurs raisons ou pas », dit-elle, insistant sur le fait que personne n’aime ce genre d’avortements. « Ce sont eux qui sont hypocrites. On ne protège pas les droits des femmes [les foetus féminins] en retirant des droits aux femmes. »
La présidente de la Fédération des femmes du Québec, Alexa Conradi, rappelle que les avortements sélectifs ne posent pas problème au Canada dans la mesure où 97 % des avortements sont faits « avant de connaître le sexe » de l’enfant à naître. Le phénomène, s’il existe au Canada, « on le déplore, mais ce n’est pas une raison pour remettre en question le droit des femmes à l’avortement ».
Et vous pouvez lire l'article de Radio-Canada.
Laissez un commentaireSerez-vous présent à La Marche pour la Vie?
