Magnifique lettre d'une Africaine à une autre Africaine... Pour un véritable féminisme!
Sur le blog de Jeanne Smits du 29 juillet 2014, une lettre à lire en entier :
(Arrivée de Mme Meriam Ibrahim à Rome)
(Photo : Barjimoa sur wikipédia)
Je traduis ci-dessous la lettre très émouvante de Obianuju Ekeocha à Meriam Ibrahim, la Soudanaise condamnée à mort pour « apostasie », après sa libération et son exfiltration qui a été marquée par une première halte au Vatican. Mme Ekeocha est nigériane ; elle vit au Royaume-Uni. Cette scientifique biomédicale a fondé Culture of Life Africa et collabore avec des médias catholiques pour promouvoir la défense de la dignité et du caractère sacré de la vie.
Voici le début de cette lettre :
Laissez un commentaireLa grande nouvelle de l’arrivée de Meriam Ibrahim m’a procuré tant de joie, tant d’enthousiasme. Les images de cette femme Africaine si gracieuse, si belle, son bébé dans les bras, descendant de l’avion appelaient les regards, spécialement après la douleur et la souffrance innommables qu’elle a vécues dans la prison soudanaise.
Alors j’ai pensé que, par une lettre très simple, je devais poser sur le papier mes réflexions et mes pensées de gratitude pour cette intrépide fille de l’Afrique dont le monde entier célèbre aujourd’hui la libération.
Au nom de toutes les femmes africaines, je vous remercie, Meriam Ibrahim, pour avoir montré à la face du monde le courage indomptable qui est au cœur de la féminité authentique. Je dis cela parce que votre douleur et votre persécution étaient liées si clairement à votre féminité. Et par conséquent, votre triomphe a été un témoignage des plus puissants pour la vie, pour la maternité, pour le mariage, pour l’amour et pour la foi.
(...)
Sages conseils sur les mandats en cas d'inaptitude dans un État où l'euthanasie est permise...
(Photo : Adrián Afonso sur flickr.com, licence creative commons)
Nous avons reçu cette lettre qui contient de précieux conseils si les procédures judiciaires ne parviennent pas à faire tomber la légalité de l'euthanasie au Québec, dans un futur ou le suicide assisté pourrait aussi être légalisé :
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En page 38 du journal du Journal de Québec, en date de mercredi le 9 juillet 2014, il y a un article sur le devoir individuel de faire un mandat en cas d’inaptitude, de maladie ou d’incapacité temporaire ou permanente. Plusieurs excellents conseils nous sont donnés.Cet article nous rappelle et nous informe que l’un des points auquel nous devons penser et il est très urgent de le faire (car l’euthanasie est maintenant légale au Québec) est de spécifier les soins de santé que nous refusons.
Au Québec, comble de ruse et d’hypocrisie de la part de notre gouvernement, l’euthanasie et le suicide assisté sont considérés par la loi comme inclus dans les que le médecin décidera de nous donner. Évidemment, tout le monde sait très bien que de tuer un patient ne constitue en rien un traitement ni un soin. Mais la loi spécifie maintenant que l’euthanasie et le suicide assisté sont inclus et considérés comme des « soins de santé ». (...)
Il est très important de noter que lorsque nous nous rendons à l’hôpital pour y recevoir des soins ou suite à un AVC, un ACV un accident de voiture, un accident de travail, un traumatisme quelconque, etc., nous sommes obligés avant de recevoir des soins médicaux, de signer une feuille de « consentement aux soins ». Si nous ne sommes pas en mesure de signer, la personne qui nous accompagne est dans « l’obligation » de signer cette feuille de « consentement aux soins ». L’euthanasie étant maintenant incluse dans les soins de santé dispensés dans nos hôpitaux, nous signons donc que nous consentons à être euthanasiés si le médecin juge que c’est le traitement à nous donner ou s’il pense qu’il n’y a plus d’espoir. Certains médecins et dieu les connaît tous et toutes sont très habiles avec leur langue et leurs pronostics souvent faux, car nul ne sait si la personne ne s’en sortira pas, pour obtenir de la famille un consentement à l’euthanasie ou de la personne malade ou accidentée un consentement à un suicide assisté, leur laissant un pronostic très sombre volontairement et utilisant leur langue fourchue en utilisant des mots qui évoquent des images de terreur dans la tête des gens, par exemple, « il restera légume » ou « votre père est dans un état neurovégétatif » phrases clés que les médecins connaissent par cœur et qui touchent toujours la cible, soit l’abandon des soins et/ou l’euthanasie, utilisent pour noircir la personne malade dans la tête de ses proches. Pourtant, il y a plus de 500,000 erreurs médicales au Québec seulement par année et c’est seulement la pointe de l`iceberg, puisque la majorité des gens ne portent pas plainte.
Il est donc urgent avant de signer cette feuille autorisant le médecin à dispenser les soins médicaux qu’il jugera à propos, de spécifier sur cette feuille en l’inscrivant à la main que nous refusons toute forme d’euthanasie et de suicide assisté et de préparer un acte notarié appelé « mandat en cas d’inaptitude » où il est clairement inscrit que nous refusons l’euthanasie et le suicide assisté en cas d’inaptitude, et de le faire savoir à tous nos proches, à cause de ce fait que ces deux formes de meurtres légaux, sont maintenant considérés comme un soin médical qui sera de plus en plus utilisé par les médecins, qui sont payés à même nos taxes et impôts par les gouvernements, et dont les ordres proviennent du gouvernement ou de la curatelle publique qui procède du gouvernement et des ordres du gouvernement.
De même, il est extrêmement important de spécifier sur ce mandat en cas d’inaptitude notarié, que nous désignons telle personne pour être notre curateur ou notre tuteur en cas d’inaptitude et que nous refusons catégoriquement d’être placé sous la curatelle publique, car le danger d’être euthanasié est réel et très menaçant, car la curatelle n’a aucun lien affectif avec qui que ce soit et cherche à économiser de l’argent et reçoit ses directives du gouvernement qui a rendu lui-même légale l’euthanasie et le suicide assisté. Plusieurs personnes sous la curatelle publique sont déjà euthanasiées dans l’ombre depuis longtemps. Nommez une personne qui prendra soin de vous en cas d’inaptitude temporaire ou permanente ou courte ou prolongée pour vous assurer que vous ne serez jamais la propriété du gouvernement et de qui que ce soit, ni de notre époux, ni de notre épouse, ni de notre père ou de notre mère ou de nos enfants ou de qui que ce soit, n’étant pas des choses ni des animaux et assurez-vous que jamais vous ne serez placés (es) sous la protection de la curatelle publique qui est une machine gouvernementale sans cœur, n’ayant aucun lien affectif ou filial avec vous.
(...)De même, si vous avez des enfants d’âge mineur, assurez-vous qu’un ou des membres de votre famille et nommez quelqu’un en particulier, prendront soin de vos enfants, pour ne pas qu’ils et elles soient placés sous la curatelle publique et envoyés chez des étrangers que vous ne connaissez absolument pas et qui n’auront aucun lien affectif avec vos enfants.
Protégez-vous et protégez vos proches.
Jocelyne Dumont
«Je n'ai jamais exploré la profondeur de mon coeur jusqu'à maintenant. Le monde a juste explosé en technicolor.» : Amy Lee
La naissance d'un enfant change bien des choses et la chanteuse Amy Lee du groupe Evanescence l'exprime à sa façon. Sur le site du Journal de Montréal du 29 juillet 2014 :
(Photo : bloodnet sur flickr.com, licence creative commons)
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«Notre petit Jack Lion Hartzler est né», a-t-elle écrit en guise de légende. «Je n'ai jamais exploré la profondeur de mon coeur jusqu'à maintenant. Le monde a juste explosé en technicolor.»
« La Cour européenne affirme que le mariage gay n’est pas un droit de l’homme »
Sur le site de C-Fam du 28 juillet 2014 :
(Pour qu'il y ait mariage, il doit y avoir complémentarité...)
(Photo : JcMaco sur flickr.com, licence creative commons)
NEW YORK, 25 juillet (C-FAM) La Cour européenne des droits de l’homme a anéanti les espoirs des militants, qui pensaient pouvoir lui faire imposer le mariage homosexuel aux Etats membres. Au lieu de cela, la Cour a décidé que l’union civile entre un transsexuel, de nouveau sexe féminin, et sa femme devrait suffire au couple.
Le droit européen des droits de l’homme n’exige pas des Etats membres qu’ils « ouvrent l’accès au mariage aux couples de même sexe », conclut le jugement de la Cour européenne dans une affaire qui teste les limites du possible, en fait et en droit.
(...)
La Cour a confirmé que la protection du mariage traditionnel était un intérêt légitime à protéger, acceptant par là que les relations entre les personnes de même sexe ne sont pas identiques au mariage homme-femme, et peuvent dès lors être l’objet de différences de traitement en droit. (...)
Heureusement, les pays étouffés par l'intimidation des lobbys gays ne pourront subir ce discours politiquement correct très longtemps. La vérité est plus forte que les idéologies...
Laissez un commentairePour le ministre de la santé de Lithuanie, l'État ne peut payer les soins palliatifs pour tous. L'euthanasie pour les pauvres
Sur le site de genethique.org du 28 juillet 2014 :
(drapeau de Lithuanie, wikipédia sans copyright)
Le nouveau ministre de la Santé lituanien, Rimantė Šalaševičiūtė, a déclaré que la Lituanie n'était pas un Etat-providence dans lequel les soins palliatifs pourraient être accessibles à tous et que l'euthanasie pourrait être une option pour les personnes qui ne souhaitent pas tourmenter leurs proches en leur imposant le spectacle de leurs souffrances. (...)
Cette ministre de la Santé mérite tout de même un certain respect pour sa franchise et son honnêteté. C'est rare, les ministres de la santé qui n'enrobent pas l'injection létale dans l'enrobage gluant d'une fausse compassion...
Laissez un commentaireLe conseil supérieur de l'audiovisuel français demande de censurer un clip sur les personnes trisomiques
Nous vous avions présenté ce magnifique clip, mais il vaut la peine de le revoir :
//www.youtube.com/embed/Ju-q4OnBtNU
Le CSA français demande sa censure :
Communiqué de presse du CSA en date du 25 juillet 2014
Le Conseil a été saisi de plaintes à la suite de la diffusion, dans les écrans publicitaires de M6, Canal+ et D8 entre le 21 mars et le 21 avril 2014, d’un message de sensibilisation à la trisomie 21. Intitulé « Chère future maman », il était soutenu par les associations Coordown, Les amis d’Éléonore et la fondation Jérôme-Lejeune, fondation dont la vocation est notamment la lutte contre l’avortement.
Le Conseil considère que ce message ne relève pas de la publicité au sens de l’article 2 du décret du 27 mars 1992. Bien qu’ayant été diffusé à titre gracieux, il ne peut pas non plus être regardé comme un message d’intérêt général, au sens de l’article 14 de ce même décret, puisqu’en s’adressant à une future mère, sa finalité peut paraître ambigüe et ne pas susciter une adhésion spontanée et consensuelle. En conséquence, le Conseil considère qu’il ne pouvait être inséré au sein des écrans publicitaires.
S’inscrivant dans une démarche de lutte contre la stigmatisation des personnes handicapées, ce message aurait pu être valorisé, à l’occasion de la Journée mondiale de la trisomie 21, par une diffusion mieux encadrée et contextualisée, par exemple au sein d’émissions.
Le Conseil est intervenu auprès des chaînes afin de leur demander, à l’avenir, de veiller aux modalités de diffusion des messages susceptibles de porter à controverse.
Il a répondu en ce sens aux plaignants.
La fondation Jérôme Lejeune lui a répliqué dans un communiqué de presse du 28 juillet 2014 :
Laissez un commentairePour le CSA, le bonheur des enfants trisomiques est suspect
Publié le 28/07/2014 dans Communiqués de presse
Le CSA vient de publier un avis négatif sur la campagne « Chère Future Maman » diffusée à l’occasion de la journée mondiale de la trisomie 21. Il reproche à plusieurs chaînes télévisées de l’avoir relayée.
Le CSA ne reconnaît pas le caractère d’intérêt général de cette campagne, au motif que sa finalité serait « ambigüe » et qu’elle ne pourrait « susciter une adhésion spontanée et consensuelle ».
Pour rappel, cette vidéo vise à rassurer une femme enceinte sur l’avenir et le bonheur possible de son enfant atteint de trisomie 21. La finalité de cette campagne est de lutter contre la discrimination et la stigmatisation dont sont victimes les personnes handicapées, et d’encourager leur insertion dans la société.T21
La vidéo a rencontré un engouement international, « spontané et consensuel » :
Plus de 5 millions de vues à ce jour (campagne la plus partagée dans le monde pendant 24 h),
Diffusée dans l’enceinte de l’ONU le 21 mars,
Saluée et encouragée par le Premier ministre italien Matteo Renzi,
Sujet d’une pleine page dans le magazine culturel Vanity Fair en Italie,
Primée à Cannes, la vidéo a reçu plusieurs Lions d’Or au Festival International de la Créativité.
Le CSA a choisi de limiter la liberté d’expression, en assumant le risque d’atténuer la portée d’un message accueillant vis-à-vis des enfants trisomiques.A l’heure de la communication marquée par l’internationalisation, internet et les réseaux sociaux, cet avis est sans effet.
En revanche, il souligne l’aveuglement des pouvoirs publics en France, depuis longtemps pays leader de l’élimination des enfants trisomiques avant leur naissance (96%).
La Fondation Jérôme Lejeune encourage les téléspectateurs à remercier les chaînes TF1, M6, D8 et Canal+ qui ont relayé la campagne « Chère Future Maman » en mars dernier.
Conçu en labo aux frais des contribuables
Par Paul-André Deschenes
(Photo : Anirudh Koul sur flickr.com, licence creative commons)
Il y a plusieurs décennies la conception d'un bébé relevait uniquement d'un acte d'amour entre un homme et une femme dans le cadre du mariage pour la vie.
En 2014, le Québec a atteint un niveau « d'évolution » inimaginable à ce chapitre qui le place au premier rang sur la scène mondiale. Aujourd'hui, la conception d'un bébé est devenue une industrie anarchique qui exploite le corps humain aux frais de l'État.
Dans les années 1980, on a ouvert la porte. À cette époque, la science mettait au service des femmes éprouvant des problèmes de fertilité des donneurs anonymes de sperme. C'était le début d'une véritable révolution appelée l'industrie de la procréation assistée.
Nous en sommes rendus aujourd'hui à l'époque de l'insémination artificielle et des manipulations génétiques tous azimuts sans aucune retenue, ni balise. Maintenant, beaucoup de personnes humaines se comportent comme des vaches laitières pures races qui gagnent des trophées dans les expositions agricoles.
Actuellement, c'est le bar ouvert au Québec. Tout est devenu gratuit depuis que de très populaires vedettes du monde artistiques ont réussi à faire pleurer et plier le gouvernement qui a cédé devant ces ridicules jérémiades; cette folie de la procréation assistée coûte actuellement au trésor public 80 millions de dollars par année.
Le bébé marchandise est né. L'horreur est devenue la réalité. Cette décadence dans la conception d'un enfant est une véritable honte nationale au Québec. La revue « l'Actualité » dans son numéro d'août 2014 tire la sonnette d'alarme. On nous parle de drames humains épouvantables que vivent les enfants et adolescents au moment où ils prennent connaissance de leur origine artificielle et où ils se demandent : « qui est mon père et qui est ma mère biologique? »
L'Actualité nous cite une remarque très pertinente d'Andréane, une agricultrice conçue de cette façon tout à fait inhumaine et qui résume bien la situation : « Mes vaches sont nées comme moi, dit-elle. Je me sens blessée et coupable. Il y a tellement d'enfants à adopter. C'est comme si j'avais volé la place d'un enfant qui en avait besoin. »
Les cliniques de fertilité se multiplient et font fortune au Québec. « C'est une aberration, nous dit le Journal La Presse du 11 juin 2014. Le Programme québécois de procréation assistée adopté sans aucune réflexion sur les enjeux éthiques fait de l'expérimentation sur le corps des femmes; c'est de la marchandisation de la vie humaine. Nous sommes dans une logique néolibérale de commercialisation du droit à se faire fabriquer un enfant à n'importe quel prix. »
Nos vedettes du monde du spectacle, comme Céline Dion, Julie Snyder et Joël Legendre, en mènent très large et font la loi au Québec au niveau de l'eldorado de la procréation assistée. Et maintenant nous en sommes rendus aux effroyables dérives marchandes des mères porteuses tout simplement pour satisfaire l'égo de femmes ou d'hommes qui exigent qu'on leur fabrique un bébé sur commande.
Notre société décadente se fout royalement des risques de grossesses multiples, des destructions d'embryons humains, des problèmes et des souffrances physiques et psychologiques pour ces enfants et ces parents totalement irresponsables et inconscients, etc. « On expose les femmes et les enfants à naître à des risques épouvantables comme le syndrome de l'hyper stimulation ovarienne, des complications lors de la grossesse et de l'accouchement, la prématurité du fœtus, les malformations congénitales, le retard de croissance, etc. » (La Presse, 17 mai 2014) Et La Presse du 11 juin 2014 ajoute : « Derrière un progressisme apparent, il y a quelque chose de rétrograde. Dans une société hyper individualiste et capitaliste, il n'y a rien de naturel dans tout cela. Des décennies de féminisme pour en arriver là, vraiment? »
Depuis la gratuité totale, la procréation assistée est extrêmement populaire au Québec. C'est le chaos et l'anarchie. C'est « cool » de se faire fabriquer un bébé : couple homosexuel (gai ou lesbienne), personne transsexuelle ou transgenre, couple hétérosexuel, femme ou homme monoparental, etc. Il n'y a plus aucune limite. Au nom des sacro-saints droits et libertés, les médecins spécialistes doivent accepter toutes ces fantaisies sans poser de questions.
Les dérives se multiplient. On fabrique même des bébés pour des étudiants, des délinquants, des itinérants, des prisonniers, des malades mentaux, des personnes lourdement handicapées, indépendamment de leur incapacité chronique (physique, psychologique ou financière) à prendre soin de ces pauvres enfants à naître.
Le Québec vit à l'heure de la pratique absolument dégradante du supermarché du bébé et des « bébés de designers ». En effet, « nous aurons bientôt la technologie pour choisir toutes les caractéristiques d'un futur enfant, » nous annonçait le Journal La Presse du 16 octobre 2013. Conçu en éprouvette, ce nouveau-né aura les yeux, les oreilles, la bouche, la grandeur, les cheveux, etc. désirés par les parents en mal du bébé parfait. Il y aura, paraît-il, un catalogue très détaillé pour choisir ce bébé marchandise. De nombreuses compagnies seraient sur le point de déposer des brevets dans l'espoir de faire fortune avec cette nouvelle industrie horrifiante qui pointe à l'horizon. Dans notre société dite très avancée, la science fait de supposées prouesses. Au chapitre de la procréation assistée, le Mal est devenu le Bien.
Pendant que le Québec crie haut et fort que nos 30 000 avortements annuels sont de très bons soins de santé, on patauge allègrement dans l'industrie de la procréation assistée sans aucune retenue. Toute cette quincaillerie artificielle de reproduction n'a plus aucun sens.
Une société humaine qui respecte la VIE devrait avoir le courage d'interdire tout ce cirque reproductif : don, achat ou vente de sperme, d'ovules et de gamètes (semer sa paternité ou sa maternité à tout vent aux quatre coins de la planète), fécondation in vitro ou in vivo, destruction et congélation d'embryons humains, fécondation en laboratoire, mères porteuses, manipulations génétiques tous azimuts, etc.
L'État québécois, qui a perdu tous ses repères, aura-t-il le courage de faire marche arrière devant le désastre humain que nous vivons actuellement au chapitre de la conception des bébés?
Il faut saluer ici la très grande sagesse de l'Église catholique qui, depuis trois décennies, nous a prédit tous ces malheurs, déviations et perversions qui nous frappent de plein fouet. Le Magister a continuellement enseigné contre vents et marées que la conception d'un bébé doit se faire de façon responsable uniquement entre un homme et une femme dans le cadre d'une sexualité responsable, c'est-à-dire le mariage pour la vie. Avoir un bébé conçu artificiellement n'est pas un droit fondamental. On récolte ce qu'on a semé.
Dans une société civilisée, le geste de l'adoption doit remplacer l'industrie de la procréation.
Laissez un commentaireUn autre exemple de campagne mensongère pour faire légaliser l'avortement, ici au Salvador
Sur le blog de Jeanne Smits du 25 juillet 2014, un article à lire en entier, dont voici un extrait :
(Photo : wikipédia sans copyright)
L'agit-prop en faveur de l'avortement légal est en marche au Salvador où des organisations féministes brandissent le cas de 17 femmes emprisonnées, disent-elles, pour avoir avorté – et encore, spontanément. Au début du mois une manifestation de cent femmes devant l'ambassade salvadorienne au Nicaragua a même eu lieu pour demander leur libération.
L'affaire court depuis le début de l'année et a déclenché, fin mai, une enquête de la part de l'organisme officiel de protection des droits humains du Salvador (PDDH) a qui le Groupement citoyen pour la dépénalisation de l'avortement thérapeutique, éthique et eugénésique avait remis le dossier de chacune des 17 femmes.
Elle reçoit un écho international avec la mobilisation d'Amnesty International qui a lancé une campagne pour la légalisation au Salvador sous l'intitulé « Mon corps, mes droits ».
Une journaliste salvadorienne a lancé une contre-attaque en publiant une tribune dans le média en ligne elsalvador.com sur la réalité de ces 17 cas : toutes les femmes incarcérées, condamnées à de lourdes peines de 30 ou 40 ans, l'ont été pour « homicide » et non avortement, assure Evangelina del Pilar de Sol.
Il s'est agi systématiquement d'infanticides sur des nouveau-nés, tués après leur naissance à terme : noyés, asphyxiés dans des sacs en plastique, frappés à coups de couteau ou frappés tout court. (...)
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Le gouvernement québécois expulse les enfants des responsables de service de garde en milieu familial...
Sur le site du journal La Presse du 28 juillet 2014 :
(Une gardienne est disqualifiée si elle s'occupe de son propre enfant)
(Photo : César Rincón sur flickr.com, licence creative commons)
Des responsables de service de garde en milieu familial dénoncent l'application abusive d'un règlement par le gouvernement, qui a pour effet de forcer plusieurs éducatrices à mettre leurs propres enfants à la porte durant les heures d'ouverture de leur garderie.
(...)
On oblige des RSG à exclure leurs propres enfants de leur maison même si l'autre parent est présent et que le ratio est respecté.»
Les responsables de service de garde attitrées ne sont pas rémunérées si elles s'occupent de leurs enfants. Elles auraient alors le défaut impardonnable d'être leurs parents...
Laissez un commentaireLes multiples emplois du Ministre Yves Bolduc
Sur le site du journal Le Quotidien du 11 juillet 2014, un article du journaliste Marc St-Hilaire :
(Photo : nirbhao sur flickr.com, licence creative commons)
(...)Il était alors mon médecin de famille. C’était sa fonction première, la plus importante de toutes.
Simultanément, il assumait toutefois quelques tâches secondaires: celle de directeur des services professionnels à Alma et à Charlevoix. Il campait un rôle similaire à Val d’Or, où il était également directeur général par intérim.
Il était professeur à l’UMF d’Alma, pour le compte de l’Université de Sherbrooke.
Son curriculum vitae de l’Assemblée nationale m’apprend qu’il était aussi «responsable-du-programme-national-de-formation-sur-les-facteurs-humains-et-la-sécurité-des-patients», qu’il était professeur associé à l’UQAC et qu’il devait évaluer les établissements du pays pour le conseil d’agrément.
Sans compter qu’il était un coroner bien en vue, étonnamment accessible pour les médias. (...)
Tout ces emplois bien rémunérés en même temps. Pourquoi ?
Un des commentaires à la fin de l'article dit :
Richard3105 12 juillet 2014 12h07
Une partie de l’explication à la quantité astronomique de travail accomplie par Yves Bolduc tient à ce qu’il est extrêmement expéditif dans sa pratique médicale: alors que les autres médecins de sa clinique située sur le Boulevard Du Pont à Alma voyaient un patient, Yves Bolduc en voyait durant le même temps au moins 3. Tous ses patients ressortaient de son bureau avec une belle prescription dans les mains. Les autres médecins de la clinique en étaient gênés…
Et Philippe Couillard et le Dr Barrette ont pris la défense de cet autre promoteur de l'euthanasie qui semble savoir ce que veut dire expédier un patient...
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