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Lettre dans le Journal de Montréal sur le vide juridique concernant l'avortement

Sur le site du Journal de Montréal du 18 novembre 2013 :

(Cour suprême du Canada)

(Photo : Wladislaw sur wikimedia.org, licence Creative Commons

Bravo aux médias de publier la vérité concernant le vide juridique sur l’avortement au Canada. En effet, la question est loin d’être «réglée» et le débat, loin d’être «clos»: la Cour suprême a demandé au parlement de légiférer pour reconnaître le droit à la vie de l’enfant à naître, garanti par les chartes des droits, tout en tenant compte du droit à la sécurité de la femme. Depuis ce jugement de 1988, une multitude de tentatives ont été lancées pour donner suite, sous forme de projets de loi ou autre, mais elles ont toujours été démantelées par les tenants de l’avortement. Les 25 000 personnes qui manifestent contre l’avortement chaque année sur la Colline depuis plus de quinze ans sont un signe patent que bon nombre de Canadiens ont honte des 100 000 avortements (chiffres officiels) commis au pays chaque année et aussi du fait que le Canada soit le seul pays industrialisé (avec la Chine et la Corée du Nord) à n’avoir aucune restriction à l’avortement, jusqu’à la naissance. (...)

Isabelle O’Connor

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Un sondage sur ce que pensent les électeurs démocrates américains de l'avortement

Sur le site de Nouvelles de France du 18 novembre 2013 :

(Photo : paulhami sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

 

Un sondage réalisé par Harper Polling sur l’électorat démocrate de Pennsylvanie (un État dans la moyenne du pays en matière de conservatisme) permet de mieux comprendre ce que pense le sympathisant démocrate moyen.
 
(...)

52% des démocrates de Pennsylvanie pensent que l’avortement devrait être légal dans la plupart des cas ou dans tous les cas, 43% qu’il devrait être illégal ou légal seulement dans les cas de viol, d’inceste ou lorsque la vie de la mère est en danger. Contrairement aux idées reçues, les hommes sont davantage favorables à l’accès à l’avortement (+4 points).
 
Autre constat inquiétant pour l’oligarchie, les jeunes démocrates sont plus susceptibles de soutenir les restrictions d’accès à l’avortement (qui se multiplient depuis quelques années) : 60% des démocrates âgés de 18 à 35 ans pensent que l’avortement devrait être soit totalement illégal (16%) ou illégal sauf dans les trois cas évoqués supra (44%).
 

 

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Un discours révolutionnaire pour un féminisme humain et réaliste

Sur le site du journal La Presse du 18 novembre 2013, cet article de Louise Leduc :

(Photo : gwilmore sur flickr.com, licence Creative Commonms)

 

 
Je n’avais pas encore lu le livre de Fanny Britt que je savais que ce serait tout moi. «Maternité, ambiguïté et féminisme».
 
C’est tout moi, ça, quand j’échafaude mille scénarios (qui tiennent ou pas) pour limiter le plus possible le nombre d’heures que la petite passe au CPE. « Toi, tu partiras très tôt pour le bureau et tu reviendras très tôt. Le lendemain, on inverse les horaires, d’accord? », dis-je typiquement à mon homme le dimanche soir.
 
C’est tout moi, cela, quand dans le secret de mon cœur, je me souviens que ma mère est restée à la maison jusqu’à mes douze ans avant de devenir femme d’affaires tambour battant. Pourquoi ne resterais-je pas moi aussi au foyer, au moins jusqu’à l’entrée à l’école de ma fille?
 
(...)
 
En entrevue avec ma collègue Nathalie Collard dans La Presse +, Fanny Britt dira que «ce n’est pas facile à dire », mais qu’elle va cracher le morceau. « Le travail, dit-elle, n’aura jamais la même valeur que mes enfants à mes yeux. »
 
Vrai, on ne le dit pas souvent ouvertement et surtout pas au travail, mais c’est pourtant l’évidence même. Pour les hommes comme pour les femmes, le travail n’a pas la même valeur que les enfants.
 
(...)

 
Là où, clairement, il n’y a plus d’ambivalence, à lire quelques-unes des huit femmes qui ont été invitées à parsemer l’ouvrage de leurs réflexions, c’est sur la place de l’homme dans nos vies. Madeleine Allard, traductrice, auteure et mère de quatre enfants, écrit : «Je crois aussi que les femmes ont besoin des hommes. Je crois qu’on a complètement évacué ce besoin. Les femmes ont besoin des hommes non pour les protéger, leur donner de la sécurité, etc. (même si c’est bien aussi) mais elles ont besoin d’hommes qui les voient comme leurs égales, qui les soutiennent, qui les aident parfois à trouver leur chemin, qui les encouragent. Je crois que c’est la décision la plus importante qu’une femme peut prendre dans sa vie : choisir le bon homme avec qui elle la partagera.»
 
Là-dessus, Annie Desrochers, mère de cinq enfants et responsable de la revue des médias chez Marie-France Bazzo,  répond qu’elle ne pourrait pas être plus d’accord avec cela, en se faisant même plus précise. «Les mères ont besoin des pères de leurs enfants. Ça vaut pour les mères en couple comme pour les mères célibataires.»
 
Oh que oui…

 Une nouvelle révolution féministe, plus réaliste et humaine?

 

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Le maire de Montréal veut sévir contre les salons de massage érotiques

Sur le site du journal Métro du 18 novembre 2013 :

(Denis Coderre, maire de Montréal)

 

(Photo :Bouchecl sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

 

 

MONTRÉAL – Le maire de Montréal Denis Coderre envisage bel et bien de sévir contre les pseudo salons de massage qui se sont multipliés dans la métropole.
 
(...)

 
À l’occasion d’une conférence de presse portant sur un autre thème, lundi, le nouveau maire a confirmé qu’il envisageait un règlement avec des amendes importantes pour les contrevenants.
 
Des salons de massage érotique obtiennent parfois un permis comme établissement de soins personnels incluant des messages et cachent ainsi leur véritable fonction, a déploré le maire. Il faudra donc inspecter et, le cas échéant, sévir, a-t-il fait savoir.
 
(...) 
Son ou sa futur(e) responsable de la sécurité publique en fera une priorité, a-t-il indiqué.
 

 

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Révélations sur les dernières tractations pour une législation sur l'avortement au Canada

Sur le site du journal Le Devoir du 17 novembre 2013 :

(Brian Mulroney, photo de la peinture au Parlement d'Ottawa)

(Photo : Brianh sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

(...)

Les procès-verbaux des réunions du cabinet de M. Mulroney, qui sont demeurés confidentiels pendant 20 ans et dont La Presse canadienne a obtenu copie en vertu de la Loi sur l'accès à l'information, donnent un aperçu des tensions entre les ministres qui voulaient faire de l'avortement un crime passible d'une peine maximale de 10 ans de prison pour ceux qui le pratiquaient et les ministres qui souhaitaient offrir une plus grande latitude aux femmes.
 
Ironiquement, c'est le Sénat, cette institution abondamment critiquée au cours des dernières semaines au point où plusieurs ont réclamé son abolition, qui a tué, en 1991, le meilleur compromis que le Parlement avait pu trouver sur cette délicate question, créant un vide juridique que la majorité de la population trouve maintenant acceptable.
 
L'un des rares pays
 
Le Canada est donc l'un des rares pays où l'avortement n'est pas encadré par une loi. Environ 100 000 interruptions volontaires de grossesse sont effectuées en sol canadien chaque année et aucun gouvernement n'a depuis osé légiférer dans ce dossier. Le premier ministre Stephen Harper a affirmé n'avoir aucunement l'intention de relancer le débat, même si certains députés conservateurs continuent de présenter des projets de loi d'initiative parlementaire sur ce sujet.
 
La saga de ce qui allait devenir le projet de loi C-43 commence le 28 janvier 1988 lorsque la Cour suprême du Canada invalide la loi sur l'avortement en décrétant que la section 251 du Code criminel enfreint la Charte des droits en refusant aux femmes la sécurité de leur personne. Ce jugement infirme une décision de la Cour d'appel de l'Ontario contre le Dr Henry Morgentaler, un militant de longue date pour le droit à l'avortement décédé en mai dernier.
 
Les juges déclarent toutefois que le droit d'une femme de se faire avorter, particulièrement durant les derniers mois de la grossesse, pourrait être limité de manière raisonnable afin de protéger la vie et la santé du foetus ou de la femme, et transfèrent donc le dossier au Parlement.
 
Mulroney veut agir
 
Le gouvernement conservateur de Brian Mulroney juge le vide juridique inacceptable et estime qu'il doit légiférer. Il s'embarque alors dans un long et difficile processus pour élaborer une loi sur l'avortement.
 
Dans la salle 323-S lambrissée de chêne, deux des plus importants ministres du cabinet s'affrontent. Le ministre de la Santé Jake Epp, un fervent mennonite originaire du Manitoba, croit que la vie de l'enfant commence dès la conception, alors que Barbara McDougall, une Torontoise alors ministre de la Condition féminine, veut que les femmes aient le droit de choisir.
 
Un comité extraordinaire sur l'avortement est créé. Son président, le sénateur conservateur Lowell Murray, exhorte les ministres à éviter les restrictions trop poussées parce que « le gouvernement aura l'air idiot s'il adopte une loi qui est plus tard rejetée par la Cour suprême ».
 
Deux approches
 
Selon le procès-verbal, le débat s'articule autour de deux approches opposées. La première permet l'avortement au début de la grossesse et impose des restrictions au fur et à mesure que le foetus se développe. La seconde impose les mêmes restrictions, mais à toutes les étapes de la grossesse. Cette dernière option est celle que préconisent M. Epp et ceux qui sont contre l'avortement.
 
Le comité se prononce en faveur d'une loi qui autoriserait l'avortement au début de la grossesse, soit quelque part entre la 12e et la 28e semaine, mais qui l'interdirait ensuite sauf dans les cas où la vie de la mère est en danger. Mais le ministre Epp s'oppose à cette recommandation, disant que « les implications d'une telle approche seraient effrayantes si l'on adoptait une approche similaire à l'égard des personnes âgées ou handicapées ».
 
L'élection générale de 1988 survient sans que le problème ne soit résolu. Les conservateurs sont reportés au pouvoir et, en 1989, le nouveau cabinet s'attèle encore à la tâche de rédiger une loi sur l'avortement.
 
L'obstacle du caucus
 
(...)

 
La proposition finale, baptisée projet de loi C-43, aurait interdit de pratiquer un avortement à n'importe quelle étape de la grossesse à moins que l'intervention ne soit effectuée par ou sous la supervision d'un médecin qui considère que la vie ou la santé de la femme est en danger.
 
Le ministre de la Justice Doug Lewis a présenté le projet de loi à la Chambre des communes et, le 29 mai 1990, il a été adopté lors d'un vote libre à 140 contre 131. Il a ensuite été envoyé au Sénat pour approbation. Le 31 janvier 1991, coup de théâtre à la chambre haute: sur les 86 sénateurs présents, 43 se prononcent pour et 43 contre le projet C-43. En vertu des règles du Sénat, à égalité des voix, la proposition est automatiquement considérée comme ayant été rejetée.
(...) 
 

 

 

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L'Île-du-Prince-Edouard donne une « éducation » sexuelle aux enfants qui est une ouverture à la pédophilie

Sur le site de Socon or bust du 15 novembre 2013 (traduction CQV), un commentaire d'une information tirée de LifeSiteNews :

 

 

Extrait du guide de l’Île-du-Prince-Edouard :

Les comportements « sains et naturels » pour les enfants de moins de cinq ans sont les suivants :

— « Toucher les “parties privées” des adultes familiers et d’enfants avec la main ou le corps. »
— « Met quelque chose dans ses propres organes génitaux ou dans le rectum une fois pour la curiosité ou l'exploration. »
« Jouer au docteur en inspectant les corps des autres, y compris les “parties intimes.” » -

Les comportements « sains et naturels » pour les enfants jusqu'à la quatrième année sont les suivants :

- « Jouer au “docteur”. L'enfant inspecte le corps d'un autre enfant, y compris les “parties intimes” ».
- « Montre aux autres ses organes génitaux dans un lieu privé ».
- « Jouer à des jeux avec les enfants du même âge liés au sexe et à la sexualité. »
- Prétend être du sexe opposé.
- « Vouloir comparer ses organes génitaux avec des amis du même âge. »
- « Regarder des photos de nues sur Internet, des vidéos, des magazines, etc. » (Source : LifeSiteNews)

Pourquoi diable le gouvernement recommande-t-il que les enfants jusqu'en quatrième année montrent leurs parties génitales à d'autres personnes et touchent les organes génitaux des adultes? Ils ne parlent évidemment pas des parents puisqu’ils baignent déjà leurs enfants et les voient nus. Donc, ils parlent d'autres adultes dans la vie des enfants.

Dites-moi quelque chose. Si un enfant de six ans de votre connaissance demande si il/elle peut vous montrer leurs parties génitales, diriez-vous oui? Je ne pense pas. Quel type d'adulte pensez-vous accepteraient l’offre de ces enfants? Quel genre d'adulte laisserait un gamin toucher leurs organes génitaux? Exactement. Est-ce que le gouvernement ne se rend pas compte qu'il est en train d’inviter les pédophiles à profiter des enfants sous les auspices d'un guide parental approuvé par le gouvernement ?

Les enfants n'ont même pas atteint la puberté et l'État veut qu’ils regardent de la pornographie, qu’ils se masturbent, se fassent passer pour le sexe opposé et se collent des objets jusque dans leur rectum? Est-ce une blague?

Oubliez la Chine. Ceci est sanctionné par l'État comme maltraitance des enfants, ici au Canada. Le gouvernement de l'Île-du-Prince-Edouard devrait être poursuivi.

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Depuis 2009, le gouvernement québécois a dépensé plus de 5 millions de dollars pour des opérations de changement de sexe...

Sur le site du Journal de Montréal du 16 novembre 2013:

(Photo : Diego3336 sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

 

Le nombre de transsexuels qui ont subi la grande opération ne cesse de grimper au Québec. En quatre ans, ils sont quelques centaines à être passés sous le bistouri pour une facture de 5,4 millions $.

«Ce n’est pas surprenant du tout», réagit ­Marie-Marcelle Godbout, qui a fondé l’Aide aux transsexuels du Québec (ATQ) il y a 33 ans.
 
« GROSSE SOUFFRANCE »
 
«C’est du monde, 300 personnes. Et c’est de la grosse souffrance. C’est dur de ­comprendre qu’on puisse vivre une telle souffrance», ajoute-t-elle.
 
Voilà maintenant quatre ans que le ­ministère de la Santé et des Services ­sociaux (MSSS) offre gratuitement la ­chirurgie de changement de sexe aux transsexuels.
 
Et depuis, le nombre d’opérations ­effec­tuées chaque année ne cesse de croître.
 
Ainsi, 297 patients sont passés sous le bistouri depuis 2009. Entre janvier et juillet 2013, 98 chirurgies ont été effectuées, soit presque autant que durant toute l’année 2012 (115).
 
Évidemment, les coûts liés au ­programme ont aussi bondi de façon ­importante depuis 2009. En date de juillet 2013, la facture était de 1 415 863 $, soit un peu moins que le total de 2012 (1,6 million $).
 
Comme il reste encore trois mois à l’année en cours, il est possible que ce soit l’année la plus productive et la plus coûteuse.
 
D’HOMME À FEMME
 
Selon les données du MSSS, 193 hommes ont subi une vaginoplastie (pour avoir un sexe féminin) et 104 femmes ont fait le choix inverse (phalloplastie).
 
 (...)

.Or, entre 2005 et 2009, la RAMQ n’avait ­assumé les coûts que de huit opérations de changement de sexe, dont chacune coûtait entre 10 000 $ et 13 000 $.
 
Maintenant, toutes les chirurgies sont ­effectuées au Centre métropolitain de ­chirurgie plastique, à Montréal.
 
(...)

De son côté, le MSSS indique qu’il n’a pas de budget maximal par année pour ce programme. Le but est de répondre à la demande.
 

(...)
 

L'article du journal mentionne qu' « une personne peut avoir été opérée plus d'une fois. »

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Un commentaire révélateur de Lise Ravary sur le combat de Georges St-Pierre vs Hendricks

Sur le site du Journal de Montréal  du 18 novembre 2013 :

(Photo : Xgrandyx sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

Je ne sais pas si c’est GSP ou Hendricks qui a vraiment gagné à Las Vegas samedi soir mais tout ce que je sais, c’est que la civilisation a perdu un autre round.
 

Avant le combat ultime, St-Pierre a mentionné qu'il voulait blesser le plus rapidement possible son adversaire alors que ce dernier affirmait qu'il voulait le tuer. Y-a-t-il des sports (à part les pièces de théâtre de lutte) où l'on peut affirmer à l'avance dans les médias que l'on veut clairement blesser son adversaire?

Ces combats nous ramènent à la barbarie romaine... avec l'accord des journalistes dont Réjean Tremblay qui se permet de commenter ces scènes de boucherie. Rappelons que, selon des approximations médicales neurologiques, St-Pierre auraient déjà subi plusieurs commotions cérébrales... 

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Il n'y a pas que la pornographie juvénile qui doit cesser...

Sur le site du journal Le Droit du 15 novembre 2013 :

(Photo : joiseyshowaa sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

 

 

Neuf hommes d'Ottawa ont été arrêtés dans le cadre d'une enquête internationale sur de la pornographie juvénile ayant permis de sauver près de 400 enfants exploités par autant d'adultes.

La police de Toronto a fait le bilan du projet Spade, jeudi, une enquête d'une rare envergure à laquelle la police d'Ottawa a participé.

 L'entreprise au coeur de cette exploitation sexuelle de masse, Azov.com, fournissait les films et les images destinés aux pédophiles. Le commerce valait grosso modo 4 millions$ avant la faillite du suspect en 2011. Son propriétaire gérait l'entreprise depuis Toronto. La page d'accueil était toujours en ligne, hier, mais les autorités ont confirmé que le commerce a été fermé en 2011.

 Les enfants exploités viennent principalement de la Roumanie et des pays de l'Est, a expliqué le sergent François D'Aoust de l'Unité d'exploitation sexuelle d'enfants sur Internet de la police d'Ottawa. «C'est surtout là-bas qu'ils étaient exploités et filmés.» Une vingtaine d'enfants sont Canadiens, a précisé la police torontoise.

(...)
 

 Une cinquantaine d'Ontariens ont été arrêtés, dont huit sont d'Ottawa. Les victimes sont âgées de 5 à 12 ans.

 «Les consommateurs payaient leurs DVD sur le site Web et les recevaient par la poste, a expliqué le sergent D'Aoust. Les services de la poste des États-Unis ont aussi collaboré à l'enquête.»

La pornographie est essentiellement un système d'exploitation...

 

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Un enfant trisomique sauve la vie de son camarade de classe

Sur le site de Valeurs Actuelles du 12 novembre 2013 :

(Les enfants atteints de trisomie 21 ont souvent un coeur en or)

(Photo : Emily Walker sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

 

 

Belle histoire. Atteint de trisomie 21, un garçon âgé de 6 ans scolarisé dans une école élémentaire de Frankfort, dans l’Indiana (Midwest) est intervenu à temps pour sauver la vie d’un de ses camarades de classe, rapporte le site 20min.ch.

La scène se déroule mercredi dernier, à l’heure du déjeuner. Mason, 6 ans, se trouve en compagnie de ses camarades de cours préparatoire. Soudain, il constate que le visage de son ami assis en face devient de plus en plus rouge. Il fait alors montre de réactivité et court chercher de l’aide. Suzy Kontos, la directrice de l’école, nous décrit l’enchainement des évènements : « Il était en face de son ami. Il a remarqué que ce dernier avait avalé quelque chose de travers et était en train de s’étouffer, n’arrivant plus à respirer et devenant tout rouge » raconte-t-elle. C’est alors que Mason s’est levé pour aller chercher l’assistant de classe. Personne ne s’était rendu compte de rien. L’assistant a immédiatement compris que Mason cherchait de l’aide, et il a pu sauver le petit garçon ». Ce réflexe a permis de sauver à temps la vie de son camarade.
 
Beth Lamar, l’institutrice, ne parait guère étonnée de la réactivé dont a fait preuve ce petit héros  : « Je n’étais pas vraiment surprise d’apprendre ce qu’il a fait » raconte-t-elle. « Car c’est un garçon très attentif et qui est totalement intégré dans notre communauté ».

(...)

Aux Etats-Unis, le système éducatif permet aux enfants trisomiques d’être scolarisés dans des classes dites "normales". 
 

 

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