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Le Dr Jean Guimond ne voit rien de mal dans les avortements tardifs qu'il chapeaute au Québec...

Sur le site du Journal de Montréal du 11 novembre 2013, le témoignage d'un aveuglement :

(Ils ont besoin de votre aide Dr Guimond, et non pas que vous fermiez les yeux sur leur sort...)

(Photo de la main d'un enfant à naître à 21 semaines de grossesse, début de l'appelation d'avortement tardif, sortant du ventre de sa mère pour aggriper la main du médecin.  Photo : F.C.Photography sur flickr.com, licence Creative Commons

«Personne n’est pour l’avortement. Je suis pour les droits de la femme, point», confie le Dr Guimond, qui coordonne les avortements de troisième trimestre au CSSS Jeanne-Mance.
 
Rester alerte
 
À sa mort, en mai dernier, le Dr Henry Morgentaler a reçu de grands éloges pour son combat pour l’accès à l’avortement. Mais son décès a aussi fait réagir des militants pro-vie, qui ont dénoncé son œuvre.
Quand on lui demande s’il a l’impression d’être le «nouveau Morgentaler», le Dr Guimond affiche un sourire.
«Je poursuis le combat qu’il a entrepris pour les femmes, dit-il. La question ne sera jamais réglée, il faut demeurer alerte.»
 
«Certains croient qu’il faut que le fœtus ait une reconnaissance. Je leur dis bonne chance. Pourquoi les femmes ont-elles toujours remporté la décision? Parce qu’il est impossible de donner un statut au fœtus sans réduire celui des femmes. C’est aussi clair que ça.»
Et les femmes qui vous disent que l'avortement est un meurtre, vous les entendez celles-là, Dr Guimond? 
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Quel sera votre jugement sur cette bande-annonce sur l'euthanasie? Sur ces personnes devant un choix de vie ou de mort?

(Photo : Zaldylmg sur flickr.com, licence creative commons)

Ce documentaire a été fait dans le but de promouvoir l'euthanasie... Cela ajoute au tragique. Il y a vraiment des personnes sur terre capables de regarder d'autres personnes et de penser qu'elles ne devraient pas vivre... Pour les auteurs du documentaire, une personne atteinte d'une maladie dégénérative ou dépressive, l'euthanasie est la solution.

Oui des intelligences aveuglées, des coeurs pourris ou endurcis, cela existe...

Sur youtube :

//www.youtube.com/embed/XalS1gdjdbI

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« Je prends l’engagement formel de faire entrer XXX dans toutes les écoles de Montréal, dès la première année. »

(Photo des chakras: Peter Weltevrede sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

Gageons qu'il y est parvenu. Avec la bénédiction du Ministère de l'éducation. Sur les sectes sous le titre de d'organismes de croissance personnelle, Lise Ravary dans le Journal de Montréal du 13 novembre 2013 signe un très bon article :

 

Les amis de la charte version intégriste aiment soulever la peur du prosélytisme pour interdire les signes religieux dans la fonction publique, les CPE, les écoles. Mais dans les films de science-fiction, dont je suis fan, les envahisseurs préfèrent se fondre dans la masse pour mieux contrôler les Terriens.
 
Il y a quelques années, j’ai réalisé un reportage «sous couverture» sur des organismes de croissance personnelle. Ma mission: exposer leurs techniques de recrutement, les méthodes d’endoctrinement, l’approche sectaire et, surtout, prouver qu’ils promettent de guérir les âmes souffrantes en échange de milliers de dollars, sans aucune qualification qui vaille.
 
La seule autre fois que j’ai eu aussi peur en 40 ans de carrière, c’est en patrouillant à la frontière entre Israël et la Syrie, la nuit, en hiver.
 
Pas la scientologie
(...)
Déguisée en madame curieuse, j’ai assisté à une soirée d’information et de collation des grades avec quelques milliers de personnes. Après trois jours de formation, les finissants reçoivent un diplôme au cours d’une cérémonie en présence de parents et d’amis, question de les recruter. Sur la scène du Palais des Congrès – pas dans un sous-sol d’église – un monsieur d’origine indienne beuglait en anglais, devant un auditoire 100 % francophone: «Grâce à vous, nous allons changer le monde. Nous sommes chez IBM, chez Apple et, maintenant, à Montréal!»
(...)
Et puis, un type complet-cravate s’est levé. On lui a tendu un micro. «Mon nom est… Je suis responsable de… à la Commission scolaire de… Je prends l’engagement formel de faire entrer XXX dans toutes les écoles de Montréal, dès la première année. Je sais comment faire. Nous allons construire un monde parfait à l’image de XXX.» La salle a explosé. L’orchestre a entonné le thème de Rocky. Full manip jacket.
(...)
J’ai écrit mon topo. Mon éditeur l’a montré aux avocats de Télémedia. On a doublé mon cachet, mais mon texte n’a jamais été publié.
Cet organisme, connu chez Info-Secte, organise des formations tous les week-ends à Montréal depuis des décennies. Pendant ce temps, on perd les pédales pour quelques femmes voilées.
 
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Témoignage choc d'une médecin (urgentiste) sur son avortement médicamenteux

Sur le site docadrenaline.wordpress.com du 7 novembre 2013 : (...)

(photo : guineapigmom sur wikimedia.org, licence creative commons)

 Le texte a été supprimé à la demande de l'auteur.

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Lettre de dénonciation de la communauté LGBT par un membre de la communauté

Sur le site du Journal Métro du 12 novembre 2013 :

« (...) Inquiet de voir la montée de ce qu’il qualifie d’«homonationalisme», un lecteur désirant demeurer anonyme m’a écrit la lettre qui suit. Je voulais la publier ici parce qu’elle contient une importante mise en garde à ceux qui seraient tentés d’adhérer à cette idée selon laquelle «l’espace public doit être ouvert à la diversité sexuelle, mais fermé à la diversité religieuse». »

« Le visage gai de la haine

Le débat sur le projet de charte des valeurs a malheureusement donné un espace de légitimité et un auditoire à l’expression d’une haine envers, entre autres, les musulmans. Les milieux gais québécois n’ont pas échappé aux dérives récentes, comme le montre le groupe Facebook «LGBT pour la laïcité», créé par M. André Gagnon, éditeur de magazines gais.

Depuis sa création, le nombre de membres augmente chaque jour et parmi eux, on retrouve certaines personnalités influentes du milieu, qui proviennent des secteurs communautaires, universitaires et médiatiques. Ce groupe diffuse, presque quotidiennement, des propos haineux sur les musulmans, y allant de généralisations abusives, de procès d’intention et de propagation de faux témoignages et pseudo-documentaires trouvés sur YouTube. Les affirmations insidieuses et fallacieuses sur l’islamisation des pays occidentaux et sur la violence qui serait inhérente à l’islam y sont courantes. Paradoxalement, les membres du groupe ont régulièrement recours à des discours qui proviennent de commentateurs d’extrême-droite états-uniens et européens.

Malheureusement, il s’agit là d’une percée, au Québec, de discours «homonationalistes» déjà bien présents dans certains pays, tels que les Pays-Bas, l’Allemagne, la Grande-Bretagne et les États-Unis. Dans le cadre de ces discours tenus par des leaders des «communautés LGBT», les personnes immigrantes (en particulier les musulmans) sont châtiées et exclues des frontières de la nation, puisque jugées essentiellement et irrémédiablement conservatrices, sexistes, homophobes, bref «non-assimilables» à «nos valeurs» modernes et progressistes. Par ces discours, les «communautés LGBT» s’associent aux discours et politiques culturalistes anti-immigration promus par des politiciens populistes. Le tout participe par ailleurs à une banalisation du racisme. Plutôt paradoxal pour des personnes LGBT qui aiment se revendiquer du progressisme…

Le plus troublant est qu’en public, aucun leader de la «communauté LGBT» ne critique les propos de M. Gagnon et de ses acolytes pour ce qu’ils sont : des propos racistes, xénophobes, islamophobes et même sexistes. Pourtant, pour qui s’intéresse à la prise de parole publique de la «communauté LGBT» québécoise sur cet enjeu, André Gagnon est actuellement le principal et presque l’unique porte-parole. Pourquoi un tel silence?

Ceci met en évidence une tendance bien plus large dans ce milieux : le rejet de toute critique, qu’elle soit interne ou externe. (...)

Cette attitude est vraiment dérangeante. D’une part, ce milieu n’hésite pas à condamner ce qu’il juge comme des actes homophobes dans la société (en faisant des généralisations et en évacuant les nuances possibles entre ce qui relève véritablement de l’homophobie et ce qui relève davantage de la méconnaissance et de préjugés hétéronormatifs dépourvus de mauvaises intentions). On condamne ainsi prestement des publicités insignifiantes de pâtes alimentaires ou d’une pharmacie. Mais d’autre part, ce milieu reste muet lorsque vient le temps de condamner des propos racistes en son sein.

Les raisons de ce silence peuvent être multiples. (...)

Quelle que soit la raison, leur silence manifeste soit un assentiment, soit une profonde lâcheté politique et une vision corporatiste de la justice sociale. Ils veulent faire valoir leurs droits, mais ne se préoccupent guère de respecter les droits des autres. Dans d’autres pays, plusieurs militants et intellectuels LGBT ont ouvertement condamné une telle attitude qui ignore les autres problèmes sociaux, mais au Québec, en public, on se tait.

(...)»

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La Fédération des chambres de commerce du Québec dénonce un aspect passé inaperçu de la charte des valeurs du Parti Québécois

Sur le site du journal La Presse du 12 novembre 2013 :

« (...)

La Fédération des chambres de commerce du Québec a déjà exprimé les vives réticences de son réseau à l'égard ce projet de loi. Rappelons d'ailleurs que nous avions envoyé à la première ministre du Québec, le 20 septembre dernier, une lettre dans ce sens approuvée par le conseil d'administration de la FCCQ, composé de chambres de commerce de toutes les régions du Québec et de représentants des principaux secteurs de l'économie.

Tous les observateurs avaient compris, des intentions exprimées jusqu'ici par le gouvernement, que l'interdiction, avec laquelle la FCCQ est en parfait désaccord, de porter des signes religieux serait limitée aux institutions publiques. Or, l'article 10 du projet de loi prévoit que «toute personne ou société avec laquelle (le gouvernement) conclut un contrat de service ou une entente de subvention» pourrait être assujettie aux mêmes obligations. Bref, on veut manifestement entraîner un grand nombre d'entreprises dans ce sillage.

Cette disposition est totalement insensée et il faut absolument que le gouvernement déclare sans ambiguïté qu'il a l'intention de l'amender afin de soustraire toutes les entreprises privées de l'obligation d'imposer à leur personnel une interdiction de porter des signes religieux. »

(...)

On a peine à croire que le gouvernement envisage, même à titre d'hypothèse, une telle règle d'application de la charte. Pourtant, puisque le législateur ne parle pas pour ne rien dire, c'est bien ce que prévoit le projet de loi.

Au nom de la communauté d'affaires qu'elle représente, la Fédération trouve proprement aberrante l'idée que les entreprises privées soient soumises aux mêmes contraintes. On accepte volontiers que l'État vienne dans les entreprises pour vérifier les normes de sécurité des employés ou le respect des règles fiscales, mais pas pour s'ingérer dans leur politique en matière de port de signes religieux au travail.

En plus de réitérer son opposition à l'interdiction du port de signes ostentatoires pour tous les employés de la fonction publique, la FCCQ demande avec insistance à la première ministre de déclarer que la charte ne s'appliquera d'aucune manière aux entreprises privées. La FCCQ a bien l'intention de faire entendre son point de vue en commission parlementaire.

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« Ce n'est pas une question de légalité, ce sont des infanticides » constate l'Association des obstétriciens et gynécologues

Sur le site du Journal de Montréal du 12 novembre 2013 :

« Les avortements de troisième trimestre sont comme des «infanticides» pour les médecins, selon l’Association des obstétriciens et gynécologues du Québec (AOGQ).

«Ce n’est pas une question de légalité, ce sont des infanticides. Un enfant de 36 semaines à qui tu décides de faire une injection intracardiaque pour que le cœur arrête de battre et provoquer l’accouchement, c’est un infanticide. [...] Il aurait pu avoir une famille en adoption», souligne Isabelle Girard, la présidente de l’AOGQ.

Protéger la vie

Bien que Mme Girard reconnaisse que, légalement, on ne puisse parler d’infanticide, pour les praticiens, la perception est différente.

«Demandez à n’importe quel médecin qui le fait, il n’a pas l’impression que ce n’est pas un infanticide.»

«Ce n’est pas une question de tabou, c’est une question de responsabilité. Nous autres, on protège la vie», ajoute-t-elle.

(...)

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« Viol spirituel » : des écoles prises la main dans le sac à entraîner les élèves dans des pratiques du Nouvel Âge

par Peter Baklinski, traduit par Campagne Québec-Vie

QUEBEC, le 18 octobre 2013 (LifeSiteNews.com) – Il est attesté que les « animateurs spirituels » du système scolaire religieusement neutre du Québec initient les élèves à des exercices de méditation de type Nouvel-Âge et à des séances de respiration rythmique.

« Ils comprennent assez facilement et assez rapidement », a déclaré Elizabeth Pellicone, une animatrice à la vie spirituelle de la Commission scolaire anglophone de Montréal, à l'Agence QMI.

« Ils disent qu'ils ont senti que “le son se déplaçait autour de ma tête ou que je me soulevais de ma chaise” », a-t-elle dit, ajoutant que la plupart de ses collègues guident les élèves dans des exercices similaires.

Brian Daly de l'Agence QMI a observé une séance dans une école élémentaire, plus tôt ce mois-ci, au cours de laquelle Pellicone sonnait une cloche tandis qu'un groupe d'élèves de 2e année étaient tranquillement assis, les mains sur leurs pupitres.

Un autre animateur a révélé qu’il dirigeait des séances de respiration rythmique, pendant lesquelles les enfants doivent compter leurs respirations.

Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie, qualifie l’introduction dans les écoles de ces activités apparentées au Nouvel-Âge d’indication « évidente » de l’échec qui était à prévoir lorsqu'un gouvernement impose une version soi-disant neutre de la religion et de la morale.

« Il était évident alors, et il est encore plus évident maintenant que le programme neutre n'est pas “neutre” et devait s’infléchir vers une religion ou l’autre », a-t-il déclaré à LifeSiteNews.com.

Le gouvernement du Québec a dépouillé les catholiques et les protestants de leur droit à l'éducation religieuse dans les « écoles confessionnelles » publiques en 1997, en demandant avec succès au gouvernement du Canada d’exempter la province de l'article 93 de la Loi sur la Constitution de 1867 qui garantit le droit à des écoles religieuses confessionnelles. L'instruction religieuse confessionnelle a été autorisée à continuer, mais pour peu de temps.

En 2000, toutes les commissions scolaires ont été tenues d'embaucher des « animateurs de vie spirituelle ». Les « services » chrétiens dans les écoles (les services d’animation pastorale) devaient être remplacés par un programme soi-disant neutre d’« animation de vie spirituelle et d’engagement communautaire ».

Puis, en 2005, la province a adopté une loi éliminant tout à fait l'enseignement religieux confessionnel dans les écoles publiques.

À ce moment, un cours « neutre » en matière d'éthique ou de culture religieuse a été proposé. Par la suite, en 2008, le gouvernement provincial a rendu obligatoire dans toutes les écoles de la province, qu'elles soient publiques, privées ou à la maison, l’enseignement de ses cours d'éthique et culture religieuse (ECR) de la première année jusqu'à la fin du secondaire. Salué comme un programme « laïque » et « neutre » par ses créateurs, le cours a été critiqué pour sa promotion du relativisme moral ainsi que ses positions éthiques violant le christianisme.

À l’époque, le cardinal Marc Ouellet, alors archevêque de Québec, avait estimé que le programme manquait de vision à long terme.

Il faut beaucoup de naïveté pour croire à ce miracle d’enseignement culturel des religions qui va fabriquer un nouveau petit québécois pluraliste expert en relations interreligieuses et critique envers tout credo même celui de ses propres parents », écrivait-il en 2007 dans un document à la Commission Bouchard-Taylor sur les accommodements religieux. « Le moins qu’on puisse dire est que le vide spirituel sera loin d’être atténué et que s’instaurera une dictature du relativisme tout à fait contraire à la liberté religieuse dont doivent jouir les familles dans le choix d’un enseignement religieux conforme à leurs convictions.

Le cardinal Ouellet était clairvoyant. Au cours des cinq dernières années, les écoles catholiques privées se sont vu interdire d’enseigner la morale et la religion catholiques. Elles ont plutôt été contraintes de donner le cours « laïque » et « neutre » sur les religions du monde conçu par le gouvernement. Les parents et les écoles recherchant une exemption du cours basée sur la liberté religieuse ont porté leur cause devant le plus haut tribunal du pays, mais ont systématiquement échoué dans leur tentative.

Le programme actuel de la province inclut maintenant de familiariser les élèves avec la « méditation », en leur apprenant à « entrer dans l’univers de la célébration et des rites », et en les aidant à « se familiariser avec les symboles (religieux ou non) de la culture d’ici et d’ailleurs. »

« Aucune activité, y compris les fêtes religieuses, ne doit être englobée dans un processus dont l'objectif est de développer la foi des étudiants », indique un document du gouvernement du Québec daté de 2001, intitulé « Développer la vie intérieure et changer le monde ».

Buscemi a déclaré que le programme s’est « effondré » en enseignement du « paganisme ».

« La raison psychologique en est la suivante : les humains sont ontologiquement religieux, faits pour Dieu. Et si leur faim (“le vide spirituel”) n'est pas comblée, ils bricolent quelque chose qu’ils peuvent adorer », a-t-il dit. « Et maintenant, les technocrates envoient des “animateurs spirituels” pour “aider” les enfants à créer leurs propres divinités. »

« Je considère que cela constitue un viol spirituel dégoûtant », a-t-il dit. « Nous enseignons à nos enfants à être idolâtres “de leur ego”. Ce que nous avons maintenant est quelque chose de semblable au monde païen, où tout le monde doit brûler de l'encens en l’honneur de l'État-Mère, et où le culte des idoles individuelles est encouragé. »

Andrea Mrozek, directeur de l'Institut du mariage et de la famille Canada, est d'accord avec Buscemi, expliquant à l'Agence QMI qu’un programme spirituel n'est jamais neutre du point de vue religieux.

« Vous ne pouvez pas réellement enseigner ces sortes de choses dans le vide », a-t-elle dit. « Après avoir retiré (la religion) entièrement, ils ne peuvent maintenant commencer à introduire un équivalent pseudospirituel post-moderne ».

Buscemi a déclaré que les parents chrétiens devraient voir clairement que leurs enfants sont en danger spirituel dans les écoles du Québec.

« Il est assez évident que les chrétiens doivent prendre les mesures nécessaires pour que leurs enfants sortent de ces écoles maintenant. En tant que parent moi-même de trois jeunes enfants, je n’enverrais pas mes enfants à ces écoles même si ma vie en dépendait », a-t-il dit.

 « C’est le temps de l’instruction à domicile », a-t-il ajouté.

Le Québec continue d'aller très loin pour se démarquer de son héritage catholique, obligeant ses citoyens à emboîter le pas. Québec a récemment proposé une charte des valeurs controversée qui interdirait aux fonctionnaires, aux juges et jusqu’aux travailleurs de garderie, de porter des signes religieux « ostensibles et manifestes ».

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Demande de suppression de la liberté de conscience en France sur l'avortement et autres graves dérives

(Photo : Najat Vallaud-Belkacem par Antoine Tavenaux sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

Visiblement persuadé que la suppression de plus de 222 000 enfants à naître par an n’est pas suffisante, un rapport du Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes remis ce jeudi 7 novembre à Mme Najat Vallaud-Belkacem, préconise rien moins que l’introduction de l’avortement dans le programme des études de médecine, un moratoire sur la fermeture des centres d’avortement et la suppression de la clause de conscience pour les médecins ! 

La présidente du Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes (HCEfh) considère par ailleurs “hallucinante” et “culpabilisante” la présence du terme “détresse” dans la législation actuelle et réclame sa disparition.

Convaincue que les femmes qui souhaitent avorter “n’ont pas besoin de réfléchir” et “pas besoin de conseils”, Mme Bousquet exige également l’abrogation du délai légal de 7 jours précédent un avortement.

“L’avortement est et restera toujours un drame”. Près de quarante ans après ces propos de Simone Veil à la tribune de l’Assemblée nationale, les féministes réclament le détricotage de la loi de 1975, jugé dépassée.

Madame Belkacem, si l’aveuglement idéologique de vos amis les conduit à une telle dérive, nous vous exhortons – quant à nous - d’écouter le simple bon sens : ce n’est pas en biffant la détresse de la loi que vous la ferez disparaître chez les femmes !

Par ailleurs, sachez, Madame le Ministre, que la remise en cause de la clause de conscience concernant un acte aussi grave que le meurtre delibéré d’un être innocent provoquerait légitimement un véritable tsunami contre le gouvernement auquel vous appartenez.

Face à ce totalitarisme que tentent de nous imposer les officines qui dictent votre agenda,  Droit de Naître appelle d’ores et déjà les Français à se mobiliser à l’occasion de la Marche pour la Vie qui se déroulera à Paris le dimanche 19 janvier 2014.

Dans la défense du caractère sacré de la vie humaine innocente, on ne lâchera rien ! Jamais ! Jamais ! Jamais !                    

Droit de Naître 39 avenue Pasteur – 92400  COURBEVOIE

               Tel : 01 49 05 48 99          Fax : 01 47 68 84 79

   e-mail [email protected]   www.droitdenaitre.org

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Campagne Québec-Vie dénonce une volonté d’imposer les avortements de dernier trimestre au Québec

En réaction à un reportage de Mme Héloïse Archambault, paru dans le Journal de Montréal du 11 novembre 2013, qui informe la population que des médecins avorteurs de dernier trimestre désirent être soustraits de toute pression de comité d’éthique et protégés de la désapprobation du personnel médical les entourant, Mario Richard, directeur-général de Campagne Québec-Vie, annonce son soutien à ces comités d’éthique.

« Nous tenons à soutenir le personnel médical, administratif et éthique qui s’oppose à ces avortements tardifs. Bien que le vide juridique canadien permette d’éliminer l’enfant à naître jusqu’au moment de l’accouchement à terme, la très grande majorité des Québécois refusent ces procédures barbares visant à tuer un enfant » de dire Mario Richard.

Malheureusement, pour Mario Richard, le personnel médical refusant de participer à un avortement est toujours tenu de référer, selon le guide du Collège des médecins, une patiente le demandant, à un collègue pratiquant ce type d’avortement.

« Campagne Québec-Vie demande que soit respectée la liberté de conscience du personnel médical, ce qui implique la liberté de ne pas collaborer à ces avortements en servant d’intermédiaire dans ce processus décrié. »

En plus de reconnaître l’objection de conscience, Campagne Québec-Vie, de la bouche de son directeur, demande que cesse le financement des avortements au niveau provincial.

« Nous demandons que le ministre de la Santé reconnaisse que la réprobation du personnel médical, administratif et de la population en général de la pratique de l’avortement tardif est fondée et que le gouvernement québécois cesse le financement des avortements, notamment de dernier trimestre, que ce soit aux États-Unis ou au Québec. »

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