M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Bonne nouvelle ! La Cour Suprême entérine les restrictions à l'avortement au Texas

Sur le site de genethique.org du 21 novembre 2013 :

(Photo : anja_johnson sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

Mardi 19 novembre, la Cour suprême des Etats-Unis a refusé de suspendre l'application de la loi restreignant l'accès à l'avortement, adoptée en juillet dernier par le Parlement du Texas. Par cinq voix contre quatre, les juges "ont validé la législation qui contraint notamment les médecins pratiquant des avortements à être habilités à faire admettre en priorité leurs patientes dans un hôpital situé à moins de 50 kilomètres en cas de complications". Ce texte "entrainerait la fermeture de plus d'un tiers des établissements pratiquant l'avortement au Texas". (...)

 

 

Laissez un commentaire

Très bonne réflexion d'une sexologue sur les dangers de la « pilule du lendemain »...

Sur le site du Huffington Post du 19 novembre 2013 :

(Il y a déjà des poursuites en cours contre les fabricants de pilules contraceptives...)

(Photo : Ceridwen sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

Elles sont quatre fois plus nombreuses à la demander qu'il y a dix ans. Le recours à la pilule du lendemain explose chez les ados suscitant l'inquiétude de leurs aînés.

Après tout, l'acte n'est pas si anodin, pour la santé bien entendu. Avec une dose d'hormones quarante fois supérieure à celle d'une pilule contraceptive régulière, elle n'est pas dépourvue de potentiels effets secondaires. Mais pour rassurer tout le monde, on persiste à le dire: elle n'est pas dangereuse pour la santé. Voilà des propos bien imprudents par les temps qui courent où les dégâts de simples pilules contraceptives sont exposés au grand jour... 
 

(...)

Qui peut croire que l'on se préoccupe vraiment de la santé des jeunes, plutôt que de protéger un mode de vie : la sexualité sur demande?

La « pilule du lendemain » empêche soit la fécondation, soit la nidation. Elle est donc une pilule abortive, mais cela, on ne le dira surtout pas aux jeunes et à leurs parents, cela pourrait les responsabiliser...

Laissez un commentaire

La Commission Scolaire De Montréal censure les termes « père » et « mère »

Sur le site du journal La Presse du 20 novembre 2013 :

(Les Français refusent de se laisser imposer par leur gouvernement des dérives à la Québécoise...)

(Photo : Ericwaltr sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

 

Afin de tenir compte du fait que certains élèves ont des parents homosexuels, la Commission scolaire de Montréal (CSDM) a rayé les mots «père» et «mère» de tous ses formulaires, pour les remplacer par le mot «parent». (...)
 

Qu'est-ce que cela enlève aux autres le « mariage » gay? En voici un petit exemple... Et cela ne s'est pas fait de façon démocratique, mais encore une fois, par l'imposition d'un lobby qui n'a demandé l'avis de personne...

Laissez un commentaire

Bientôt un vote pour autoriser l'euthanasie des mineurs en Belgique, reflet de ce qui attend le Québec avec le projet de loi 52

Sur le site de alliancevita.org du 19 novembre 2013 :

(Photo du drapeau de la Belgique : Dbenbenn sur wikimedia.org, sans copyright)

 

 

Hier 19 novembre 2013, un accord a été trouvé au Sénat belge pour parvenir à faire voter une loi autorisant l’euthanasie des mineurs sous certaines conditions.

(...)

L’élargissement de l’euthanasie aux mineurs suscite un large débat de société en Belgique. Le 6 novembre dernier, un groupe de 16 pédiatres belges a appelé à cette extension le plus vite possible, au nom de la liberté de choix « de mineurs qui développent très rapidement une très grande maturité » et de la conviction que « leur devoir est d’aider le patient, de préférence de la manière la plus humaine et responsable possible ». Ce même jour, sept responsables religieux représentant les trois grandes religions monothéistes (chrétiens, juifs musulmans) en Belgique s’y opposaient fermement en considérant que « l’euthanasie des personnes fragiles, enfants ou personnes démentes, est une contradiction radicale de leur condition d’êtres humains. Nous ne pouvons entrer dans une logique qui conduit à détruire les fondements de la société ».
 
Déjà en juin 2012, plus de 70 personnalités, principalement des professionnels de la santé, avaient signé un texte important à l’occasion des dix ans de la loi belge sur l’euthanasie. Leur appel soulignait combien cette loi, en ouvrant la « boîte de Pandore » et en transgressant un interdit fondateur, a dégradé la confiance au sein de la société et a fragilisé les personnes les plus vulnérables. Ces personnalités concluaient : « A fortiori, les nombreuses propositions d’assouplissement ou d’élargissement de la loi actuelle, en particulier aux mineurs d’âge et aux déments, suscitent notre plus vive inquiétude. Comme il était prévisible, une fois l’interdit levé, nous marchons à grands pas vers une banalisation du geste euthanasique. »

Laissez un commentaire

Une étude révèle de nouveaux témoignages d'infirmières sur des pressions subies pour tuer leur patient, au Québec...

Sur le site du Journal de Montréal du 20 novembre 2013 :

(Photo : UMDNJ School of nursing, sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

Des infirmières se sentent démunies quand un médecin prend la décision de mettre fin aux soins palliatifs, si bien que certaines ont même l’impression d’euthanasier des patients, révèle une étude.

«Je me sens comme la Grande Faucheuse de la vie», a confié une infirmière qui a participé à l’étude Amélioration des soins de fin de vie, de l’Institut Robert-Sauvé en santé et en sécurité du travail (IRSST). 

LA MORT AU QUOTIDIEN

 Cosignée par 11 auteurs, l’étude récemment publiée met en lumière la complexité du travail des infirmières des unités de soins intensifs (USI), où environ 20 % des patients décèdent. 

Selon l’étude, les unités ne sont pas toujours équipées pour offrir des soins palliatifs (SP) à la hauteur des besoins.

(...)

Et cela contredit les dires de la Ministre Hivon qui affirme que plus 90% des besoins en soins palliatifs sont satisfaits...

Le journal publie quelques témoignages d'infirmières contenus dans le rapport :

Le problème, c’est que le patient ne mourait pas assez vite selon le médecin. Il voulait partir et voulait qu’on accélère le processus de mort du patient. Il nous faisait augmenter les doses de morphine aux cinq minutes en intraveineuse. […] Pour moi, ce n’était pas des soins palliatifs, c’était de l’euthanasie. »

C’est moi qui fais le geste qui mettra un terme à la vie du patient. »

Je remplissais la seringue et c’est moi qui appuyais sur le piston, c’est ça que je n’ai pas aimé, c’était beaucoup. Le résident surveillait l’écran et me disait : “Je ne veux pas qu’elle respire plus vite, donne-lui 50 milligrammes, donne-lui 3cc, donne-lui, donne-lui”, je n’arrivais pas à fournir. En l’espace de 20 minutes, c’était fait. Moi je l’ai trouvée dure celle-là. J’ai dit aux filles, c’est de l’euthanasie. »

Mais la Ministre Hivon est certaine que ces crimes ne pourront se reproduire plus souvent, une fois que l'euthanasie sera légalisée sous le titre d'« aide à mourir dans la dignité »...

Laissez un commentaire

Deux jumeaux qui ne savent pas qu'ils viennent tout juste de naître. Très beau et court vidéo

Les jumeaux  de la vidéo, qui demeurent dans ce monde de sérénité, semblent ne pas savoir qu'ils sont nés. Et que quelques minutes auparavant, au Canada, il était possible de les tuer tous les deux... et que cela se produit effectivement dans ces derniers mois de la grossesse :

(Photo : Bobokeh sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

//www.youtube.com/embed/qY-d46-gPMI

Soutenons le député Stephen Woodworth qui veut déposer une nouvelle motion jeudi pour la protection des enfants à naître, ces enfants que tous ont le droit de tuer actuellement au Canada.

Laissez un commentaire

Une nouvelle motion sera déposée par le député conservateur Stephen Woodworth pour la protection de l'enfant à naître

Sur le site de Radio-Canada du 19 novembre 2013 :

(Photo : Leadnow sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

 

 

Le député conservateur Stephen Woodworth, connu pour sa défense des droits du foetus, entend déposer une nouvelle motion en ce sens au Parlement. Il doit donner plus de détails jeudi, en conférence de presse.

Selon le député de Kitchener-Centre, la loi autorisant l'avortement est dépassée. (...)

L'article 223 du Code criminel canadien stipule que pour qu'un enfant soit considéré comme un être humain, il doit être vivant et entièrement sorti du ventre de sa mère.

(...)

Laissez un commentaire

La présidente de Women's Rights Without Frontiers dénonce de nouveau la politique de l'enfant unique en Chine

Sur le blog de Jeanne Smits du 18 novembre 2013 :

(Combien parmi ces soldats chinois obligés de faire appliquer la politique de l'enfant unique, ne trouveront pas de femmes à marier puisque le ratio est de 118 garçons pour 100 filles?)

(Photo : Georgio sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

Cela fait des années que Reggie Littlejohn, présidente de Women's Rights Without Frontiers, milite contre les atrocités de la politique de l'enfant unique en Chine, dont elle est l'un des meilleurs connaisseurs. (...)

« Le noyau de cette politique, c'est la coercition », a rappelé Mme Littlejohn à Catholic News Agency vendredi dernier. « Le problème est bien que c'est le gouvernement qui dit aux gens combien d'enfants ils peuvent avoir, et qu'il fait respecter cette limite par la coercition, y compris en faisant avorter des femmes de force à neuf mois de grossesse. »
 

Reggie Littlejohn cite le cas d'une femme morte au début du mois en Chine à la suite d'un avortement forcé : un fait qui n'a pas été rapporté par l'agence de presse chinoise gouvernementale, Xinhua.
 

L'assouplissement envisagé par le gouvernement chinois pourrait concerner des millions de familles. (...)

Si d'aucuns saluent le projet gouvernemental – encore que ce ne soit pas la première fois qu'une telle annonce est faite, pour être ensuite retirée – Reggie Littlejohn note que même mis en œuvre, il ne s'agira au mieux que d'un bricolage d'ajustement, uniquement basé sur des considérations économiques et démographiques. « Nous n'avons pas vu la moindre réduction des avortements ou des stérilisations forcés dans les campagnes ; ils sont toujours nombreux », souligne-t-elle : pourtant dans bien des campagnes la politique du nombre d'enfants est plus souple que dans les villes.

Laissez un commentaire

La Fondation Bill Gates s'assure que l'avortement et la contraception soient disponibles en Afrique et en Asie

Sur le site de womanattitude.com du 18 novembre 2013 :

(Bill Gates : de l'argent contre une imposition de la  contraception et de l'avortement?)

(Photo : World Economic Forum sur flickr.com, licence Creative Commons)

(...)

Et du 12 au 15 novembre 2013, se tenait la Conférence Internationale en Ethiopie, organisée par la Fondation Gates, avec pour Co-Chair Melinda Gates, et de nombreuses tables rondes portant sur l’IVG. Lors de cette conférence sur le Planning Familial en Ethiopie, les sessions étaient les suivantes : 

Les efforts de mise en œuvre des politiques visant à étendre l’accès à l’avortement sans danger
 
L’accès à l’avortement sans danger 

Avortement et qualité de soins
 

Avortement, l’avant et l’après
 
Un des objectifs clefs de la conférence est le maintien de la pression sur les Etats contributeurs. Les partenaires de Melinda Gates, comme le Planning familial et Population Action International (PAI), ont promis d’intensifier leur travail militant, et de faire en sorte que les financements des donneurs et des Etats continuent d’abonder. « Une grande partie de notre travail en Afrique subsaharienne consiste à faire en sorte que les Etats qui reçoivent des dons tiennent leurs promesses » expliquait le président de PAI.
 
On est en pleine manipulation des pays pauvres.
 

Si je te donne du financement pour ton développement, tu mets en place une politique de « Reproductive and Sexual Health  » incluant la contraception et l’avortement.
 

 

 

Laissez un commentaire

Caméra cachée dans une clinique d’avortements tardifs : l’employée explique que les bébés sont piqués dans le crâne

par Ben Johnson, traduit par Campagne Québec-Vie

ALBUQUERQUE, Nouveau-Mexique, 14 novembre 2013 (LifeSiteNews.com) – L’employée d’une clinique d'avortements tardifs à Albuquerque a expliqué à une journaliste infiltrée que de percer le crâne d'un enfant à naître [vivant] avec une aiguille est le moyen « le plus humain » d'assurer la mort du bébé.

Cette conseillère anonyme travaille à la clinique Southwestern Women's Options d’Albuquerque, l'une des seules du pays à pratiquer des avortements au cours du troisième trimestre de la grossesse.

Le processus dure une semaine et coûte 8000 $. « Pour chaque semaine de grossesse qui s’ajoute, le tarif augmente d’un montant de 1000 $ », a déclaré l’employée.

Une conseillère a ensuite expliqué le processus de l'avortement à la journaliste infiltrée du mouvement Live Action.

//www.youtube.com/embed/JEi5xWA6e08?rel=0

L'injection « va droit dans le sac, tout droit dans la » - elle fait visiblement une pause - « grossesse ». Selon la façon dont le bébé est placé, l'aiguille perce « le derrière du bébé » ou, plus vraisemblablement, « sa tête, son crâne. »

Lorsque la mère a demandé si l'enfant pouvait ressentir de la douleur, la conseillère a hésité. « Je ne sais pas s’il est assez développé pour la sentir, » a-t-elle dit. « Je ne pense pas », a-t-elle suggéré. « Peut-être. »

Lorsque la journaliste lui a demandé comment elle se sentait elle-même à l’idée que ses victimes ressentent peut-être une douleur intense, la femme a répondu que ce schéma est « nécessaire pour que la procédure se produise et finalement, euh, c’est la façon la plus sûre, et en quelque sorte, la plus humaine, de le faire. »

Le résultat de ce processus est « un bébé mort », a-t-elle admis.

Les scientifiques s'accordent sur le fait que les circuits neurologiques nécessaires pour que l’enfant ressente la douleur, commencent à se développer vers quatre à huit semaines et sont complétés vers la 20e ou la 24e semaine au plus tard.

Le site de l'avorteur, Dr Carmen Landau, précise que beaucoup de ses patients viennent à la clinique SWO parce qu'elle est l'une des rares qui effectuent des avortements si tard dans la grossesse.

« Les gens viennent de partout au pays et de partout dans le monde à notre clinique », a déclaré Landau, « car dans la plupart des endroits vous ne pouvez pas obtenir un avortement après 24 semaines. »

« Cet établissement est l'un des pires exemples du mépris total de l’industrie de l’avortement pour les droits fondamentaux », a déclaré Lila Rose, présidente de Live Action.

Une partie de la vidéo avait déjà été publiée en juin dans le cadre de la série Inhuman de Live Action, exposant au grand jour l'avortement tardif.

La nouvelle version a été publiée juste avant le vote du 19 novembre sur l’Ordonnance sur la protection de l’enfant à naître capable de douleur proposée par la ville, qui interdirait l'avortement après 20 semaines en raison de la douleur fœtale. Les sondages montrent que la mesure jouit d'une popularité importante dans cette ville en principe socialement libérale.

« Si Cecile Richards pensait qu’Albuquerque était une question gagnante [pour son association], elle essaierait de faire de l'argent dessus », a déclaré Rose. « Mais les courriels de financement de Planned Parenthood sont muets à ce sujet. »

Plutôt que d'amasser de l’argent, le plus grand fournisseur d'avortements de la nation a tranquillement injecté 300 000 $ dans la ville pour lutter contre la nouvelle réglementation. Un site pro-vie aurait été piraté, redirigeant les courriels de ses partisans à une organisation proavortement.

Sur la vidéo, Landau a déclaré que l'état du Nouveau-Mexique n'a pas « beaucoup de restrictions sur [l’avortement]. » À l'échelle nationale, une semblable interdiction de l'avortement après 20 semaines a été adoptée par la Chambre des représentants en juin. Cinq mois plus tard, elle a été présentée au Sénat américain.

Rose a qualifié le vote d’Albuquerque de « cas évident de lutte entre le bien et le mal ».

Laissez un commentaire