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L'Église catholique américaine poursuivie en justice pour cause de refus d'avortements dans les hôpitaux catholiques

Sur le blog de Jeanne Smits du 6 décembre 2013 :

(La Basilique-sanctuaire de l'Immaculée Conception aux États-Unis)

(Photo : AgnosticPreachersKid sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

L’ACLU (American Civil Liberties Union) association laïciste, poursuit en justice la Conférence des évêques catholiques des Etats-Unis pour obtenir la condamnation de leurs directives anti-avortement, a-t-elle annoncé lundi. Les évêques, et à travers eux l’Eglise, sont accusés d’empêcher la procuration de soins médicaux nécessaires aux femmes enceintes en état de détresse, entraînant des refus de soins (« medical negligence », en droit américain).

Le procès sera plaidé devant la cour fédérale du Michigan  où l’ACLU représentera une femme qui se plaint de ne pas avoir reçu des informations adéquates sur son état ni des soins appropriés, alors qu’elle s’était présentée dans l’hôpital catholique de la ville de Muskegon à 18 semaines de grossesse, après avoir perdu les eaux, malgré le risque d’infection que cela lui faisait courir. Mais qui ne s’est pas réalisé…

(...)

Pour certains, le plus important, c'est d'avorter... Pour lire la suite de ce très intéressant article, cliquez ici.

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Quelques détails importants sur Nelson Mandela...

(photo : paul-simpson.org sur flickr.org, licence creative commons

Une louange unanime sur le personnage? Disons plutôt que les critiques sont passées sous silence... Le caractère public du personnage permet de faire un bilan de ses politiques qui ne méritent pas toutes un éloge mondial, au contraire... Sur le blog de Jeanne Smits du 9 décembre 2013 :

En 1996, deux ans à peine après avoir accédé au pouvoir en Afrique du Sud, Mandela a signé l’une des lois les plus libérales au monde en assurant son adoption par un vote obligatoire imposé aux membres de son parti, l’African National Congress. Cette loi autorise l'avortement de plein droit pendant les 12 premières semaines de grossesse, puis jusqu'à 20 semaines en cas de viol, inceste, danger pour la santé de la mère ou malformation grave du fœtus – mais aussi si la femme estime que la venue de l'enfant pose des problèmes sociaux ou économiques, chose dont elle est seule juge. « Les femmes ont le droit de décider ce qu’elles veulent faire de leur corps », disait Mandela pour promouvoir sa loi sur « le choix de mettre fin à la grossesse ». Dix-sept ans plus tard, le nombre d’avortements légaux et remboursés par l’Etat déclarés atteint près d’un million en Afrique du Sud : près d’un million d’enfants tués dans le ventre de leur mère.

Pour un homme qu’on honore aujourd’hui pour son œuvre de promotion de la dignité humaine et de la non-violence, c’est un bilan de dimensions génocidaires. 

Favorable depuis longtemps au « mariage » des homosexuels, Mandela avait ouvert la voie en 1996 en faisant de l’Afrique du Sud le premier pays à inclure l’« orientation sexuelle » au nombre des catégories protégées au titre de la non-discrimination dans sa Constitution. Dix ans plus tard, la conséquence logique de cet « antiracisme » s’est réalisée, avec la légalisation du « mariage » des homosexuels en Afrique du Sud.
 

Bien sûr Mandela était en première ligne pour répandre l’accès à la contraception. (...)

Mandela, rappelle Smeaton, est à l’origine de l’organisation des « Elders » (« Les Anciens »), un conseil global de chefs d’Etat et leaders mondiaux retirés du pouvoir qui se proposait de donner leurs discrets avis et orientations aux responsables des pays du monde entier. Ce conseil rassemble de nombreuses figures des mouvements pro-avortement, favorables au contrôle de la population. A 95 ans, Mandela en était toujours membre honoraire.
 

Notons que le Parti Communiste Sud Africain rappelle que Nelson Mandela fut membre de son comité central jusqu'à son arrestation en 1962. Non, le moins que l'on puisse dire, c'est que les éloges manquent de pondération... 

Pour lire une critique controversée de Bernard Lugan de son bilan politique, cliquez ici.

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Des spectateurs regardent passivement un homme tentant de se suicider, en Ontario

Un texte qui fait mal. Une personne voulant se suicider décide de le faire publiquement, l'annonce sur internet, et... trouve un maximum de voyeurs  venus contempler le spectacle sur la toile. Sur le site du journal La Presse du 6 décembre 2013 :

(Photo par Djof sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Un jeune homme de 20 ans. Seul dans la chambre de sa résidence universitaire à Guelph, en Ontario. Il dit qu’il veut mourir. Mourir en direct sur le web en ce samedi soir de décembre.

Sur un site de clavardage, l’étudiant demande à des internautes de l’aider à diffuser son suicide en direct. Il les invite à venir assister à sa propre mort.
(...)
Cette histoire d’une infinie tristesse s’est déroulée samedi soir. Deux cents spectateurs, le maximum possible sur le site controversé qui diffusait la vidéo, étaient au rendez-vous. (...)

Heureusement, le jeune homme est sain et sauf. Mais les deux cents voyeurs eux, le sont-ils?

Allons-nous comprendre profondément un jour que les humains qui offraient des humains en sacrifice au dieu soleil, ou qui célébraient un veau en or, peuvent être nos contemporains?

 

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Conférence du Doyen de la faculté de droit de l'Université de Namur (Belgique) sur l'euthanasie et le projet de loi 52

Sur le site newswire.ca du 5 décembre, on trouve cette information :

(Photo : meantux sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Le Doyen de la faculté de droit de l'Université de Namur (Belgique) évoquera 11 ans d'euthanasie légale en Belgique et discutera le projet de loi québécois 52

Date: Dimanche le 8 décembre 2013.
 Heure: 10H30 le matin.
 Place: Centre St-Pierre
 1212, rue Panet, salle 204,
 Montréal, (Qc) H2L 2Y7

Il nous fait plaisir de recevoir le Professeur Dr Etienne Montero Doyen de la faculté de droit de l'université de Namur en Belgique et auteur du livre « Rendez-vous avec la mort(2013) ». Il parlera de l'expérience des onze ans d'euthanasie légale en  Belgique et compara le projet de loi 52(Québec) avec la loi belge. Vous aurez l'opportunité de le rencontrer.
 
SOURCE Coalition des médecins pour la justice sociale
Renseignements :

Dr Paul Saba md
 5148863447
 5142498541
 [email protected]
 Dr Etienne Montero
 [email protected]
 

 

 

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Ma fille tant redoutée

26 novembre 2013 | Par Patti Maguire Armstrong, traduit par Campagne Québec-Vie

 

Un père se débat avec lui-même au sujet de la naissance de sa fille trisomique : « “Si elle meurt à la suite de son intervention chirurgicale, cela mettra fin à notre douleur à tous”, avons-nous pensé. »

« C'est une fille! », a annoncé l'infirmière. Après la naissance de sept fils en bonne santé, ces mots auraient dû nous apporter une grande joie. Dans d'autres circonstances, j'aurais fait des sauts périlleux arrière. Au lieu de cela, elle était comme je l’avais redouté. Lorsque je vis ses yeux en amande, mon cœur se glaça – trisomie 21.

Ma femme Bonnie était âgée de 46 ans. Nous savions que la probabilité (de concevoir) un bébé atteint de trisomie augmente avec l'âge maternel. Aujourd’hui, malheureusement, neuf bébés atteints de trisomie sur dix sont avortés. Bonnie et moi sommes passionnément pro-vie, mais nous demandions dans nos prières un enfant en bonne santé. Un enfant ayant des besoins spéciaux, c’était (bon) pour une autre famille, une famille plus sainte que nous.

Nos fils beaux, intelligents et athlétiquement doués nous ont apporté beaucoup de joie et une légitime fierté : Thomas (15ans), Kevin (14ans), Jack (10ans), Michael et Patrick (8ans), Luke (5ans) et William (2ans). Nous ne voulions pas devenir le couple illustrant parfaitement pourquoi c'est une erreur de ne pas s’arrêter lorsqu’on est au sommet. J’imaginais même des membres de la famille disant : Comment se fait-il que vous n’ayez pas compris que le mieux est l’ennemi du bien alors que vous aviez déjà sept enfants en bonne santé?

Le travail d’accouchement de Bonnie fut l’un de ses plus faciles. L'infirmière et moi l’encouragions pendant les contractions et l’expulsion. Le bébé a glissé après une grande poussée. Mais après son arrivée, l'atmosphère est devenue tendue et silencieuse. J'ai essayé de masquer mes émotions. Quel genre de père exprimerait de la déception ou même le rejet de sa propre fille? Je savais que ces réactions étaient inappropriées.

Feindre le bonheur était au-delà de ma capacité, alors, à la place, j'ai essayé de cacher mes émotions. L'absence d'excitation joyeuse et un regard pensif sur mon visage ont révélé à Bonnie ce qu'elle se demandait : oui, c'était le bébé que nous avions craint que Dieu nous donne. Bonnie pleurait en silence.

Notre médecin a confirmé que notre petite fille semblait avoir le syndrome de Down et il a expliqué qu'elle avait besoin que l’on effectue des examens de son cœur. Plus de la moitié des enfants trisomiques naissent avec des problèmes cardiaques. Après avoir été examinée, on nous a dit que notre fille avait deux trous dans son cœur. Elle devrait subir une intervention chirurgicale à cœur ouvert quand elle aurait quelques mois de plus.

Au lieu d’être une source d’angoisse, ces nouvelles ont suscité une sombre réflexion... « Si elle meurt à la suite de l’intervention, cela mettra fin à notre douleur à tous », avons-nous pensé. Ce n’étaient pas les pensées que nous voulions, mais celles que nous avions. Nous ne lui avions même pas encore donné de nom. Bonnie me regarda et dit : « Appelons-la Grace Anne. » Elle voulait quelque chose d'assez simple mais joli, pensant déjà aux difficultés d'apprentissage qui nous attendaient.

(Après l’accouchement,) j'ai quitté l'hôpital à 3 heures du matin dans un état second, imaginant que toutes les infirmières disaient : le pauvre gars, il vient juste d’avoir sa fille et maintenant, regardez ce qui se passe. J’ai apprécié l’intimité de ma voiture. J'ai pleuré pendant toute la demi-heure du trajet de retour à la maison.

Tous les enfants dormaient encore, alors je me suis écroulé dans mon lit, complètement épuisé physiquement et émotionnellement. Me réveillant d'un sommeil court et agité, la réalité s’est imposée à ma conscience, m’emplissant de nouveau de la prise de conscience tant redoutée. J’avais l’impression que Dieu nous avait joué un mauvais tour. Sois ouvert à la vie, accepte sept fils, accepte une grossesse plus tard dans la vie et alors, je te donnerai une fille, mais elle aura un handicap.

Outre l'angoisse d'avoir une fille handicapée, il y avait l'angoisse de ne sentir que peu d'amour pour elle dans mon cœur. Ma supplication a commencé. Seigneur, s'il-vous-plaît, aidez-moi à aimer ma fille comme vous le faites. Je savais que c'était mal de ne pas l’aimer de la même manière que mes fils. J'ai commencé une quête incessante pour apprendre à aimer comme Dieu aime.

Ma première tâche était de trouver comment parler aux garçons de leur nouvelle sœur. Bonnie avait écrit un courriel à plusieurs amis et à une chaîne de prière, demandant des prières car notre petite fille avait un problème cardiaque grave. Elle a demandé aux gens de prier pour que la « grâce » nous guide sur ce chemin. J'ai partagé ce courriel avec nos fils aînés. Comme ils finissaient de le lire, nous avons pleuré et nous nous sommes embrassés.

Thomas et Grace

« On pourrait penser qu’un chromosome de plus serait une bonne chose », a commenté Thomas, mon fils aîné, « comme marquer un point de plus dans un match ». Nous avons discuté de la façon de répondre aux gens qui poseraient des questions à propos de Grace. Il ne nous semblait pas juste de dire : nous avons eu une fille, mais elle est atteinte de trisomie 21. Nous avons décidé qu'il serait préférable de simplement dire que nous avions une fille et si quelqu'un nous demandait comment elle va, nous expliquerions « Elle a un problème cardiaque ce qui est très commun pour les bébés nés avec le syndrome de Down. »

Aux garçons plus âgés, j'ai dit, « Les gars, le monde définit souvent une personne comme “parfaite” quand elle est belle, sportive, intelligente et riche. Pourtant, ce n’est pas sur ces qualités que Dieu nous juge. Il regarde l'âme, car ce sont les âmes pures qui connaissent la gloire éternelle du ciel. »

C'était comme si le Saint-Esprit me donnait les mots pour les réconforter. « Peut-être que Dieu savait que notre famille voulait une fille, alors il nous dit : “Je ne voulais pas envoyer n'importe quelle fille. J'ai gardé en réserve la fille ‘parfaite’ pour votre famille. Cette petite fille a une âme incorruptible!” » Les enfants étaient calmes et semblaient absorber ce que je disais. « Pensez au cadeau que cela représente qu’elle habite sous notre propre toit. », ai-je continué. « L’aimer, c’est aimer Dieu! Vous voyez, Dieu sait ce qui est mieux pour nous tous! »

J'ai été étonné de la facilité avec laquelle ces mots me sont venus, mais j'ai été déçu que mon amour pour ma fille ne vienne pas aussi facilement. Pourquoi ne pouvais-je pas l’aimer comme elle est ?

J'ai simplement dit à nos plus jeunes fils qu'ils avaient une sœur et que son nom était Grace. Ils sont devenus fous de joie, sautant sur place en criant : « C'est une fille, c'est une fille! » Seigneur aide-moi à aimer comme ces petits, ai-je prié.

Quand Grace et Bonnie sont revenues de l’hôpital, l’organisation de six garçons d'âge scolaire et d’un enfant en bas âge est devenue plus complexe avec les nouvelles tâches quotidiennes pour (prendre soin de) Grace. Le choc de la naissance et du diagnostic de Grace a commencé à s’estomper, mais Bonnie et moi avons continué la lutte pour réussir à l’aimer d’un amour inconditionnel.

À mesure que Grace approchait de ses cinq mois et que son opération à cœur ouvert devenait imminente, j’ai été assailli de sentiments mitigés. J'ai réalisé que j'étais moins nerveux au sujet de cette chirurgie majeure que si elle avait été planifiée pour un de mes fils. S'il vous plaît, Seigneur, ayez pitié de moi, ai-je prié, ne voulant pas l'aimer moins que mes autres enfants. D'une manière très subtile, un sentiment de compassion pour notre petite Grace passa dans mon cœur. Elle ne pesait que dix livres ; c’était si peu pour faire face à une chirurgie qui comportait un danger de mort.

Quelques jours avant son opération, comme je tenais Grace dans mes bras, j’ai été frappé du fait que je voyais sa « condition » et que cela m'empêchait de lui donner tout mon coeur. Le Christ nous voit à travers son Cœur Sacré. J'ai compris que le Christ voulait que j’aime Grace sans condition... que je sois aveugle à sa « condition ».

Bonnie avait déjà atteint ce stade. En effet, elle avait même discerné un avantage dans le fait d’avoir une fille trisomique : elle réalisait que la culture (de notre société) n’affecterait pas Grace de la même manière que les autres filles. Donc, Bonnie ne pouvait pas supporter d’être celle qui l’amènerait le jour de son opération.

Tandis que je tenais Grace (dans mes bras) tôt le matin avant son opération, et quand ensuite j’ai marché avec elle jusqu'à la salle d'opération, mon cœur s’est gonflé d'émotion. Je tombai en amour. Soudain, je ne pouvais plus imaginer perdre ma petite fille et mon cœur s’est serré en pensant aux souffrances qu’elle aurait à supporter. Quand je l’ai posée sur la table d'opération et qu’ils ont commencé à lui administrer l'anesthésie, j'ai prié et pleuré pour mon petit ange! Je ne voulais pas le perdre!

Grace est sortie de la chirurgie avec une cicatrice de sept pouces au centre de la poitrine. Les trous dans son cœur étaient réparés. Quand elle est revenue à la maison et a commencé à émerger comme le cœur de notre famille, les trous de nos cœurs ont également été réparés. Sa petite personnalité a commencé à nous captiver et tous les garçons sont tombés profondément amoureux de leur petite sœur. Ils traitent Grace différemment de leurs frères. Je crois que c'est grâce à Grace que nos cœurs ont grandi. Ses frères la prennent constamment dans leurs bras, l'embrassent et lui disent qu'ils l'aiment. Les garçons sont doués du point de vue athlétique, tandis que Grace, qui ne peut même pas courir ou sauter, est douée en amour.


Patti Maguire Armstrong et son mari ont dix enfants. Elle est l'auteure et rédactrice en chef de la série Amazing Grace d'Ascension Press. Elle est apparue à la télévision et à la radio partout aux États-Unis. Ses derniers livres, Big Hearted: Inspiring Stories from Everyday Families et le livre pour enfants Dear God, I don't Get It sont tous deux présentement en magasin.

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Maintenir les chimpanzés en captivité serait de l'esclavage selon la Nonhuman Rights Projects... Que fera votre zoo?

(chimpanzé au zoo de Leipzig)

(Photo : Thomas Lersch sur wikimedia.org, licence creative commons)

Sur le site du journal Le Monde du 4 décembre 2013 :

 

"Nous affirmons que les chimpanzés sont autonomes et ont conscience d'eux-mêmes. Les maintenir en captivité équivaut à de l'esclavage. Obtenir un statut juridique permettrait que leurs intérêts fondamentaux soient protégés par les droits humains", explique Steven Wise, avocat, professeur et président de l'ONG, qui regroupe une soixantaine de juristes et de scientifiques, dont la primatologue mondialement reconnue Jane Goodall.

Ils réclament la « liberté de mouvement » pour les chimpanzés...

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Horreur : Féministes pro avortement agressent sexuellement des hommes en prière qui défendent une cathédrale (VIDÉO)

//www.youtube.com/embed/fOCD_T9Qqpc

par Sofia Vazquez-Mellado, traduit par Campagne Québec-Vie

Buenos Aires, 2 décembre 2013 (LifeSiteNews.com) – Des séquences vidéo extrêmement choquantes filmées, dans la ville de San Juan en Argentine, montrent une foule de féministes, lors d'une manifestation récente, attaquant et agressant sexuellement un groupe d'hommes catholiques qui prient le rosaire et qui protègent pacifiquement la cathédrale des menaces de vandalisme.
Beaucoup de ces femmes avaient les seins nus. Elles ont peint à la bombe l’entrejambe et le visage des hommes, des croix gammées sur leurs poitrines et leurs fronts, utilisant des marqueurs pour peindre des moustaches à la Hitler sur leurs visages. Elles ont également exécuté des actes obscènes devant eux et ont poussé leurs seins sur leurs visages, tout en criant « enlevez vos rosaires de nos ovaires ». (Note : Une partie du contenu le plus explicite a été retiré de la vidéo. La séquence non censurée est disponible ici. Public averti seulement.)

Selon InfoCatolica, certaines des femmes chantaient une chanson, dont voici quelques paroles : « À l'Église catholique, apostolique et romaine, qui veut se glisser entre nos draps, nous disons que nous voulons être putes, travesties et lesbiennes. L'avortement légal dans tous les hôpitaux. »

Pendant l'attaque, certains hommes pleuraient visiblement. Aucun d'entre eux n’a riposté à cette accumulation d’abus perpétrés contre eux.

 
 
Bien que la manifestation ait eu lieu en face de la cathédrale, Infobae signale que « toute la ville s’est réveillée (couverte de) graffitis en faveur de l'avortement ».

À l’intérieur de la cathédrale, 700 personnes étaient également en prière accompagnées de leur évêque Mgr Alfonso Delgado.

Après avoir vainement tenté d'entrer dans le bâtiment, les femmes ont brûlé une effigie grandeur nature du pape François. « Si le pape était une femme, l'avortement serait légal », criaient-elles.

L'attaque a eu lieu le dimanche 24 novembre lors de la Rencontre nationale des femmes, qui réunit chaque année les féministes argentines qui soutiennent « les droits des femmes ».

La police aurait déclaré aux médias qu'ils n'ont pas pu intervenir parce que « c’étaient des femmes ».

Le curé de la paroisse le Père Rómulo Campora a dit au journal Diario de Cuyo que « c’est un outrage de brûler l'image du pape François, non seulement envers l'Église, mais envers chaque Argentin parce que le pape est argentin. »
 

 
 
Faisant l’éloge des hommes qui ont défendu l’église, il a ajouté : « San Juan aime son Dieu, aime sa foi, aime sa famille. »

Il a déploré les dommages causés à la cathédrale et a conclu que « si elles ne respectent pas la vie, nous ne pouvons pas nous attendre à ce qu'elles respectent les bâtiments ».

La rencontre nationale des femmes a lieu chaque année dans différentes villes d’Argentine, subventionnée par le ministère de la Culture comme un événement d’« intérêt social ».

Selon le site pro-vie argentin ArgentinosAlerta.org, ce n'est pas la première fois que les féministes concluent dans la violence publique contre les églises et les catholiques.

Dans le passé, les cathédrales de Bariloche, Paraná et Posadas ont également subi des dommages de la part de ces groupes.

« Ces rencontres de femmes représentent la civilisation d'aujourd'hui qui cherche à imposer ses propres règles », dit le site.

« D'un côté, elles cherchent à imposer l'agenda politique que dictent les organisations internationales : contrôle de la population, avortement, contraception, homosexualité. De l'autre, elles deviennent barbares dans le sens le plus littéral. »

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82% des avortements à New York concernent des bébés noirs ou hispaniques...

Nous avons déjà parlé de la genèse eugéniste et raciste du mouvement « pro-choix ». Pour voir les reportages (maafa 21) sur le sujet, cliquez ici. Voici quelques statistiques qui viennent confirmer ce que nous rappelle l'histoire du mouvement « pro-choix » :

Le dernier rapport sur la surveillance de l’avortement, publié le 29 novembre 2013 et qui couvre l’année 2010, contient des chiffres extrêmement surprenants qui montrent que l’avortement vise la population noire et hispanique.
 
Le rapport révèle qu’en 2010, 56.7% des avortements effectués aux Etats Unis concernent des femmes noires et hispaniques. Il y a eu, en 2010, un total de 415,479 avortements. 153,045 avortements de bébés blancs non hispaniques (36.8 %), 148,261 de bébés noirs (35.7%), 87,240 de bébés hispaniques (21.0%), et 26,933 de bébés d’autres races ou ethnies (6.5%).
 
Le rapport révèle aussi que la majorité des bébés noirs et hispaniques ont été avortés dans le New Jersey (55.9%), le District de Columbia (64.8%) et la Georgie (73.2%). A New York city seul, 81.9‰ des bébés avortés étaient noirs ou hispaniques, et au Texas, 63.7%.
 
Selon les opposants à l’avortement, il s’agit d’une véritable discrimination raciale, une entreprise d’eugénisme.
 
“Cela confirme ce que nous disons depuis longtemps : l’avortement n’est pas un sujet sur le droit des femmes, ou sur la liberté de reproduction, c’est juste une affaire d’eugénisme,” a déclaré Mark Crutcher de Life Dynamics, un mouvement pro-vie. “Nous avons documenté cette visée eugénique contre des minorités dans notre film, Maafa21, ainsi que dans notre rapport publié en 2011. Ce que nos recherches ont démontré est que le lobby de l’avortement opère un profilage racial en installant leurs centres de planning familial dans les quartiers à forte concentration de minorités ethniques.”
 
Crutcher : “Maafa21 mentionne une étude conduite par trois recherches d’universités américaines sur les critères de décision des emplacements géopgraphiques des centres de planning familial. Les résultats montrent que le premier critère n’est pas les quartiers pauvres, mais le pourcentage de noirs. »
 
(...)

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
 

 

 

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Une étude « change la donne » en constatant un risque accru de cancer du sein après avortement chez les femmes chinoises

par Peter Baklinski, traduit par Campagne Québec-Vie

TIANJIN, Chine, 29 novembre 2013 (LifeSiteNews.com) — Les défenseurs de l'avortement ont nié jusqu’à présent sans relâche qu’il puisse y avoir un lien entre l'avortement et le cancer du sein; mais une nouvelle étude sortie en Chine semble montrer non seulement qu'un tel lien existe, mais que le risque de cancer augmente avec chaque avortement.

Dr Joel Brind, professeur d'endocrinologie au Baruch College de l’Université de New York et directeur de l'Institut de prévention du cancer du sein, a qualifié les conclusions de l’étude « de véritable changement de la donne » pour ceux qui refusent d’admettre le lien dit ABC.

L'incidence du cancer du sein en Chine a augmenté à un « rythme alarmant » au cours des deux dernières décennies, ce qui correspond à l’expansion de la politique de l'enfant unique du Parti communiste chinois.

L'étude, intitulée « Une méta-analyse de l'association entre l'avortement provoqué et le risque de cancer du sein chez les femmes chinoises » a été publiée cette semaine dans Cancer Causes and Control, une revue internationale sur le cancer dont les articles sont évalués par des pairs.

La recherche a été menée par Yubei Huang et al. du Département d'épidémiologie et de biostatistiques de l'Hôpital du cancer de l’Université médicale de Tianjin.

Les chercheurs disent qu'ils ont d'abord été déroutés par leurs conclusions, affirmant qu’« historiquement » les femmes chinoises avaient des taux de cancer du sein plus bas que les femmes des pays occidentaux tels que les États-Unis.

Ils ont constaté, toutefois, que l'incidence du cancer du sein en Chine a augmenté à un « rythme alarmant » au cours des deux dernières décennies, ce qui correspond à la montée de la politique de l'enfant unique du Parti communiste chinois.

La politique de l'enfant unique est strictement appliquée, et les femmes qui transgressent le quota sont souvent contraintes d’avorter. Plus de 336 millions de bébés ont été avortés en Chine depuis les années 1980.

« Un parallèle a été établi entre le changement marqué dans l'incidence du cancer du sein et la politique d’un seul enfant par famille », ont indiqué les chercheurs.

Reggie Littlejohn, présidente de l’association Droits des femmes sans frontières, a déclaré que cette recherche révèle « encore une autre violation des droits de l'homme reliée à la politique de l'enfant unique en Chine ».

« Ainsi, les femmes de Chine ont à supporter l'énorme traumatisme de l’avortement tardif forcé, qui leur arrache leur bébé; ensuite, dix ans plus tard, le cancer du sein leur prend leur santé et même leur vie », a-t-elle dit à LifeSiteNews.com.

Les chercheurs ont tiré leurs conclusions après avoir examiné 36 études qui se sont penchées sur le lien entre l'avortement et le cancer du sein.

Le risque global de développer un cancer du sein chez les femmes n’ayant eu qu’un seul avortement est une augmentation de 44 pour cent.

Qualifiant cela de « relation dose-réponse », les chercheurs ont également constaté que le risque de cancer du sein augmente avec le nombre d'avortements. Deux avortements augmentent le risque de 76 pour cent, trois de 89 pour cent.

« En résumé, la conséquence la plus importante de cette étude est que l’avortement provoqué (AP) est significativement associé à un risque accru de cancer du sein chez les femmes chinoises, et que le risque de cancer du sein augmente à mesure que le nombre d’AP augmente », ont conclu les chercheurs.

Les chercheurs ont qualifié leurs conclusions de « compatibles » avec celles du Dr. Brind, qui a trouvé en 1996 dans une méta-analyse que les femmes avaient 30 pour cent plus de chances de développer un cancer du sein après l'avortement de leur enfant.

« Non seulement [l’étude] valide les conclusions antérieures de 1996, mais ses conclusions sont encore plus fortes », a déclaré Brind à LifeSiteNews.com.

Brind dit que les partisans de l’avortement devraient être « très préoccupés » par cette recherche, car elle montre comment « des millions et des millions » de femmes en Asie sont affectées négativement par ce que les plus ardents défenseurs de l'avortement appellent une procédure « sûre ».

Il a déploré, toutefois, que « tout ce qui remet en question le mythe de l’"avortement sans risque" soit contesté, nié, rabaissé, discrédité, jeté à la poubelle. »

La recherche chinoise s'inscrit dans la foulée de deux études similaires plus tôt cette année. Une étude publiée dans Indian Journal of Community Medicine en mai a trouvé 6 fois plus de risques de cancer du sein chez les femmes indiennes ayant des antécédents d'avortement provoqué comparativement aux femmes n'ayant pas de tels antécédents. Une étude similaire au Bangladesh, publiée dans Journal of the Dhaka Medical College en avril, a constaté que les femmes ayant des antécédents d'avortement ont une probabilité 20 fois plus grande de développer un cancer du sein que les femmes qui n'ont pas de tels antécédents.

Dans un rapport le mois dernier, Brind avait indiqué que les conclusions de ces deux études sont « du genre d’ordre de grandeur qui a caractérisé le lien entre la cigarette et le cancer du poumon ».

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Non M. Dalpé, votre chien n'a pas de sentiments...


(Habituellement, ceux qui pratiquent l'anthropomorphisme sur les ours, de trop près, y laisse une délicieuse bouchée, au goût de l'ours...)
 
(Photo : Jean-Michel Demimieux sur wikimedia.org, licence creative commons)
 
 
Nous sommes dans une société imprégnée par la culture Walt Disney. Tout jeunes, nous avons vu et revu ces animaux aux comportements et langages humains de nos dessins animés et avons intégré cet anthropomorphisme de telle sorte que nous ne savons plus interpréter le comportement animalier autrement qu’en le comparant à des attitudes humaines qui nous paraissent semblables… Nous avons presque aimé nos chiens et chats comme des membres de notre famille...
 
Pourtant, il faut voir comment un chien est dressé par un professionnel pour constater à quel point notre animal est… une bête! Un dresseur parle à un chien, pas à un chien humanisé!
 
C’est aussi le constat que peuvent nous rappeler des vétérinaires par exemple.
Sur le site d’infoveto, on peut lire ces remarques d’une vétérinaire, sur les sentiments des animaux :

 
L’émotion est une sensation de courte durée à un moment donné. Le sentiment, lui, requiert l’intégration de ces émotions.
 
Le chat ressent des émotions mais pas de sentiments :
 
Le chat ressent des émotions telles que la peur, la joie, la tristesse mais il n’intègre pas ces émotions de façon à ressentir des sentiments.
 
Le croire, c’est accorder des capacités humaines à notre chat, on parle alors d’anthropomorphisme.
 
Quelques exemples de la vie quotidienne. Lorsque votre chat urine sur vos chaussures ou votre sac, ce n’est pas une vengeance.
 
Un élément a certainement perturbé son environnement et cela traduit un état d’anxiété et de stress (hors raisons médicales à écarter avec votre vétérinaire).
 
Lorsque votre chat fuit lorsqu’une porte claque, il s’agit d’une émotion de peur. Ces émotions, même si elles peuvent être de courte durée, n’en sont pas moins intenses mais en aucun cas il ne s’agit de sentiments.
 
Les émotions sont des réactions intenses et courtes à un signal perçu. Elles se traduisent par des manifestations comportementales (par exemple s'immobiliser, fuire, combattre, sursauter etc) et par des manifestations physiologiques. Ces manifestations peuvent être observées, quantifiées, chez le chat et le chien comme chez l'humain. > Le sentiment est en sorte la représentation mentale de l'émotion, et aussi la représentation de la cause de l'émotion. Cela suppose d'établir une relation entre l'émotion et ce qui la provoque. > La capacité des animaux à ressentir des émotions est aujourd'hui prouvée et l'évaluation d'un certain nombre de paramètres comportementaux et physiologiques a d'ailleurs de nombreuses applications notamment pour évaluer le bien-être d'un animal ou le mal être ...avec des conséquences très positives sur l'évolution de la législation concernant les animaux de compagnie mais aussi les animaux de rente. Dans l'état actuel des connaissances scientifiques, la capacité des chats et des chiens à ressentir des sentiments ne l'est pas. Par exemple, on peut parler d'attachement pour le chat et le chien, comme pour d'autres espèces animales, qui est le produit des comportements ayant pour objet la recherche et le maintien de la présence d'un autre animal ou d'une personne spécifique, c'est un besoin social. Ce processus a été étudié par des éthologues. Le lien d'attachement est reconnu scientifiquement et il peut d'ailleurs expliquer à lui seul la quête d'un être d'attachement, une dépression réactionnelle à un décès, de même que le trouble « anxiété de séparation » lié à un hyperattachement primaire est bien décrit. Mais toujours dans l'état actuel des connaissances scientifiques, on ne peut pas parler « d'amour » qui est un sentiment. Cela n'enlève rien au lien si fort qui nous unit. On peut parler de stress ou de peur, réactions qui se mesurent par des manifestations comportementales et physiologiques et que l'on peut parfaitement inférer actuellement chez un animal de compagnie... mais on ne peut pas parler actuellement de haine, ou de vengeance qui sont des sentiments. (…) Mon propos était d'attirer l'attention des maîtres sur le fait qu'on apporte parfois de mauvaises réponses à certains comportements gênants exprimés par nos compagnons, parce qu'on leur prête des sentiments humains et des mauvaises intentions alors que ces comportements peuvent être des réactions. C'est toute la différence entre « réagir » et « agir intentionnellement ». Penser qu'un chat est capable de vengeance par exemple, donc d'intention de nuire, peut conduire des maîtres à sanctionner après coup comme ils le feraient avec un humain... ce qui ne fait qu'aggraver le problème. Dr Laetitia Taralle

 
Cette mise au point permettra de prendre avec un grain de sel les affirmations de psychologues transposant sur leurs animaux des sentiments humains, comme le fait Yves Dalpé dans le journal Le Soleil du 4 décembre 2013 :

 
« On sait maintenant que les animaux peuvent former des liens d'affection et aimer. Dernièrement, le chien d'une cliente était tellement affecté par son déménagement qu'il en restituait. Il ressentait sans doute la peine et l'anxiété de sa maîtresse qui était dans un processus de séparation conjugale. Les chats et les chiens sont de bons compagnons. Bien qu'ils ne soient pas des humains, ces animaux sont des personnes avec de l'intelligence et des sentiments. Je pense que ces “personnes” peuvent enrichir nos vies si nous avons de la place pour ces “amitiés”. »

 
Non M. Dalpé, un vétérinaire bien formé vous expliquera ce qui diffère fondamentalement entre votre chien et vous et comment le dresser pour avoir le comportement adéquat. Et il pourra vous expliquer les erreurs d’interprétation que vous faites en jugeant telle réaction bien comprise par les spécialistes du comportement animalier comme étant un « sentiment ».
 
Cela vous évitera alors de penser que ces animaux sont des « personnes » tel que vous le croyiez lorsque vous regardiez enfant les aristochats, Bambi ou les 101 dalmatiens…
 
Et de réduire l’intelligence si incroyable d’un enfant de deux ans à la reconnaissance de 165 mots que peut faire un chien. Une erreur qu’habituellement un parent d'un enfant de deux ans, propriétaire d'un chien, ne pourrait jamais faire...
 
Ces distinctions permettraient également à la Non Human Rights Projects de laisser tomber sa bête tentative de faire reconnaître légalement des chimpanzés comme des personnes ayant droit à l’habeas corpus!
 
Dans toute cette folie qui ne sait plus faire la distinction entre l’homme et l’animal, il y a cette pseudophilosophie sous-jacente de Peter Singer qui a développé le concept de « spécisme ».
 
Limprégnation de notre société de l’évaluation de la valeur d’un être vivant pas son degré de conscience est très inquiétante. C’est ce qui permet au délirant Peter Singer d’affirmer que « tuer un chimpanzé est pire que tuer un être humain qui, du fait d’un handicap mental congénital, n’est pas et ne sera jamais une personne. » (SINGER, Peter. Questions d’éthique pratique, éd. Bayard, coll. Philosophie, Paris, 1997, p.120)
 
L’incapacité de voir la différence entre un animal et un humain est le prochain défi qui nous attend. La valeur de la dignité humaine est en jeu. Beaucoup croient déjà que certains animaux devraient avoir plus de droits que certains humains, dont les enfants de moins de 2 ans ou les handicapés mentaux, et qu’il devrait être possible d’euthanasier ces derniers si nous, intelligences évoluées, pensons qu’ils souffriraient moins ainsi.
 
Si c’était la capacité d’aimer qui servaient d’étalon d’humanité, combien de ces intelligences évoluées se verraient dénier même le degré d’humanité d’une roche?
 

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