M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

La semaine de prévention du suicide se terminera par un vote pour permettre l'euthanasie?

Prévention du suicide? Oui. Et prévention de l’euthanasie! 

Sur le site de Vivredignite.blogspot.ca :

Montréal, le 27 janvier 2014 – La Semaine nationale de prévention du suicide aura lieu du 2 au 8 février 2014 au Québec. Son thème en dit long et recevra certainement l’appui d’une majorité de citoyens et citoyennes :  « T’es important(e) pour nous. Le suicide n’est pas une option. » Le réseau Vivre dans la Dignité salue cette importante initiative.

(Photo d 'un micro près d'un pont où les gens peuvent demander de l'aide plutôt que de sauter la barrière... https://guillaumepaumier.com/ sur wikimedia.org, licence creative commons)

Par ailleurs,  les membres de l’Assemblée nationale s’apprêtent à  voter sur le Projet de loi 52, Loi concernant les soins de fin de vie.  S’il est adopté, ce projet de loi légalisera l’euthanasie au Québec. Quelle ironie! D’une part, les personnes désespérées se font dire :  « Ne vous tuez pas. Allez chercher de l’aide ». Et d’autre part, elles s’entendent proposer : « Nous vous aiderons à mettre fin à votre vie. »

Un des objectifs de la Semaine de prévention est  de provoquer un « changement de culture face au problème du suicide au Québec ». Excellente idée, puisque la culture actuelle oublie  que l’euthanasie aussi est une idée dangereuse – une pratique qui va main dans la main avec le suicide.

Les causes du suicide sont complexes, mais les personnes qui posent ce geste fatal le font généralement pour mettre un terme à leurs douleurs psychologiques ou physiques. Or, l’un  des critères d’admissibilité à « l’aide médicale à mourir » (l’euphémisme utilisé par le Projet de loi 52 pour déguiser l’euthanasie) est justement que la personne  éprouve des douleurs physiques ou psychiques qu’elle juge intolérables (même si elle refuse tout traitement, y compris pour la dépression). Pourtant,  les médecins spécialisés en soins palliatifs ne cessent de répéter  que la médecine moderne peut soulager toutes les douleurs physiques.

Le Projet de loi 52 n’est pas nécessaire. Il  est dangereux et menace la sécurité des plus vulnérables.

N’oublions pas qu’un jour nous deviendrons tous vulnérables. Prévenons le suicide. Bloquons tout projet d’euthanasie, peu importe le déguisement qu’on lui prête. Insistons auprès de nos députés : ils doivent voter contre le Projet de loi 52.

Sources : Le réseau citoyen Vivre Dans la Dignité. Suivez-nous sur Twitter au @vivredignite

Pour informations supplémentaires ou pour organiser une entrevue, veuillez contacter :

Nicolas Steenhout

Directeur général

Vivre Dans la Dignité

[email protected]

438-931-1233

 

Laissez un commentaire

La chambre des représentants américains veut inciter les compagnies d'assurances à ne pas couvrir les avortements

Sur le site du journal La Presse du 28 janvier 2014 :

(Si seulement le président américain pouvait avoir un minimum de compassion envers les enfants à naître torturés et éliminés sur le territoire américain.)

(Photo : cfishy sur flickr.com, licence creative commons)

L'utilisation de fonds publics fédéraux pour des avortements est déjà interdite aux États-Unis, via des amendements et décrets régulièrement renouvelés, mais le texte républicain entend rendre cette interdiction permanente. (...)

La proposition de loi «libère les contribuables de la charge d'avoir à subventionner la pratique monstrueuse de l'avortement et les couvertures maladies qui incluent l'avortement», expliquait en janvier le représentant républicain Bob Goodlatte. (...)

La chambre des représentants, majoritairement républicaine, peut faire passer ce projet de loi. Mais le président Obama pourra y apposer son veto...

 

Laissez un commentaire

Petit texte impertinent sur le « Mon corps m'appartient » et notions scientifiques sur l'embryon comme « personne »

Sur le site de bvoltaire.fr du 24 janvier 2014, ce texte très vrai fait avec un ton provocateur et décapant :

(Le slogan que l'on retrouve dans toutes les manifestations pro-choix est une belle illustration du déni devant la réalité de l'enfant à naître, une réalité trop difficile à supporter quand on l'a éliminé dans le sang...)

(Photo : Santiago Times sur flickr.com, licence creative commons)

Donc, tu veux garder « le contrôle de ton corps ». Mais, chérie, wake up ! Personne ne t’en a jamais empêché. J’sais pas, moi…tu veux t’arracher un globe at? Go for it ! T’as envie d’implants mammaires ? Be my guest ! T’en veux trois ? Pourquoi pas ?!

Mais le truc, vois-tu, c’est qu’à moins que tu aies deux cerveaux, quatre jambes, quatre bras, quatre poumons, et autant d’yeux, le corps qui se trouve dans le tien… ce n’est pas le tien. Et le corps des autres, ben là, tu vois, c’est pas touche ! Le petit cœur qui bat dans ton ventre, c’est celui d’un ou d’une autre, et donc, simplement, il ne rentre pas dans la case « disposer de mon propre corps ». Capici ?

Tiens, amuse-toi à faire une expérience : file à Bogota, avale un sac de cocaïne et présente-toi tout sourire à la douane à Roissy. Ensuite, une fois passé le scanner qui confirmera ce que tu auras ingurgité, essaie d’expliquer aux douaniers que « ce qui est en toi est toi » et que tu « disposes de ton propre corps comme tu l’entends ». Tu vas vite comprendre. (...)

Pour lire la suite, cliquez ici. La réaction de plusieurs « pro-choix » à la suite de ce texte est que la première cellule à la conception ne possède pas encore de tête ou de coeur,etc. À leur intention, nous leur transmettons ce texte scientifique du professeur Flore Alessandro, médecin légiste, sur l'évidence d'un être humain personnel, unique au monde, dès la conception (Identité et statut de l'embryon humain):

La conception humaine n'est plus un mystère aujourd'hui. Il y a des données et des acquis incontestables sur la question de la vie. Aucun savant digne de ce nom ne peut contester cette vérité.

Au moment de la fécondation, le spermatozoïde entre dans l'ovule. Les deux gamètes des deux parents forment une entité biologique appelée zygote. Le zygote porte en lui un nouveau projet programme individualisé qui est une nouvelle vie
individualisée.

Biologiquement parlant, le père et la mère participent avec 50% chacun pour la formation du nouveau-né. Chaque être humain a dans sa cellule 23 paires de chromosomes. Au cours de la fécondation, chaque parent donne la moitié pour recomposer les 23 paires des cellules du nouveau-né. (...)

Pour lire la suite de cet excellent résumé scientifique sur l'humanité et le statut de personne de la première cellule, cliquez ici.

Laissez un commentaire

Aux États-Unis, un homme est condamné à 14 années de prison pour avoir donné une pilule abortive à sa copine, à son insu

Sur le site du Journal de Québec du 28 janvier 2014 :

(14 ans de prison? Probablement le temps nécessaire pour qu'un avorteur réalise que même si un un petit enfant ne peut parler et se défendre, cela ne donne pas le droit de le tuer...)

(Photo :  decade_null sur flickr.com, licence creative commons)

John Andrew Walden, 29 ans, a exprimé des remords pour avoir donné à sa nouvelle ex-copine, Remee Jo Lee, 27 ans, une pilule d’avortement au lieu d’un antibiotique l’an dernier pour ainsi tuer le bébé fœtus de 6 semaines. Le juge a déclaré lundi dernier que Welden « va en payer les conséquences. »

Il a présenté ses excuses lundi, en Floride, pour ses actions commises pendant qu’un juge de la cour fédérale lui donnait une peine d’emprisonnement de 13 ans et 8 mois, selon ce que qu’a rapporté le Tampa Tribune.

« Ce n’était pas seulement « une histoire » pour moi », a déclaré Lee au juge. « C’était la mort de mon enfant. » (...)

Voila une femme qui ne se raconte pas d'histoire de « tas de cellules » et de « crevettes » pour désigner celui qui était réellement, son enfant...

 

Laissez un commentaire

Aux États-Unis, un homme est condamné à 14 années de prison pour avoir donné une pilule abortive à sa copine, à son insu

Sur le site du Journal de Québec du 28 janvier 2014 :

John Andrew Walden, 29 anJohn Andrew Walden, 29 ans, a exprimé des remords pour avoir donné à sa nouvelle ex-copine, Remee Jo Lee, 27 ans, une pilule d’avortement au lieu d’un antibiotique l’an dernier pour ainsi tuer le bébé fœtus de 6 semaines. Le juge a déclaré lundi dernier que Welden « va en payer les conséquences. »

Il a présenté ses excuses lundi, en Floride, pour ses actions commises pendant qu’un juge de la cour fédérale lui donnait une peine d’emprisonnement de 13 ans et 8 mois, selon ce que qu’a rapporté le Tampa Tribune.

« Ce n’était pas seulement « une histoire » pour moi », a déclaré Lee au juge. « C’était la mort de mon enfant. », a déclaré Lee au juge.  (...)

Voila une femme qui ne se raconte pas d'histoire de « tas de cellules » et de « crevettes » pour désigner celui qui était réellement, son enfant...

 

Laissez un commentaire

Un député veut empêcher la censure par les partis politiques des projets de lois et motions d'initiatives parlementaires

Sur le site de Radio-Canada du 28 janvier 2014 :

(Le Premier Ministre Stephen Harper refuse constamment de cesser la censure de la problématique de l'avortement au parlement.)

(Photo : Remy Steinneger sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

Le député de la circonscription de Saskatoon-Wanuskewin, en Saskatchewan, Maurice Vellacott, a annoncé le dépôt d'une motion visant à empêcher le gouvernement de faire taire ses députés en bloquant les projets de loi et motions d'initiative parlementaire.

Cette motion viendrait modifier le système actuel, en vertu duquel une poignée de députés membres d'un sous-comité sous domination conservatrice décide du choix des projets de loi d'initiative parlementaire qui seront soumis à un vote aux Communes.

Laissez un commentaire

Très bon texte sur la déshumanisation du Québec

Sur le site de La Vie est Belle du 27 janvier 2014, un texte de Luc Phaneuf à lire :


(les nouvelles églises ouvertes tous les jours)


(Photo : Jean Gagnon sur wikimedia.org, licence creative commons)



Pardonnez ma franchise : le Québec me déprime. Comprenez-moi bien : je ne suis pas au bord de la dépression, loin s’en faut. Ma vie, globalement, va plutôt bien : la famille est en santé, la femme est heureuse – Happy wife happy life, affirme l’adage -, mon travail me passionne toujours autant, je déborde de projets sportifs et intellectuels, j’ai repris la guitare après une pause de 15 ans… Rien dans ma vie quotidienne ne me tire vers le bas, tout au contraire

Rien ? Non, pas tout à fait. Le problème, c’est, comment dire, le Big Picture, l’actualité, et je ne parle pas ici des problèmes en Syrie ou en Palestine. Non, ce qui m’irrite jusqu’à risquer de me faire perdre ma sérénité d’âme et d’humeur, ce sont nos affaires à nous, les Québécois, telles que colportées par l’actualité et ses débats.
(...)

Laissez un commentaire

La Cour Suprême des États-Unis suspend l'Obamacare pour les organismes religieux

Sur le site de zenit.org du 27 janvier 2014 :

(Photo de trois des pires politiciens de l'histoire américaine par Barack Obama sur flickr.com, licence creative commons)

Les évêques des Etats-Unis saluent la décision de la Cour suprême de suspendre provisoirement la directive de santé dite « Obamacare » pour les organismes religieux.

Cette nouvelle directive de santé oblige les employeurs à fournir une couverture sociale à leurs employées, couvrant notamment la stérilisation, l’avortement et la contraception. La congrégation des Petites Sœurs des Pauvres de Denver a tenté un recours contre cette loi.
(...)

Le bras de fer entre les chrétiens américains et le président Obama se poursuit. Ce dernier a montré à maintes reprises sa volonté d'imposer le remboursement de l'avortement par les institutions religieuses et compagnies, mais la justice américaine vient contrecarrer sa volonté despotique. Personne ne devrait avoir à débourser pour payer un avortement. Ni l'État, ni personne...

Laissez un commentaire

Les « pro-choix » américains heureux que l'on ait débranché une femme enceinte, laissant ainsi mourir son enfant

Sur le site du journal la Presse du 27 janvier 2014 :


(Manifestation « pro-choix » à Bruxelles. Le seul choix pour un « pro-choix », c'est d'éliminer un enfant...)


(Photo : Centre d'Action Laïque de la Province de Lièges, sur flickr.com, licence creative commons)



(...)un juge du Texas a ordonné vendredi à un hôpital de Fort Worth de débrancher Marlise Muñoz, cette femme en état de mort cérébrale mais maintenue en vie artificiellement depuis le 26 novembre parce qu'elle était enceinte.


Dimanche matin, vers 11h30, l'hôpital John Peter Smith (JPS) a décidé d'obéir à ce jugement plutôt que d'en appeler, mettant fin à une histoire à la fois tragique et macabre dont le retentissement a dépassé les frontières des États-Unis.


 (...)


Cette femme avait laissé des indications pour qu'il n'y ait pas d'acharnement thérapeutique, mais rien sur le fait qu'elle pourrait être enceinte. Les « pro-choix » dont Richard Hétu de la Presse, se réjouissent donc qu'on l'ait débranché, alors qu'elle ne souffrait en rien de sa grossesse. Il fallait absolument que cet enfant meure aussi...


Ce goût de tuer et de faire mourir que l'on retrouve chez les « pro-choix » est tout simplement dégoûtant, à faire vomir...

Laissez un commentaire

« Je n’accepte aucune obligation ou interdiction concernant mes droits sexuels et reproductifs »

Des « pro-choix » européens paniquent devant la prise de conscience de plus en plus d'Européens des droits de l'enfant à naître. Ils ont alors décidé de concocter un texte qui illustre particulièrement bien l'égoïsme et l'irresponsabilité des positions pro-choix, à présenter au congrès des députés espagnols. Sur le site de nosostrasdicimos.org, en voici un extrait :


(Photo : congrès des députés espagnols par Luis Javier Moreno Martinez sur wikimedia.org, licence creative commons)



Parce que je décide

Parce que je décide à partir de l’autonomie morale, qui est la base de la dignité de toute personne, je n’accepte aucune obligation ou interdiction concernant mes droits sexuels et reproductifs , et en conséquence (aucune entrave) à ma totale réalisation en tant que personne. En tant qu’être humain autonome, je refuse d’être soumise à des traitements dégradants, à des ingérences arbitraires et à des tutelles coercitives dans ma décision d’être ou de ne pas être mère. (...)


On dirait une adolescente, ou plus exactement, une enfant bornée tapant du pied et rageant en exigeant son jouet à l'épicerie... Mais dans ce cas-ci, le jeu réclamé est celui de mettre à mort un enfant. Les «pro-choix» sont des inconscients. Mais ils sont de moins en moins nombreux à refuser de voir la réalité scientifique de l'enfant à naître.

Laissez un commentaire