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61 enfants sauvés aux 40 Jours pour la Vie!

Sur le site de Riposte  Catholique du 11 mars 2014 :

C’est la bonne nouvelle du jour ! Au septième jour de la campagne de Carême lancée Mercredi des Cendres, 61 enfants à naître ont déjà été sauvés de l’avortement grâce à la présence paisible et priante des vigiles devant 253 avortoirs, grâce aux “conseillers de trottoirs” qui proposent aux mamans qui envisagent l’avortement des solutions concrètes pour qu’elles y renoncent, grâce aux jeûneurs, et grâce, aussi, aux “prières de l’arrière” de ceux qui, sans participer sur place aux vigiles, prient aux intentions des 40 Days for Life. (...)

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Témoignage d'une infirmière manifestant dans la rue aujourd'hui sur les soins palliatifs...

Sur le site de Radio-Canada du 12 mars 2014 :

(Photo : goodcatmum sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

 

 

« On est obligées d'aller à l'essentiel, se plaint Gabrielle, infirmière en soins palliatifs. On a moins de temps pour retourner les patients régulièrement dans leur lit (afin d'éviter les plaies), moins de temps pour les faire marcher (afin qu'ils gardent leur force physique). » Quand une collègue malade n'est pas remplacée, la situation s'aggrave : « Si on doit prendre les signes vitaux d'un patient quatre fois par jour, bah, des fois le soir, on n'a pas le temps, on les prend juste une fois. »

C'est le type de soins palliatifs que les gouvernements aiment mettre en place : très économique. Cela leur permet d'affirmer qu'ils installent ce type de service tout en plaçant en priorité l'offre d'euthanasie, pour ceux qui ne supporteraient pas la comédie de services palliatifs dérisoires...

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Philippe Couillard réitère qu'il ramènera le projet de loi sur l'euthanasie...

(Photo : François Thivierge sur flickr.com, licence creative commons)

On ne peut voter pour un parti les yeux fermés. Si Philippe Couillard s'engage à ramener le projet de loi 52, il sera certainement voté grâce à la ligne de parti du Parti Québécois.

Il faut voter pour le meilleur candidat pro-vie dans son comté et non pour un parti politique. Sur le site de Radio-Canada du 11 mars 2014 :

 

(...)

Un vote libre sur la question de l'aide à mourir

Par ailleurs, le chef du PLQ a mentionné qu'un gouvernement libéral réintroduirait le projet de loi sur la question de mourir dans la dignité et permettrait un vote libre de ses députés sur la question.

À quelques heures de la relâche parlementaire et du dépôt du budget, le 20 février dernier, Philippe Couillard avait annoncé que son caucus ne comptait pas accélérer la marche et réduire les interventions des députés afin de permettre l'adoption in extremis du projet de loi parrainé par la péquiste Véronique Hivon. Il aurait fallu l'accord de tous les partis afin de prolonger les débats et, ensuite, passer au vote. (...)

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Lise Ravary revient sur le cas de la candidature de Louise Mailloux au Parti Québécois

Sur le site du Journal de Montréal du 12 mars 2014 :

(rassemblement du ku klux klan dans les années 1990 aux États-Unis)

(photo :  MarkGregory007 sur wikimedia.org, licence creative commmons)

(...)J’ai sous les yeux un vieux dépliant diffusé par les Chevaliers du Ku Klux Klan pour avertir les Québécois que «nous sommes obligés de payer des millions de dollars, sans notre consentement, pour satisfaire des demandes imposées par les Juifs pour des produits kasher.»

Ce canular de la taxe religieuse a été déboulonné par de grands producteurs alimentaires d’ici et d’ailleurs et démenti par le gouvernement fédéral. Mais depuis Bouchard-Taylor, il a repris du service.

En partie grâce à la candidate du PQ dans Gouin, Louise Mailloux, qui va même jusqu’à adjoindre des stéréotypes raciaux à cette odieuse théorie d’une supercherie juive mondiale.

Dans l’Aut’ Journal, l’organe du SPQ-Libre dont elle fut l’administratrice, elle écrivait en 2012: «Dans les simagrées du rabbin bénissant le Coke, les frites, le sel et la mayonnaise, Dieu est partout et Il «cash» sur tout. Ding, ding, ding! Vous imaginez la supercherie, se faire payer pour bénir des bouteilles de Coke! Il y a même des rabbins qui font un camion d’une seule traite. C’est plus payant, et ça permet de bénir le camion en même temps». (...)

Le Parti Québécois ne peut avoir accepté la candidature de Louise Mailloux sans révéler un profond mépris pour les religions autres que le laïcisme (matérialisme athée). La candidature de Louise Mailloux est inacceptable.

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Un prochain traitement contre le Parkinson grâce aux cellules iPS?

Sur le site de genethique.org du 11 mars 2014 :

(Jean-Paul II présentait les symptômes de la maladie de Parkinson)

(Photo : Eric Draper sans copyright)

 

 

Catalent Pharma Solutions, leader mondial des "avancées technologiques, et de la distribution et du développement des médicaments et produits de santé grand public", a annoncé, ce lundi 10 Mars, son accord avec le Centre de recherche et d'application pour les iPS (CiRA) de l'Université de Kyoto au Japon, dirigé par le professeur Yamanaka (découvreur des cellules pluripotentes induites, et prix Nobel de médecine 2012).

En vertu de cet accord, Catalent Pharma Solutions s'engage à développer avec CiRA une des premières thérapies régénératives utilisant des cellules iPS humaines afin de traiter des patients atteints de la maladie de Parkinson. (...)

Une très bonne nouvelle. Espérons que ce développement se fera rapidement.

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Des pasteurs qui brassent des idées politiques?

On nous a fait parvenir cette très belle réflexion :

(Plaque commémorative rappelant le martyr du théologien Bonhoeffer)

(Photo :  nick.harrisonfli sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

Des pasteurs qui brassent des idées politiques?

Par Réal Gaudreault

Depuis le déclenchement de la campagne électorale québécoise, plusieurs chrétiens me demandent s’il est de bon goût pour un pasteur (ce que je suis effectivement) de défendre une position politique claire? Ce à quoi je réponds inexorablement : OUI. Mais attention, je ne fais pas de politique partisane et ce, d’aucune manière dans la mesure où mes attentes ne reposent certes pas dans les programmes politiques des partis en présence. Mes attentes sont très certainement en Jésus-Christ qui, lui seul, est parfaitement souverain en toutes choses.

Alors, pourquoi donc se mêler de politique? Bien que nous soyons des chrétiens, nous sommes aussi des citoyens payeurs de taxes qui ont un rôle important à jouer dans les décisions qui affectent la société civile. Un rôle d’autant plus important parce que, comme chrétiens, nous défendons des convictions que nous croyons très importantes sur les questions qui regardent l’éthique sociale. Notre opinion compte et nous avons le droit et le devoir de l’affirmer. C’est ce que le concept de la démocratie attend de nous. Nous ne pouvons ni ne devons rester silencieux lorsque des lois qui affectent la vie des plus faibles sont proposées dans nos Parlements.

Proverbes 24 : 11-12

« Délivre ceux qu’on traîne à la mort, ceux qu’on va égorger, sauve-les! Si tu dis : Ah! nous ne savions pas! … Celui qui pèse les cœurs ne le voit-il pas? Celui qui veille sur ton âme ne le connaît-il pas? Et ne rendra-t-il pas à chacun selon ses œuvres? »

Je suis toujours perplexe d’entendre des réactions comme celles-ci : « Ah! c’est le temps de la fin », « Jésus revient bientôt », « Restons soumis à nos autorités politiques » et « Manifestons plutôt l’amour de Dieu. » Bien sûr, tout cela est vrai, mais l’Écriture ne nous incite nulle part à justifier notre inaction par l’usage trop facile de ce type de maximes chrétiennes.

C’est l’Écriture qui nous demande d’ouvrir la bouche. D’une part, il y a le cours ECR, lequel est un cours de religion fabriqué par l’État (sous les libéraux) qui veut instruire nos enfants dans une vision relativiste du phénomène religieux. Les chrétiens auraient dû résister beaucoup plus fermement contre cette invasion du politique dans la sphère religieuse. Et il y a encore l’euthanasie et l’avortement, des dérives idéologiques (culture de mort) que nous devrions dénoncer avec véhémence. Et que dire de la Charte de la laïcité (sous les péquistes) qui, lentement et sûrement, servira d’étau pour l’écrasement des libertés religieuses des générations qui viennent après nous. C’est trop facile de laisser passer tout cela sans rien dire pour préserver notre paix.

Il ne s’agit pas pour nous, chrétiens québécois, d’injurier qui que ce soit dans ce genre de débat, mais bien de dénoncer, tout comme Jésus, ses apôtres ainsi que Paul l’ont fait, quel qu’en soit le prix à payer. Ils sont tous morts persécutés, faut-il se le rappeler? On ne pourra jamais justifier notre silence sous prétexte que le message de l’Évangile est trop « aimant » pour être associé à une critique sociale. Mes amis, je crois que c’est le contraire qui est plutôt vrai : nous devons aimer suffisamment notre génération et notre peuple pour oser ouvrir la bouche. Et comme pasteurs, il ne faut surtout pas craindre l’impopularité des foules qui nous écoutent, car c’est la crainte de l’Éternel qui doit conduire nos choix.

Galates 2 : 10
« Et maintenant, est-ce la faveur des hommes que je désire, ou celle de Dieu? Est-ce que je cherche à plaire aux hommes? Si je plaisais encore aux hommes, je ne serais pas serviteur de Christ. »

Pasteur Réal Gaudreault

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Jacques Testart, scientifique à l'origine du premier bébé éprouvette, critique le tri des embryons

Sur le site de ru89.nouvelobs.com du 9 mars 2014 :

(Photo : rahego sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

(...)Mais c’est vrai que pour moi, on risque d’avoir des individus de plus en plus semblables. Parce que si on généralise le tri des embryons, ce sera partout sur les mêmes critères. A terme, on va donc perdre de la diversité.

D’autant que de nouvelles possibilités (production massive d’ovules à partir de cellules banales, sans contrainte pour les géniteurs) devraient mener à la généralisation de la procréation en laboratoire… C’est drôle parce que quand il s’agit des animaux et des plantes, tout le monde s’inquiète mais personne ne se rend compte qu’on est en train de perdre notre diversité humaine en voulant faire des enfants de bonne qualité.

Le génome, c’est tellement compliqué. Même les « mauvais » gènes peuvent avoir un avantage. La plupart des gènes ont plusieurs fonctions contrairement à ce qu’on imaginait avant. On est dans une complexité telle, qu’en fait on agit de façon simpliste, un peu binaire. Avec cette idée qu’un gène égale un effet. Mais un gène, combiné à beaucoup d’autres, c’est peut être 150 effets. En tous cas, si on élimine les embryons qui ont les mêmes « mauvais » gènes, dans quelques générations, on peut imaginer une humanité génétiquement appauvrie par ce « clonage social ». (...)

Ce n'est encore que pour éviter un appauvrissement génétique que le scientifique dénonce le tri des embryons. Comme tout acharnement scientifique où l'on veut prendre la place de Dieu, le progrès scientifique découvre toujours que le plan original était le meilleur...

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67 millions de dollars pour la fécondation in vitro en 2013-2014 au Québec?

Sur le site du journal Le Devoir du 11 mars 2014 :

(Le ministre de la Santé Réjean Hébert veut un registre sur l'État de santé des femmes ayant recours à la procréation assistée, ainsi que sur les enfants issus de ce programme.)

(Photo : creehealth sur flickr.com, licence creative commons)

(...)En attendant, les coûts continuent de croître. Selon les estimations du MSSS fournies au Devoir, les quelque 8800 cycles de FIV qui auront été réalisés en 2013-2014 seront assortis d’une facture de 67 millions de dollars. À ce stade-ci, il s’agit de données provisoires. (...)

Les coûts divulgués par le MSSS ne comprennent pas les honoraires payés aux médecins par la RAMQ. (...)

Nous aimerions bien connaître également les honoraires versées aux médecins pour avoir le coût total annuel des fécondations in vitro au Québec...

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Un livre-choc : Nous sommes des animaux mais, on n’est pas des bêtes

(Photo : Benjamin Smith sur wikimedia.org, licence creative commons)

Nous sommes revenus à quelques reprises sur les différences entre l’homme et l’animal qui sont de moins en moins perçues dans un monde occidental qui ne vit que par l’émotion, et non plus par la raison, ce qui est le mode de perception des animaux… Certains « philosophes » décadents affirment déjà que certains singes auraient plus de droits que des bébés handicapés… Heureusement, il existe toujours des philosophes bien branchés sur la réalité. Jean-Marie Meyer philosophe et éthicien de l’Institut de philosophie comparée au réel à Paris, est de ceux-là. Interrogé par le journaliste et ancien directeur de la rédaction du Figaro Magazine Patrice de Plunkett, il apporte les réponses scientifiques, philosophiques et psychologiques établissant les différences fondamentales, complètement oubliées depuis la césure entre le cinéma d’analogie animalière et celui de la vénération de l’animal comme animal, comme modèle de l’humain, entre l’humain et l’animal.

Voici donc quelques citations importantes de ce livre établissant la problématique. Pour les réponses, nous vous invitons à emprunter ce petit chef-d’œuvre de philosophie réaliste à votre bibliothèque.

« … rencontrer “culturellement” un animal à qui l’on attribue des pensées et des sentiments humains peut causer de sérieux dommages à notre connaissance de l’homme. » (p. 7)

« Durant mon enfance, j’ai vécu les trois mois d’été à la campagne et je voyais le comportement des fermiers avec leurs animaux : jamais ils ne leur prêtaient d’émotions ni de pensées humaines, alors qu’ils les connaissaient parfaitement et qu’ils leur consacraient leur existence. Il y a une forme d’affectivité réservée aux humains. La transférer aux animaux me semble une perversion. Ce n’est pas élever l’animal vers l’homme : c’est abaisser l’homme vers l’animal. » (p.8)

« Dans le grand public, une ethnologue du CNRS (Anne-Marie Brisebarre, spécialiste des relations entre les sociétés humaines et leurs animaux domestiques.) constate une confusion entre le statut de l’humain et de l’animal’. Ce symptôme est très courant ‘dans nos sociétés individualistes’, dit-elle, et il dissimule un trouble affectif chez un grand nombre de citoyens. Il dissimule aussi le projet d’un petit nombre d’intellectuels : nous persuader que l’homme n’a plus rien en propre.» (p.15)

« La nouveauté, c’est que l’homme ne sait plus qui il est. Donc il ne sait plus ce qu’est l’animal. » (p. 15)

« C’est cela qui est totalement nouveau : que nous ayons l’impression de voir un animal quand nous nous regardons, et de voir un humain quand nous regardons l’animal! » (P.15-16)

« Il n’y a pas un peu d’animal dans l’homme?

Bien sûr que si! Mais nous avions découvert, il y a vingt-cinq siècles, que l’homme est aussi autre chose qu’un animal! Et c’est ce que nous sommes en train d’oublier… » (P.16)

« Deuxième nouveauté : l’homme comprend de moins en moins l’animal! Il le met ainsi dans des situations fausses, qui le rendent de plus en plus agressif. (…) aux États-Unis, un nombre incroyable d’animaux d’appartements sont ‘sous Prozac’. (…) dans les pays riches, le nombre de blessures causées à des humains par des bêtes familières ne cesse d’augmenter. (On ne compte plus les agressions de molosses contre des bébés ou des passants […]) » (p.18)

« Troisième nouveauté : l’inflation continuelle des dépenses en faveur de l’animal. » (p.19)

« Payer des leçons de danse à un animal de compagnie, c’est un signal ambigu, voire méprisant, de l’Occident riche envers les peuples pauvres.  

Et le pire, c’est aussi que ces investissements animaliers sont absurdes aussi du point de vue de l’animal. On paie à la bête des plaisirs qu’elle ne peut pas ressentir, si ce genre de plaisir n’est pas conforme à sa nature. » (p. 22)

MEYER, Jean-Marie. PLUNKETT, Patrice de. Nous sommes des animaux, mais on n’est pas des bêtes, Éditions Presses de la Renaissance, Paris, 2007, 237 pages.

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Une conférence pour inciter les médecins à recevoir une formation en soins palliatifs pour contrôler la douleur des patients

CONFÉRENCE DE PRESSE EN RÉPONSE AU PROJET DE LOI 52 SUR LES SOINS DE FIN DE VIE

(Photo : Pierre Metivier sur flickr.com, licence creative commons)

Quoi : Venez rencontrer Dr Doris Barwich, qui assume la présidence de la Société canadienne des médecins de soins palliatifs (SCMSP), Mme Diane Meier, md, directrice du Center for Advanced Palliative Care, ainsi que Mme Sharon Baxter, directrice générale de l’Association canadienne de soins palliatifs (ACSP), qui présenteront leur point de vue concernant le projet de loi 52 sur les soins de fin de vie. Les conférenciers expliqueront également la position sur le sujet de la Société canadienne des médecins de soins palliatifs. Prière de consulter l’énoncé de position ci-après.

Lieu : Vancouver Marriott Pinnacle Downtown Hotel, salle Lonsdale, 1128, rue Hastings Ouest, Vancouver (C.-B.) V6E 4R5

Date et heure : Le vendredi 14 juin à 9 h 30 (HNP)

Énoncé

La Société canadienne des médecins de soins palliatifs (SCMSP) a donné hier le coup d’envoi de sa neuvième conférence annuelle de formation avancée en médecine palliative dont l’objectif est de promouvoir de meilleurs soins de fin de vie de la part des médecins. La conférence débute un jour à peine après le dépôt à l’Assemblée nationale du Québec du projet de loi 52.

L’enseignement des soins palliatifs à l’intention des médecins est notre première préoccupation et nous encourageons les gouvernements provinciaux et les universités à fournir la formation à tous les médecins pratiquants et les futurs médecins afin qu’ils possèdent les connaissances et les compétences pour prodiguer des soins de fin de vie de qualité. L’accès à des soins de qualité et de compassion sera ainsi facilité pour tous les Canadiens qui vivent avec une maladie grave avancée. Bien que la SCMSP se réjouisse de l’engagement du Québec d’améliorer l’accessibilité à des services de soins palliatifs, elle n’appuie toutefois pas l’aide médicale à mourir (communément appelée euthanasie) dans le continuum de soins de fin de vie. Au moment où s’entame au Canada le débat entourant ces questions contentieuses, nous désirons rassurer les Canadiens qu’il existe des thérapies efficaces pour gérer les symptômes et apprivoiser les peurs relatives au processus de mourir. La formation est essentielle pour que tous les médecins acquièrent les compétences et les connaissances nécessaires pour prodiguer des soins de fin de vie de qualité. Ainsi, les Canadiens auront des options autres que celle de demander la mort. « La formation des médecins sur les besoins de soins de fin de vie doit être une priorité. À l’heure actuelle, certaines lacunes existent », a déclaré le Dr Doris Barwich, président de la SCMSP. «Nous devons faire la promotion d’autres options pour traiter la douleur et la souffrance des patients atteints de maladies terminales. Et nous devons nous assurer que les Canadiens y ont accès. »

Source : Mme Michelle Veer, adjointe administrative, Société canadienne des médecins de soins palliatifs. Courriel : [email protected] ; Téléphone : 604 - 341-3174.

La Société canadienne des médecins de soins palliatifs (SCMSP) a été créée afin de promouvoir la meilleure qualité possible de soins palliatifs et de fin de vie fournis par les médecins du Canada. La Société s’efforce d’améliorer la qualité de vie des Canadiens et de leur famille qui vivent avec une maladie potentiellement mortelle en faisant progresser la médecine palliative et en représentant notre discipline sur les scènes locale, provinciale et nationale. La Société compte plus de 350 membres y compris des professionnels de la santé qui ont un intérêt ou qui se spécialisent en médecine palliative.

Hôpital St-Vincent, annexe D, 60 rue Cambridge N., Ottawa (Ontario) K1R 7A5, Canada

Tél.: (613) 241-3663 / 1 800 668-2785 ; Téléc. : (613) 241-3986 ; Courriel: [email protected] ; Site Web :http://www.acsp.net

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