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Des questions sur la situation au Parti libéral concernant le projet de loi 52 (euthanasie)

Sur le site de vivredignite.org du 21 mai 2014,  un article à lire en entier, dont voici un extrait :

(Photo :  stevendepolo sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Au cours d’une assemblée tenue le 15 mai à l’église Good Shepherd de Brossard, à laquelle assistaient environ 75 personnes, le Dr Barrette a fait quelques déclarations pour le moins surprenantes dans un discours truffé de demi-vérités et d’erreurs sur le contenu du Projet de loi 52 qui vise, notamment à décriminaliser l’euthanasie sous son euphémisme «d’aide médicale à mourir».

Le Ministre de la Santé a révélé avoir fait, plus tôt dans la journée, une présentation de deux heures au caucus du PLQ pour que les nouveaux élus comprennent bien ce projet de loi et qu’il n’y avait pas unanimité sur le sujet. Hier soir, il affirmait avec conviction que le PL 52 serait néanmoins réintroduit dans l’état dans lequel il était avant la dissolution de l’Assemblée nationale comme le Dr Couillard l’avait promis en campagne électorale.

Questionné, le Dr Barrette a reconnu que cela requérait l’unanimité de tous les membres de l’Assemblée nationale mais qu’il y aurait unanimité à ce stade, même si la moitié des députés du PLQ avaient voté contre le PL 52 en deuxième lecture. Par un beau sophisme, il a interprété la promesse de son chef de tenir un vote libre, comme ne s’appliquant qu’au vote en troisième lecture et non à la décision de réintroduire le PL 52 dans son état antérieur. (...)

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Sondage sur le projet de loi 52 (euthanasie), allons voter !

Sur le site de areq.qc.net du 21 mai 2014:

(Il existe déjà des pays où l'euthanasie des mineurs est permise.)

(Photo : wikipédia sans copyright)

 

 

Les travaux de l’Assemblée nationale reprennent le 20 mai. Au moment du déclenchement des élections générales, le projet de loi 52 sur les soins de fin de vie était rendu à l’étape de l’adoption finale. Or, en cas de dissolution de la chambre, selon l’expression consacrée tous les projets de loi meurent au feuilleton. Un projet de loi peut cependant être rappelé exceptionnellement, à l’étape voulue, par motion unanime. Souhaitez-vous que le projet de loi soit :

-Présenté à nouveau, puis débattu et adopté comme n’importe quel autre projet de loi.

 

-Rappelé à l’étape où il était rendu pour adoption finale.

-Abandonné.

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Nouvel appel des évêques catholiques pour prier et jeûner contre le retour du projet de loi 52 (euthanasie)

Sur le site de l'Assemblée des évêques catholiques du Québec :

(Photo :  Adrián Afonso sur flickr.com, licence creative commons)

Appel urgent à tous les catholiques: il faut prier et intervenir pour dire oui aux soins palliatifs accessibles à tous au Québec, mais non à l’euthanasie

Le nouveau gouvernement du Québec a fait connaître son intention de remettre à l’ordre du  jour de l’Assemblée nationale un projet de loi sur les « soins de fin de vie » qui permettrait aux médecins de pratiquer l’euthanasie. Un tel projet de loi aurait des conséquences graves et néfastes pour l’avenir du Québec.

Faire mourir n’est pas un soin. Les expressions « mourir dans la dignité » et « aide médicale à mourir » employées pour qualifier une injection mortelle sèment la confusion et induisent en erreur. Il s’agit purement et simplement d’euthanasie.

Nous comprenons, bien sûr, l'angoisse et la peine de tous ceux et celles qui ont entendu un proche réclamer la mort pendant une difficile agonie. Personne ne peut rester insensible à cette détresse. Mais la vraie réponse de la médecine et de la société à cette situation, ce sont les soins palliatifs: ils sont la meilleure façon de soulager la souffrance de la personne approchant de la fin de sa vie et de l'aider à vivre cette étape ultime avec humanité et dignité.

Les soins palliatifs ont fait leurs preuves. Nous avons au Québec toutes les compétences et toute l'expérience nécessaires pour les implanter dans toutes nos régions. C'est ce que nous espérons de l’Assemblée nationale: que le Québec se dote d’une politique sur les soins palliatifs et sur leur accessibilité universelle.

Prions donc pour nos députés, afin que chacun et chacune sache ouvrir son coeur et sa conscience à l'action de l’Esprit-Saint. Et n’hésitons pas à communiquer avec eux — personnellement ou par lettre collective ou même par pétition — pour demander que tous les Québécois et Québécoises puissent bénéficier en fin de vie d’une véritable aide aux mourants sous la forme de soins palliatifs, et non de l’euthanasie, qui est le contraire des soins palliatifs.

Au cours des prochaines semaines, que notre prière à ces intentions soit fréquente et intense et qu’elle soit nourrie de la Parole de Dieu et des sacrements. Prions individuellement, dans le coeur à coeur avec le Seigneur, et aussi en nous réunissant avec d’autres pour la liturgie, l’adoration, la louange et la récitation du rosaire. Et comme nous y invite la grande tradition de l'Église, associons à notre prière des actes de pénitence, de jeûne, de don de soi et de partage.

+ Pierre-André Fournier
archevêque de Rimouski
président de l’Assemblée des évêques catholiques du Québec
le 13 mai 2014, fête de Notre-Dame de Fatima

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Message important de l'organisme Vivre dans la Dignité sur la volonté de Philippe Couillard d'imposer la ligne de parti

RÉCLAMEZ UN VOTE LIBRE À TOUTES LES ÉTAPES

Les médias nous rapportent que le Premier ministre Philippe Couillard annoncera aujourd’hui à l’Assemblée nationale, dans le discours d’ouverture de la nouvelle session parlementaire, son intention de faire adopter rapidement le Projet de loi 52, Loi concernant les soins de fin de vie.

Pour pouvoir réintroduire ce projet de loi tel qu’il était avant le déclenchement des élections, il faut l’accord unanime des députés, tous partis confondus (interprétation acceptée des règlements 47 et 48 de l’Assemblée nationale). Monsieur Couillard avait pourtant promis que ses députés pourraient voter selon leur conscience.

Le ministre de la Santé Gaétan Barrette a pour sa part affirmé jeudi dernier que le vote en conscience ne s’appliquerait qu’au vote en troisième lecture et pas à la motion de réintroduction. Tous les députés, y compris ceux qui ont voté antérieurement contre le PL 52, seront donc muselés et forcés de participer à un simulacre de démocratie. Il est essentiel dans une saine démocratie que chaque élu puisse voter selon sa conscience, à toutes les étapes.

Il est urgent d’agir! Quel que soit son parti, demandez à votre député(e) de voter contre la réintroduction du Projet de loi 52, même si son chef de parti ne permet pas un vote libre. La question est trop importante pour ignorer sa conscience.

Vous trouverez les coordonnées de votre député(e) sur le site de l’Assemblée nationale :

http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/index.html#listeDeputes

CONTESTATION JUDICIAIRE

Lors d’un point de presse qui aura lieu le 22 mai, le réseau citoyen Vivre dans la Dignité et le Collectif des médecins contre l’euthanasie feront part de leur intention de contester la constitutionalité d’une éventuelle loi, advenant l’adoption du Projet de loi 52.

Vous trouverez plus d’information à ce sujet sur http://vivredignite.org et http://refusmedical.blogspot.ca .

 

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Nouvelle critique de Justin Trudeau, par Brigitte Breton dans le journal Le Soleil

Sur le site du journal Le Soleil du 21 mai 2014 :

(Photo : Justin Trudeau sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Museler les hommes et les femmes qui ne sont pas pro-choix et leur dicter de quel bord ils doivent voter aux Communes s'éloigne toutefois d'un débat parlementaire digne de ce nom et des préoccupations exprimées au sein de la population. Impossibilités ou difficultés d'avoir accès à une interruption volontaire de grossesse dans les provinces maritimes, avortement sélectif selon le sexe de l'enfant à naître, limites aux avortements tardifs. Il y a des sujets que les parlementaires canadiens doivent avoir le courage d'aborder, qu'ils soient dans le clan des pro-vie ou des pro-choix.

On doit effectivement discuter des difficultés à éliminer les enfants à naître dans les provinces maritimes pour pouvoir imiter ces restrictions protégeant les enfants partout au Canada.

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Le système de garderie coûte 2,3 milliards de dollars par année au Québec

Sur le site de Pour une école libre du 15 mai 2014 :

(Photo : Philweb sur wikipédia.org, licence creative commons)

 

 

Les 220.000 places du réseau à contribution réduite coûtent annuellement 2,3 milliards $ au Trésor public québécois. Chaque place subventionnée revient ainsi à 10.455 $ par an aux contribuables.

De l'argent qu'on ne veut surtout pas donner directement aux parents pour éviter qu'ils ne décident d'élever eux-mêmes leurs enfants...

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La Colombie a rejeté le pseudo- « droit » à l'élimination des enfants à naître

Sur le site de reinformation.tv :

(Photo : Martin St-Amand sur wikipédia.org, licence creative commons)

 

 

Le Sénat colombien a unanimement voté contre la reconnaissance d’un « droit à l’avortement » le 6 mai dernier conformément à l’article 11 de la constitution du pays qui affirme que « le droit à la vie est inviolable ». Malgré la pression de l’ONU et des Etats-Unis, ce vote sanctionne une bataille acharnée entre les groupes « pro-vie » et les avocats de l’établissement d’un tel « droit ».

Un combat mondial qui demande que les défenseurs de la vie n'oublient jamais que cesser de combattre signifie laisser le champ libre aux promoteurs d'une culture de mort...

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Sommet à Toronto : « Sauver chaque femme, chaque enfant : un objectif à notre portée ».

Sur le site de mnch.international :

Du 28 au 30 mai 2014, à Toronto, le premier ministre Harper sera l'hôte d'un sommet sur la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants qui s'intitulera « Sauver chaque femme, chaque enfant : un objectif à notre portée ». Axé principalement sur la réduction des décès évitables parmi les femmes, les nouveau-nés et les enfants de moins de cinq ans dans les pays en développement, le Sommet réunira des dirigeants mondiaux et des experts canadiens afin de mobiliser le soutien nécessaire à la prochaine phase des efforts et de garantir que la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants (SMNE) demeure une priorité mondiale.

Une très bonne initiative et des plus encourageantes. Enfin l'on met les ressources pour des solutions d'espérance et non pas dans la mise à mort des enfants!

//www.youtube.com/embed/3wmEfFW7AKM

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La chanteuse Toni Braxton affirme avoir honte de son avortement, fait pour éviter des malformations dues aux soins de son acné

Sur le site de purepeople.com du 20 mai 2014 :

(Photo :  bamalibrarylady sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

(...)Dans son ouvrage choc, la star révèle notamment avoir subi un avortement, lequel semble l'avoir profondément marquée. (...)

La star a fait cette confidence dans son autobiographie, expliquant ne pas avoir vraiment eu le choix car elle était alors traitée pour une acné sévère grâce au médicament Accutane. Un traitement qui risquait de nuire dangereusement à la santé du bébé qu'elle portait. Si elle reconnaît que cette décision était la meilleure à prendre, Toni Braxton en a gardé un souvenir douloureux. "J'ai vraiment honte d'avoir fait cela", a-t-elle confié à Entertainment Tonight.  (...)

« La meilleure décision à prendre » ne devrait pas causer de honte normalement...

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Des étudiants en médecine d'une trentaine d'universités de France fondent une association pour s'oposer à l'euthanasie

Sur le site de soignerdansladignite.com :

(Photo : wikipédia sans copyright)

 

 

1. Qui sommes nous ? Les futurs médecins issus de toute la France, de la deuxième année d'études à la fin de l'internat.

2. Pourquoi notre démarche ? Fidèles au serment d'Hippocrate, prêté par les médecins depuis plus de 2300 ans, nous refusons de donner délibérément la mort, directement ou par prescription.

3. Quid de l’acharnement thérapeutique ? Nous soutenons dans sa totalité la loi Léonetti, votée à l'unanimité et reprise dans le monde entier... Dans cet esprit nous rejetons toute forme d'obstination déraisonnable. Pour nous, en permettant la suspension d'un traitement inutile ou trop lourd, en autorisant la pratique du "double effet", cette loi répond efficacement aux questions posées par les situations de fin de vie.

4. La solution ? Les soins palliatifs constituent une vraie réponse à la détresse physique ou morale en fin de vie. Ils doivent être déployés, organisés et plus largement proposés en France. Nous demandons à être formés dès nos études à la logique de ces soins palliatifs, dans la lignée des préconisations du rapport Sicard. 

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