Les chefs libéraux des provinces maritimes en désaccord sur l'avortement
Sur le site du Journal de Montréal du 25 août 2014 :
(Le premier ministre libéral de la Nouvelle-Écosse, M. Stephen McNeil)
(Photo : Nsliberal sur wikimédia.org, licence creative commons)
Le chef libéral du Nouveau-Brunswick, Brian Gallant, a décidé de suivre la voie empruntée par le chef libéral fédéral, Justin Trudeau, en avertissant ses candidats d’appuyer le droit à l’avortement ou de s’enlever du chemin. (...)
La position de M. Gallant va à l’encontre de celle du premier ministre libéral de la Nouvelle-Écosse, Stephen McNeil, qui a indiqué que les pro-vie étaient les bienvenus au sein de son caucus.
Il faut voter pour les meilleurs candidats pro-vie. Brian Gallant peut oublier les pro-vie du Nouveau-Brunswick, ils ne voteront pas pour lui, pas plus que pour Justin Trudeau...
Laissez un commentaireLire n’instruit personne. Lire des livres de qualité, oui.
(La littérature enfantine de qualité existe, mais ce n'est malheureusement pas la lecture de ce type de livres qui est encouragée dans nos écoles...)
(Photo : 杨小过 sur flickr.com, licence creative commons)
Dans la polémique qui entoure la déclaration du ministre Yves Bolduc, beaucoup de commentaires laissent penser que lire est en soi un phénomène qui apporte toujours un surplus d’instruction au lecteur. Vraiment?
Il ne faut pas avoir jeté un coup d’œil dans les bibliothèques scolaires dernièrement pour le penser…
Avec la mode du « vécu » avant tout, les élèves sont souvent empêtrés dans les lectures « éducatives » des auteurs québécois, dont le but est de faire accepter, quand ce n’est pas initier, le jeune lecteur à une vie sexuelle aux multiples visages, sans engagement pour la vie, sans responsabilité. Une vie où il ne pourra que se faire mal et faire mal aux autres. On a parfois récupéré pour ce faire des auteurs de romans pornographiques, qui ont atténué le côté pornographique de leur œuvre pour permettre aux jeunes d’entrer sans choc dans ce monde « instructif »…
Oh, il y a bien eu la mode Harry Potter qui effectivement, transportait le lecteur dans un monde où les humains sans attrait pour la magie sont des imbéciles et où les enfants qui désobéissent et mentent sont toujours en définitive, ceux qui ont le meilleur jugement. Heureusement, les références ésotériques exactes des romans ne seront pas perçues par les jeunes. Seuls ceux qui aimeront le monde merveilleux de la magie voudront poursuivre cette initiation qui n’aura plus rien de fantaisiste et d’allégorique. Bienvenue aux romans de la série « charmed » qui ouvre sur les pratiques de la Wicca, cette association de sorcières naturalistes…
En terme d’éducation, il sera très profitable aux jeunes de lire les romans de Philipp Pulman où ils pourront apprendre que l’Église est une organisation maléfique à détruire.
Sinon, ils pourront se rabattre sur le pullulement d’ouvrages de vampires et de zombies parsemés d’érotisme.
Vraiment, mais à quoi donc pouvait penser le ministre Bolduc? Mais peut-être croit-il qu’avec ce que contiennent déjà les bibliothèques scolaires, il n’est pas nécessaire d’acheter de nouvelles œuvres pour formater davantage les petits Québécois et en faire de parfaits imbéciles absorbant aveuglément tous les poncifs des lobbys gay et toutes les fables concernant la grande noirceur? Si c’est le cas, nous partageons son avis.
La littérature n’est que l’impression de lettres sur du papier. S’il est vrai que la transmission d’une pensée sublime sur parchemin est un outil hautement salvateur pour l’esprit humain, il est tout aussi vrai que l’impression d’un Harry Potter est un gaspillage de fibres naturelles servant à fabriquer le papier, d’encre, de temps, dont le temps des enfants, et un parasitage de l’esprit des enfants par l’introduction de croyances profondément stupides sur l’obéissance, la magie, etc.
Comme une majeure partie des ouvrages, dont les « créations » québécoises, ne valent pas le papier sur lequel ils sont imprimés, il serait judicieux qu’un comité de lecture évalue auparavant, ce qui a de la valeur pour les enfants, et ce qui ne fait que contribuer à l’existence de maisons d’édition spécialisées dans la production d’ordures destinées spécifiquement aux enfants. Oui, je sais qu’à ces mots, le nom de nombreux éditeurs québécois vous vient à l’esprit.
Il est temps de cesser le gaspillage et de subventionner ce qui vaut la peine d’être subventionné, pour laisser retourner à la poussière ce qui n’était déjà que détritus.
Si on meurt en consommant du poison, survit en se nourrissant de « fast food », on ne se nourrit que par la consommation d’aliments de qualité. Il en est de même pour la littérature. La majorité des œuvres « littéraires » pour enfants sur le marché oscille entre le « fast food » et le poison. Les enfants se porteront mieux s’ils jeûnent de ces œuvres pour s’abreuver plutôt d’une véritable poésie, se nourrir d’une littérature digne de ce nom, portés par une philosophie qui soit une véritable sagesse.
Mais avant tout, nous devons nous demander quel est le but du ministère de l’Éducation au Québec. Former des esprits libres, ou des esprits se disant fiers d’être « critiques » parce qu’ils répéteront les mêmes préjugés nauséabonds que leur aura insérés le ministère de l’« Éducation »?
« La Beauté sauvera le monde », disait Dostoïevski. La littérature? Pas si par « littérature », on entend ce que l’on trouve dans les bibliothèques de nos écoles…
Éric Duhaime s'interroge sur l'absence du PQ, Bloc Québécois, QS, à la marche pour réclamer la protection des chrétiens d'Irak
Sur la page Facebook d'Éric Duhaime, cette question :
(Photo : Asclepias sur wikimedia.org, licence creative commons)
Un ministre conservateur de l'Alberta, Jason Kenney, a participé hier à Montréal au rassemblement en solidarité aux chrétiens massacrés en Syrie et en Irak. Pas un seul péquiste, bloquiste ou solidaire était présent. Ils étaient pourtant nombreux les gauchistes à manifester contre Israël il y a deux semaines. QS, PQ, BQ: Vous nous faites honte!!!
Les mots d'Éric Duhaime sont justes. Il est difficile d'exprimer tout le dégoût devant nos moralistes du PQ, QS, BQ, qui se sont toujours présentés comme la vertu incarnée, aujourd'hui silencieux parce que le génocide se fait sur une population qu'ils considèrent comme des citoyens de seconde classe : les chrétiens.
Laissez un commentaireDes Ontariens demandent l'aide au suicide...
Sur le site de Radio-Canada du 25 août 2014 :
(Photo : Dignity in Dying sur wikimédia.org, licence creative commons)
(L'organisme Dying with dignity Canada ne tentera jamais de dissuader une dame qui croit dur comme fer que, parce qu'elle n'est plus autonome, elle n'est plus digne de vivre... Elle doit mourir pour ne pas être un fardeau. Qu'en pensent les organismes de lutte au suicide ?)
(...)Linda Jarrett souffre de la sclérose en plaques. Elle ne peut plus s'occuper de ses petits-enfants comme elle le souhaiterait. Elle ne peut presque plus s'occuper d'elle-même.
Plutôt que de devenir un fardeau pour sa famille, elle veut pouvoir mourir en paix quand elle est prête.
Si elle ne peut avoir de l'aide d'un médecin, elle affirme qu'elle s'enlèvera la vie elle-même, avant d'être prête. (...)
Dans sa demande à la Cour Suprême du Canada, elle est appuyée par l'organisme Dying with dignity Canada, qui affirme que cette demande relève de la protection de l'autonomie des personnes. Comme si le fait d'être en perte d'autonomie, d'être plus dépendant, devenait une indignité. Seules les personnes qui n'accepteront pas d'être dépendantes sont considérées comme ayant des morts dignes, par l'entremise de l'euthanasie ou du suicide.
On ne se sert même plus de l'épouvantail de la souffrance intolérable ici...
Si être dépendant devient une indignité, être vieux l'est-il?
Laissez un commentaireLa pratique de l'avortement sélectif et celle des mères porteuses en Inde démontrent un même mépris des femmes
Sur le site de Sisyphe.org du 25 août 2014, un article à lire en entier pour constater que les mères porteuses indiennes ne retirent aucun avantage de leur « métier » :
(Photo : dmwyllie sur flickr.com, licence creative commons)
Rita Banerji est une militante d’origine indienne pour les droits des femmes qui vit à Calcutta. Elle est auteure du livre Sex and Power (publié en 2008), une analyse de l’évolution de la perception de la sexualité et des rapports entre sexe et pouvoir au cours de l’histoire en Inde. C’est pendant l’écriture de ce livre que Rita Banerji prit conscience de l’ampleur du génocide féminin dans son pays. Elle fonda en 2006 la 50 Million Missing Campaign pour lutter contre ce génocide, notamment en y sensibilisant l’opinion publique mondiale. Elle est aussi photographe. Roxane Metzger s’est entretenue avec Rita Banerji au printemps 2014.
(...)
Lorsque le lobby médical fait pression pour ouvrir le « marché » d’une technique ou opération, cela indique souvent qu’on la pratiquait déjà, et qu’il ne manque plus que le feu vert législatif pour l’exploiter librement à une échelle commerciale. C’est aussi ce qui se passa pour aboutir aux lois sur l’avortement en Inde.
(...)
Et dès quon a promulgué la loi, des médecins ont fait de la publicité pour les avortements sélectifs en toute liberté, appelant les familles à venir avorter de leurs filles.
Il y avait d’énormes panneaux publicitaires qui criaient des slogans tels que : « Débarrassez-vous de votre fille maintenant pour 500 roupies, et économisez 50,000 roupies sur le long terme ». Leur justification « médicale » était que, étant donné les traditions indiennes, il était thérapeutique pour les couples mariés d’avorter de fœtus féminins. Ce commerce fleurit. Et même si la pratique de l’avortement sélectif est illégale depuis 20 ans (2), c’est également une pratique qui génère un profit colossal. En 2012, un programme télévisé, « Satyameva Jayate », s’est saisi de la question et a donné la parole aux femmes indiennes sur les maltraitances physiques auxquelles elles s’exposent lorsqu’elles refusent d’avorter de filles. Ces témoignages révèlent que leur mari, leur belle-famille et leur médecin ont pris conjointement la décision de l’avortement, quasiment comme si les femmes ne comptaient pas (3). L’une de ces femmes a raconté que, enceinte d’une fille, on l’avait battue et forcée à se rendre dans une clinique où un médecin lui faisait une injection sédative, puis lui faisait subir un avortement. Elle subit six avortements de ce type en 8 ans.
C'est un progrès qu'une féministe parle de génocide féminin. Se souciera-t-elle un jour des « autres » enfants avortés pour parler de génocide tout court?
Laissez un commentaireUn sceau d'eau glacé sur la tête ou un taco pour financer l'avortement ?
Sur le blog de Jeanne Smits du 25 août 2014 :
(photo : raugloghtor sur wikimédia.org, licence creative commons)
Laissez un commentaire« Choisissez votre bière, choisissez votre taco, choisissez votre fonds de soutien à l'avortement ! » Dans le sillage du « défi caritatif » planétaire qui consiste à se balancer un seau d'eau glacée sur la tête avant de donner pour la recherche sur la maladie de Charcot, une journaliste texane qui a trouvé l'idée idiote a inventé quelque chose de mieux. Son défi à elle consiste à d'envoyer un don à une association de lutte pour l'avortement, d'aller ensuite prendre des tacos avec de la bière, après quoi il faut faire part de sa « BA » au monde entier par le biais d'un réseau social.
(...)
Au fait, le défi apparemment plus innocent du seau d'eau sur la tête, relevé par de nombreuses célébrités dans le monde entier, cache lui aussi sa contribution à la culture de mort. Des resposables pro-vie invitent les défenseurs du respect de chaque vie à ne pas participer, étant donné qu'ALS, l'association qui récolte les fonds pour la recherche sur la maladie de Charcot, subventionne et promeut la recherche sur les cellules souches embryonnaires qui entraîne la destruction d'embryons humains.
Manifestation contre le génocide des chrétiens en Irak
Sur le site de Radio-Canada du 24 août 2014 :
(Le Ministre Jason Kenney)
(Photo : Daily Xtra sur flickr.com, licence creative commons)
Des centaines de personnes se sont réunies dans une église de Montréal, dimanche, afin d'exprimer leur solidarité envers les chrétiens d'Orient.
Avec la montée de l'État islamique (EI) en Syrie et en Irak, les communautés chrétiennes de ces pays sont harcelées, poussées à l'exil et parfois même massacrées. (...)
Des centaines? Voici un commentaire sur le site de Radio-Canada, dont je confirme l'exactitude pour avoir été sur les lieux :
J'y étais, c'est mon église: la Paroisse Saint-Sauveur. Capacité 800 personnes. C'était plein à craquer, dans les jubés, l'entrée, les gens étaient debout dans les allées! La sécurité m'a dit qu'en église nous étions 1,200 et à ce moment ils ont arrêté de laisser les gens entrer. Le reste était dans le stationnement dehors. Dans la marche et au Parc Marcelin-Wilson, nous étions environ 2,000 toujours selon le service de sécurité. (...)
Le ministre Jason Kenney, de retour d'Irak, a rapporté le témoignage des chrétiens de Mossoul. Après avoir reçu l'ordre de se convertir à l'Islam ou de mourir, de nombreux chrétiens ont fui pour se retrouver dans le désert. Seuls les chrétiens handicapés et les personnes âgées ne pouvant se déplacer sont demeurés dans les hôpitaux. Ils ont été rapidement visités par les partisans d'un État islamique et sommés de choisir immédiatement entre la conversion et la mort. L'exécution était faite sur le champ.
Il faut cesser de voir l'homme comme fondamentalement bon. Il a plutôt toutes les possibilités, tous les « choix », et ne pas se préoccuper de la barbarie mondiale est vivre dans le rêve. Que ce soit les 100 000 enfants torturés et tués annuellement au Canada, ou les populations qui ne partagent pas la mentalité du djihad, le combat est partout faisant des millions de victimes.
Les chrétiens d'Irak demandent nos prières, spécialement la prière à Saint Michel archange, que le ministre Kenney a récité avec les manifestants.
Laissez un commentaireUn nouveau site sur la modestie vestimentaire
Sur le site de lafemmemodeste.blogspot :
(Photo : Norma Desmond sur flickr.com, licence creative commons)
Laissez un commentaireCe site propose du contenu pour alimenter la réflexion autour d'une valeur oubliée, celle de la modestie vestimentaire.
Les onglets en haut de page donnent plus d'explications sur la démarche qui a conduit à l'ouverture de ce site et sur ce qu'est la modestie. A droite, vous trouverez les 3 articles les plus récents et en dessous, le sommaire avec l'ensemble des publications de La femme modeste.
Philosophie du site : "Le vent souffle où il veut..."
Ce site met à disposition des ressources sur la modestie vestimentaire dont les provenances sont très variées (bientôt toutes les confessions représentées !) mais dont la bonne inspiration ou l'utilité de l'information aura été discernée en chacune. (...)
Voilà pour le « scientifique » Dawkins (en ce qui concerne la douleur foetale) les faits médicaux connus
(Photo : LondonPictureCapital sur flickr.com, licence creative commons)
21 jours : le coeur commence battre.
4 ou 5 semaines : les récepteurs de douleur apparaissent autour de la bouche.
7 semaines : la réponse tactile des lèvres peut être mentionnée chez le fœtus.
11 semaines : le visage et toutes les parties des extrémités supérieures et inférieures sont sensibles au toucher.
De 13 à 14 semaines : la surface du corps, à l'exception de l'arrière et le haut de la tête, est sensible à la douleur.
18 semaines : les hormones de stress sont libérées par un enfant à naître piqué par une aiguille, comme ils le sont lorsque les adultes ressentent de la douleur.
20 semaines : le cerveau du fœtus a la gamme complète des cellules du cerveau présentes à l'âge adulte, prêtes et attendant de recevoir les signaux de douleur du corps.
20-30 semaines : un enfant à naître a plus de récepteurs de la douleur par pouce carré qu’à n'importe quel autre moment, avant ou après la naissance, avec seulement une très fine couche de peau pour se protéger.
30-32 semaines : les mécanismes qui empêchent ou atténuent l'expérience de la douleur ne se développent pas avant les 30-32 semaines. Toute douleur que les enfants à naître expérimentent avant que ces mécanismes ne soient mis en place constitue probablement une douleur pire que la douleur que peuvent expérimenter un enfant plus âgé ou un adulte.
(Sources : Dr Paul Ranalli, neurologue de l'Université de Toronto; S. Reinis & J. Goldman, Le développement du cerveau C. Thomas Pub, 1980; Willke, J & B, avortement :. Questions et réponses, Hayes, 1991, Chap 10,. rapport d'expert de Kanwaljeet S. Anand, MBBS, D.Phil « District nord de la US District Court de Californie le 15 janvier 2004;.. www.abortionfacts.com)
Un excellent site web: http://www.abortionfacts.
Richard Dawkins tente de s'excuser, mais s'enfonce davantage...
Sur le blog de Jeanne Smits du 22 août 2014 :
(Photo : Kanaka Menehune sur flickr.com, licence creative commons)
(...)Vingt-quatre heures plus tard, Dawkins s’est donc rétracté, mais avec modération, soutenant toujours que pour aboutir à moins de souffrance l’avortement des trisomiques est la solution « réellement morale » mais précisant que rien ne pouvait lui être plus étranger que l’idée de dicter sa conduite à une femme ni d’imposer ses vues à quiconque. (...)
Dawkins a-t-il pensé que si l'on devait avorter les personnes que l'on prévoit être souffrantes dans leur vie, il aurait fallu avorter toutes les personnes qui un jour seraient mises en contact avec les âneries qu'il débite à une vitesse phénoménale?
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