M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Des députés qui ont voté contre le projet de loi légalisant l'avortement en Irlande ont été expulsés de leur parti

Sur le blog de Jeanne Smits du 8 juillet 2013:

 

 

(Brian Walsh, l'un des quatres députés expulsé pour avoir suivi sa conscience...)

 

 

Au lendemain du premier vote très favorable (138 voix contre 24 dans la chambre basse) à la loi mettant fin au principe de l’interdiction de l’avortement en Irlande – et même dans les 24 heures – quatre membres du parti au pouvoir, Fine Gael, ont été aussitôt exclus de leur mouvement pour avoir osé refuser de soutenir cette loi de mort.
 
Terence Flanagan, Peter Matthews, Billy Timmins et Brian Walsh ont été radiés sans préavis jeudi et aussitôt leurs fiches de contact ont été effacées du site du parti, comme s’ils avaient commis un crime abominable méritant une forme de mort civile. Ils ont également été invités à libérer leurs bureaux, et le Fine Gael a fait savoir que lors de la prochaine élection générale, ils ne seront plus investis. On trouvera, pour les remplacer, des candidats mieux soumis à la culture de mort.
 
Le Premier ministre Enda Kenny (Fine Gael), malgré les pressions de membres sans portefeuille, avait clairement refusé à ses troupes la liberté de vote sur le texte qui autorise l’avortement pendant les neuf mois de grossesse en cas de « danger pour la vie de la mère » (un concept paradoxal en Irlande, où malgré – ou à cause de – l’interdiction de l’avortement on peut se vanter d’avoir le plus bas taux de mortalité maternelle au monde !), y compris lorsque la femme enceinte menace de se suicider si elle n’y a pas accès.
 
Les quatre élus récalcitrants avaient été dûment avertis qu’ils perdraient le soutien et l’accès aux infrastructures du parti si jamais ils osaient quand même voter contre l’avortement. Mais ils ont tenu bon. Ils n’ont jamais fait mystère de leur intention de voter « non ».
 
Leur courage paraît d’autant plus grand lorsqu’on voit de quelle manière leur carrière politique a été brisée, immédiatement et sans appel.
 
(...) 
On peut regretter d’avoir à se battre aujourd’hui sur le terrain de l’objection de conscience. Mais l’affaire devient de plus en plus urgente pour empêcher que la persécution active des défenseurs de la vie et de la famille ne devienne de plus en plus généralisée.
 
 
Laissez un commentaire

Le Comité consultatif national d'éthique français rejette l'euthanasie et le suicide assisté

Sur le site de Pour une école Libre du 1er juillet 2013, cette nouvelle à transmettre à votre député... :

 

C'est en France. Le Parti socialiste français veut faire accepter l'euthanasie comme son pendant socialiste d'ici, le Parti québécois.
 
Mais, en France, il existe des contre-pouvoirs et moins d'unanimisme (« la culture du consensus québécoise »).
 
C'est pourquoi le Comité consultatif national d'éthique français vient de se prononcer majoritairement contre l'euthanasie et le suicide assisté. Un avis très attendu, sollicité par le président de la République. Le comité souhaite que la loi Leonetti soit mieux appliquée. La Loi Leonetti a pour objet d'éviter les pratiques d'euthanasie, et d'empêcher également l'acharnement thérapeutique (qualifié d'« obstination déraisonnable » dans le traitement des malades en fin de vie). Il permet ainsi au patient de demander, dans un cadre défini, l'arrêt d'un traitement médical trop lourd.
 
Le président socialiste français François Hollande avait posé trois questions au Comité consultatif national d'éthique (le CCNE).
- Comment rendre dignes les derniers moments d'un patient dont les traitements ont été interrompus ?
 
- Comment appliquer les directives anticipées qu'a pu rédiger ce patient ?
 
- Quelles pourraient être les modalités strictes qui accompagneraient un patient conscient, autonome, et souhaitant mettre un terme à sa vie ?
 
Légaliser l'euthanasie ?
 
Sans en employer les mots, il posait donc la question : faut-il à l'instar d'autres pays comme la Belgique, les Pays-Bas et bientôt semble-t-il le Québec, légaliser l'euthanasie ? Permettre à des médecins de donner la mort ? (...)
 
 Aujourd'hui, en majorité, les membres du comité ont souhaité ne pas modifier la loi Leonetti adoptée en 2005. Une minorité a émis un avis contraire.
 
L'interdit maintenu
 
L'actuelle loi refuse avant tout l'acharnement thérapeutique, quand le patient, à bout de traitements, est manifestement au terme de sa vie. Alors les médecins, en accord avec le patient lui-même s'il est conscient, avec ses proches, acceptent de le « laisser mourir ».
 
Mais « laisser mourir » n'est pas « faire mourir ». L'interdit est maintenu. De même que l'assistance au suicide n'est pas légalisée.
 
En revanche, le Comité d'éthique émet six recommandations pour que la loi soit réellement appliquée. Trop de patients sont encore abandonnés à leurs souffrances physiques et morales. « Il faut cesser cette indignité », écrit son président Jean-Claude Ameisen. Les soins palliatifs pour les patients en phase terminale, y compris à domicile, doivent être accessibles à tous. Avec notamment « la sédation profonde », qui plonge le malade dans une sorte de coma.
 
(...)
 
Rappelons que les opposants à l'euthanasie considèrent que ce qui est digne c'est la personne humaine, même chez un très grand malade, pas son euthanasie. Comme le documentaire ci-dessous le montre, c'est de moins en moins la souffrance qui est insupportable et indigne, alors que la gestion de la douleur physique est de plus en plus perfectionnée, mais c'est la sénescence, le fait de vieillir, de ne plus avoir d'avenir qui devient une douleur psychique et morale de plus en plus « indigne ». On risque alors de glisser de plus en plus au suicide assisté qui contraint des tiers, des médecins, de participer à ce suicide.
 
Laissez un commentaire

Un témoignage sur un viol et... une grossesse

Sur le site de mamanpourlavie.com du 19 mai 2010, ce témoignage de celle qui utilise le pseudonyme caromamande3 :

«Je voulais vous faire part de mon témoignage de vie...»
 
À 18 ans, j'étais étudiante à l'université quand j'ai été victime d'un viol. Ce fut absolument l'expérience la plus terrible de ma vie. J'ai été battue et violée par deux hommes dans une ruelle de Montréal alors que je revenais à mon appartement après un cours du soir. J'ai bien sûr été voir la police et j'ai aussi vu une psychologue à plusieurs reprises. La semaine qui a suivi a été un vrai cauchemar, je n'arrêtais pas de repenser à l'acte...
 
Je n'avais pas de copain à ce moment là et ne prenais pas de contraception. J'ai su trois semaines plus tard que j'étais enceinte. Ce fut une nouvelle immense pour moi. Je savais depuis que j'étais toute petite que je voulais un jour être maman, mais pas dans ce contexte... Ça n'a pris que quelques jours pour que je commence à ressentir des symptômes de grossesse. Je savais très bien que j'étais enceinte et que je portais la vie d'un tout petit bébé. Pour moi il était clair que j'allais porter l'enfant à terme. Je me disais que je déciderais pendant la grossesse si je voudrais le donner en adoption.
 
À partir du moment où j'ai pris cette décision, la planète entière s'est mise contre moi. Mes parents, mes amis, voulaient que j'avorte. Ils pensaient tous que j'étais folle de vouloir garder l'enfant, que je le regretterais. Lorsque j'ai vu le médecin pour la première fois, il a tenté pendant une heure de me convaincre d'avorter, puis ainsi à chaque rendez-vous jusqu'à ce que je change de médecin. On m'a forcée à aller rencontrer un psychologue et deux travailleurs sociaux : tous n'avaient qu'un seul but : me convaincre de me faire avorter. Une des travailleuses sociales a même pris un rendez-vous pour moi dans une clinique d'avortement et m'a juste annoncé : nous allons te faire avorter jeudi à telle heure, je vais t'accompagner, etc! Les gens me regardaient avec dégoût parce que je voulais garder l'enfant. On m'a dit que je lui donnerais une mauvaise vie, qu'il serait mieux de ne pas exister, que moi-même je me condamnais à vivre sur le bien-être social le restant de mes jours, que mon enfant et moi serions des fardeaux pour la société, que je faisais reculer la cause des femmes, et j'en passe... Ça a été tellement difficile... parfois j'ai failli céder à toutes leurs pressions!
 
À bout de souffle, je suit allée cogner à la porte d'un presbytère. Je n'étais pas catholique, encore moins pratiquante, mais je me disais que peut-être que ces gens-là voudraient m'aider. Et c'est ce qui est arrivé. Un prêtre m'a aidée financièrement au début, et m'a surtout porté une oreille attentive alors que personne ne m'écoutait et tout le monde me disait le même discours : ''fais-toi avorter, c'est la seule solution''. Ensuite une famille de sa paroisse m'a ouvert leurs portes. J'ai habité chez eux à partir du sixième mois de ma grossesse et pendant un an. Ils m'ont aidée à passer à travers toutes mes épreuves et ont été l'équivalent d'une deuxième famille pour moi alors que la mienne me reniait pour le choix que j'avais fait de garder mon bébé. Oui, j'ai gardé mon bébé. Thomas. Il est ma plus grande fierté et ma plus grande joie. Il a maintenant 4 ans. Le temps passe si vite. Après sa naissance, je n'ai jamais regretté la plus grande et la plus belle décision que j'ai prise de ma vie, mettre au monde mon enfant. Je l'aime tellement.
 
Mon histoire se continue bien. J'ai rencontré un homme extraordinaire qui m'a marié et a adopté légalement Thomas. Thomas a bien une mère et un père qui l'aiment. J'oublie presque parfois qu'il n'est pas ''biologiquement'' notre enfant à nous deux tellement pour moi, nous sommes une vraie famille. Depuis, nous avons eu un autre enfant, Étienne, et nous attendons notre troisième avec impatience. 
 
Laissez un commentaire

On sauve des prématurés à 21 semaines de grossesse... et d'autres à moins de 300 grammes

Peu de gens veulent croire à cette information, mais elle est la réalité. Sur le site de maxisciences.com du 26 avril 2011:

 

 

 

Le 7 novembre dernier, une Allemande a égalé le record de la naissance la plus prématurée au monde. Frieda est née après seulement 21 semaines et 5 jours de grossesse. Mercredi dernier, le bébé est sorti de l'hôpital en bonne santé. A la naissance, Frieda ne pesait que 460 grammes. Née le 7 novembre à la clinique de Fulda, cette petite Allemande est le deuxième plus grand prématuré du monde. Sa mère a en effet accouché après seulement 21 semaines et 5 jours de grossesse. "Dans la littérature spécialisée, il existe des prématurés plus légers qu'elle à la naissance, certains étant même en dessous des 300 grammes, mais il n'existe aucune mention d'un prématuré plus jeune encore que Frieda", a expliqué la clinique dans un communiqué avant d'indiquer qu'un bébé était né exactement au même terme à Ottawa au Canada en 1987. 
 
(...)   Frieda semble aujourd'hui bien se porter. Mercredi dernier, après 5 mois et demi d'hospitalisation, la petite Allemande qui pèse aujourd'hui 3,5 kilos, a enfin pu rejoindre ses parents. Un médecin de garde de la clinique a assuré à l'AFP qu'il n'existe "aucun risque (de séquelles) prévisible pour le moment et que le bébé devrait se développer comme n'importe quel enfant".
 
Bien sûr, il existe des dangers de séquelles, mais la science fait de plus en plus de progrès. On n'élimine pas un enfant parce qu'il ne correspond pas à des critères eugéniques... 
 
Et pour ce qui est du poids minimal, là aussi, des progrès indéniables permettent de sauver des bébés de plus en plus petits. Sur le site de Yahoo du 16 décembre 2011 :
 
Aux États-Unis, une petite fille est née prématurée. Avec un poids de 270 grammes, elle est considérée comme l'un des plus petits bébés au monde.
 
(...)
 Avec un poids de 270 grammes, elle était considérée comme le deuxième plus petit bébé des États-Unis, le troisième plus petit au monde... Quelques mois plus tard, elle se trouve en parfaite santé !
Laissez un commentaire

60 000 personnes manifestent à Dublin contre l'avortement

DUBLIN, 6 juillet 2013 (LifeSiteNews.com) (traduction libre)

— Avec quelque 60.000 participants, la All Ireland Rally for Life, qui s'est tenue à Dublin le samedi était la plus grande manifestation pro-vie dans l'histoire irlandaise, ont déclaré les organisateurs. Les participants ont exprimé leur opposition au projet de loi sur l'avortement proposé par le gouvernement, et ont exigé un référendum, requis par la loi irlandaise pour renverser les dispositions constitutionnelles pro-vie de la nation. Ils portaient des pancartes disant : « Votons. »

Le parti majoritaire de la coalition au pouvoir, le Fine Gael, a averti qu’« une nouvelle alternative politique », sous la forme d'un nouveau parti pro-vie, verrait le jour d'ici la prochaine élection si la promesse électorale de ne jamais légaliser l'avortement n’était pas tenue.

 (…)

Avec le droit à la vie de l'enfant à naître explicitement protégé par la Constitution irlandaise, normalement toute tentative de légaliser l'avortement devrait être soumise à un référendum. Cependant, les lobbyistes proavortement savent depuis longtemps qu'une telle offre serait un échec, avec la majorité du public en dehors de Dublin en faveur des droits constitutionnels de l'enfant à naître. En conséquence, ils ont cherché d'autres méthodes pour contourner les dispositions constitutionnelles.

L'actuel projet de loi a été présenté à la demande du Labour Party, proavortement, en réponse à une décision de 2010 de la Cour européenne des droits de l'homme. L'affaire de la CEDH était le dernier d'une longue série de procès parrainés par, entre autres, Planned Parenthood  International et l'Association de planification familiale.

 (…)

Le projet de loi légitime qu’une femme autorise la mise à mort d’un enfant par avortement en allégeant ses pensées suicidaires, sur la base de ce qu’elle veut faire. (...)

Laissez un commentaire

Un ancien député du Parti Québécois nous envoie cette réflexion sur le projet de loi 52 concernant l'euthanasie

Il nous décrit des actions qui peuvent faire réfléchir nos députés:

 

(Manifestation à Québec contre l'euthanasie et le projet de loi 52)

 

Le travail de député est très accaparent mais un député aime faire ce travail. D’autant plus qu’un député est toujours invités par de multiples organismes le député se sent important dans la société. S’il y a des manifestations contre le député ça lui fait mal. Lorsqu’il y a des manifestants (4, 5, 6 ou plus) qui se présentent au bureau de comté du député le lundi (car le député fait du bureau le lundi) ça le dérange. Il peut y avoir remise d’une lettre manifestant notre désaccord (signé par les 4, 5, 6…) avec le projet de loi 52 ou éventuellement loi 52. Il peut y avoir plusieurs visites au bureau du député par d’autres groupes… Il y a aussi les envoies de lettres par la poste, enfin il y a les messages par Internet.

Si le député s’est prononcé pour le projet de loi 52 ou qu’il a voté pour la loi 52 nous pouvons lui manifester que nous ferons tout pour qu’il soit battu à l’élection. Ou si nous savons que le député est contre le projet de loi 52 ou s’il a voté contre le projet de loi 52 et que nous lui manifestons qu’il aura notre appuie à la prochaine élection ça fait effet. Il est important de dire au député libéral ou de la CAQ s’il est absent durant le vote nous le considérerons comme ayant voté pour le projet de loi 52 car souvent l’absence au moment du vote c’est une tactique pour permettre une majorité de voix en faveur du projet de loi.
 
Ce qui influence les députés c’est lorsque nous leur disons qu’à la prochaine élection nous appuierons  seulement un député ou un candidat ou une candidate qui se prononce contre le projet de loi 52 ou contre la loi 52 lorsqu’elle sera adoptée.  Que nous demanderons à des membres d’organismes à aller dans le même sens d’appuie à un candidat qui est contre le projet ou loi 52 ou que nous demanderons de faire battre un candidat qui aura appuyé le projet de loi ou loi 52. Nous devrions demander aux députés de tous les partis de nous dire maintenant et publiquement s’ils sont pour ou contre le projet de loi 52 ou éventuellement la loi 52. Regardons ce qui s’est passé dans le comté de Sherbrooke lorsque les étudiants ont voté contre Charest et il s’est fait battre.
Laissez un commentaire

Un nouveau site à connaître : Corruptiontranquille.ca

Ce site de corruptiontranquille.ca traite de l'euthanasie, du suicide assisté, de l'hypersexualisation, des drogues «douces». Il pose d'excellentes questions que vous ne trouverez pas dans les médias et apporte une bonne réflexion sur ces questions. Nous vous encourageons à aller lire ces textes bien documentés et agrémentés de citations bien choisies. Pour seul exemple nous vous transmettons cette question que pose l'auteur :

« Et si on ordonnait aux directeurs de prison à haute sécurité de pourrir la vie des 
prisonniers au point que ceux-ci demanderaient la mort ou se la donneraient ? » 
 
Et maintenant adaptez cette question comme le fait Christian Duchene, l'auteur du site, à la problématique de l'euthanasie.
 
À lire!
Laissez un commentaire

Colonialisme : la France finance les lobbys gais en Côte-d'Ivoire

Sur le site de afrik.com du 5 juillet 2013 (via le Salon Beige) :

 

 

 

 

 

La Coopération française a octroyé une somme de 30 millions FCFA à une ONG ivoirienne pour la promotion de l’homosexualité. Une importante somme d’argent destinée à encourager les efforts fournis par ce pays dans le cadre de l’intégration des homosexuels dans sa société. Un modèle de référence qui vaut aujourd’hui à la Côte d’Ivoire l’appellation de « terre d’asile des homosexuels »
 
30 millions FCFA (45.735 euros), tel est le montant dégagé le 25 juin par la Coopération française pour promouvoir et vulgariser les droits des homosexuels en Côte d’ivoire. Selon La dépêche d’Abidjan, la convention a été signée au siège de l’ONG Alternative Côte d’Ivoire, sis à Cocody-Angré entre cette ONG, présidée par Touré Claver, lui-même homosexuel, et la France.
 
Selon le journal, le financement des activités des homosexuels de Côte d’Ivoire n’est pas nouveau. Le programme d’urgence du programme des États-Unis pour la lutte contre le sida (Pepfar) finance déjà les activités des minorités sexuelles.
 
La Côte d’Ivoire veut faire figure de bon élève
 
Cette aide financière allouée à la Côte d’Ivoire dans le cadre de la promotion de l’homosexualité cherche-t-elle à faire de ce pays une terre d’asile pour les homosexuels ? La question arrive en effet à point nommé en une période marquée par une forte hostilité de cette pratique sur le continent africain. Certains pays, dont le Sénégal et le Cameroun, ont d’ailleurs manifesté leur ferme volonté de ne pas la légaliser.
 
(...)
Eldorado ou illusion ?
 
L’idée que le pays est devenu un eldorado pour les homosexuels est pour le moment loin de la réalité. Des cas de lynchage restent toujours à déplorer. Le 9 octobre 2011, un jeune homosexuel du nom de Clovis avait été sévèrement tabassé à Bassam, ville située à l’est d’Abidjan, en compagnie de ses amies.
 
La récente fermeture de l’unique bar gay du pays, en raison des incessantes patrouilles nocturnes des Forces Républicaines de Côte d’Ivoire prouve encore la difficulté d’intégration des homosexuels dans la société ivoirienne.

La violence envers les personnes homosexuelles est inacceptable. Tout comme l'ingérence des pays occidentaux dans les valeurs familiales des pays africains. 

Laissez un commentaire

Nouvelles restrictions à l'avortement dans le Wisconsin

Sur le site de LifeSiteNews du 5 juillet 2013, celle nouvelle (traduction libre) :

(Scott Walker, gouverneur du Wisconsin)

 

 

Scott Walker signe de nouvelles restrictions à l'avortement dans la loi : Planned Parenthood promet un procès

MADISON, WI, 5 juillet 2013 (National Right to Life Nouvelles) — Vendredi, le gouverneur du Wisconsin Scott Walker a signé le projet de loi 206 du Sénat (Loi de Sonya). Cette nouvelle loi importante exige que les femmes qui veulent avorter dans le Wisconsin aient la possibilité de voir leurs enfants à naître par ultrasons. Le type d'échographie utilisé est déterminé par la femme après que toutes les options lui soient expliquées. (…)

Planned Parenthood of Wisconsin et les services médicaux affiliés ont annoncé qu'ils vont déposer une plainte fédérale afin de contester la loi. (…)

Lorsque la loi a été votée, l’organisme Wisconsin Right to Life a écrit à ses partisans que :

L’organisme Wisconsin droit à la vie est extrêmement reconnaissant à Sonya qui est venue raconter son histoire. Sonya, la mère de deux jeunes enfants, considérait l'avortement jusqu'à ce qu'elle vit sur un bus une publicité nommée ultrasons libres. Après avoir vu le rythme cardiaque de son bébé à l'échographie, Sonya est tombée en amour avec son bébé et elle savait qu'elle devait accoucher. (…)

Laissez un commentaire

Le Conseil de sécurité de l'ONU affirme que l'avortement n'est pas un droit de l'homme, même dans les cas de viol

Sur le site de C-Fam du 5 juillet 2013 :

 

(Mgr Francis Chulikat, observateur permanent à l'ONU)

 

NEW YORK, 5 juillet (C-FAM) Dans une importante résolution sur les femmes, la paix et la sécurité, le Conseil de sécurité de l’ONU a opposé une fin de non-recevoir aux suggestions selon lesquelles les victimes de viol en temps de guerre seraient titulaires d’un droit à l’IVG.
 
L’actrice Angelina Jolie a instamment demandé aux Nations Unies d’aider les victimes et de punir les auteurs de ces crimes. Cette requête fait partie des efforts de l’actrice accomplis dans l’espoir de devenir la célébrité de marque pour la promotion des causes de l’ONU. Elle a raconté des histoires poignantes de femmes et enfants victimes d’abus sexuels dans les camps de réfugiés.
 
Le Conseil de sécurité a adopté une résolution sur la prévention de la violence sexuelle dans les situations de conflits, sans faire mention de l’IVG ou de la pilule du lendemain. Cela en a contrarié certains.
 
Certaines délégations diplomatiques, qui font une promotion active de l’avortement dans le monde, ont exprimé leur frustration. « Pourquoi remet-on encore en question les droits reproductifs des personnes victimes de violence sexuelle ? » a demandé une représentante française, Najat Vallaud-Belkacem. Porte-parole des pays du nord, Karin Enstrom a déclaré que l’accès à l’avortement et à la pilule du lendemain était « crucial » dans les zones de conflit.
 
Le Conseil de sécurité a également refusé d’inclure les droits des personnes homosexuelles dans sa résolution. Les institutions onusiennes ont invariablement refusé de reconnaître l’existence de droits spéciaux pour les personnes homosexuelles.
 
C’est la première fois qu’une résolution du Conseil de sécurité, un des documents les plus contraignants dans la hiérarchie des normes onusiennes, fait référence explicite à la « santé sexuelle et reproductive ». Le problème de ce terme réside dans son ambiguïté, dès lors qu’il inclut le droit à l’avortement dans les pays où celui-ci est légal, mais pas dans les pays où la vie du fœtus est protégée par la loi.
(...)
Un rapport du Secrétaire général publié cette année décrit l’avortement et la pilule du lendemain comme des « éléments intégraux » de toute réponse publique à la violence sexuelle dans les zones de conflit. Ce positionnement met en évidence le fossé grandissant entre les politiques sociales libérales, promues par les fonctionnaires de l’ONU, et celles qu’a retenues l’ensemble des Etats membres de l’ONU. Le Conseil de sécurité a simplement « pris note » du rapport, terme officiel dénotant le moins d’enthousiasme que les Etats puissent exprimer dans une résolution à l’égard d’un document officiel. Cela pourrait être interprété comme un rejet des recommandations de ce rapport.
 
Les organisations pro avortement essayent depuis longtemps d’exploiter la souffrance des victimes pour créer un nouveau droit de l’homme à l’avortement. Les viols dans les zones de besoin humanitaire sont considérés comme des « cas difficiles ». Les organisations ainsi que les décideurs ont soulevé cette question lors de la Commission de l’Onu sur la condition de la femme de cette année, sans succès. Trop de pays protègent encore la vie à naitre, ce qui met un frein total à la reconnaissance d’un droit à l’IVG en toute circonstance.
 
Le Vatican a alerté les Etats membres, leur recommandant de ne pas se laisser distraire par les agendas politiques qui « portent atteinte à la dignité humaine » au nom de l’assistance aux victimes de viol. L’évêque Francis Chulikatt a critiqué l’inclusion des termes « santé sexuelle et reproductive » dans la résolution, la qualifiant de « notion destructrice pour les soins de santé… utilisée pour justifier la suppression d’une vie ». Il a ajouté que « la mort d’un enfant-à-naître innocent ne fait qu'infliger plus de violence à une femme déjà en difficulté ».
Laissez un commentaire