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Un nouvel article sur l'avortement sélectif : le cas des Balkans et du Caucase

Sur le site du journal La Presse du 11 décembre 2013 :

(Drapeau de l'Azerbaïdjan)

(Photo : erjkprunczyk sur flickr.com, licence creative commons)

L'avortement sélectif de filles, un phénomène habituellement associé à l'Asie, touche aussi certains pays d'Europe orientale et du Caucase, où le déséquilibre entre filles et garçons à la naissance dépasse parfois celui de l'Inde, souligne un rapport publié par l'Institut français d'études démographiques (INED).
(...)
C'est en Azerbaïdjan, selon le rapport, que le déséquilibre est le plus élevé (proche de 117), ce qui en fait le deuxième pays après la Chine en termes d'importance de l'écart entre les sexes à la naissance.
(...)

117 garçons pour 100 filles, et c'est pire en Chine...

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Procréation assistée : un médecin se bat pour avoir sa part des millions payés par les contribuables...

(Photo : Jeangagnon sur wikimedia.org, licence creative commons)

Sur le site du journal La Presse du 11 décembre 2013:

(L'hôpital Royal Victoria où le Dr Tan a fondé le centre de reproduction de Montréal en 1996)

Une poursuite de 14 millions de dollars d'un médecin contre le Centre universitaire de santé McGill (CUSM), son ancien employeur, met en lumière les enjeux financiers énormes en matière de procréation assistée.

(...) De hausse salariale en hausse salariale, le CUSM en est arrivé à verser au Dr Tan une rémunération annuelle de 1,67 million en 2005.

 (...) Dans la poursuite, le Dr Tan allègue qu'il avait au surplus obtenu du CUSM une entente non écrite de partage des profits (...)

Les 14 millions réclamés par le Dr Tan comprennent essentiellement les sommes liées à la présumée entente de partage de profits (...)

Quelle est la raison pour laquelle on s'obstine à offrir l'espoir d'une fécondation in vitro qui n'a un taux de réussite que de 30%?

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Ce qu'il faut savoir sur l'euthanasie en Belgique...

Sur le site de bvoltaire du 8 décembre 2013 :

(Drapeau de Belgique)

(Photo : fdecomite sur flickr.com, licence creative commons)

Carine Brochier, vous êtes coordinatrice de projets à l’Institut européen de bioéthique de Bruxelles. L’euthanasie est dépénalisée depuis onze ans en Belgique. Quel bilan en dressez-vous aujourd’hui ?
 
D’une dépénalisation partielle soumise à de strictes conditions, l’euthanasie devient peu à peu un acte normal et banal auquel les patients auraient « droit ». On arrive véritablement à une banalisation de l’acte euthanasique.
 
L’euthanasie ne devait être pratiquée qu’en cas de conditions exceptionnelles et sous contrôle. Or, le contrôle se fait a posteriori et repose sur une déclaration du médecin : il suffit donc, pour l’éviter, que le médecin ne déclare pas l’euthanasie. La loi visait ainsi à faire cesser les euthanasies clandestines : elle les a, en réalité, multipliées. En outre, la commission de contrôle, nommée de façon politique et noyautée par l’Association pour le droit de mourir dans la dignité (association qui milite ouvertement pour l’euthanasie et l’élargissement de ses conditions légales), est à la fois juge et partie. En 11 ans, aucun médecin n’a jamais été sanctionné.

(...)

 Pour lire la suite de ce très intéressant article, cliquez ici.

 

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Le rapport Estrela sur le « droit à l'avortement » de nouveau rejeté par le Parlement Européen

Sur le site de radiovaticana.va du 10 décembre 2013 :

(Le parlement européen)

(Photo : Alexandre Prévot sur flickr.com, licence creative commons)

Le Parlement européen a rejeté, le mardi 10 décembre, le rapport Estrela sur « la santé et les droits sexuels et génésiques ». La proposition de la député socialiste portugaise Edite Estrela impliquait notamment la reconnaissance au niveau européen d'un « droit à l'avortement » et l'accès à la reproduction artificielle pour les femmes célibataires et les lesbiennes.

L'hémicycle européen a décidé que les points soulevés par le rapport étaient du ressort de chaque État membre de l'Union européenne, rapporte le site internet « belgicatho ». 

(...)

Le texte de la socialiste portugaise demandait également la restriction du droit à l'objection de conscience par les professionnels de la santé concernant l'avortement, ainsi que la mise en place d'une éducation sexuelle des enfants « sans tabou » pour donner une image positive des homosexuels et transsexuels.  

 

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Le Président du Chili réaffirme son opposition à l'avortement devant des groupes pro- « choix »...

Sur le site de media presse info du 10 décembre 2013 :

(Le président Sebastian Pinera et sa famille)

(Photo : Sebastian Pinera sur flickr.com, licence creative commons)

(...)« En plusieurs occasions, j’ai dit que je n’étais  pas favorable à l’avortement. Il est toujours mieux d’opter pour la vie. Il est correct et sage d’assumer une position pro-vie », a répliqué le président S. Pinera à la responsable d’un centre pro-avortement.

Humble et sans honte...

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Le scandale du contraceptif Depo Provera, injecté sans consentement sur des milliers de femmes africaines

(Photo : World Economic Forum sur flickr.com, licence creative commons)

L'eugénisme et le racisme des organismes de planification familiale est bien connu. Voici l'histoire d'une femme qui a combattu la tentative de passer sous silence le scandale du Depo Provera. Sur le site de c-fam du 6 décembre 2013:

(La fondation Bill et Melinda Gates finance la planification familiale pour les pays pauvres de la planète...)

WASHINGTON, DC, 6 décembre (C-FAM) Un défenseur des droits de l’homme accuse le lobby de l’avortement d’avoir intimidé un témoin prêt à témoigner en public des effets mortels d’un contraceptif de longue durée qu’on injecte aux femmes africaines.
 
L’audience programmée devant le congrès américain aurait pu ébranler la politique internationale des Etats-Unis dans le domaine du planning familial. C’est pourquoi le directeur du Rebecca Project, Imani Walker, sous pression du Planning familial, a fait saisir à la dernière minute l’ordinateur d’un de ses principaux témoins, la directrice politique du Rebecca Project Kwame Fosu, et envoyé au congrès des emails informant ces derniers que Mme Fosu avait été licenciée. Celle-ci s’est livrée au Friday Fax dans une interview exclusive.
 
D’après elle, pour en arriver là, Walker a subi pendant trois ans les attaques incessantes des « idéologues des droits reproductifs ». Les pressions ont commencé après la publication d’un rapport sur les violations des droits de l’homme perpétrées dans le cadre des programmes de planning familial. Mme Fosu est l’auteur de Depo Provera: Deadly Violence Against Women.( Depo Provera : Une violence mortelle à l’égard des femmes)
 
Les médecins africains auraient été payés pour injecter à des milliers de femmes sans méfiance un contraceptif de longue durée dans le cadre d’un essai médical financé en partie par USAID et par la Fondation Gates, explique Mme Fosu. Les lobbyistes, qui rassemblent des gros donateurs issus de l’industrie reproductive, craignent que ce type de révélation amorce le recul des droits reproductifs.
 
Au nombre des abus perpétrés par l’industrie pharmaceutiques, les médecins et les fondations puissantes, on compte d’une part des expérimentations non éthiques sur des femmes africaines, d’autre part, un usage généralisé du contraceptif injectable Depo Provera sur des millions de femmes africaines victimes de pauvreté.
(...)

 Pour lire la suite de l'article, cliquez ici.

 

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« ...notre faible croissance économique est due pour une bonne part au choc démographique... » affirme Pierre Fortin, économiste

Sur le site du journal La Presse du 10 décembre 2013 :

(L'équilibre entre le nombre de travailleurs et les personnes à charge de l'état est rompu...)

(Photo : Archives de la Ville de Montréal sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

La population québécoise âgée de 15 à 64 ans connaît à l'heure actuelle un virage abrupt. De 2001 à 2012, elle a augmenté en moyenne de 35 000 personnes par année. Cette année, en 2013, la hausse ne sera que de 10 000 personnes. Puis, de 2014 à 2020, elle va diminuer de 10 000 personnes par année. L'importance de cette catégorie d'âge lui vient du fait qu'elle constitue le principal bassin de recrutement des travailleurs. La chute de notre population des 15-64 en nombre absolu aura des conséquences majeures pour la création d'emploi et la croissance économique dans les années à venir. (...)
 

Un effet secondaire de l'avortement de 30 000 enfants par année dont nous ne parlons pas souvent...

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Un article dans La Presse qui fait le lien entre les coûts des soins palliatifs et l'incapacité du gouvernement de payer...

Sur le site du journal La Presse du 10 décembre 2013 :

(Photo : Diego3336 sur flickr.com, licence creative commons)

 

(...) Et avec le vieillissement de la population, une angoissante question se pose: réussirons-nous à faire face à l'escalade des dépenses en soins de santé? (...)

Tenez-vous bien: les dépenses en santé vont bondir de 31 milliards à 61 milliards de dollars de 2013 à 2030, passant de 8,4 à 13,5% du produit intérieur brut (PIB).

 La santé, qui représente déjà 43% des dépenses totales du gouvernement du Québec, accaparera alors 70% du budget de la province. Ayoye, docteur!
 

La Ministre Hivon a déclaré à maintes reprises que l'euthanasie, pardon, le projet de loi 52 sur « l'aide médicale à mourir » était sa priorité...

 

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À voir! un excellent site de courts vidéos offrant une panoplie de réponses à la situation sur l'euthanasie

Sur le site de dignite.info

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Selon le docteur en droit Étienne Montero, il est impossible de contrôler l'euthanasie une fois qu'elle est légalisée

Sur le site du Journal de Montréal du 8 décembre 2013 :

(Photo : dno1967b sur flickr.com, licence creative commons)

(Les dérives sont intrinsèquement liées à l'instauration d'un programme d'euthanasie...)

Alors que le Québec se penche sur la question de l’aide médicale à mourir, le doyen de la faculté de droit de l’Université de Namur en Belgique, Étienne Montero, a dénoncé le projet de loi en soutenant qu'il est impossible de baliser et de contrôler l’euthanasie. (...)

Si le Québec légalise l’aide à mourir, on ouvre inévitablement la porte à l'euthanasie de personnes qui n’ont pas nécessairement de maladies graves et incurables, croit-il.
 
«Une fois l’euthanasie permise, il devient très difficile de maintenir une interprétation stricte des conditions légales», soutient-il.
 

(...)

 

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