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Gilles Duceppe lance l'idée de maisons intergénérationnelles

Sur le site du Journal de Montréal du 10 février 2014, un article de Gilles Duceppe :

(Photo : Asclepias sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

 

 

Comment mieux nous occuper de nos aînés avec moins de moyens ? (...)

Pourquoi ne pas accorder des subventions à la construction de maisons intergénérationnelles qui coûteraient moins cher à l’État que les CHSLD et les centres pour les aînés? Il faudrait augmenter les services à domicile, mais on améliorerait les liens familiaux tout en préservant la vie privée de tous.

Si cette solution est intéressante, les causes économiques peuvent inquiéter. Un lecteur fait remarquer :

 Le parti québécois prône un système ou les aînés resteraient chez eux, l’état providence leur envoyant de l’aide directement à la maison.

Si nous tenons compte de l’expérience du passé avec la dérèglementation des institutions psychiatriques de Denis Lazure, les aînés se retrouveront seuls à la maison.

Un dossier à suivre...

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La morale est impossible sans Dieu et l’âme immortelle

Certains se demanderont pourquoi Campagne Québec-Vie « se mêle de religion ». Pourquoi insistons-nous, comme nous le faisons, sur l’existence et la nécessité pour le bon fonctionnement de la société d’une croyance en un Dieu bon et tout-puissant ? Pourquoi affirmons-nous l’existence d’une âme spirituelle?

Cela peut sembler étrange à première vue, mais avec les années, les réflexions, les lectures, nous avons compris qu’il était essentiel d’aborder ces sujets, car les arguments que nous avançons (contre l’avortement, l’euthanasie, pour le vrai mariage, etc.) dépendent de l’existence d’une morale objective qui, à son tour, découle de la certitude rationnelle que nous avons de l’existence de Dieu et de l’immortalité de l’âme.

Il importe d’expliquer ce que nous voulons dire par « morale objective » et comment elle seule est digne d’être nommée « morale » et pourquoi cette morale dépend de l’existence de Dieu et exige l’immortalité de l’âme.

1. Une morale objective

Une personne qui croit en une morale objective croit qu’il est possible de distinguer le bien du mal et que des principes moraux s’appliquent à tous et en tout temps et ne relèvent pas de l’opinion personnelle ou subjective de chacun. Pour une telle personne, ne pas tuer, ne pas mentir, ne pas voler, sont des exigences indépendantes de sa volonté ou de ses caprices.

En revanche, une personne qui nie la possibilité d’une morale objective ne croit pas qu’il existe des vérités morales. Elle prétendra plutôt, par exemple, que la morale n’est qu’une invention des plus forts en vue d’imposer leur conception du bien et du mal aux plus faibles. Pour cette personne le fait d’interdire de tuer, de voler ou de mentir provient généralement d’un décret de la société, un décret qui pourrait être modifié si on le juge bon. Cette société possède les moyens de punir ceux qui contreviennent aux lois et a donc le droit de définir ce qui est bien ou mal. Elle pourrait tout aussi bien dépénaliser le meurtre si elle le voulait.

Notre site ne peut s’adresser qu’aux gens qui croient en une morale objective. Ceux qui croient que la morale est définie par le plus fort ou par une décision arbitraire et uniquement subjective n’ont pas intérêt à fréquenter ce site, pour la simple raison qu’il est impossible de convaincre de telles personnes par des arguments rationnels. La morale du plus fort est une fausse-morale qui justifie toutes les horreurs de l’histoire allant des chambres à gaz aux famines forcées. Une morale subjective peut changer à chaque instant selon l’humeur des personnes. De telles pseudo-morales ne font que justifier la cruauté et l’indifférence.

Voilà pourquoi nous croyons que seuls les arguments qui présupposent un ordre moral objectif sont valables et que seules les personnes qui croient en un tel ordre sont aptes à être convaincues. Nous avons maintenant à expliquer pourquoi cet ordre moral objectif dépend de Dieu, de l’âme immortelle et du libre-arbitre.

2. Pourquoi cet ordre moral objectif et universel dépend de Dieu et de l’âme immortelle ?

A) Pourquoi l’ordre moral objectif et universel dépend de l’âme ?

Pour mieux comprendre comment un tel ordre moral dépend de l’existence de l’âme, essayons d’imaginer que seule la matière existe, sans aucune réalité spirituelle, ni Dieu, ni anges, ni âmes. La matière c’est ce qui est sujet au changement perpétuel : tout ce qui est matière finit par se désagréger, par pourrir, par disparaître et par renaître sous une forme différente. Or il est facile de comprendre que, si tout est matière, y compris ce que nous nommons « personnes humaines », il n’y a plus de nature humaine stable pour laquelle pourrait être fixée des normes de conduite objectives.

S’il existe des normes objectives pour la personne humaine, c’est parce qu’elle possède une nature qui ne change pas avec le temps. La matière en elle change, parce que celle-ci est périssable et instable, mais ce qu’il convient d’appeler l’âme, une donnée spirituelle (non-matérielle) ne change pas avec le temps. Et si cette âme ne change pas, c’est qu’elle est immortelle.

En conclusion, s’il y a des normes qui régissent le comportement humain, normes qui ne changent pas, c’est qu’elles sont inscrites dans des personnes humaines dotées d’une âme immortelle qui ne change pas.

B) Pourquoi l’ordre moral objectif et universel dépend de Dieu ?

Pour qu’une moralité objective soit possible – pour que chaque personne soit assujettie aux mêmes lois morales – il faut que chaque âme, bien que distincte, participe à un même principe de justice. C’est ce « principe de justice », principe spirituel auquel participent toutes les âmes, que nous nommons communément « Dieu ».

3. En conclusion

La morale objective, seule morale digne de ce nom, requiert que l’on affirme l’existence de Dieu et de l’âme immortelle. C’est pourquoi nous affirmons ces vérités sur notre site. L’alternative, c’est, dans un monde qui ne serait que matière, la loi du plus fort ou encore une loi que chacun modifierait à sa guise et qui ne posséderait aucun des caractères d’une loi véritable : stabilité, vérité, universalité.

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Un exemple flagrant de mensonge sur le « mariage » gay au Canada pour le faire accepter en France

Sur le site de Pour une école libre du 3 février 2014 :

Avant-hier, lors d'une émission très populaire, un militant homosexuel socialiste, Jean-Luc Roméro a déclaré sans broncher que le mariage homosexuel était passé à l'unanimité (!) au Canada. Voir la vidéo ci-dessous. Évidemment, personne ne broncha, le Canada c'est si loin. Or, bien sûr Roméro désinforme. Peut-être voulait-il dire que les médias (moutonniers et endogames) francophones au Canada étaient unanimement pour le « mariage » homosexuel ? A beau mentir qui parle de choses lointaines...

Voici le genre de mensonge utilisé pour faire croire à une majorité soutenant le « mariage » gay.

Lire les commentaires de Pour une école libre.

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Jean Vanier et diverses personnalités lancent un appel contre le projet de loi 52 (euthanasie) au Québec

À voir cette courte vidéo et à partager :

//www.youtube.com/embed/HcVBAXH-qo8

Il est possible que les députés votent dès cette semaine sur le projet de loi 52.

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Les réflexions de Mgr Tomasi, observateur permanent du Vatican à l'ONU, sur les critiques du comité des droits de l'enfant

Sur le site de visnews.fr du 6 février 2014 :

(Mgr Silvano Tomasi)

(Photo : JRandomF sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

 

 

Hier sur Radio Vatican, l'Observateur Permanent près les institutions de l'ONU à Genève a commenté les Observations conclusives de la 65 session du Comité des Nations-Unies pour les droits de l'enfant, très critiques sur la question des abus sexuels sur mineurs de la part du clergé, et réclamant une révision de l'enseignement de l'Eglise en matière de contraception et avortement. Voici l'intervention de Mgr.Silvano Tomasi:

"Attendons certes d'abord de lire et d'analyser ces conclusions et recommandations des membres du Comité. Mais la première impression est de surprise, face au jugement négatif d'un document qui semble avoir été préparé dès avant l'audition du Saint-Siège, qui avait fourni une réponse détaillée sur divers points non contenu par le document final, manifestement pas pris en considération... Il ne tient effectivement pas compte des réponses détaillées fournies sur divers points, puisqu'elles ne figurent pas dans le document ou ne semblent pas avoir été sérieusement considérées. De fait il ne tient pas compte du travail réalisé ces dernières années par le Saint-Siège, des mesures prises par l'Etat de la Cité du Vatican comme dans de nombreux pays par les Conférences épiscopales. Il manque donc une mise à jour des efforts pris à divers niveaux en faveur de la protection de l'enfant. Des efforts qu'il me semble difficile de trouver aussi affirmés dans d'autres institutions ou pays. Les faits sont les faits et ils ne peuvent être manipulés. Il n'est par ailleurs pas possible de répondre immédiatement à des observations, parfois fort discourtoises, du document. Le Saint-Siège y répondra comme membre à part entière d'une Convention qu'il a ratifié, dans le respect de la lettre et à l'exclusion de positions idéologiques extérieures à celle ci. Dans son préambule, la Convention cite la protection de la vie, de l'enfant né ou à naître, alors que les Recommandations entendent que le Saint-Siège modifie sa position vis à vis de l'avortement. Il est vrai qu'un enfant mort n'a plus de droits! On est donc en présence d'une contradiction des objectifs de la Convention sur la protection de l'enfant, qui est de le protéger. Ce Comité a rendu un mauvais service aux Nations-Unies en tentant d'introduire la requête faite au Saint-Siège de changer l'enseignement de l'Eglise. Il n'est pas négociable. Il est dommage que le Comité n'ait pas perçu dans sa globalité la nature du Saint-Siège, qui lui a pourtant clairement exprimé sa détermination à soutenir les objectif de la Convention tout en définissant et protégeant avant tout les valeurs fondamentales qui assurent la véritable protection de l'enfant. L'introduction aux Observations salue pourtant la clarté des réponses reçues de la part du Saint-Siège, qui n'a pas tenté d'éviter certaines questions. Sur la base de sa disponibilité, là où n'existait pas d'information directe immédiatement disponible on a pensé fournir des explications ultérieures, comme le font en l'occasion tous les gouvernements. Le débat semblait donc constructif et devoir le rester. C'est pourquoi l'impression retirée par la délégation du Saint-Siège lors des entretiens mais aussi de la lecture des recommandations conclusives, permet d'avancer que ce document était pré-confectionné. Il ne paraît donc pas refléter la clarté des échanges et présenter des adjonctions imprudentes. Face à l'évidence, et parce qu'il n'a rien à cacher, le Saint-Siège continuera son action d'explication de ses positions, en répondant aux interrogations qui demeurent. Car l'objectif fondamental qu'on entend poursuivre et atteindre est la protection de l'enfant. Il y aurait 40 millions d'abus sexuels sur mineurs de par le monde, et ceux commis par le clergé catholique constitue somme toute une très faible proportion. L'Eglise a répondu et réagi. Elle continue de le faire, en insistant sur la transparence et l'intolérance, car un seul abus sur enfant constitue un cas de trop!".

Cette attaque contre le Vatican dévoile les raisons d'un acharnement malhonnête.

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La tentative de l'ONU de se venger du Vatican relayé par l'ignorance de Serge Truffaut, employé du journal Le Devoir

Nous vous invitons à lire précédemment l'article de Serge Truffaut.

(Photo : Mathieu Connery sur flickr.com, licence creative commons)

Il est parfois difficile à un bouffeur de curé de voir les faits, aveuglé par une haine profonde que nous ne chercherons pas à expliquer. Mais il arrive que ledit bouffeur de curé soit « journaliste », c’est – à dire publié par une feuille de chou. Cela donne des articles comme celui paru dans le journal Le Devoir du 6 février 2014 répétant les accusations vengeresses du comité des « droits de l'enfant » de l'ONU.

Parlant des agissements du Vatican, l’auteur se permet d’affirmer : « : La somme de ces derniers se conjuguant avec l’abject, il n’y a pas d’autre mot, (…) ». Nous nous permettrons d’affirmer que ce qui nous paraît abject, ce sont les omissions du journaliste dans son article…

Un exemple, le « journaliste » parle du cas américain : « Car l’inventaire des sévices s’avère au fond la définition de l’énormité et de la dépossession de l’identité. À preuve, les chiffres suivants : en 2004, une enquête aux États-Unis a révélé qu’entre 1950 et 2002, 11 000 enfants avaient été victimes de 4400 prêtres »

Ce que le « journaliste » ne dit pas :

-En avril 2002, à la suite de ce scandale, le pape Jean-Paul II convoque onze cardinaux américains au Vatican. À cette occasion, il déclare « qu’il n’y a pas de place dans la prêtrise ni dans la vie religieuse pour ceux qui font ou feraient du mal aux jeunes gens » .

-En juin 2002, l'Église catholique américaine édite une Charte pour la protection des enfants et des jeunes (Charter for the Protection of Children and Young People). Celle-ci prévoit que tout prêtre soit suspendu dès la première accusation, que la justice civile soit systématiquement saisie et que les séminaristes bénéficient d'un accompagnement psychologique durant leur formation. La conférence épiscopale des États-Unis crée la Commission nationale de révision pour superviser les efforts faits pour protéger les mineurs. Cette commission est composée de laïcs ayant des compétences en matière de droit, d'éducation, de communication et de psychologie.

-Le 13 décembre 2002, le cardinal Law, archevêque de Boston (Massachusetts), démissionne. Son successeur dit prier pour la « guérison de l'Église ».

-En 2004, le John Jay report, une étude indépendante du John Jay College of Criminal Justice de New York, rendue publique par l'Église catholique américaine, établit à 4 400 le nombre de prêtres accusés d'abus sur des mineurs aux États-Unis entre 1950 et 2002, soit 4 % de l'ensemble des 110 000 prêtres en fonction pendant cette période. » (Source wikipédia)

L’auteur fait de même pour l’Irlande donnant un chiffre de victimes sans parler de proportions ni des actions sévères qui ont entraîné la démission même d’évêques irlandais.

S’il avait eu l’intention d’informer le lecteur sur les faits, le « journaliste » aurait pu reprendre ces données :

« L’étude de l’Archidiocèse catholique de Chicago concerne tous les prêtres ayant servi dans le diocèse entre le début des années 1950 et le début des années 1990. Sur 2200 prêtres, 40 d'entre eux, soit 1,8 %, ont probablement commis des abus envers des mineurs. Parmi eux un seul avait commis des actes de pédophilie. Le plus souvent, les abus avaient été commis contre des adolescents de 16 à 17 ans190.

D’après le John Jay report191, 4 392 prêtres ont été accusés d'actes d'abus sexuels, entre 1950 et 2002 aux États-Unis. Cela représente plus de 4 % des 109 694 prêtres ayant servi pendant cette période. Peu élevé dans les années 1950, le nombre de cas connus a augmenté dans les années 1960, atteint un pic à la fin des années 1970, diminué dans les années 1980 pour retrouver, dans les années 1990, le même niveau que dans les années 1950 (ibid.)

4 %? Alors que dans le système éducatif américain on parle de 6 à 10 % :

En 2002, le Department of Education a mené une étude sur les abus sexuels dans le système éducatif américain. D'après celle-ci, 6 à 10 % de tous les élèves inscrits dans les Public-School seraient victimes d'abus sexuels pendant leurs scolarité. En 2005, une étude nationale de l'Associated press investigation portant sur la période de 2001 à 2005 conclut, d'après un article du Washington Post, que les enseignants et éducateurs coupables d'abus sexuels sont rarement inquiétés. La plupart des cas d'abus ne sont pas signalés et, quand ils le sont, c'est souvent pour être classés sans suite. D'après les auteurs, les écoles, la justice, les États et le gouvernement fédéral réunis n'ont pas encore trouvé de solution efficace pour éloigner les abuseurs du système scolaire. (source wikipédia)

Oui rappelons-nous l’article indigné de M. Truffaut sur le sujet, selon notre mémoire c’était en… il faudra que nous fassions une recherche sur le sujet.

C’est que M. Truffaut a l’indignation sélective…

Il fait partie de cette meute de journalistes qui passent sous silence les taux élevés d’abus sexuel chez les éducateurs physiques, mais qui sont prêts à ronger de nouveau le même vieil os utilisé depuis des années pour tenter de discréditer l’Église. Nous ne connaissons pas ses motivations.

Mais pour l’ONU, les motivations sont bien connues. Depuis des années, le Vatican dénonce auprès des pays en développement, les visées colonisatrices de l’organisme international, voulant imposer la contraception et l’avortement pour ne pas avoir à aider ces populations où l’enfant serait toujours vu comme un cadeau du ciel s’il n’y avait cette immense pauvreté que certains organismes internationaux pourraient choisir d’aider. Plutôt que de combattre la pauvreté, certains pays occidentaux, membres de l’ONU, préfèrent éliminer les pauvres par avortement… Cela leur semble plus économique.

Alertés par le Vatican des vues racistes de ces pays, les pays en développement refusent majoritairement de participer à cette tentative de génocide mondial. L’ONU ne pardonne pas au Vatican d’avoir mis en lumière ses agissements néfastes.

D’où ce document vengeur où l’on fait comme si aucune démarche, aucun correctif n’avaient été mis en place depuis 20 ans pour évincer les prêtres et évêques fautifs et réparer autant que possible le mal commis.

Dans le journal Métro, on résume ainsi la réplique du Vatican aux accusations malhonnêtes dont elle est victime :

Le Saint-Siège accuse le comité de s’éloigner de son mandat et estime qu’il discrédite l’ONU dans son ensemble.

“Le Vatican estime que le comité a épousé les préjugés de groupes anti-catholiques et a ignoré à la fois le statut unique du Saint-Siège et ses efforts pour résoudre la crise des abus au cours des dernières années.

Il fustige le comité pour une publicité qu’il qualifie d’absolument anormale, qui a été faite à propos de ce rapport, et promet une réponse plus complète à une date ultérieure.”

Mgr Tomasi, observateur du Vatican à l'ONU a ces mots très bien choisis : 

"Le document (de l'ONU) ne semble pas à jour", ajoute le prélat, avant de détailler les mesures prises par l'Eglise catholique contre ces abus. "C'est une question de faits, d'évidence, qui ne peuvent pas être déformés!"

Une publicité anormale disait le Vatican? Le style de publicité que l’on retrouve sous la plume de “journalistes” sans connaissance de la question, tout simplement heureux de pouvoir déverser un fiel composé d’ignorance, de préjugés, mais surtout, d’une profonde haine de cet organisme qui dénonce l’avortement, l’euthanasie et cette culture de mort qu’on retrouve partout en Occident. L’article de Serge Truffaut dans le Devoir en est un bel exemple.

Ce n’est pas la première fois que nous déplorons que le journal Devoir n’ait aucun journaliste ayant un minimum de connaissances religieuses pour traiter de ces questions. Mais plutôt que de nous servir cet ensemble de ragots qu’un journal à potins aurait honte de publier, le journal devrait chercher à combler ces lacunes en engageant un journaliste compétent. Mais il est vrai que pour un journal qui a maintenant pour devise “libre de penser”, le fantasme semble parfaitement satisfaisant.

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Beau témoignage d'un aidant naturel, le comédien Félix-Antoine Tremblay, à l'émission « Alors on jase ! » sur Radio-Canada

À voir, le témoignage du comédien Félix-Antoine Tremblay à l'émission « Alors on jase » du 6 février 2014, sur son rôle d'aidant naturel auprès de sa grand-mère. Très intéressant sur les prises de conscience qu'apporte cette présence auprès des personnes âgées. Pour regarder l'entrevue, cliquez ici.


(Photo : Société Radio-Canada, sans copyright


 


Parce que la vie est importante jusqu'au bout!

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Un restaurant romain emploie des personnes trisomiques

Sur le site du Journal La Presse du 7 février 2014 :


(Les personnes trisomiques ne demandent qu'à apporter leur contribution avec leurs forces et faiblesses, comme chacun de nous...)


(Photo : Rob Kay sur wikipedia.org, licence creative commons)



(...)Née en 2000 à l'initiative de parents d'enfants atteints du syndrome de Down, la coopérative I Girasoli («les tournesols») travaille à l'insertion professionnelle des personnes trisomiques. Le restaurant la Locanda dei Girasoli en est la traduction concrète.


«Sur les 18 personnes qui travaillent à la Locanda, 13 sont trisomiques», détaille fièrement Enzo Rimicci, président de Consorzio Sintesi, société coopérative sociale spécialisée dans le travail pour personne handicapée et récent repreneur du restaurant.(...)


Au Québec, on pratique un dépistage eugénique qui élimine plus de 95% des enfants trisomiques avant leur naissance. Si on juge d'une société à son traitement des plus faibles, alors nous pouvons vraiment nous comparer aux traitements des enfants par les Romains, mais plutôt les Romains d'il y a quelques millénaires, ceux qui jetaient les enfants non désirés ou handicapés aux vautours...

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Filmer les embryons pour choisir le plus performant et... éliminer les autres

Sur le site de genethique.org du 6 février 2014 :

(Quelques maximes du plus grand généticien français, le Dr Jérôme Lejeune, auxquelles devraient réfléchir les fous de la génétique qui polluent actuellement le métier et avortent des embryons, en fabriquent d'autres, comme si on pouvait considérer la personne humaine comme un matériel de fabrication...)

(Photo : American Life League sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Le Centre d’Etudes et de Conservation des Œufs et du Sperme humains (Cecos) du CHU de Rennes vient de se doter d’une nouvelle technologie : suivre par une caméra le développement des embryons. Le but est de sélectionner le plus "performant" pour l’implanter et éviter les échecs de grossesse et les grossesses multiples.

À quand une technologie filmant les scientifiques pour conserver ceux qui travaillent vraiment pour le bien de l'humanité et envoyer en recherche d'emploi ceux qui n'ont aucune conscience du bien commun et de la protection des plus faibles?

Ou le Cecos préférerait-il, pour demeurer vraiment dans l'esprit de cette technologie, une sélection des scientifiques, avec élimination physique de ceux considérés comme moins performants?

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La Russie met en place des centres d'aide aux femmes enceintes en difficultés

Sur le site de media-presse.info du 5 février 2014, cette très bonne nouvelle :

(Photo : Russian Post, sans copyright)

 

 

Toute campagne publicitaire en faveur de l’avortement est interdite dans ce pays. (...)

La Douma (Assemblée nationale russe) vient de voter une loi refusant la gratuité de l’avortement dans les établissements gérés par le gouvernement. Le consentement parental est exigé pour la pilule du lendemain. L’aide aux femmes enceintes a été augmentée de 2000 roubles (50 €) par mois. La prime à la naissance est passée à 9.000 $ (7.000 €) à partir du deuxième enfant. (...)

Conjointement, le Patriarcat de toutes les Russies a admonesté le gouvernement : « la préservation de la grossesse est une tâche prioritaire pour le médecin». Il rappelle que la grossesse pour autrui est « une mutinerie contre Dieu ». Il a rappelé qu’il était partisan de la mise en place de centres de grossesse pour « les mères seules dans des situations difficiles de la vie. »

C’est à cette sollicitation que vient de répondre le Ministère de la Santé de la Russie. Il a décidé de mettre en place de telles structures. Là, les femmes enceintes pourront se réfugier et être protégées, aidées pour éviter qu’elles ne se fassent avorter. Cette décision se trouve au centre d’une volonté de continuer à réduire le nombre des avortements qui est passé de 1,2 millions en 2008 à 935.000 en 2012.

La Russie est actuellement un modèle pour ses valeurs familiales. Espérons que les nombreux pays couvrant les jeux olympiques seront touchés par ce désir de protéger les enfants de constructions « familiales » déficientes et par cette plus grande protection de l'enfant à naître.

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