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Le Parti Libéral veut toujours ramener le projet de loi 52 bientôt...

Sur le site de Radio-Canada du 21 mai 2014 :

(Justin Trudeau et Philippe Couillard : dangereux pour le droit à la vie au Québec et au Canada)

(Photo : Justin Trudeau sur flickr.com, licence creative commons)

 

Au chapitre législatif, le chef du gouvernement espère adopter rapidement deux projets de loi prioritaires : d'abord celui sur les soins de fin de vie (...)

Le projet de loi sur les soins de fin de vie - mort au feuilleton au déclenchement de la dernière élection, mais ramené tel quel par les libéraux au pouvoir - sera soumis à un vote libre des députés du Parti libéral (PLQ) et de la Coalition avenir Québec (CAQ). Parrains du projet de loi original, les députés péquistes vont vraisemblablement voter en bloc pour son adoption.

Il faut contacter son député.  Voici un exemple d'un message transmis aux députés par Mme Isabelle O'Connor :

Cher député,

Le Collège des médecins du Québec affirme qu’il cherche à faire euthanasier les enfants et les adultes inaptes (voir ci-dessous). Vous voulez vraiment ouvrir la porte à cela ?

« La loi sur l’euthanasie fin prête pour son adoption au Québec –
les médecins cherchent déjà à assouplir les restrictions ».

Le 14 février 2014, le National Post a publié, en pages A1 et A5, un article intitule “Euthanaisa law set to be adopted in Quebec – Physicians already looking to loosen bill’s restrictions” (« La loi sur l’euthanasie fin prête pour son adoption au Québec – les médecins cherchent déjà à assouplir les restrictions »). L’auteur, Graeme Hamilton, signale que le Collège des médecins du Québec envisage déjà le jour où certaines restrictions du projet de loi seront assouplies.

« Ce projet de loi, tel qu’il est, c’est probablement un jalon historique, mais ce n’est certainement pas la fin de la réflexion », d’affirmer M. Yves Robert, secrétaire du Collège. « C’est seulement une étape. Il y a encore plusieurs questions sans réponse. Au fur et à mesure que les Québécois deviendront accoutumés aux injections létales administrées par des médecins, la question ne sera plus qui reçoit l’euthanasie, mais plutôt à qui l’accès à l’euthanasie est nié ».

M. Robert a soulevé l’exemple d’un patient souffrant d’Alzheimer qui ne serait pas admissible à l’euthanasie parce qu’il n’est plus apte, légalement, à consentir. « Nous allons devoir se pencher là-dessus non seulement pour les adultes inaptes mais aussi pour les mineurs. »

La barbarie belge

Le 13 février 2014, la Belgique est passée au rang des États les plus décadents de la planète. Au terme de discussions vives et mouvementées à la Chambre des députés, ce pays est devenu le second, après les Pays-Bas, à autoriser l’euthanasie des enfants. 86 députés ont voté pour, 44 étaient contre et 12 se sont abstenus.

 

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Pour un dollar par an, sauver 3 millions de mères et d'enfants...

Sur le site du journal La Presse du 20 mai 2014

( Pour les adeptes du mythe de la surpopulation, ce sont toujours les enfants des pays pauvres qui sont de trop, et jamais les habitants des pays riches qui pratiquent la surconsommation et ne partagent pas...)

(Photo :  Olivierkeita sur wikipédia.org, licence creative commons)

Les décès de près de trois millions de mères et de bébés pourraient être évités chaque année dans le monde d'ici à 2025 grâce à un investissement annuel d'un dollar par personne et par an dans de meilleurs soins maternels, selon une étude publiée mardi. (...)

Pour les adeptes de l'avortement et de la contraception comme outils de santé reproductive, ce dollar demandé est de trop. Pourtant, il est possible de sauver les mères et les enfants du monde entier. Mais pour les partisans du contrôle des populations, dont les racines sont à la foi racistes et eugénistes, pas question de débourser des dollars pour faire naître des enfants des pays pauvres...

 

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« La détresse des enfants », texte de Lise Ravary dans le Journal de Montréal, à lire

Sur le site du Journal de Montréal du 18 mai 2014, un texte à lire, le bon sens qui reprend la parole :

(photo : apdk sur flickr.com, licence creative commons)

Il faut l’avouer: nos enfants servent de rats de laboratoire pour nos expériences de réingénierie sociale : divorce, unions libres, travail des femmes, réformes scolaires. Pire: on refuse de se poser des questions difficiles sur l’impact de ces changements,  tout en sachant très bien que la situation des enfants se dégrade, de crainte de passer pour des attardés sociaux. Mais on continue. Par ici les expériences : monoparentalité, homoparentalité, enfants sans antécédents génétiques, bambins en gardes partagées. «C’est pas grave, les enfants sont résilients», dit-on.

C’est vrai qu’ils sont résilients, mais est-ce une raison pour leur infliger toutes nos lubies progressistes sans jamais se poser de questions ? Dans certains cas, on les envoie même défendre nos choix de vie dans la cour d’école. (...)

L'auteur remet  en question la co-parentalité, l'«homoparentalité», les garderies, le peu de temps passé avec les enfants sous prétexte de « qualité », etc. À part le trait sur l'avortement, un excellent texte.

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Manifestation Pro-Vie au Nouveau-Brunswick

Sur le site d'Acadienouvelle.com du 15 mai 2014 :

(Assemblée législative du Nouveau-Brunswick devant laquelle la manifestation a eu lieu.)

(Photo :  Яick Harris sur flickr.com, licence creative commons)

 Environ 25 députés progressistes-conservateurs et libéraux étaient parmi eux.

«Notre gouvernement doit en faire plus pour les mères et pour la vie. Nous n’avons pas besoin qu’il en fasse plus pour l’avortement», a déclaré à la foule le président de Droit à la vie Nouveau-Brunswick, Peter Ryan.

(...)

L’ouverture et l’appui de l’entourage sont également très importants, a témoigné Marie Claire Muzerall-Gautreau. Elle et sa sœur étaient enceintes au même moment alors qu’elles étaient âgées de 15 ans et de 13 ans.

«À 16 ans, ce n’est pas l’âge idéal pour devenir mère, mais je l’ai fait. J’ai survécu et je suis ici aujourd’hui avec mon fils qui aura bientôt 16 ans. Avec l’aide de ma mère et de mon père, j’avais aussi un bon groupe d’amis, moi et ma sœur avons eu nos enfants et nous les avons gardés», a-t-elle raconté aux participants à la manifestation.

Des gens de coeur!

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Mgr Prendergast sur Trudeau : Si vous êtes en dissidence sur les questions de la vie, vous n'êtes pas un catholique en règle

Sur le site de LifeSiteNews du 16 mai 2014 (traduction CQV) :

par John-Henry Westen

(Photo :  Bruce MacRae sur flickr.com, licence creative commons)

OTTAWA, le 16 mai 2014 (LifeSiteNews.com) — Mgr Terrence Prendergast a publié une déclaration en réponse à la nouvelle politique du chef du Parti libéral, le catholique Justin Trudeau, politique selon laquelle seuls les candidats « pro-choix » seront approuvés pour présenter comme candidats de son parti.

Intitulée, « être en communion avec l'Église catholique sur les questions morales », la lettre dit : « On ne peut pas être dissident sur ces enseignements de base concernant les questions de la vie et être considéré comme un catholique en règle. »

Tous les prêtres de l'archidiocèse ont été informés que l'archevêque s’attend à ce que la lettre soit mise à la disposition des paroissiens dans le bulletin de ce dimanche.

« La position de l'Église catholique en faveur de la vie à tous les stades est claire et immuable », écrit l'archevêque. « Une personne qui prend une position en contradiction avec l'enseignement de l'Église catholique sur la valeur et la dignité de la vie humaine depuis la conception jusqu'à l'instant d'une mort naturelle, et persiste dans cette croyance, n'est pas en communion avec les valeurs de l'Église et son enseignement, qui, nous le croyons, transmet fidèlement les enseignements du Christ pour notre aujourd’hui ».

Signé par Mgr Prendergast, le 14 mai, la lettre conclut : « C'est une question très grave nécessitant de chaque catholique, la prière, la réflexion pour former sa conscience, et l'ouverture à embrasser l'Évangile de Jésus-Christ dans sa plénitude. »

Une lettre aux prêtres, leur demandant de faire en sorte que la lettre pastorale soit mise à la disposition des paroissiens, explique : « Il est important que les fidèles à Ottawa reçoivent des conseils sur ce sujet et j’apprécie votre coopération. » Il ajoute : « L'archevêque espère que cette déclaration vous aidera dans la clarification de la question avec les paroissiens qui sont à la recherche de la voie à suivre ». (...)

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Un langage inacceptable sur l'euthanasie des animaux

Sur le site de Paris-Match du 16 mai 2014, un article intitulé :  « Non au massacre des chiens roumains »! :

(Pour beaucoup de nos contemporains, les chiens ont maintenant plus de valeur que les enfants.)

(Photo :  ELMEXICO 29 sur flickr.com, licence creative commons)

 

A l’appel de divers organisations de protection animale, samedi aura lieu une Journée internationale de manifestations visant à faire interdire l’euthanasie de milliers de chiens errants en Roumanie.

C’est un véritable problème de société, qui divise les Roumains. La question des chiens errants, qui a émergé suite à la politique urbaine de l’ancien président Nicolae Ceausescu dans les années 1970-80, est revenue au cœur du débat depuis qu’un enfant de 4 ans est mort après avoir été mordu par cinq bêtes en septembre 2013. 

Des dizaines de milliers de bêtes errantes se promènent dans les rues roumaines, cherchant à se nourrir. Plus de 16 000 morsures d'êtres humains, et des morts, n'empêchent pas les sociétés de défense des animaux de réclamer l'arrêt du « massacre » des chiens. 

Pas un mot de compassion pour l'enfant mordu à mort, ni pour les autres. Le tollé, c'est pour les chiens! Voici le commentaire d'un lecteur de l'article : 

je suis de tout coeur avec ces organisations de protection animale pour dire NON au massacre de ces pauvres chiens roumains qui méritent de vivre. D'autre part, je viens de consulter le site du Journal de l'île de la Réunion (voire Clicanoo aussi) de ce jeudi 16 mai et dans la rubrique "Courrier des lecteurs", il y a un courrier bouleversant publié qui a pour titre : "Alerte à la population des communes de la Cinorr et de la CA Sud. avec des réactions de lecteurs. Puis, toujours à ce sujet, sur le site d’Actuanimaux, dans la catégorie Actualités, il y a un article émouvant intitulé” Alerte euthanasies chiens ile de la Réunion ” avec une pétition car ces pauvres chiens sont en danger de mort dans les fourrières de l’île, avec euthanasies massives. c’est dramatique et intolérable.

Ce qui est dramatique et intolérable, c'est cette indifférence au sort d'être humains pour lui préférer celui des animaux.

Jamais au siècle dernier, l'écrivain Maupassant n'aurait pu croire que sa nouvelle sarcastique sur le docteur Héraclius Gloss, un adepte de la métempsychose accordant plus d'attention aux animaux qu'aux humains et sauvant les animaux, avant les humains, deviendrait réalité.

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Le directeur-euthanasieur de la commission de contrôle de l'euthanasie en Belgique part trouver « l'inspiration » à Auschwitz...

Sur le site de riposte catholique.fr du 16 mai 2014, on retrouve cette citation du président de la Commission de contrôle de l'euthanasie en Belgique, lui-même poursuivi pour avoir pratiqué l'euthanasie de patients sans même avoir prévenu la famille de ce dernier : 

(Le Dr Mengele, précurseur des euthanasistes de Belgique et du Pays-Bas)

(Photo : wikipédia sans copyright)

Dans la problématique globale de la fin de vie l’on se trouve sans cesse confronté à la douleur existentielle, à la question du sens, à l’introspection, la dépendance et l’autonomie, l’idée de l’achèvement et surtout de la (de l’in-) dignité. C’est pourquoi il nous a semblé plus que logique d’organiser notre prochain voyage d’études dans un lieu qui est par excellence le symbole d’une fin de vie indigne de l’homme : Oświęcim, mieux connu sous le nom d’Auschwitz, le camp d’extermination nazi en Pologne. Ce lieu nous semble apte à susciter l’inspiration afin d’y réfléchir, en séminaire sur place, à cette problématique, afin de lever la confusion.

La pratique du Dr Distelmans serait plus digne ?

 Organiser un séminaire sur l’euthanasie dans un camp de la mort où l’idée d’une « vie qui ne vaut pas d’être vécue » a pris sa forme la plus extrême est pour le moins bizarre.

Le Dr Distelmans a souvent fait la une des médias du monde entier. Il a été filmée par la télévision au moment où il tuait Nathan Verhelst, en grande souffrance à la suite d’une opération de changement de sexe ratée. Il a pratiqué la première euthanasie double du monde en tuant les jumeaux Marc et Eddy Verbessem, que les services sociaux belges n’avaient pas su aider. Par trois fois au moins, il a été impliqué dans l’euthanasie de personnes souffrant de dépression.

On ne peut que souligner la cohérence d'aller chercher l'inspiration, pour un euthanasieur, à Auschwitz, et la folie de croire que sa pratique diffère d'une quelconque manière de celle des médecins nazis...

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Le conseil scolaire de Vancouver a troqué la raison pour la théorie du genre...

Sur le site de Radio-Canada du 16 mai 2014 :

(Photo : http://ecstaticist sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Le conseil scolaire de Vancouver a reçu des réactions partagées, mercredi soir, concernant sa proposition de nouvelle politique sur l'orientation sexuelle et l'identité de genre.

La nouvelle politique ferait la promotion d'activités qui ne font pas ségrégation basée sur le genre. Elle permettrait aux élèves transgenres d'utiliser les toilettes qu'ils veulent et permettrait à tous les élèves de se faire appeler par les nom et prénom correspondant à leur identité de genre.

On mélange les noms, mais celui des autorités du conseil scolaire de Vancouver fait l'unanimité : Imbéciles!

Et les filles des écoles de Vancouver ne pourront pas se plaindre parce que des hommes viendront bientôt dans leurs toilettes... 

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Trudeau réitère sa fermeture aux candidats pro-vie, Harper les accueille, le NPD met de côté sa motion sur l'avortement

Sur le site du Journal de Québec du 16 mai 2014 :

(Photo : Πρωθυπουργός της Ελλάδας sur wikimédia.org, licence creative commons)

 

 

 

 

OTTAWA – Le chef libéral, Justin Trudeau, rejette les critiques de l’archevêque de Toronto, selon qui les libéraux ne croient pas que les Canadiens ayant des convictions religieuses sont de bons candidats.

Mais, il a réitéré sans cohérence que :

M. Trudeau a déclaré que «lorsque vient le temps de voter sur une législation qui limiterait le droit des femmes à choisir, nous votons pour défendre la Charte».

Stephen Harper a profité de l'occasion. Sur le site du journal Le Devoir du 16 mai 2014 :

Le premier ministre Stephen Harper a indiqué jeudi que, contrairement au chef libéral, il n’a pas l’intention d’empêcher les individus opposés à l’avortement d’intégrer le Parti conservateur. 

Le NPD qui avait déposé une motion pour faire reconnaître l'élimination des enfants à naître comme un « droit » a retiré sa motion dans la crainte qu'elle n'ouvre le débat et qu'enfin les considérations scientifiques sur l'enfant à naître soient reconnus.

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Selon un sondage Léger, seulement la moitié des Canadiens savent qu'un enfant a besoin d'un père et d'une mère...

Sur le site de CNW du 14 mai 2014 :

(Des millions de Français ont manifesté cette année contre l'imposture de l' « homoparentalité »...)

(Photo :  Mon_Tours sur flickr.com, licence  creative commons)

 

 

Le tiers (33 %) des Canadiens interrogés affirment être d'accord que, pour qu'un enfant puisse se développer pleinement, il doit avoir des parents de sexe opposé. De plus, la moitié (49 %) des Canadiens interrogés croient que tout enfant a besoin d'un modèle parental de chacun des deux sexes.

Résultat de décennies de propagande médiatique, cette perte de contact avec la réalité de 51 % de la population est encouragée par les lobbys gais qui réclament encore plus d' «homoparentalité » à l'écran. La présidente de la fondation Émergence lance un appel au lavage de cerveau :

Je lance également un appel au monde culturel québécois, car les séries télévisées, les films et les pièces de théâtre peuvent nous épauler dans ce travail de sensibilisation en mettant en scène des familles homoparentales dans leur vie quotidienne ».

Que le bon sens et les études scientifiques convergent pour reconnaître l'apport irremplaçable de la complémentarité aimante d'un père et d'une mère ne les inquiète pas. S'adressant aux trippes des Québécois, grâce à la télévision, qui peut s'opposer à des téléromans où la réflexion peut parfois s'élever jusqu'à des propos dignes de Janette Bertrand... Mais on ne peut toujours faire taire la vérité. Comme les Français ne vivent pas encore dans un état de censure comme le Québec, ils peuvent toujours réfuter l'absurdité de l'«homoparentalité » comme mode de vie comparable à la complémentarité papa-maman.

 

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