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Près des deux tiers des garçons de secondaire 4 et 5 ont déjà cherché de la pornographie sur internet

Sur le site du journal La Tribune du 29 mai 2014 :

(Photo :  hdzimmermann sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

Quarante pour cent des garçons ont admis avoir cherché de la pornographie en ligne et ont généralement dit qu'ils le faisaient fréquemment, selon le directeur de l'éducation d'HabiloMédias, Matthew Johnson. (...)


«Ils développent encore leur sexualité, ils commencent à se faire une idée de ce qui est normal en matière de sexualité, ils forment leur identité sexuelle et ils se font une idée des comportements acceptables dans une relation. De toute évidence, une consommation importante de pornographie peut causer des problèmes pour tous ces aspects.»

Certains pays obligent les consommateurs de pornographie à faire une demande officielle avant que l'accès aux réseaux internets de pornographie soient débloqués. Ce serait certainement une bonne idée pour le Québec et le Canada...

Et il serait bon de donner une éducation à l'amour et à la sexualité plutôt que les sempiternelles illustrations de fornications contraceptives du ministère de l'« Éducation » qui écoeurent les étudiants et les dégoûtent de ce qu'ils croient alors être l'amour...

 

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Nouvelle déclaration du président de l'Assemblée des Évêques Catholiques du Québec sur l'euthanasie

Sur le site de l'Assemblée des évêques catholiques du québec du 27 mai 2014 :

(Photo :  Phill MV sur flickr.com, licence creative commons)

Le Québec doit se doter d'une politique sur les soins palliatifs et non pas s'engager sur la voie de l'euthanasie. Les partis politiques représentés à l'Assemblée nationale se sont entendus pour réintroduire le projet de loi qui permettrait aux médecins de pratiquer l’euthanasie sous l'appellation « aide médicale à mourir ». L'adoption de ce projet de loi aurait des conséquences graves et néfastes pour l'avenir du Québec. 

Faire mourir n’est pas un soin. Les expressions « mourir dans la dignité » et « aide médicale à mourir » employées pour qualifier une injection mortelle sèment la confusion et induisent en erreur. Il s’agit purement et simplement d’euthanasie, et non d'un soin de fin de vie.

Nous avons déjà le droit de refuser l'acharnement thérapeutique. Nous avons déjà le droit de ne pas voir notre vie prolongée artificiellement en étant branchés à toutes sortes d'appareils.
Mais ce dont il est question dans le projet de loi, c'est de tout autre chose: c'est de permettre aux médecins de causer directement la mort. Cela contredirait le but même de la médecine: donner la mort à un patient, ce n'est pas le soigner.

Nous comprenons, bien sûr, l'angoisse et la peine de tous ceux et celles qui ont entendu un proche réclamer la mort pendant une difficile agonie. Personne ne peut rester insensible à cette détresse. Mais la vraie réponse de la médecine et de la société à cette situation, ce sont les soins palliatifs: ils sont la meilleure façon de soulager la souffrance de la personne approchant de la fin de sa vie et de l'aider à vivre cette étape ultime avec humanité et dignité.

Cette question interpelle et engage la conscience de chacun et chacune. Les soins palliatifs ont fait leurs preuves. Nous avons au Québec l'expéri nce nécessaire pour les implanter dans toutes nos régions. C'est ce qu'il faut demander de toute urgence à nos élus: que le Québec se dote d’une politique sur les soins palliatifs et sur leur accessibilité universelle mais qu'il ne s'engage pas sur la voie de l'euthanasie.

+ Pierre-André Fournier
archevêque de Rimouski
président de l’Assemblée des évêques catholiques du Québec
27 mai 2014

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Bientôt, des procès pour la garde partagée des embryons?

Sur le site de genethique.org du 28 mai 2014 :

(Photo : lunar caustic sur wikimédia.orglicence creative commons)

 

 

En 2012, un tribunal de l'Etat de l’Illinois a accordé à une femme la garde de ses embryons congelés conçus avec le sperme de son conjoint, malgré le désaccord de ce-dernier pour toute "utilisation" des ces embryons, suite à leur rupture.

(...)

Aux Etats-Unis, en 1985, 260 enfants avaient été conçus grâce à l'assistance médicale à la procréation, tandis qu'ils étaient 61 000 en 2010, d'après l'American Society for Reproductive Medecine.

Et combien de millions d'enfants au stade d'embryons survivent actuellement dans des congélateurs?

Le terme « utilisation » est bien. Ces enfants sont considérés comme du pur matériel jetable. Leur création artificielle les prédispose à être considérés comme des biens de consommation par leurs parents, qui ont choisi la couleur de leurs yeux, de leurs cheveux, leur sexe, etc.,par catalogue...

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Hausse des avortements dans Lanaudière...

Sur le site de laction.com du 29 mai 2014 :

(Photo : wikipédia )

 

 

 

 

Durant la période 2010-2012, 1 872 grossesses ont été comptabilisées chez les 24 ans et moins. Dans près de la moitié des cas, il y a eu avortement. Le recours à cette ultime intervention est plus fréquent chez les personnes d'âge mineur. Chez les filles de 14 à 17 ans, trois grossesses sur quatre ont été interrompues. Le pourcentage est plus faible chez celles qui sont plus âgées, mais demeure tout de même à 36 %, ce qui reptrésente une grossesse sur trois chez les 20-24 ans.

L'avortement est un moyen de contraception au Québec.

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La Marche Chrétienne 2014! Soyons-y!

 
SE RASSEMBLER AU NOM DE JÉSUS
Prenez courage…  Jean16 :33

Samedi le 14 juin 2014
Endroit : Parc Angrignon à Montréal

De 10h00 à 14h00
  • Pour encourager les chrétiens du Québec à prendre plus au sérieux le rôle qui leur revient dans le débat des idées sur l’espace public.
  • Pour que les valeurs chrétiennes, fondatrices de l’identité québécoise, continuent d’inspirer les choix  sociaux.
  • Parce que nous tenons à notre héritage chrétien qui est en danger si on ne le défend pas.
Nos orateurs

Mgr Christian Lépine, Archevêque de Montréal
Pst Jeffrey Laurin, fondateur de l’Église La Bible Parle
M. Antoine Malek, président de l’Association de la Communauté Copte
Orthodoxe du Grand Montréal
M. Douglas Farrow, Titulaire de la Chaire Kennedy Smith en études catholiques de l’Université McGill

Pique-nique
Animation musicale

« AVEC  JÉSUS,  ÇA  MARCHE »

Info :
 
Jeannelle Cantin    (450)293-2682       
Réal Gaudreault, Porte-parole (514)609-8222
 
[email protected]            [email protected]

Détails sur MarcheChretienne.com
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Rien n'est plus contraire à la dignité que le projet de loi pour « mourir dans la dignité ». Explication du sens du mot dignité

Un texte des plus intéressant du philosophe Thomas de Koninck sur le site de l'encyclopédie de l'agora, sur le sens du mot dignité, dont voici un extrait :

(photo :  Adrián Afonso sur flickr.com, licence creative commons)

Le sophisme «le plus naturel et le plus répandu est celui qui tire parti des mots», constatait déjà Aristote au début de ses Réfutations sophistiques. De là découle, ajoutait-il, que «ceux qui n’ont aucune expérience de la puissance des mots sont victimes de paralogismes lorsqu’eux-mêmes prennent part à un échange dialectique ou encore lorsqu’ils en écoutent d’autres»[1]. Les fréquents débats de toute sorte où intervient, au centre, le mot «dignité», offrent de nos jours un bon exemple de semblables échanges. Il est aisé de constater que le mot «dignité» trahit alors trop souvent ce que Gabriel Marcel qualifiait à juste titre de «conception décorative de la dignité», celle qui consiste à «se marquer au dehors», selon le mot de Gide, et qui constitue bien plutôt une moquerie de la dignité humaine[2].

Mais il y a pire. Il y a ce que le poète québécois Paul Chamberland, sur un autre sujet parallèle, a su résumer en une phrase incisive: «L’altération totale du sens des mots permettra de fabriquer la version officielle de ce qui devra passer pour la réalité elle-même»[3]. On ne saurait mieux énoncer la loi en vertu de laquelle, faute de pouvoir transformer la réalité, l’idéologie altère le sens des mots désignant cette réalité. Désormais, pour le dire d’un mot avec George Orwell, «le noir est blanc», «la guerre est la paix» et ainsi de suite. Le principe est admirablement formulé, en effet, par Orwell dans 1984: il s’agit de «disloquer le sens de la réalité». Cela s’appelle «contrôle de la réalité», en langue ordinaire («Oldspeak»), et dans la nouvelle langue («Newspeak», «novlangue») destinée à rétrécir les esprits, cela s’appelle  «la double pensée», à savoir «le pouvoir de tenir deux opinions contradictoires simultanément à l’esprit et de les accepter toutes deux»[4].

C’est ce que vient d’illustrer au Québec la Commission spéciale sur la question de mourir dans la dignité, en transformant la belle expression Aide médicale à mourir en un oxymore, pour lui faire désigner, non plus une véritable aide médicale comme les soins palliatifs, mais au contraire une pratique euthanasique[5]. La confusion constante qui lui a permis cela est celle qu’elle n’a cessé d’entretenir autour du mot dignité, notamment dans l’expression «mourir dans la dignité», qui a même servi à dénommer la Commission elle-même et son Rapport.

Je cite cet exemple à présent dans le seul dessein d’illustrer jusqu’où peut mener le manque d’une vision précise et critique de la dignité humaine, ce point de repère qu’on m’a demandé de résumer en quelques minutes ce matin. Il est hors de mon propos de m’attarder davantage aujourd’hui au cas particulier que je viens de mentionner. D’autres le feront sans doute -- il faut le souhaiter -- dans la suite de ce congrès.

La dignité point de repère, justement, doit s’entendre en trois sens forts, dont la pertinence saute aux yeux : 1/ dignité ontologique, 2/ dignité-décence, 3/ dignité-liberté[6]. Mon exposé se découpera donc en trois parties consacrées à ces trois sens principaux, suivies d’une brève conclusion.

(...)

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Appel de l'archevêque de Montréal, Mgr Christian Lépine, à refuser le projet de loi 52 (euthanasie)

Sur le site du diocèse de Montréal du 28 mai 2014 :

(Photo : Peter Potrowl sur wikimédia.org, licence creative commons)

 

 

 

 

Une question de vie ou de mort : Un appel à la conscience 

De façon imminente, à l'Assemblée Nationale, nos députés voteront sur le projet de loi 52 : Loi concernant les soins de fin de vie. S'il est adopté, l'euthanasie deviendra légale sous l'appellation d' « aide médicale à mourir ».

Or, devancer la mort ce n'est pas aider à mourir mais faire mourir. C'est donner à nos médecins le pouvoir de tuer des patients vulnérables dans certaines circonstances.

Nous aimons les personnes vulnérables, et un jour nous serons tous vulnérables. Il est important que nous sachions tous que notre famille et la société ne devanceront pas notre mort, mais seront là pour nous soutenir jusqu'à la fin.

Nous sommes appelés à faire le choix inconditionnel du respect de la vie jusqu'à la mort naturelle. L'être humain est constitué pour respecter et servir la vie en toute situation de fragilité. Il ne peut se mettre à causer la mort de personnes innocentes - si encadrée soit la décision - sans blesser en lui-même la conscience de sa propre dignité.

Donner la mort à une personne humaine innocente, c'est aussi se donner la mort à soi-même...


† Christian Lépine
Archevêque de Montréal

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Cinq euthanasies « déclarées » par jour en Belgique en 2013. Une augmentation de 26.8% en un an

Sur le site de dhnet.be du 28 mai 2014 :

(Photo :  K A J O sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

 

Les chiffres de l'euthanasie en Belgique ont à nouveau battu un record en 2013 avec 1.816 cas, contre 1.432 en 2012, soit une augmentation de 26,8%, selon les derniers chiffres révélés par les journaux du groupe Sudpresse. "On peut dire qu'actuellement, il y a 150 euthanasies par mois en Belgique ou, plus parlant encore, 5 euthanasies par jour", souligne le quotidien.

Le site mentionne qu'il ne s'agit que des euthanasies déclarées. Il est important de savoir que la majorité des euthanasies en Belgique se font sans consentement du patient et ne sont pas déclarées.

Et que maintenant, on euthanasiera également les enfants...

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Céline Dion et Andrea Bocelli témoignent avoir failli être avortés...

Sur le site de Média-Presse-Info du 28 mai 2014, à lire également le témoignage d'Andrea Bocelli :

(Photo : Céline Dion et Andrea Bocelli chantant de concert)

(Photo :  nicvder1 sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

(...)La chanteuse canadienne Céline Dion raconte comment elle aussi aurait pu être avortée. Quand sa mère apprit qu’elle était à nouveau enceinte, elle le considéra comme une catastrophe, car ce serait le quatorzième enfant de la famille. La maman demanda à un prêtre de la conseiller ; ce dernier lui rappela la position de l’Eglise sur la question. Il ajouta que c’était contraire à la nature d’avorter. Elle renonça à l’avortement. La chanteuse déclare : « D’une certaine façon, je dois ma vie à ce prêtre… Quand ma mère a dépassé son désappointement, elle n’a pas perdu son temps en s’apitoyant sur elle-même et m’aima passionnément comme on peut aimer son petit dernier. » (...)

Tout avortement est une perte immense pour l'humanité.

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Québec veut resserrer les critères du programme de procréation assistée

Sur le site du Journal de Québec du 28 mai 2014 :

(Congélation et destruction d'embryons sont les pratiques routinières de la fécondation in vitro)

(Photo : wikimédia sans copyright)

 

 

 

Le gouvernement Couillard s’apprête à resserrer les critères d’admissibilité à la fécondation in vitro, ce qui générera des économies importantes pour l’État québécois. (...)

L’an dernier, le budget de 63 millions de dollars alloué à la fécondation in vitro a été défoncé. Le gouvernement péquiste a dû injecter un peu plus de quatre millions supplémentaires dans le programme pour fournir à la demande. 8800 cycles de fécondation in vitro ont été réalisé en 2013-2014.

Avec un taux de réussite sous les 40 %, il s'agit de gaspillage des fonds publics pour des techniques qui ne respectent pas la dignité de l'être humain.

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