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Deux mois après, il pleure toujours... Témoignage sur un récent avortement

regard_vide.jpgSur le site de mamanpourlavie.com du 10 novembre 2014 :

(Photo : Alyssa L. Miller sur flickr.com, licence creative commons)

J'ai 16 ans.
Je suis une ado tout ce quil y a de plus ordinaire. Je ne fume pas je ne bois pas. Je ne couche pas à gauche à droite.
Pourtant, je suis tombé enceinte..
Le jour ou je l'ai su, enfait que jai fais le test et qu'il en est resorti positif, parce que j'avais deja beaucoup de signes ( nausées, mal au ventre, toujours faim, retard des regles),jai voulu mourrir. Pourquoi moi? Une adolescente avec une vie bien banale?
Jai tout de suite envoyer la reponse a mon amoureux. Il se sentait attrocement coupable. On a convenu que le lendemain, on irais à l'urgence. On avait aucune idée quoi faire. Et pas question d'en parler à nos parents. On arrive à l'urgence, on explique à l'infirmière au triage notre situation, et je vous jure, elle s'est mise à pleurer. Elle avait pitié..
Elle nous a réferé a une travailleuse sociale, qui elle nous a référé à une clinique d'avortement situé a 1h30 de chez moi, c'étais la plus proche. On a appeller et on a pris rendez-vous le 17 septembre.
C'étais difficile de me faire à l'idée que ce petit bout qui grandissait en moi, devait partir. Mais c'étais pour son bien.
J'avais peur, peur d'avoir mal, peur de ne plus vouloir, peur de le regretter.
Le jour J, on a rencontré une travailleuse sociale qui nous a tout expliqué comment ça se deroullerait, mais pour être très franche, je n'écoutais rien. J'avais la tete ailleurs.
Quand est venu l'heure, ils n'ont amener que moi dans la salle, mon copain me regardait partir, impuissant. Quand il est arrivé j'avais une robe d'hopital, une seringue dans le bras, et un regard qui le suppliait de me sortir de là.
Ont nous a amené dans une autre salle, on ma couché sur une table, et on ma fais l'echographie. 6,1 semainea ma petite crevette. Ensuite tout est flou, on ma injecté des trucs, je ne me souviens de presque rien. Juste qu mon amoureux a été avec moi tout au long. Je devais avoir un regard vide. Cest comme ça que je me sentais, vide.

Ça été un des pires jours de ma vie. Mais jai réalisé beaucoup.
Jai réalisé la chance que j'avais d'avoir quelqu'un comme lui à mes cotés.

Je ne te cacherai pas, encore aujourdhui cest tres difficile, juste l'autre soir, mon amoureux cest couché sur mon ventre, et il s'est mis a pleurer.
Notre bébé nous manquera toujours. Mais il veille sur nous..
Voila mon histoire d'avortement, et si vous avez des questions, n'hésitez pas.

Alors qu'ils ont demandé de l'aide, on ne leur a proposé aucun autre choix, aucune autre solution que l'avortement. Et « encore aujourd'hui cest tres difficile», et «il s'est mis à pleurer », et « Notre bébé nous manquera toujours »...

Une société inhumaine qui n'apporte aucune aide, au contraire, et laisse dans les larmes, avec seulement ce vide à l'intérieur... et un discours stupide pour tenter d'oublier, selon lequel tout est pour le mieux, pour le mieux de l'enfant... L'avortement, « c'étais pour son bien »...

Le gâchis total...

La raison pour laquelle nous combattons, pour que de telles histoires ne se reproduisent pas.

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La CSN se prononce pour l'abolition de la prostitution

prostitution2.JPGSur le site de newswire.ca du 12 novembre 2014, un article à lire, dont voici un extrait :

(Photo : dualdflipflop sur flickr.com, licence creative commons)

« Plusieurs mythes circulent au sujet de la prostitution, rappelle à cet effet Véronique De Sève. Cette activité n'est pas un travail, même si plusieurs le prétendent, mais bien de l'exploitation. On invoque aussi le libre-choix des prostituées pour défendre la légalisation. Or, la grande majorité des prostituées n'ont pas voulu, comme choix de carrière, vivre de la prostitution. (...) »

La majorité des prostitué(e)s ont commencé le « métier » alors qu'elles étaient des mineures...

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En Allemagne, les parents refusant les cours d'« éducation » sexuelle pour leurs enfants sont mis en prison

prison.jpgSur le site de pour une école libre du 8 novembre 2014 :

(Photo : Indiana Public Media sur flickr.com, licence creative commons)

L’Allemagne ne menace pas seulement de prison les parents qui veulent éduquer leurs enfants à la maison. Elle emprisonne aussi les parents qui s’opposent à des cours d’éducation sexuelle qu’ils considèrent prématurés et hédonistes.

La répression judiciaire et policière outre-Rhin dans le domaine de la politique familiale et de l’éducation se poursuit.

Selon l’Association Besorgte Eltern (Parents inquiets), en Allemagne, des enfants tombent littéralement dans les pommes durant certains cours d’éducation sexuelle explicite ou refusent d’y retourner. Quand les enfants ne suivent plus ces classes, l’école menace les parents et dépose une plainte si les parents ne veulent pas obéir. Puis la justice condamne les parents à payer une amende. Si par principe, les parents refusent de payer l’amende, c’est la police qui se présente à leur domicile pour les mettre en prison !

Sous peu, une mère d’un des couples déjà menacés de prison devrait être mise derrière les barreaux.

Le nouveau totalitarisme occidental a maintenant pour ennemi la famille...

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Franc-parler de Mgr Schneider sur le synode de la famille

Sur le blog de Jeanne Smits du 7 novembre 2014 :

En réalité les évêques favorables à la communion pour les divorcés remariés sont les nouveaux Pharisiens et les scribes, parce qu’ils font fi du commandement de Dieu. Participant au fait que du corps et du cœur des « divorcés remariés » les adultères continuent de procéder (Matth 15,19), parce qu’ils recherchent une solution extérieurement propre, et qu’ils veulent être « propres » également aux yeux de ceux qui ont le pouvoir : les médias, l’opinion publique. Mais lorsqu’ils paraîtront devant le tribunal du Christ, ils entendront sûrement, avec un grand désarroi, ces paroles du Christ : « Au méchant aussi, Dieu s’adresse : “Pourquoi rabâches-tu mes lois ? Tu as mon alliance à la bouche, mais tu détestes l’instruction et tu rejettes mes paroles au loin, derrière toi. A peine as-tu vu un voleur, tu deviens son complice, et puis, tu fais cause commune avec les adultères.” » (Ps 50, 16-18).

(...)

En ces temps extraordinairement difficiles le Christ purifie notre foi catholique pour qu’à travers cette épreuve, l’Eglise finisse par briller davantage et devienne réellement sel et lumière pour ce monde néo-païen insipide, grâce à la fidélité et à la foi simple et pure des fidèles, des petits de l’Église, de l’ecclesia docta, l’Église enseignée, qui en nos jour donnera force à l’ecclesia docens, l’Eglise enseignante, le Magistère, ainsi que cela s’est produit lors de la grande crise de la foi au IVe siècle.

(...)

Nous devons encourager les catholiques ordinaires à rester fidèles au catéchisme qu’ils ont appris, à être fidèles aux claires paroles du Christ dans l’Évangile, à être fidèles à la foi qui leur a été transmise par leurs pères et leurs aïeux. Nous devons organiser des cercles d’études et de conférences sur l’enseignement constant de l’Eglise sur la question du mariage et de la chasteté, en y invitant spécialement les jeunes et les couples mariés. Nous devons montrer la beauté même d’une vie chaste, la beauté même du mariage chrétien et de la famille, la grande valeur de la Croix et du sacrifice dans nos vies. Nous devons présenter toujours davantage les exemples des saints et des personnes exemplaires qui ont montré qu’ayant pourtant souffert les mêmes tentations de la chair, et subi la même hostilité et la même dérision de la part du monde païen, ils ont vécu avec la grâce du Christ une vie de joie dans la chasteté, au sein du mariage chrétien et de la famille. La foi, la foi pure et intégrale catholique et apostolique vaincra le monde.

Nous devons fonder et promouvoir des groupes de jeunes au cœur pur, des groupes de familles, des groupes d’époux catholiques, qui s’engageront à rester fidèles à leurs vœux matrimoniaux. Nous devons organiser des groupes qui aideront moralement et matériellement les famille brisées, les mères seules ; des groupes qui assisteront, par la prière et par les bons conseils, les couples séparés ; des groupes de personnes qui aideront les « divorcés remariés » à entamer un processus de conversion sérieuse, en reconnaissant avec humilité leur situation de péché qui viole le commandement de Dieu et la sainteté du sacrement de mariage. Nous devons créer des groupes qui aideront avec prudence les personnes ayant des tendances homosexuelles afin de les faire entrer sur le chemin de la conversion chrétienne, ce chemin beau et joyeux d’une vie chaste, et pour leur proposer éventuellement, de manière délicate, une aide psychologique. Nous devons montrer et prêcher à nos contemporains de ce monde néo-païen le pouvoir libérateur de la bonne nouvelle de l’enseignement du Christ : que le commandement de Dieu, y compris le sixième commandement, est sagesse et beauté. « La Loi de Dieu est parfaite, elle nous redonne vie. Toutes ses affirmations sont dignes de confiance. Aux gens sans détour elle donne la sagesse. Justes sont ses exigences, elles font la joie du cœur ; et ses ordres, si limpides, donnent du discernement. » (PS 19, 7-8.) (...)

Il est inconcevable que des chrétiens puissent imaginer un seul instant une pratique différente de ce que le Christ a établi par des paroles parmi les plus claires et compréhensibles des évangiles. Le mariage est indissoluble et qui se « remarie » est adultère. Sauf si au départ, les conditions pour un mariage valide n'étaient pas réunies ( mariage forcé, etc.). Dans l'histoire de l'Église, les hérésies, sans aucune valeur intrinsèque, ont tout de même permis de faire avancer l'Église par cet effort constant de l'Église d'approfondir et vulgariser l'enseignement du Christ pour que les hérétiques parviennent un jour à le comprendre.

On peut espérer que l'aveuglement des partisans d'un « remariage » avec communion permettra cet approfondissement et un effort d'explicitation qui apportera de nouvelles lumières et de nouvelles grâces pour une compréhension plus grande du don de Dieu qu'est la famille, à Son image.

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L'Unicef et l'Organisation mondiale de la santé stérilisent à leur insu les femmes Kényanes par un vaccin contre le tétanos modifié

kate_perry_unicef.jpgSur le site de ihsnews.net du 10 novembre 2014 :

(Photo : Kate Perry, ambassadrice de l'Unicef, par ONU Brasil sur flickr.com, licence creative commons)

Les évêques catholiques du Kenya accusent deux organismes des Nations Unies de procéder à la stérilisation de millions de filles et de femmes sous couvert d’un programme de vaccination anti-tétanos parrainé par le gouvernement kenyan.
Selon un communiqué publié mardi par l’Association des Médecins catholiques du Kenya, l’organisation a trouvé un antigène qui provoque des fausses couches dans un vaccin administré à 2,3 millions de filles et de femmes par l’Organisation mondiale de la Santé et de l’UNICEF. Des prêtres à travers le Kenya auraient conseillé à leurs congrégations de refuser le vaccin.

« Nous avons envoyé six échantillons en provenance de tous les endroits du Kenya à des laboratoires en Afrique du Sud. Ils ont été testés positifs pour l’antigène HCG« , a déclaré le Dr Muhame Ngare du Mercy Medical Centre à Nairobi à LifeSiteNews. « Ils contenaient tous de l’HCG.(Hormone chorionique gonadotrope humaine) »

Le Dr Ngare, porte-parole de l’Association des médecins catholiques au Kenya, a déclaré dans un bulletin publié le 4 novembre « Ceci confirme nos pires craintes ; que cette campagne de l’OMS ne sert pas à éradiquer le tétanos néonatal, mais est en fait un exercice contrôle de la population par une stérilisation de masse bien coordonnée utilisant un vaccin connu pour réguler la fertilité. Cette preuve a été présentée au ministère de la Santé avant le troisième tour de la vaccination, mais a été ignorée« .

Quel média de masse québécois en parle?

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10 femmes meurent, 24 dans un état grave, plusieurs malades suite aux pratiques de stérilisation de masse en Inde

femmes_indiennes.jpgSur le site du journal La Presse du 11 novembre 2014 :

(Photo :  M Prem Kumar sur flickr.com, licence creative commons)

Ces opérations de stérilisation sont organisées dans divers États dans le cadre d'un programme national qui prévoit d'accorder 1400 roupies (28 $) aux femmes volontaires.

(...)certains gouvernements offrent également des biens, tels qu'une voiture ou de l'électroménager, pour recruter des couples volontaires.

Nombre d'ONG dénoncent la fixation d'objectifs chiffrés au niveau de certains États qui entraîne des dérives, certaines femmes se retrouvant contraintes à une stérilisation, (...).

L'an dernier, les autorités du Bengale-Occidental (est) avaient été vivement critiquées après la diffusion d'images montrant des femmes laissées inconscientes dans un champ à la suite d'une opération de stérilisation de masse.

Des gouvernements qui, loin d'aider leurs populations,  profitent de la pauvreté pour faire miroiter une rémunération contre la stérilisation, avec l'appui des gouvernements occidentaux et de l'ONU. Quand entendra-t-on l'ONU critiquer inlassablement les conditions faites aux pauvres en Inde et en Chine concernant une VÉRITABLE « justice reproductive » (terme désignant malheureusement habituellement la promotion de l'avortement chez les plus pauvres...).

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Excellent texte dans le journal Le Devoir sur la liberté, la morale et la capacité de juger...

lea_clermont_dion.jpgSur le site du journal Le Devoir du 11 novembre 2014, un texte de Patrick Moreau, professeur de littérature et rédacteur en chef de la revue « Arguments ». Un texte à lire en entier, dont voici un extrait :

(La Chroniqueuse Léa Clermont-Dion a reçu sa part de critiques pour avoir osé porter un jugement moral sur l'événement du Boule-o-thon, où une actrice porno a couché avec 22 hommes pour que son patron lui paie une augmentation mammaire...)

(Photo : Francis Bourgouin sur flickr.com, licence creative commons)

Un refus viscéral de tout jugement, qui s’apparente dans les faits à une démission, car derrière ces proclamations hautaines de tolérance (« je ne me permettrai pas de juger cette fille »), on trouve ce refus de prendre son « propre jugement pour guide » qui rend l’individu « absolument incapable de distinguer le bien du mal » et qui est de ce fait, selon Hannah Arendt, à la racine de ce phénomène qu’elle nomma dans Eichmann à Jérusalem la « banalité du mal ». Cette apparente tolérance est à double tranchant et, en vérité, cache bien mal le fond d’indifférence à l’égard d’autrui sur lequel elle s’exprime ; comme dira une autre intervenante au sujet de cette douteuse performance sexuelle de la jeune actrice porno : « de toute manière, on s’en tape de ce qu’elle fait ». C’est sans doute là le fin mot de cette prétendue tolérance qui permet dans ce beau monde du libéralisme triomphant la résurgence de nouvelles formes d’exploitation.

Ne pas juger le mal, c'est lui donner toute la liberté d'agir... "Le pire, (disait le journaliste burkinabé Norberto Zongo), ce n'est pas la méchanceté des gens mauvais, c'est le silence des gens bien"

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Neuf mois de prières pour la France (15 novembre 2014 au 15 août 2015)

notre-dame-du-cap.jpgSur le site de libertépolitique.com du 6 novembre 2014 :

(Photo :  La Boîte à Image de CD sur flickr.com, licence creative commons)

Une longue chaîne de prière est proposée à tous les catholiques de France, à l’intention de leur pays. Durant neuf mois, les personnes, associations, paroisses, diocèses, communautés et mouvements sont appelés à prier chaque jour et à jeûner chaque mois pour la France et pour chacun de ses enfants.

COMME LE DIT LE PAPE FRANÇOIS dans son exhortation apostolique : « Je suis convaincu qu’à partir d’une ouverture à la transcendance pourrait naître une nouvelle mentalité politique et économique » (La Joie de l’Evangile, n. 205).

En ce temps marqué par la crise, la sinistrose ou le désespoir, la prière n’est pas sans lien avec les questions sociales et politiques. Au contraire, elle est au principe de l’espérance, d’une naissance ou d’une renaissance, d’un renouveau, de notre conversion personnelle et des décisions courageuses à prendre.

La prière : « combien de divisions ? » La plus grande force de l'histoire des hommes !

Pourquoi une neuvaine ?

Depuis 2012, de nombreuses et belles initiatives ont été entreprises pour alerter l’opinion publique sur le changement de civilisation qui est en train de s’opérer. Cependant, ces actions seront d'autant plus fructueuses si elles sont portées par leur raison d’être : la conversion des cœurs, seul véritable levier de la reconstruction, comme intime remise de notre condition à la grâce de Dieu. Jésus le rappelle d’ailleurs : « Marthe, Marthe, tu t’inquiètes et tu t’agites pour bien des choses. Une seule est nécessaire. Marie a choisi la meilleure part : elle ne lui sera pas enlevée » (Luc 10, 41-42)

La Sainte Vierge a de nombreuses fois fait preuve de sollicitude pour la France. Plus souvent encore Elle a appelé à la prière. Aujourd’hui, des Français la sollicitent collectivement pour lui demander d’entendre la Parole de Dieu, le courage de lui être fidèle, la persévérance de Le suivre, le don de la charité, l’amour de la vérité et l’espérance.

(...)

Et une neuvaine à Notre-Dame-du-Cap pour le Québec?

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Retour du cours d'« éducation sexuelle » obligatoire à l'école primaire et secondaire au Québec

contraceptifs.jpgSur le site du journal La Presse du 7 novembre 2014 :

(Photo : Ryan Somma sur flickr.com, licence creative commons)

(...)Ces cours ont disparu dans la foulée de la réforme scolaire, avec le retrait du programme de «formation personnelle et sociale». Le ministère de l'Éducation ne veut pas les rétablir tels quels. L'objectif est plutôt d'intégrer quelques heures obligatoires d'éducation à la sexualité dans des matières existantes à chaque niveau du primaire et du secondaire.

Le projet-pilote se ferait dans quelques écoles à la rentrée 2015. (...)

Et un cours d'éducation à l'amour au rythme de l'enfant, sous la responsabilité des parents ? 

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Souper conférence ce soir sur les soins palliatifs et l'euthanasie, à Montréal


margaret_somerville.jpg(Photo de Margaret Somerville par robynejay sur flickr.com, licence creative commons)

Organisé par la Coalition des médecins pour la justice sociale
Date : 6 novembre 2014
Heure : 18h cocktail
19h souper
20h à 22h conférence de formation

Endroit : Hôtel Omni, 1050 Sherbrooke Ouest, Montréal H3A 2R6

Vous êtes cordialement invités à la soirée-conférence le jeudi 6 novembre, à l'hôtel Omni, à Montréal, sur l'importance de développer l'accès aux soins palliatifs et sur les dangers de la mise en œuvre des aspects de l'euthanasie dans la Loi sur l'Aide médicale à mourir au Québec, au Canada et dans le monde. Cette soirée est organisée par la Coalition des médecins pour la justice sociale.

Plusieurs conférenciers vont unir leur compétence respective de médecin, juriste et psychologue.

Les principaux intervenants sont :

Dr Balfour Mount (fondateur des soins palliatifs à l'hôpital Royal Victoria et en Amérique du Nord),‎
Dre Margaret Somerville (Directrice-Fondatrice de la Faculté de Droit, Médecine et Bioéthique, Université McGill),
Dr Ronald Olivenstein ( Directeur médical de l'Institut Thoracique de Montréal)
Pierre Faubert (psychologue et chroniqueur)

Pour plus d'information, voir l'annonce sur le site newswire.ca

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