Chers amis de la Vie,
Lettre de Paul-André Deschesnes à Campagne Québec-Vie — Photo : Fizkes/Adobe Stock
Belœil, le 24 septembre 2024
Monsieur Georges Buscemi, bonjour.
Voici une courte réflexion personnelle. À la page 1 du dernier bulletin Culture de Vie, il y avait un article (avec photo) sur Janette Bertrand non signé.
Dans un premier temps, l’article fait l’éloge de la papesse du Québec (bientôt 100 ans) sous prétexte qu’il faut poser un regard nuancé sur son héritage. Cet article m’a presque choqué et indigné !
Janette Bertrand est une démone sortie de l’enfer qui a ensorcelé le peuple et le clergé québécois.
Va-t-elle ensorceler Québec-Vie ?
Depuis des décennies, elle crache à répétition contre la foi en Dieu et contre la religion catholique.
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Elle est une active militante hyper-athée qui se moque des croyants, de Dieu et de la Vierge Marie. Elle est une féministe gauchiste, ultra militante et ultra décadente.
Évidemment, elle est très populaire au Québec car nous sommes les plus décadents de toute la planète.
Elle est une ultra militante (T.V., médias) pour l’avortement, pour l’euthanasie, pour les LGBTQ+++++, pour la sexualité (horrible) enseignée dès la maternelle et au primaire et au secondaire, pour la Libération de la femme tous azimuts, pour le divorce sur demande, pour l’amour libre, pour le concubinage, etc.
On l’adore au Québec. À son décès, elle aura des funérailles nationales dans une grande basilique catholique, payées par nos taxes et impôts. Le deuil national durera deux ou trois jours.
Canonisée, on nommera « Janette Bertrand » des rues, des lieux publics, des édifices, des stations de métro, etc. Partout, on verra la statue de Janette B. qui a sauvé le Québec de la Grande Noirceur en le faisant évoluer dans « la bonne direction ».
M. Buscemi, c’est cela qui aurait dû être écrit sur la « sainte » Janette dans le dernier numéro de Campagne Québec-Vie.
Il faut proclamer la Vérité, même si l’immense majorité nous crie des bêtises et hurle des menaces.
Peut-être, pourriez-vous dans un prochain numéro, remettre les pendules à l’heure. Merci.
Paul-André Deschesnes
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