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Une étude révèle de nouveaux témoignages d'infirmières sur des pressions subies pour tuer leur patient, au Québec...

Sur le site du Journal de Montréal du 20 novembre 2013 :

(Photo : UMDNJ School of nursing, sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

Des infirmières se sentent démunies quand un médecin prend la décision de mettre fin aux soins palliatifs, si bien que certaines ont même l’impression d’euthanasier des patients, révèle une étude.

«Je me sens comme la Grande Faucheuse de la vie», a confié une infirmière qui a participé à l’étude Amélioration des soins de fin de vie, de l’Institut Robert-Sauvé en santé et en sécurité du travail (IRSST). 

LA MORT AU QUOTIDIEN

 Cosignée par 11 auteurs, l’étude récemment publiée met en lumière la complexité du travail des infirmières des unités de soins intensifs (USI), où environ 20 % des patients décèdent. 

Selon l’étude, les unités ne sont pas toujours équipées pour offrir des soins palliatifs (SP) à la hauteur des besoins.

(...)

Et cela contredit les dires de la Ministre Hivon qui affirme que plus 90% des besoins en soins palliatifs sont satisfaits...

Le journal publie quelques témoignages d'infirmières contenus dans le rapport :

Le problème, c’est que le patient ne mourait pas assez vite selon le médecin. Il voulait partir et voulait qu’on accélère le processus de mort du patient. Il nous faisait augmenter les doses de morphine aux cinq minutes en intraveineuse. […] Pour moi, ce n’était pas des soins palliatifs, c’était de l’euthanasie. »

C’est moi qui fais le geste qui mettra un terme à la vie du patient. »

Je remplissais la seringue et c’est moi qui appuyais sur le piston, c’est ça que je n’ai pas aimé, c’était beaucoup. Le résident surveillait l’écran et me disait : “Je ne veux pas qu’elle respire plus vite, donne-lui 50 milligrammes, donne-lui 3cc, donne-lui, donne-lui”, je n’arrivais pas à fournir. En l’espace de 20 minutes, c’était fait. Moi je l’ai trouvée dure celle-là. J’ai dit aux filles, c’est de l’euthanasie. »

Mais la Ministre Hivon est certaine que ces crimes ne pourront se reproduire plus souvent, une fois que l'euthanasie sera légalisée sous le titre d'« aide à mourir dans la dignité »...

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Deux jumeaux qui ne savent pas qu'ils viennent tout juste de naître. Très beau et court vidéo

Les jumeaux  de la vidéo, qui demeurent dans ce monde de sérénité, semblent ne pas savoir qu'ils sont nés. Et que quelques minutes auparavant, au Canada, il était possible de les tuer tous les deux... et que cela se produit effectivement dans ces derniers mois de la grossesse :

(Photo : Bobokeh sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

//www.youtube.com/embed/qY-d46-gPMI

Soutenons le député Stephen Woodworth qui veut déposer une nouvelle motion jeudi pour la protection des enfants à naître, ces enfants que tous ont le droit de tuer actuellement au Canada.

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Une nouvelle motion sera déposée par le député conservateur Stephen Woodworth pour la protection de l'enfant à naître

Sur le site de Radio-Canada du 19 novembre 2013 :

(Photo : Leadnow sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

 

 

Le député conservateur Stephen Woodworth, connu pour sa défense des droits du foetus, entend déposer une nouvelle motion en ce sens au Parlement. Il doit donner plus de détails jeudi, en conférence de presse.

Selon le député de Kitchener-Centre, la loi autorisant l'avortement est dépassée. (...)

L'article 223 du Code criminel canadien stipule que pour qu'un enfant soit considéré comme un être humain, il doit être vivant et entièrement sorti du ventre de sa mère.

(...)

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La présidente de Women's Rights Without Frontiers dénonce de nouveau la politique de l'enfant unique en Chine

Sur le blog de Jeanne Smits du 18 novembre 2013 :

(Combien parmi ces soldats chinois obligés de faire appliquer la politique de l'enfant unique, ne trouveront pas de femmes à marier puisque le ratio est de 118 garçons pour 100 filles?)

(Photo : Georgio sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

Cela fait des années que Reggie Littlejohn, présidente de Women's Rights Without Frontiers, milite contre les atrocités de la politique de l'enfant unique en Chine, dont elle est l'un des meilleurs connaisseurs. (...)

« Le noyau de cette politique, c'est la coercition », a rappelé Mme Littlejohn à Catholic News Agency vendredi dernier. « Le problème est bien que c'est le gouvernement qui dit aux gens combien d'enfants ils peuvent avoir, et qu'il fait respecter cette limite par la coercition, y compris en faisant avorter des femmes de force à neuf mois de grossesse. »
 

Reggie Littlejohn cite le cas d'une femme morte au début du mois en Chine à la suite d'un avortement forcé : un fait qui n'a pas été rapporté par l'agence de presse chinoise gouvernementale, Xinhua.
 

L'assouplissement envisagé par le gouvernement chinois pourrait concerner des millions de familles. (...)

Si d'aucuns saluent le projet gouvernemental – encore que ce ne soit pas la première fois qu'une telle annonce est faite, pour être ensuite retirée – Reggie Littlejohn note que même mis en œuvre, il ne s'agira au mieux que d'un bricolage d'ajustement, uniquement basé sur des considérations économiques et démographiques. « Nous n'avons pas vu la moindre réduction des avortements ou des stérilisations forcés dans les campagnes ; ils sont toujours nombreux », souligne-t-elle : pourtant dans bien des campagnes la politique du nombre d'enfants est plus souple que dans les villes.

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La Fondation Bill Gates s'assure que l'avortement et la contraception soient disponibles en Afrique et en Asie

Sur le site de womanattitude.com du 18 novembre 2013 :

(Bill Gates : de l'argent contre une imposition de la  contraception et de l'avortement?)

(Photo : World Economic Forum sur flickr.com, licence Creative Commons)

(...)

Et du 12 au 15 novembre 2013, se tenait la Conférence Internationale en Ethiopie, organisée par la Fondation Gates, avec pour Co-Chair Melinda Gates, et de nombreuses tables rondes portant sur l’IVG. Lors de cette conférence sur le Planning Familial en Ethiopie, les sessions étaient les suivantes : 

Les efforts de mise en œuvre des politiques visant à étendre l’accès à l’avortement sans danger
 
L’accès à l’avortement sans danger 

Avortement et qualité de soins
 

Avortement, l’avant et l’après
 
Un des objectifs clefs de la conférence est le maintien de la pression sur les Etats contributeurs. Les partenaires de Melinda Gates, comme le Planning familial et Population Action International (PAI), ont promis d’intensifier leur travail militant, et de faire en sorte que les financements des donneurs et des Etats continuent d’abonder. « Une grande partie de notre travail en Afrique subsaharienne consiste à faire en sorte que les Etats qui reçoivent des dons tiennent leurs promesses » expliquait le président de PAI.
 
On est en pleine manipulation des pays pauvres.
 

Si je te donne du financement pour ton développement, tu mets en place une politique de « Reproductive and Sexual Health  » incluant la contraception et l’avortement.
 

 

 

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Caméra cachée dans une clinique d’avortements tardifs : l’employée explique que les bébés sont piqués dans le crâne

par Ben Johnson, traduit par Campagne Québec-Vie

ALBUQUERQUE, Nouveau-Mexique, 14 novembre 2013 (LifeSiteNews.com) – L’employée d’une clinique d'avortements tardifs à Albuquerque a expliqué à une journaliste infiltrée que de percer le crâne d'un enfant à naître [vivant] avec une aiguille est le moyen « le plus humain » d'assurer la mort du bébé.

Cette conseillère anonyme travaille à la clinique Southwestern Women's Options d’Albuquerque, l'une des seules du pays à pratiquer des avortements au cours du troisième trimestre de la grossesse.

Le processus dure une semaine et coûte 8000 $. « Pour chaque semaine de grossesse qui s’ajoute, le tarif augmente d’un montant de 1000 $ », a déclaré l’employée.

Une conseillère a ensuite expliqué le processus de l'avortement à la journaliste infiltrée du mouvement Live Action.

//www.youtube.com/embed/JEi5xWA6e08?rel=0

L'injection « va droit dans le sac, tout droit dans la » - elle fait visiblement une pause - « grossesse ». Selon la façon dont le bébé est placé, l'aiguille perce « le derrière du bébé » ou, plus vraisemblablement, « sa tête, son crâne. »

Lorsque la mère a demandé si l'enfant pouvait ressentir de la douleur, la conseillère a hésité. « Je ne sais pas s’il est assez développé pour la sentir, » a-t-elle dit. « Je ne pense pas », a-t-elle suggéré. « Peut-être. »

Lorsque la journaliste lui a demandé comment elle se sentait elle-même à l’idée que ses victimes ressentent peut-être une douleur intense, la femme a répondu que ce schéma est « nécessaire pour que la procédure se produise et finalement, euh, c’est la façon la plus sûre, et en quelque sorte, la plus humaine, de le faire. »

Le résultat de ce processus est « un bébé mort », a-t-elle admis.

Les scientifiques s'accordent sur le fait que les circuits neurologiques nécessaires pour que l’enfant ressente la douleur, commencent à se développer vers quatre à huit semaines et sont complétés vers la 20e ou la 24e semaine au plus tard.

Le site de l'avorteur, Dr Carmen Landau, précise que beaucoup de ses patients viennent à la clinique SWO parce qu'elle est l'une des rares qui effectuent des avortements si tard dans la grossesse.

« Les gens viennent de partout au pays et de partout dans le monde à notre clinique », a déclaré Landau, « car dans la plupart des endroits vous ne pouvez pas obtenir un avortement après 24 semaines. »

« Cet établissement est l'un des pires exemples du mépris total de l’industrie de l’avortement pour les droits fondamentaux », a déclaré Lila Rose, présidente de Live Action.

Une partie de la vidéo avait déjà été publiée en juin dans le cadre de la série Inhuman de Live Action, exposant au grand jour l'avortement tardif.

La nouvelle version a été publiée juste avant le vote du 19 novembre sur l’Ordonnance sur la protection de l’enfant à naître capable de douleur proposée par la ville, qui interdirait l'avortement après 20 semaines en raison de la douleur fœtale. Les sondages montrent que la mesure jouit d'une popularité importante dans cette ville en principe socialement libérale.

« Si Cecile Richards pensait qu’Albuquerque était une question gagnante [pour son association], elle essaierait de faire de l'argent dessus », a déclaré Rose. « Mais les courriels de financement de Planned Parenthood sont muets à ce sujet. »

Plutôt que d'amasser de l’argent, le plus grand fournisseur d'avortements de la nation a tranquillement injecté 300 000 $ dans la ville pour lutter contre la nouvelle réglementation. Un site pro-vie aurait été piraté, redirigeant les courriels de ses partisans à une organisation proavortement.

Sur la vidéo, Landau a déclaré que l'état du Nouveau-Mexique n'a pas « beaucoup de restrictions sur [l’avortement]. » À l'échelle nationale, une semblable interdiction de l'avortement après 20 semaines a été adoptée par la Chambre des représentants en juin. Cinq mois plus tard, elle a été présentée au Sénat américain.

Rose a qualifié le vote d’Albuquerque de « cas évident de lutte entre le bien et le mal ».

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La pilule contraceptive augmente le risque de glaucome

Sur le site de Radio-Canada du 17 novembre 2013 :

(Photo : Petr Novák, Wikipedia, licence Creative Commons)

 

 

Les femmes qui prennent la pilule depuis plus de trois ans présentent un risque accru de glaucome, affirment des chercheurs américains.

Le Dr Shan Lin et ses collègues de l'Université de Californie à San Francisco estiment que ce risque est deux fois plus élevé pour ces femmes que pour celles qui ne prennent pas la pilule.

La recherche, qui a porté sur 3406 femmes âgées de plus de 40 ans entre 2005 et 2009, montre que l'accroissement du risque est similaire quel que soit le contraceptif oral utilisé.

(...)

Cette recherche a été présentée lors de la conférence annuelle de l'American Academy of Ophtalmology.
 

(...)

 

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Lettre dans le Journal de Montréal sur le vide juridique concernant l'avortement

Sur le site du Journal de Montréal du 18 novembre 2013 :

(Cour suprême du Canada)

(Photo : Wladislaw sur wikimedia.org, licence Creative Commons

Bravo aux médias de publier la vérité concernant le vide juridique sur l’avortement au Canada. En effet, la question est loin d’être «réglée» et le débat, loin d’être «clos»: la Cour suprême a demandé au parlement de légiférer pour reconnaître le droit à la vie de l’enfant à naître, garanti par les chartes des droits, tout en tenant compte du droit à la sécurité de la femme. Depuis ce jugement de 1988, une multitude de tentatives ont été lancées pour donner suite, sous forme de projets de loi ou autre, mais elles ont toujours été démantelées par les tenants de l’avortement. Les 25 000 personnes qui manifestent contre l’avortement chaque année sur la Colline depuis plus de quinze ans sont un signe patent que bon nombre de Canadiens ont honte des 100 000 avortements (chiffres officiels) commis au pays chaque année et aussi du fait que le Canada soit le seul pays industrialisé (avec la Chine et la Corée du Nord) à n’avoir aucune restriction à l’avortement, jusqu’à la naissance. (...)

Isabelle O’Connor

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Un sondage sur ce que pensent les électeurs démocrates américains de l'avortement

Sur le site de Nouvelles de France du 18 novembre 2013 :

(Photo : paulhami sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

 

Un sondage réalisé par Harper Polling sur l’électorat démocrate de Pennsylvanie (un État dans la moyenne du pays en matière de conservatisme) permet de mieux comprendre ce que pense le sympathisant démocrate moyen.
 
(...)

52% des démocrates de Pennsylvanie pensent que l’avortement devrait être légal dans la plupart des cas ou dans tous les cas, 43% qu’il devrait être illégal ou légal seulement dans les cas de viol, d’inceste ou lorsque la vie de la mère est en danger. Contrairement aux idées reçues, les hommes sont davantage favorables à l’accès à l’avortement (+4 points).
 
Autre constat inquiétant pour l’oligarchie, les jeunes démocrates sont plus susceptibles de soutenir les restrictions d’accès à l’avortement (qui se multiplient depuis quelques années) : 60% des démocrates âgés de 18 à 35 ans pensent que l’avortement devrait être soit totalement illégal (16%) ou illégal sauf dans les trois cas évoqués supra (44%).
 

 

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Un discours révolutionnaire pour un féminisme humain et réaliste

Sur le site du journal La Presse du 18 novembre 2013, cet article de Louise Leduc :

(Photo : gwilmore sur flickr.com, licence Creative Commonms)

 

 
Je n’avais pas encore lu le livre de Fanny Britt que je savais que ce serait tout moi. «Maternité, ambiguïté et féminisme».
 
C’est tout moi, ça, quand j’échafaude mille scénarios (qui tiennent ou pas) pour limiter le plus possible le nombre d’heures que la petite passe au CPE. « Toi, tu partiras très tôt pour le bureau et tu reviendras très tôt. Le lendemain, on inverse les horaires, d’accord? », dis-je typiquement à mon homme le dimanche soir.
 
C’est tout moi, cela, quand dans le secret de mon cœur, je me souviens que ma mère est restée à la maison jusqu’à mes douze ans avant de devenir femme d’affaires tambour battant. Pourquoi ne resterais-je pas moi aussi au foyer, au moins jusqu’à l’entrée à l’école de ma fille?
 
(...)
 
En entrevue avec ma collègue Nathalie Collard dans La Presse +, Fanny Britt dira que «ce n’est pas facile à dire », mais qu’elle va cracher le morceau. « Le travail, dit-elle, n’aura jamais la même valeur que mes enfants à mes yeux. »
 
Vrai, on ne le dit pas souvent ouvertement et surtout pas au travail, mais c’est pourtant l’évidence même. Pour les hommes comme pour les femmes, le travail n’a pas la même valeur que les enfants.
 
(...)

 
Là où, clairement, il n’y a plus d’ambivalence, à lire quelques-unes des huit femmes qui ont été invitées à parsemer l’ouvrage de leurs réflexions, c’est sur la place de l’homme dans nos vies. Madeleine Allard, traductrice, auteure et mère de quatre enfants, écrit : «Je crois aussi que les femmes ont besoin des hommes. Je crois qu’on a complètement évacué ce besoin. Les femmes ont besoin des hommes non pour les protéger, leur donner de la sécurité, etc. (même si c’est bien aussi) mais elles ont besoin d’hommes qui les voient comme leurs égales, qui les soutiennent, qui les aident parfois à trouver leur chemin, qui les encouragent. Je crois que c’est la décision la plus importante qu’une femme peut prendre dans sa vie : choisir le bon homme avec qui elle la partagera.»
 
Là-dessus, Annie Desrochers, mère de cinq enfants et responsable de la revue des médias chez Marie-France Bazzo,  répond qu’elle ne pourrait pas être plus d’accord avec cela, en se faisant même plus précise. «Les mères ont besoin des pères de leurs enfants. Ça vaut pour les mères en couple comme pour les mères célibataires.»
 
Oh que oui…

 Une nouvelle révolution féministe, plus réaliste et humaine?

 

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