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L'euthanasie des mineurs sans leur consentement?

Sur le site de Pour une école libre du 3 octobre 2013 :

 

 

 

 

 

 

Sur la scène internationale, la Belgique a l’image d’un pays où l’on donne facilement la mort à ceux qui le demandent. L’euthanasie d’un transsexuel ne supportant pas son corps vient de défrayer la chronique. C’est dans ce contexte qu’est tombée hier une enquête montrant que les Belges sont massivement pour étendre le droit à l’euthanasie aux mineurs. Y compris sans leur consentement. Selon ce sondage commandé par la radio-télévision pu­blique fran­co­phone RTBF près de 90% des Belges sont « favorables » ou « plutôt favorables » à autoriser l’euthanasie pour les personnes souffrant de démences comme l’alzheimer. Et 75% pour les « mineurs incapables de donner leur consentement ». Par exemple des enfants ou ados plongés dans un coma prolongé ou un état végétatif. Le résultat a surpris y compris en Belgique. Car le pays s’apprête à « compléter » sa loi sur l’euthanasie datant de 2002. Les élus envisageaient d’inclure les mineurs « capables de discernement » et soutenus par leurs « représentants légaux » dans la loi. En envisageant les cas d’enfants atteints de cancers en phase terminale ou de très grands prématurés n’ayant plus aucune chance de survie. Mais ils n’avaient pas imaginé entrer en matière sur des mineurs dans l’incapacité de s’exprimer. D’autant que la loi belge est déjà une des plus libérales de la planète. Elle permet l’euthanasie active tandis que la Suisse n’autorise « que » le suicide assisté. Et admet que, si elle est «constante, insupportable et inapaisable» la « souffrance psychologique » est une raison suffisante pour une injection létale.  (...)

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Le gouvernement socialiste français veut censurer les informations sur l'avortement...

Sur le site de Valeurs Actuelles du 27 septembre 2013 :

(Najat Vallaud-Belkacem, ministre des « Droits des femmes »)

 

IVG. Najat Vallaud-Belkacem (photo) est en guerre : dans une lettre de saisine adressée le 5 avril dernier au Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes, la ministre des Droits des femmes s’inquiète du fait que des « sites Internet d’information biaisée voire hostile à la pratique de l’IVG » existent. 
 
(...) Pour mieux museler ses opposants, le PS préconise en réponse, dans un amendement déposé par des sénateurs socialistes, et adopté en première lecture, l’étendue du délit d’entrave à l’IVG : le seul acte d’« informer » est désormais passible de la même peine correctionnelle — deux ans de prison — que celui d’exercer des « pressions morales et psychologiques ».

Le gouvernement socialiste français est dictatorial. Ce n'est pas une exagération. Si un telle loi est concrétisée, combien de défenseurs des enfants à naître pourraient être mis en prison?

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Pourquoi se soucier du suicide si l'on permet l'euthanasie pour des « souffrances insupportables »....

Sur le site du journal La Croix du 2 octobre 2013 :

 

(Un article de Dominique Quino, du journal La Croix)

 

 

 

(...)
 
Encore une fois, c’est un cas particulier, tragique, une histoire personnelle douloureuse qui alimente le débat, ou plutôt le non-débat. Une personne de 44 ans souhaitant changer de sexe, dont l’opération s’est mal passée, a reçu une aide à mourir, ses souffrances psychiques étant jugées « insupportables ». Une majorité de Belges – plus des trois quarts – se déclarent favorables à l’euthanasie pour des personnes souffrant psychologiquement, pour des mineurs très malades « en âge de discernement » (qu’est-ce à dire ?) et pour des personnes en état de démence (Alzheimer par exemple), incapables d’exprimer leur volonté.
 
Pourquoi donc s’alarmer du nombre des suicides chez les jeunes ou les vieillards, s’ils sont reconnus comme un droit qu’il faudrait accompagner ? À quoi bon se battre pour mieux prendre en charge la fin de vie – par le soin et le soutien moral – si l’euthanasie est posée comme une alternative ? Comment respecter la dignité de personnes que la maladie ou le handicap prive de leur discernement, s’il devient légal de décider que la mort, pour eux, est une solution ? La loi belge ne devrait pas être modifiée avant la fin de la législature, mais dans les esprits, le pas est franchi. Alors que la France doit réexaminer sa loi sur la fin de vie, comment ne pas s’inquiéter d’une telle évolution, d’une telle banalisation, une fois qu’a été levé l’interdit de donner la mort ?

Et au Québec, qui prend la Belgique pour modèle?

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La charte des « valeurs québécoises » ne règlera rien, selon l'éditorialiste André Pratte

Sur le site du journal La Presse du 3 octobre 2013 :

(Dalida Awada, représentante de l'Islam modéré, ou marginale ne représentant pas la communauté arabo-musulmane du Québec?)

 

 

Les partisans de la «charte des valeurs québécoises» espèrent qu'une fois affirmées les balises aux accommodements raisonnables et exclus les signes ostentatoires de la fonction publique, le «problème» de la cohabitation de la majorité avec les minorités religieuses sera réglé. Ils se trompent lourdement.
 
(...)
 
Chez ceux-là, très nombreux dans toutes les démocraties occidentales, la vue de tout signe religieux, surtout le voile, provoque l'inconfort, l'irritation, voire la colère.
 
Cette partie de la population sera satisfaite seulement lorsque les signes religieux auront été bannis de l'espace public.( ...)
 
Dans un avis publié la semaine dernière, la Commission nationale consultative des droits de l'homme rappelle que «la séparation des églises et de l'État ne doit pas être comprise comme visant à l'éviction hors de l'espace public de toute manifestation d'une conviction religieuse». L'organisme met en garde le gouvernement français contre la tentation d'étendre encore l'interdiction des signes religieux: «Il faut se prévenir de toute construction d'une "nouvelle laïcité" plus restrictive qui risque d'enfermer toute expression de la liberté religieuse dans la stricte sphère intime, ce qui serait attentatoire aux libertés fondamentales.»
 
(...) Les accommodements religieux continueront de susciter périodiquement la controverse. Cela étant, comme on ne saurait aller plus loin sur la voie de la violation des droits fondamentaux que ce qui a été proposé cet automne, l'information, le dialogue et la patience restent de loin les approches les plus prometteuses pour aborder ces questions délicates.
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49 enfants sauvés aux 40 Jours pour la Vie!

Sur le site de Riposte Catholique du 3 octobre 2013 :

(Partout à travers le monde, les 40 Jours pour la Vie. Ici, en Floride)

 

Au huitième jour de la campagne d’automne des 40 Days for Life, la coordination de cette campagne peut annoncer que 49 enfants à naître ont déjà été sauvés de l’avortement grâce aux prières qui convertissement les cœurs et au travail des “conseillers de trottoir”. Chacun peut soutenir par la prière ce formidable mouvement américain de défense de la vie à naître, lancé par des catholiques et devenu “œcuménique” dans sa composition. (...)

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Des partenaires de même sexe se séparent et se partagent les jumeaux qu'ils se sont fait fabriquer...

Sur le site de 24hactu.com du 27 septembre 2013 (via Famille Chrétienne) :

 

(David Tutera et son ancien partenaire se sont partagés des jumeaux...)

 

(...)
 
David Tutera, une célébrité hollywoodienne de seconde zone et son mari Ryan Jurica ont annoncé en début d’année leur divorce après plus de dix ans de mariage, et alors que le couple attendait des jumeaux par « surogate » comme la loi californienne le leur permet. En clair, les deux hommes ont fertilisé deux ovules d’une femme tandis qu’une autre a loué son ventre pendant neuf mois pour le plaisir de ces petits Frankenstein.
 
Là où l’histoire se complique (ou se simplifie), c’est que chacun de ces messieurs est le père biologique de l’un des enfants (qui ont chacun in fine quatre parents) et qu’à l’heure du divorce personne ne souhaite se faire de cadeaux. Les deux anciens maris ont donc décidé à l’amiable d’un partage à la Salomon des nouveaux-nés.
David Tutera récupère donc « sa » fille Cielo tandis que le petit Cedric grandira avec son papa biologique Ryan Jurica. Ironique quand même quand on prône le mariage homosexuel et l’homoparentalité au nom d’une abolition des lois naturelles. Ces dernières reviennent au galop un peu facilement quand il s’agit de justifier l’injustifiable : séparer des jumeaux à la naissance.
(...)
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Récit d'un avortement forcé : un terrible témoignage

Sur le site de forum.doctissimo.fr du 2 octobre 2013, ce témoignage d'une femme qu'on a obligée à avorter:

 

 

 

 

Bonjour, c'est mon premier sujet sur le forum donc je me présente. Je m'appelle Claire, j'ai 18 ans.
 
Le 31 juillet je me suis aperçu que j'étais enceinte après un retard de règle. J'étais heureuse, mais mon copain ne l'accepter pas. Il a changer d'avis et nous étions content. Je l'avais annoncer à ma mère, elle le prenait bien au début puis 2 semaines après elle ma mis à la rue après une dispute. Elle à mis au courant une amie de la mère de mon copain, qui ma ensuite appeler pour me dire qu'elle venait me voir à la maternité ( J'étais parties au planning pour avoir de l'aide, mais il était fermer donc je aller à la maternité ). Elle est arrivée, ma demander ce que je compter faire. Evidamment je lui est dit que je ne savais pas, vue que je savais qu'elle aller me faire tout un serment sur le fait d'avoir un enfant à mon âge. Elle ma dit de téléphoner à mon copain pour savoir ce qu'il voulait vraiment et il ma dit qu'il ne voulait plus du bébé. J'étais détruite, je lui en voulais terriblement !
Arriver dans la maternité on ma fait une echographie vaginal ( Je n'étais qu'à 6SA ) pour vérifier si il y avait bien une grossesse. Les parents de mon copain étant en vacance, mon copain a du les mettre au courant pour que je viennes chez lui. Le décisions était clair : TU AVORTES Je n'osais rien leurs dire, à leur retour j'ai laisser faire les choses. J'ai fais semblant de vouloir avorter pour ne pas être à la rue, et la mère de mon copain ne me laisser pas mon mot à dire. A chaque rendez vous elle voulait être dans la pièce. La personne qui s'occuper de moi a voulu que je fasse un avortement par aspiration moins 'tromatissant' qu'une fausse couche. J'ai laisser faire les demarches, ma belle mère regarder sans cesse les papiers, me disant de les remplir ect. Je l'ai fait, en me disant dans ma tête ' Ne t'inquiète pas, tu les prendras pas ses putains de cachets et tout ira bien pour le bébé'. Je me disputer avec mon copain assez régulièrement pour le garder, en vin.. Arriver la veille, 22h00 sa mère m'appelle pour mes cachets. J'ai fait semblant de les prendre et je me suis vite retourner pour monter en haut et les recrachet. Mon copain ma vite rattraper et j'ai cracher les cachets par terre. Ils m'ont remit les cachets dans un verre, je pleurer. Elle me sortait tout un serment 'ON ne peut pas le garder, on a pas les moyens, regardes t'as pas de situations, t'as rien' alors que s'était faux. J'ai de l'argents de côtés et ma mère aillant reprit de mes nouvelles voulait que je gardes le bébé. Je ne pouvais pas partir de chez mon copain comme il habite assez loin de chez moi et je n'ai pas de voiture et plus d'argent pour payer le train. Le matin je suis aller au planning. Au moment de reprendre les cachets je n'ai rien dit comme mon copain était dans la pièce avec moi et que j'avais peur qu'il aie le dire à sa mère. Que on me vire du planning car je ne voulais pas avorter...
 
On ma enmener au bloc, je pleurer et les medecins on dit que s'était juste l'appréhension. J'ai fait signe que non et ils m'ont endormi. Je me suis réveiller, j'ai senti du sang couler et j'ai vérifier ( désolé du moment grade ) j'ai commencer à pleurer en demandant qu'on me rende mon bébé, la femme me disait de me calmer car j'augmenter ma tension. J'ai essayer de me lever mais j'étais trop sonner et je n'avais pas de force. Quand ils ont vue que je n'arrêter pas d'appeler mon bébé et d'hurler dans la salle de réveille ils m'ont remit dans ma chambre et m'ont envoyer la psy ( celle qui s'occuper de moi pour les papiers ect ) et elle ma dit qu'elle avait bien vue que je ne voulais pas avorter, elle ma demander pourquoi je n'avais rien dit..
 
Cela fait 1 mois que j'ai avorter, je me sens détruite, je m'en veux, j'en veux à mon copain et à sa mère. Mon copain veut refaire un bébé en Juillet, mais moi je ne veux pas attendre. Le miens me manque tellement, je me sens si vide, si détruite. Je sais que je suis jeune, mais j'ai assez d'argent pour élever un enfant. Mon copain commence à travailler en Juillet prochain..
 
J'envie d'enlever mon sterilet ( Suite à l'avortement on m'en a mis un ) pour essayer de faire un bébé, sans le dire à mon copain. Je sais que c'est dégueulasse de faire ça, mais lui ce qu'il ma fait et tout autant dégueulasse...Bien sur j'ai pensé à mon petit bout, mais peut-être que mon copain restera si il fait enfin face à sa mère...
 
J'ai besoins d'avis, je ne sais plus quoi faire. Je pètes les plombs sans mon petit bout...
 
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Des médecins «pro-choix» témoignent de la souffrance psychologique des femmes ayant avorté

Sur le site du journal Libération du 9 mars 2012, cet article des gynécologues Israël Nisand et Brigitte Letombe, et de la psychanaliste Sophie Marinopoulos  :

 

(Sophie Marinopoulos, Israël Nisand)

 

 

 

(...)
 
Défenseurs dès la première heure de l’accès à l’interruption volontaire de grossesse et de la qualité de sa réalisation dans les hôpitaux, nous ne pouvons pas laisser dire que les femmes qui y ont recours ne sont pas marquées, d’une façon ou d’une autre, par cette expérience. Nous voyons chaque jour dans nos consultations des femmes qui nous disent leur souffrance psychologique et leur mal-être parfois de nombreuses années après, alors qu’elles auraient pu «cocher» lors d’un sondage que «tout allait bien». La souffrance ne se coche pas, elle se parle ! Sauf à ne considérer les femmes que dans le registre physique, sauf à omettre leur vie psychique, on ne peut pas écrire que l’accouchement présente un plus grand risque que l’IVG.
 
Cette posture, qui date de la médicalisation de l’IVG en France, revient à dire que l’avortement n’a aucune conséquence dans la vie d’une femme. Certes elles ne meurent plus ; certes les cases à cocher ne montrent plus de complications, mais tous les cliniciens qui rencontrent des femmes savent qu’il s’agit là d’un vrai négationnisme : il s’agit de dénier le fait qu’une IVG peut marquer douloureusement une vie. Nous n’avons jamais rencontré de femmes pour qui l’avortement a constitué «un événement fondateur de leur vie d’adulte» et nous ne voyons pas quelle étude statistique permet d’affirmer cette énormité.
(...)
A une époque où tout se mesure, tout s’évalue, et où tout doit être rentable, nous proposons de ne plus ignorer les difficultés psychiques des femmes qui ont subi une IVG et de tout faire pour prévenir cet événement d’autant plus indésirable qu’il se produit tôt dans la vie des femmes, épargnant toujours les garçons si peu initiés à leur vraie responsabilité.

Des femmes meurent toujours dans des cliniques d'avortement, mais il ne faut pas trop demander à des médecins qui pratiquent l'avortement. C'est déjà bien qu'ils reconnaissent les souffrances indicibles des femmes ayant avorté...

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Les Belges se prononcent pour autoriser l'euthanasie des enfants et des personnes démentes

Sur le site du journal La Presse du 2 octobre 2013 :

 

(Quelles seront les prochaines étapes?)

 

 

Trois quarts des Belges sont favorables à une extension de la loi autorisant l'euthanasie aux mineurs et aux personnes souffrant de démence de type Alzheimer, révèle un sondage publié mercredi.
 
La loi belge de 2002 autorisant l'euthanasie dans certaines conditions ne s'applique actuellement qu'aux personnes de plus de 18 ans et disposant de toutes leurs facultés mentales. Le royaume a enregistré, en 2012, 1432 euthanasies, ce qui représente 2 % des décès.
 
Lundi, un Belge âgé de 44 ans a été euthanasié après une opération de changement de sexe qui avait échoué, son médecin ayant estimé que ses souffrances psychiques étaient devenues «insupportables». Cette affaire a mis en avant les cas de souffrance psychologique, qui ont débouché sur 52 euthanasies d'adultes l'an dernier.
 
Mais des cas dramatiques d'enfants gravement malades ou de personnes souffrant de démence ont poussé des parlementaires à examiner la possibilité d'étendre la loi aux mineurs «capables de discernement» et aux personnes atteintes de démence.
 
Une majorité de partis s'est même dégagée en faveur d'une telle modification, mais l'adoption du texte est freinée par l'opposition des formations chrétiennes-démocrates et centristes membres de la coalition gouvernementale. Il n'est pas certain qu'il sera voté avant la fin de la législature au printemps prochain.
 
(...)
 
Concernant les enfants, la question posée diffère du texte en préparation au Parlement, puisqu'elle évoquait le cas de mineurs qui ne «seraient plus en état de donner leur consentement», par exemple parce qu'étant plongés dans le coma.
 
(...)
 
Soixante-dix-neuf sondés sur cent sont également favorables (43 % «tout à fait» et 36 % «plutôt») à autoriser l'euthanasie pour les adultes souffrant de démence de type Alzheimer qui ne seraient plus en état de la réclamer.
 
(...)
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Un avorteur remet ses instruments de «travail» au pape...

Sur le site de Belgicatho du 30 septembre 2013  (via le Salon Beige)  :

 

(Le Dr Antionio Oriente, ancien avorteur, maintenant défenseur des enfants à naître)

 

 

Il s'est approché du pape avec une petite mallette dont l'aspect était un peu inquiétant. A l'intérieur, il y avait une demi-douzaine d'instruments chirurgicaux, outils et pinces de diverses formes et tailles – que lui, le Docteur Antonio Oriente de Messina, ancien gynécologue avorteur, voulait remettre à tout prix à Bergoglio. Ce bagage qui lui avait déjà occasionné un grand nombre de problèmes lors de l'embarquement dans l'avion à Palerme, a été le protagoniste dans la Salle Clémentine du Vatican d'un épisode imprévu de valeur symbolique inhabituelle. A l'intérieur se trouvaient les instruments avec lesquels, jusqu'en 1986, le Docteur Orient avait brisé des vies avant qu'elles n'éclosent. Avant sa conversion, avant d'embrasser avec conviction et courage la route de la vie, ces instruments ont été entreposés pendant près de trente ans comme un signe concret du mal qu'ils avaient provoqué, d'un passé contre lequel il se bat maintenant. Il a voulu les laisser au Pape et, grâce à une bonne dose d'audace et de chance, il y a réussi, grâce aussi à l""intercession" de quelques prêtres et d'un membre du service d'ordre.
 
(...) Oriente est vice-président de l'Association nationale des gynécologues et obstétriciens catholiques italiens et sa rencontre avec le pape a eu lieu le 20 septembre dernier, lors de l'audience avec des délégués des gynécologues catholiques de diverses associations. Bergoglio, dans son discours aux participants, a dénoncé la "mentalité généralisée du profit, la "culture du rejet" qui asservit aujourd'hui tant de coeurs et d'intelligences et qui incite à éliminer des êtres humains, en particulier s'ils sont physiquement ou socialement plus faibles". Puis il avait confié aux médecins catholiques la mission d'être « témoins et propagateurs de la "culture de la vie" ».
 
(...)
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