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Pourquoi se soucier du suicide si l'on permet l'euthanasie pour des « souffrances insupportables »....

Sur le site du journal La Croix du 2 octobre 2013 :

 

(Un article de Dominique Quino, du journal La Croix)

 

 

 

(...)
 
Encore une fois, c’est un cas particulier, tragique, une histoire personnelle douloureuse qui alimente le débat, ou plutôt le non-débat. Une personne de 44 ans souhaitant changer de sexe, dont l’opération s’est mal passée, a reçu une aide à mourir, ses souffrances psychiques étant jugées « insupportables ». Une majorité de Belges – plus des trois quarts – se déclarent favorables à l’euthanasie pour des personnes souffrant psychologiquement, pour des mineurs très malades « en âge de discernement » (qu’est-ce à dire ?) et pour des personnes en état de démence (Alzheimer par exemple), incapables d’exprimer leur volonté.
 
Pourquoi donc s’alarmer du nombre des suicides chez les jeunes ou les vieillards, s’ils sont reconnus comme un droit qu’il faudrait accompagner ? À quoi bon se battre pour mieux prendre en charge la fin de vie – par le soin et le soutien moral – si l’euthanasie est posée comme une alternative ? Comment respecter la dignité de personnes que la maladie ou le handicap prive de leur discernement, s’il devient légal de décider que la mort, pour eux, est une solution ? La loi belge ne devrait pas être modifiée avant la fin de la législature, mais dans les esprits, le pas est franchi. Alors que la France doit réexaminer sa loi sur la fin de vie, comment ne pas s’inquiéter d’une telle évolution, d’une telle banalisation, une fois qu’a été levé l’interdit de donner la mort ?

Et au Québec, qui prend la Belgique pour modèle?

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