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Obama préfère soutenir l'avortement que les soins médicaux

Sur le site de C-Fam (via le salon beige) du 13 février 2013:

 

 

 

WASHINGTON DC, 8 février (C-FAM) Les nominations des membres du Conseil Mondial du Développement par le Président Obama le mois dernier mettent en évidence son intention de mettre la priorité sur l’avortement plutôt que sur des questions de santé plus urgentes.
 
Obama créait il y a un an le Conseil présidentiel mondial pour le développement par  « executive order » (décret exécutif d’exception en droit américain). Le Conseil rassemble douze experts de la société civile, du secteur privé, universitaire ou philanthropique. Dirigé par USAID, la direction américaine pour l’aide au développement, il conseillera le président et son administration sur tous les aspects de la politique américaine de développement dans le monde.
 
La nomination des neuf experts a été annoncée en décembre. Chose remarquable : la majorité d’entre eux est associée de près ou de loin avec des organisations vouées à la promotion des droits reproductifs et du contrôle des populations.
(Pour voir la liste cliquez ici...)

Une étude récente sur la santé mondiale, évaluant le nombre de décès à mettre sur le compte de maladies précises, a conclut que 1,4 millions d’enfants sont morts de la diarrhée en 2010, alors que le décès de 37 000 d’entre eux est lié à l’avortement. Pourtant, des fondations aisées, des millionnaires et pays riches continuent à mener le débat mondial sur les questions de santé, recommandant aux femmes victimes de la pauvreté des pays en développement d’avoir moins d’enfants, et poussant en faveur de la légalisation de l’avortement lorsque la législation est restrictive.
 
Les financements alloués aux programmes de santé reproductive et de planning familial ont augmenté de 40% pendant la présidence d’Obama. Le budget USAID 2013 alloué à la santé reproductive s’élève à 530 millions de dollars. C’est bien plus que les budgets combinés de la tuberculose, des menaces à la santé publique, des pandémies de grippes, et du budget alloué aux enfants vulnérables, ou encore à la nutrition.
 

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