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Les cliniques d'échographies au Canada participent au processus d'avortement sélectif

Que les avorteurs avortent pour n'importe quelle raison, cela prouve pour qui en doutait qu'ils ne sont pas là pour rendre service à des femmes se trouvant dans des situations difficiles, mais qu'ils sont des gens d'affaires cupides. Il est bon que les médias et la population en prennent conscience par le biais de la question des avortements sélectifs. Mais ils ne sont pas les seuls avides de gains dans ce domaine. Les cliniques privées d'échographie ont senti également la bonne affaire... Sur le site de Radio-Canada du 13 juin 2012:

 

Une enquête de la CBC montre qu'un grand nombre de cliniques privées d'échographie 3D au pays, notamment dans la région de Toronto, révèlent le sexe du foetus avant 20 semaines de grossesse, ce qui pose le risque d'avortements sélectifs.

Selon une étude, publiée en avril dernier, du Journal de l'Association médicale canadienne, le ratio garçons-filles dans la communauté indo-ontarienne est anormalement élevé. En d'autres mots, certains parents se débarrassent du foetus lorsqu'ils apprennent qu'il s'agit d'une fille, plutôt que d'un garçon, une pratique rencontrée en Inde et en Chine.

L'équipe d'enquête de la CBC a visité 22 centres privés d'échographie au pays; 15 de ces établissements ont accepté de procéder à un examen par ultrasons avant la 20e semaine de grossesse, contrairement à la directive suivie dans les hôpitaux.

La période d'avortement se limite généralement à 20 semaines au Canada.

Le directeur de la clinique Modern Non Diagnostic Imaging Centre de Brampton, Ravi Thakur, a offert à une journaliste de la CBC, qui disait être enceinte de 14 semaines, de lui révéler le sexe du bébé immédiatement, pour 600 $.

« C'est leur problème, pas le mien (ce que les clients font avec l'information). » — Ravi Thakur, directeur de la clinique Modern Non Diagnostic Imaging Centre

Pratique connue?

Pour sa part, une employée d'une clinique de la chaîne UC Baby à Richmond, en Colombie-Britannique, a même parlé ouvertement à une journaliste de la CBC, qui se faisait passer pour une cliente, de l'idée de faire avorter son foetus. « Vous ne voulez pas une autre fille, c'est ça? » lui a-t-elle dit.

La présidente de la chaîne, Tina Ureten, assure, elle, que la politique de l'entreprise interdit aux employés de révéler le sexe aux parents avant 20 semaines de grossesse.

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