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Le suicide des enfants au Québec

Richard Martineau raconte sur son journal web du 28 novembre 2011, l’histoire malheureuse de jeunes qui se suicident. On cherche des causes… L’une est certainement l’inhumanité des conditions de vie des jeunes, placés rapidement en garderie pour apprendre à socialiser, alors qu’ils avaient besoin plutôt d’affection et d’un attachement avec mère et père…
 
« La précocité des enfants, valorisée par notre culture, n’est pas un facteur de protection. Elle améliore les résultats scolaires au prix de l’angoisse et de troubles relationnels. » (p.148)
 
« Au Québec, le taux de suicide d’enfant a augmenté de 300 % en 10 ans. Or, dans les familles nombreuses, ces suicides sont pratiquement inexistants. Ce constat renforce l’idée que les familles à multiples attachements sont celles qui protègent le mieux les enfants. » (p.116)
 
« Au Québec, pays riche et bien organisé, 40 % des adolescents de 15 à 19 ans souffrent d’un niveau de détresse si important que l’idée de suicide leur vient à l’esprit. Quand l’effondrement économique et familial détruit l’entourage d’un enfant, le taux d’idéation suicidaire monte rapidement. » (p.17)
 
Ces citations sont tirées du dernier livre de Boris Cyrulnik, Quand un enfant se donne la mort, éd. Odile Jacob, Paris, 2011, 158 pages.
 
Et certains ministres et fonctionnaires gouvernementaux veulent absolument faire croire à la population que les garderies et la scolarisation précoce sont les meilleures solutions pour le bien de l’enfant, alors qu’ils révèlent entre les lignes, que ces choix gouvernementaux sont des choix économiques : deux parents au travail rapportent plus à l’État en impôts qu’un parent à la maison, plus que des frais de garderie…
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