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La situation du combat contre l'élimination des enfants à naître en Espagne : de nouvelles protections

Sur le site de come4news.com du 16 avril 2013:

 

(Le ministre de la Justice espagnol, Alberto Ruiz-Gallardon)

 

 

 Le ministre de la Justice, Alberto Ruiz-Gallardon a en effet annoncé hier un durcissement de la loi sur l'IVG. La mise en danger de la vie de la mère devra être plus précisément attestée, les avortements pour raisons de malformations du fœtus seront prohibés et il est question d'interdire aux mineures d'avoir recours à l'IVG.

La cour constitutionnelle espagnole, avec l'appui du ministre de la Justice et de la majorité des parlementaires, pourrait bientôt entamer une révision, beaucoup plus restrictive, de la loi espagnole sur l'interruption volontaire de grossesse (IVG).D'une part, les médecins pourraient plus facilement alléguer des dilemmes de conscience pour refuser de procéder à tout avortement, (...)
D'autre part, pour éviter tout « eugénisme », il serait réaffirmé que la vie est un droit inaliénable dès la conception. Personne n'a le droit de l'interrompre en raison de malformations(...)
De même, il faudrait établir la certitude que la mère soit gravement en danger de mort  pour procéder à une IVG.(...)
 
En octobre 2009, plus d'un million de personnes avaient défilé à Madrid pour réclamer l'interdiction de l'IVG. De fait, depuis le début des années 1990, le nombre des IVG avait doublé en Espagne. Le droit à l'IVG est discrétionnaire durant le premier trimestre de la grossesse, soumis à restrictions après 14 semaines (mais restant possible, conditionné, jusqu'à 22 semaines en cas de risques graves pour la mère ou le fœtus). Cela découle d'une loi de février 2010 entrée en vigueur en juillet de cette année, la précédente, de 1985, étant plus restrictive.(...)
 
Depuis 2011, il existe en Espagne 172 centres d'IVG ayant procédé au cours de cette année près de 120 000 avortements (soit 12,44 pour mille femmes). Les avortements chimiques (pilules du lendemain et autres) ne représentaient (estimation) qu'environ 4 % des IVG en Espagne.(...)

Espérons que ces mesures seront vraiment appliquées et qu'il  n'y aura plus, par conséquent aucun avortement en Espagne, puisqu'il n'est jamais nécessaire d'avorter pour sauver la vie d'une mère en danger.

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