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La demeure d'une activiste pro-vie vandalisée par de violents promoteurs de l'avortement

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Par Kristi Burton Brown de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

La renommée pro-vie Jill Stanek a déclaré qu’à son retour d’une vacance en famille elle a trouvé sa maison vandalisée. Une brique avait été lancée à travers sa fenêtre, avec une note lui enjoignant de «Quitter la me... pro-vie!» 

Stanek, qui a travaillé comme infirmière diplômée pendant des années, a d'abord été reconnue par le mouvement pro-vie lorsqu’elle révéla que les bébés qui survivaient à l’avortement à son hôpital étaient abandonnés à la mort. Elle a parlé au Congrès (américain), ainsi qu’à de nombreux groupes, racontant les histoires de ces bébés - incluant celle d’un qu’elle prit dans ses bras et berça jusqu’à ce qu’il meure.

Je ne pus supporter la pensée de cet enfant en douleurs mourant seul dans un sale endroit de service, de sorte que je l'emmitouflai et le berçai pour les 45 minutes qu’il véçut. Il devait avoir 21 ou 22 semaines, pesait à peu près une demie-livre et mesurait environ 10 pouces. Il était trop faible pour bouger vraiment, dépensant le peu d’énergie qu’il avait à tenter de respirer.

À la fin, il était si tranquille que je ne pouvais pas dire s’il était vivant à moins que je ne le soulève vers la lumière pour voir à travers sa poitrine si son coeur battait encore. Après qu’on l’eut déclaré mort, nous avons plié ses petits bras sur sa poitrine, l’avons enveloppé dans un petit linceul, et nous l’avons transporté à la morgue de l’hôpital là où sont menés tous nos patients morts.

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Stanek a aussi dirigé le blog pro-vie numéro un de la nation jusqu’à ce qu’elle accepte un poste avec Susan B. Anthony List, en tant que Présidente de Campagne Nationale. Elle écrit encore sur son blog si le temps le lui permet.

SBA List écrit:

Pour environ six mois, Jill a parcouru le pays, travaillant à bâtir du support pour établir une campagne agressive par Susan B. Anthony List visant à faire élire un président pro-vie cette année et faire avancer l’Acte légal pouvant assurer la protection des enfants à naître capables de ressentir la douleur. (The Pain-Capable Unborn Child Protection Act).

À propos du vandalisme qu’elle vient de subir, Stanek écrit:

«Dans l’ensemble des choses, ce n’était rien. Mais le fait que ma maison ait été vandalisée était une première pour moi dans le mouvement pro-vie. Nous sommes revenus de vacances hier soir pour trouver chez nous une fenêtre brisée et un sac de plastique contenant un gros morceau de ciment et un message. Comme si cela allait m’arrêter? La police m’a avisée de ne pas publier (l’évènement), mais je n’étais pas pour laisser faire la «violence pro-choix» sans réagir.»

La police a fourni un rapport, nommant ceci du vandalisme «biaisé». Juste avant qu’ils ne prennent la brique comme évidence, Jill demanda si elle pouvait la garder. Un policier plutôt surpris, lui demanda: pourquoi, un trophée?» Toujours de même audace, Jill répliqua: «Oui, en fait.»

Complètement en paix malgré la violence et les menaces des supporteurs de l’avortement (Ce qui apparaît devenir plus fréquent), Jill a écrit: «La brique s’est retrouvée sur ma table de dévotion (à l’intérieur du sac de plastique). Ça m’a plu pour une raison.» ...elle a avisé SBA List qu’elle serait de retour à son bureau dès demain! En feu plus que jamais!» 



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