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La Cour de justice de l’Ontario déclare que les participants doivent indiquer leurs « pronoms préférés »

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : vecstock/Freepik

18 avril 2024, Toronto (LifeSiteNews) — Prêtant allégeance à l’idéologie du genre, la Cour de justice de l’Ontario exige maintenant que tous les participants au tribunal indiquent leurs « pronoms préférés » avant le début de chaque cause.

Le 11 avril, Sharon Nicklas, juge en chef de la Cour de justice de l’Ontario, a annoncé que tous les avocats, clients et témoins présents dans la salle d’audience devaient indiquer leurs « pronoms préférés » au début de chaque cause — une décision qui s’aligne sur l’idéologie radicale du genre puisqu’elle implique qu’un homme doit être appelé « Mme » et « elle » s’il en fait la demande.

« Au début de toute audience en personne, virtuelle ou hybride, lorsque les avocats se présentent, présentent leur client, un témoin ou une autre personne, ils doivent fournir au juge ou au juge de paix le nom de chaque personne, son titre (par exemple, M., Mme, Mx, l’avocat “X”) et les pronoms à utiliser lors de l’audience », a écrit Mme Nicklas.

« Si l’avocat ne fournit pas ces informations dans son introduction, il peut être invité par un greffier à le faire », a-t-elle poursuivi.

« Au début de chaque session du tribunal, la Division des services judiciaires a demandé aux greffiers d’annoncer que les parties comparaissant devant le tribunal sont invitées à fournir leur titre et leurs pronoms au tribunal », a-t-elle conclu.

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On ne sait pas si les personnes impliquées dans les causes seront obligées d’utiliser les pronoms non factuels d’une personne.

Quoi qu’il en soit, la nouvelle directive permet aux hommes jugés pour des crimes commis contre des femmes de s’appeler eux-mêmes des femmes, une réalité qui a été rapidement critiquée en ligne.

Le journaliste torontois Jonathan Kay, ancien rédacteur en chef des pages d’opinion du National Post, a condamné cette mesure dans un message publié sur X, anciennement connu sous le nom de Twitter, en déclarant : « Ah, alors c’est le truc où les victimes de viol doivent prétendre que leur violeur est une femme, n’est-ce pas ? C’est très étonnant et très courageux ».

Cela est d’autant plus préoccupant qu’une étude récente du Service correctionnel du Canada a révélé que 44 % des hommes placés dans des prisons pour femmes parce qu’ils prétendaient être des femmes étaient punis pour des crimes sexuels.

La décision d’autoriser les participants au tribunal à [demander qu’on] utilise leurs « pronoms préférés » plutôt que leurs pronoms réels ne devrait pas être une surprise.

En effet, en 2016, la commissaire aux droits de l’homme Renu Mandhane a déclaré que le fait de ne pas utiliser les « pronoms préférés » était considéré comme une « discrimination » et pouvait donner lieu à une amende.

À l’instar de la Cour de justice de l’Ontario, le Québec a récemment annoncé qu’il autoriserait les permis de conduire à indiquer « X » comme option de genre pour les personnes qui ne s’identifient ni comme homme ni comme femme.

Lecteurs de l’Ontario : Dites à vos politiciens de condamner cette absurdité en cliquant ici.



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