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DÉMASQUÉ : Le donateur milliardaire de Planned Parenthood qui désire que ses donations demeurent très, très secrètes

warrent-buffett.JPGLe milliardaire Warren Buffett avec Barack Obama

Par Abby Johnson de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

28 septembre 2015 - Trois semaines après que j’eus quitté mon emploi à la clinique, Planned Parenthood m’a emmenée devant les tribunaux. On me demande tout le temps : «Pourquoi t’auraient-ils amenée à la cour? Avaient-ils quelque chose à cacher?». Eh bien, oui. Ils avaient absolument quelque chose à cacher. Ils ne voulaient pas que je partage les informations présentées dans cet article. Mais révélons la vérité sur ces choses, d’accord?

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Oui, je me rends vraiment compte que la divulgation de ces informations me met dans une situation précaire. Mais il est toujours mieux que la vérité soit exposée au grand jour… Et ce, peu importe le coût.

Cela changerait des vies. Je me rappelle la première fois que nous avons réussi à obtenir un rendez-vous avec notre nouveau programme de financement… Le programme s’appelait «Le Fonds de Justice». Après avoir fourni à la femme toutes les informations nécessaires concernant son rendez-vous pour son avortement, nous lui avons demandé si elle désirait soumettre sa candidature pour un programme de financement qui l’aiderait à payer son avortement. Elle a évidemment accepté. Nous avons regardé ses revenus et ses dépenses et déterminé qu’elle avait droit à ce financement. Nous l’avons informée qu’elle n’aurait qu’à payer cent dollars du quatre cents dollars que coûtait la procédure. La femme s’est mise à pleurer au téléphone. J’ai aussi commencé à pleurer. Wow. Nous allions changer tellement de vies avec cet argent, avec ce «Fonds de Justice».

Quand on nous a parlé du Fonds de Justice pour la première fois, on nous a dit que l’argent avait été donné par un donateur anonyme. Cette personne désirait demeurer totalement anonyme. Même en tant que directeurs cliniques, nous n’avions pas accès à cette information. Les seules personnes qui le savaient étaient les membres du conseil de la fédération nationale d’avortement (NAF). Ma patronne se trouvait être membre du conseil de la NAF, et nous nous entendions assez bien. Éventuellement, entre deux verres lors d’une conférence annuelle de la NAF, elle a craché le morceau.

Pendant des mois, nous n’avons connu cette personne que sous le nom de «donateur». Lors de la conférence annuelle de Planned Parenthood, il y avait une femme qui était présente afin de parler au nom de ce fameux «donateur». Elle n’a jamais dit son nom devant l’assemblée présente… Elle a simplement dit qu’elle était honorée d’être parmi nous… Nous tous qui protégions les droits des femmes. Elle a dit que le «donateur» était tellement fier de travailler avec nous. Nous savions que le «donateur» donnait à la NAF jusqu’à vingt-et-un millions de dollars chaque année pour aider les pauvres femmes à payer leur avortement.

Voici comment le programme fonctionnait. En planifiant le rendez-vous d’une femme pour un avortement, nous lui demandions si elle serait intéressée à obtenir de l’aide financière pour payer son avortement. Hum, évidemment qu’elle voulait. Nous utilisions alors un outil de sélection fourni par la NAF. À peu près tout le monde se qualifiait… Et si ce n’était pas le cas, nous réarrangions les nombres afin que tout le monde puisse y avoir accès. Après, nous facturions le montant dû à notre clinique directement à la NAF. Ils envoyaient alors la facture au «donateur», et le «donateur» envoyait notre chèque à la NAF. Ces derniers se tournaient de bord et envoyaient le chèque à notre clinique.

Pendant la première année du «Fonds de Justice», le nombre d’avortements a augmenté de 100%. Nous avons littéralement doublé notre nombre d’avortements. L’avortement était beaucoup plus facile à vendre si nous enlevions le fardeau financier rattaché à ce dernier.

Environ six mois après le début du programme, les règles ont changé. J’imagine que nous facturions trop, et trop vite. Désormais, le «donateur» ne paierait que 40% du coût, au lieu de 75%. C’était correct. Les femmes étaient toujours très reconnaissantes de voir tout cet argent retiré de leur facture. Elles payaient maintenant 240$ du 400$ que coûtait leur avortement. Je me rappelle de nos «voyageuses fréquentes» qui se mettaient en colère lorsque nous leur disions que les règles du programme avaient changé. Elles voulaient le rabais de 75%! Ne pourrions-nous pas faire une exception pour elles puisqu’elles avaient déjà eu tellement d’avortements à notre clinique? Parfois, nous le pouvions. Parfois, nous facturions au «donateur» le montant entier de l’avortement. À savoir qu’il ne s’en souciait pas. Ils ne regardaient pas si réellement, nous mettions en pratique le programme de façon adéquate. Ils recevaient simplement la facture de notre part et envoyaient par la suite le chèque correspondant au montant de la facture. Ils savaient que nous étions des personnes de confiance. Ha. Ha.

Donc, ma réponse à la question du pourquoi Planned Parenthood m’a amenée en cour? Bien, je crois que c’était pour deux raisons :

  1. Ils voulaient donner l’exemple en se servant de ma situation: «Regardez, travailleurs, si vous nous faites défaut, vous allez vous retrouver devant les tribunaux vous aussi».
  2. Parce que je connaissais les moindres détails du plan de financement du «donateur»… Et, je connaissais son nom.

En 2003, il y a eu un grand scandale concernant la compagnie Pampered Chef. La majorité des personnes vendant ces accessoires de cuisine étaient des mères au foyer. Plusieurs d’entre elles étaient des femmes pro-vie. Ainsi, imaginez leur surprise quand elles ont découvert que le nouveau propriétaire de la compagnie, Warren Buffet, avait donné des millions de dollars à l’industrie de l’avortement, principalement à Planned Parenthood. De façon soudaine, il y a eu un exode massif des vendeuses de la compagnie. Les femmes ne voulaient plus vendre de ces spatules excessivement chères. Vous pouvez en lire davantage à propos de cette histoire ici.

​Ainsi, lorsque Warren Buffet a décidé qu’il voulait commencer ce «Fonds de Justice» dans le but de donner 21 millions de dollars chaque année à l’industrie de l’avortement, vous comprendrez qu’il désirait demeurer anonyme. Il a essayé de déguiser ses donations avec la fondation qu’il a créée sous le nom de sa femme, Susan Thompson Buffet. Mais les 990 (formulaires du IRA) sont d’ordre public. Tout le monde peut voir où ils dépensent leur argent. Voici les données financières les plus à jour de sa fondation. Cliquez sur l’année pour voir le 990 de cette période.

2011 

2012 

2013 

Je vous encourage à prendre le temps de regarder ces 990, afin que vous puissiez voir les organisations qu’il finance. Il a donné un énorme montant au collège américain des obstétriciens et gynécologues (ACOG). Ce n’est pas étonnant qu’ils se soient si diligemment battus contre la loi qui interdisait les avortements lors des naissances partielles. Il a donné deux millions de dollars à un groupe appelé : «Les catholiques pro-choix». Évidemment, ils ne sont pas reconnus par l’Église catholique romaine et se sont en fait eux-mêmes excommuniés de l’Église.

Warren Buffet est un homme influençant, à lui seul, plusieurs universités et institutions médicales avec son argent. Mon conseil est celui-ci : Feuilletez la liste. Trouvez des organisations à qui vous pouvez écrire. Faites-leur savoir que vous ne les supporterez plus jusqu’à ce qu’ils décident d’arrêter d’appliquer pour obtenir de l’argent de la fondation Buffett. Invitez vos amis à la maison afin d’écrire tous ensemble des lettres pour ces compagnies. Envoyez-leur des tas de lettres. Faites entendre votre voix! Vous pouvez penser que votre petite voix n’a pas d’importance. Mais si votre voix est unie à des centaines d’autres, ces organisations vont en tenir compte.

L’aide financière aux femmes à faible revenu afin de les aider à avorter fait partie de la campagne de «contrôle démographique» de Buffett. Après tout, comme l’indique Margaret Sanger, la fondatrice de Planned Parenthood, les minorités sont des «éleveurs irréfléchis» qui devraient être «éliminées de l’espèce humaine».  La campagne de contrôle démographique est en soi raciste… Tout comme l’est la position «pro-choix». Je regrette de ne pas avoir reçu un dollar pour toutes les fois où j’ai entendu des «pro-choix» me dire que l’avortement devait être accessible pour les femmes à faible revenu… Comme si avoir peu d’argent faisait de vous de mauvaises mères.

Il semble que Warren Buffet et son bien-aimé Planned Parenthood se ressemblent comme deux gouttes d’eau… Tentant tous les deux d’éliminer les «pauvres», une vie à la fois.



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