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«Un bébé pour soi, pour répondre à un «besoin», ce n’est pas de l’amour. » Excellent article paru dans le courrier du Devoir

Sur le site du journal Le Devoir du 30 avril 2014, un article à lire en entier de l'auteure et conférencière Ginette Bureau, dont voici un extrait :

(Photo : wikimédia sans copyright)

 

 

 

(...)L’histoire québécoise est remplie de ces enfants adoptés qui, une fois adultes, ont fait des recherches acharnées pour retrouver leur mère biologique et ensuite leur père. On veut connaître d’où on vient. Connaître notre histoire, nos antécédents, mieux comprendre nos tendances, nos goûts préinscrits, nos réactions mystérieuses, bref, nous voulons retourner à nos racines. (...)

Qu’allons-nous raconter au petit bébé né d’une fiole de plastique choisie d’après une description physique et psychologique pour des parents homosexuels qui veulent se reproduire sans avoir recours à un partenaire de l’autre sexe ? (...)

Parce que l'auteur de l'article connaît cette vérité que l'on tente actuellement de passer sous silence, elle déplore la séparation de la mère « porteuse » et de l'enfant :

Un enfant, depuis sa conception, enregistre tout. Si, à la naissance de l’enfant, le père est absent et que la mère souffre de solitude, tout est capté par le corps de l’enfant. Il entend comment il est reçu. La voix a une telle importance, raconte Denis Vasse, qu’un jour, un prématuré qui n’allait pas bien dans son incubateur, et à qui les parents avaient souvent chanté une chanson pendant la grossesse, a réagi quand ceux-ci se sont unis pour lui chanter la même chanson.

Un enfant que l'on avorte défend comme il peut sa vie... La censure médiatique ne permet pas que les images d'échographie d'enfants pendant l'avortement soient télédiffusées.

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