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Une femme enceinte diagnostiquée d’un cancer refuse l’avortement — maintenant elle est guérie


Jessica Hanna et son fils Thomas Solanus.

Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Capucine Tosi pour Campagne Québec-Vie=

Une activiste pro-vie de Detroit, Michigan, refusa d’abandonner l’espérance lorsqu’elle découvrit qu’elle avait un cancer du sein en phase terminale, alors qu’elle était enceinte de son plus jeune fils.

Jessica Hanna dit à EWTN News qu’elle est passionnée par les problématiques pro-vie depuis sa jeunesse, et que sa grossesse de l’an dernier a été une épreuve pour qu’elle puisse mettre ses croyances en action.

« C’était un processus de, “Waouh. Maintenant que tu as dit ce qu’il fallait dire, le discours pro-vie. Maintenant, tu es devenue la femme que tout le monde mentionne dans ses arguments : et si la vie de la femme est en danger ?” » expliqua Hanna. « Et maintenant c’est le moment pour moi de passer à l’action. »

Même si plusieurs docteurs lui ont conseillé d’avorter, Hanna a choisi la vie. Étant catholique, elle a prié — et demandé aux gens sur les réseaux sociaux de prier aussi — et finalement elle fut guérie du cancer, d’après le rapport.

Avant d’être enceinte de son fils, Hanna a dit qu’elle avait remarqué une bonne sur son sein et qu’elle était allée voir le médecin. Cependant, le docteur se trompa dans son diagnostic, disant que l’anormalité était bénigne, rapporte l’article.

Moins d’un mois après, Hanna découvrit qu’elle était enceinte. Lors d’un rendez-vous avec le gynécologue obstétricien, elle explique qu’elle demanda au docteur de vérifier à nouveau la bosse et le docteur détermina qu’elle était cancéreuse.

À 14 semaines de grossesse, Hanna dit qu’elle apprit qu’elle avait un cancer probablement en phase terminale ; sa tumeur était de 13 cm et les docteurs pensaient que le cancer allait se propager à d’autres parties du corps. Elle chercha l’opinion d’environ 10 docteurs différents, et plus d’un lui conseilla d’avorter.

Mais « ce n’était pas nécessaire du tout. Mon pronostic n’avait pas changé. Mon plan de traitement n’avait pas changé — enceinte ou pas », elle continua. « Beaucoup de gens ne savent pas que la chimiothérapie peut en fait être plutôt sans danger pendant la grossesse. J’ai choisi la voie du milieu, j’allais faire un peu de chimiothérapie mais avec quelques modifications… »

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Alors qu’elle était sous chimiothérapie, Hanna priait souvent pour être guérie à la tombe du Bienheureux Père Solanus Casey, d’après EWTN. Avec son mari, ils ont décidé de nommer leur fils Thomas Solanus en son honneur.

« J’ai prié à sa tombe afin d’être miraculeusement guérie et que mon fils naisse tout beau et en bonne santé » dit-elle.

Espérant encourager d’autres femmes vivant des moments difficiles dans des grossesses à risque, Hanna a aussi créé une page sur les réseaux sociaux afin de partager son histoire et de demander aux gens de prier.

« J’ai pensé qu’aucune souffrance ne devrait jamais être gâchée », dit Hanna à EWTN. « Je ne sais pas où Dieu m’emmène. Est-ce qu’Il m’emporte sur un chemin où je dois montrer aux gens comment mourir avec grâce, avec Sa grâce et Sa miséricorde ? Ou est-ce qu’Il veut faire un miracle ? »

Hanna donna naissance à un petit garçon en pleine santé — le premier miracle. Ensuite, les docteurs découvrirent que la chimiothérapie avait marché, et qu’elle était en rémission — un autre miracle, dit-elle à EWTN.

Et si ce n’était pas pour son fils, Thomas, Hanna dit qu’elle ne serait peut-être plus en vie.

« C’est lui qui m’a sauvé la vie en fait, car si je n’avais pas été nouvellement enceinte, je ne me serais pas fait vérifier à nouveau », continua-t-elle.

Hanna encourage les femmes en difficulté à avoir confiance en Dieu et à se rappeler qu’elles ne sont pas seules, car le Christ a souffert. En partageant son histoire, elle dit espérer encourager d’autres à connaître l’espérance dans les moments difficiles.

« J’ai décidé d’utiliser les réseaux sociaux en disant que peu importe ce que tu penses qu’il va arriver, le plus important c’est d’avoir confiance en Dieu… Qu’il faut abandonner ses propres désirs et volontés, et les laisser au pied de la Croix, et Le laisser S’en occuper », dit-elle.



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