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Un député britannique affirme que les sages-femmes voient parfois « plus de bébés morts que de bébés vivants » depuis le lancement de la piqûre covid


Andrew Bridgen.

Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Facebook/Andrew Bridgen

22 février 2024 (LifeSiteNews) — Le député britannique Andrew Bridgen a déclaré qu’une sage-femme lui avait parlé d’un nombre inquiétant de bébés mort-nés qu’elle voyait dans le cadre de son travail et qui pourraient être liés aux injections de COVID.

Au cours d’un entretien avec Malue Montclairre, du Mouvement danois pour la liberté, sur les effets secondaires des injections de COVID, Andrew Bridgen a déclaré qu’une sage-femme lui avait dit : « Certains jours, lors de certaines périodes de travail, lorsqu’elle est sage-femme au Royaume-Uni, nous avons plus de bébés morts qu’il n’y a de bébés vivants ».

« Et tout cela est étouffé », a-t-il ajouté.

« Elle a également déclaré qu’il y a des placentas très calcifiés. Nous voyons de très petits bébés. Nous constatons de nombreuses fausses couches tardives au cours du troisième trimestre ».

Bridgen raconte que la sage-femme lui a dit que « certains placentas ressemblent à des poumons de fumeurs. Elle a ajouté que rien de tout cela n’est normal. Et tout le monde le sait. Mais personne ne veut en parler ».

« C’est ce qu’ils ont fait aux enfants qui va créer la colère, la colère légitime des parents, qui va mettre fin à tout cela », a déclaré le député.

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« Toute société, comme je l’ai dit dans mon discours du 16 janvier, qui sacrifie délibérément des enfants pour protéger des adultes est pourrie jusqu’à la moelle ».

L’entretien d’une heure a couvert un large éventail de sujets, notamment les effets secondaires des piqûres COVID-19, les dangers de l’OMS, la surmortalité et la corruption politique au Royaume-Uni.

M. Bridgen a prévenu que si le traité sur les pandémies et les amendements au Règlement sanitaire international (RSI) étaient approuvés, cela donnerait à l’OMS mondialiste « le pouvoir ultime ».

« Ces instruments confèrent le pouvoir ultime en cas d’urgence de santé publique de portée internationale, qui peut concerner un agent pathogène humain, un agent pathogène animal ou quelque chose en rapport avec le changement climatique », a-t-il déclaré.

Le député britannique a également prévenu que l’OMS n’avait « aucun compte à rendre » puisqu’elle ne peut être poursuivie en justice « sur aucune question » et que Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’OMS, « aura la capacité de déclencher ces urgences de santé publique et de s’arroger ces pouvoirs ».

« Il est clair qu’ils vont imposer des vaccins de 100 jours, [sans] aucun test sur l’homme, il s’agira d’ARNm. Ainsi, 100 jours après la déclaration d’une pandémie, il y aura une vaccination forcée avec des thérapies géniques expérimentales. Et nous avons vu les dégâts qu’elles ont causés dans le monde entier la dernière fois ».

« Nous avons enregistré 100 000 décès en excès depuis la pandémie, et la grande majorité d’entre eux sont liés au cœur, à l’insuffisance cardiaque », a déclaré M. Bridgen. « Et encore une fois, le gouvernement ne veut pas en parler. C’est la raison pour laquelle j’ai été bloqué pendant 26 semaines parlementaires, déposant chaque semaine une demande de débat sur la surmortalité ».

Bridgen explique la corruption du système politique au Royaume-Uni

M. Bridgen a donné un aperçu de la corruption du système politique au Royaume-Uni, notant que de nombreux faits ne sont pas connus de la plupart des hommes politiques parce qu’ils ne vérifient pas ou ne remettent pas en question les données et les récits qui leur sont présentés par le gouvernement.

« Et il n’y a pas de pire aveugle que celui qui ne veut pas voir », a déclaré M. Bridgen. « Vous seriez surpris de voir combien peu de députés font des recherches. Ils croient les documents du bureau du “whip” du gouvernement, ils croient les déclarations du gouvernement, ils ne vont pas vérifier quoi que ce soit par eux-mêmes, et ils sont complètement enfermés dans leur ignorance ».

« Et c’est en fait l’une des choses que beaucoup de gens se demandent, j’en suis sûr », a répondu Montclairre. « Qu’est-ce qui se passe ? Les politiciens sont-ils volontairement aveugles ? Sont-ils simplement, vous savez, stupides ? Sont-ils corrompus ? »

« Il me semble que c’est un mélange de toutes ces choses », a déclaré Bridgen.

« Je pense que les politiciens que nous avons eus étaient de qualité amoindrie. Je pense qu’ils sont soumis à une forte pression de la part du gouvernement pour se conformer à tout ce qu’il veut faire ».

« Il est évident que ce n’est pas un parlement libre et ouvert, car si vous vous opposez à quelque chose que le gouvernement veut faire, vous ne serez jamais promu, et les gens veulent être promus. Ils cherchent à accéder à de plus hautes fonctions, ce qui n’est possible qu’aux personnes malléables. Je pense que la question de savoir si c’est ou non dans l’intérêt du public est très, très discutable », a déclaré M. Bridgen.

« Certains d’entre eux sont compromis, c’est certain. Et certains d’entre eux ont certainement été corrompus », a-t-il ajouté.

En ce qui concerne les institutions politiques du Royaume-Uni, M. Bridgen a déclaré que « toutes les pommes du tonneau ne sont pas pourries, mais toutes les pommes au sommet du tonneau sont pourries, et toute pomme qui veut monter au sommet doit pourrir en chemin, sinon elle ne monte pas ».

« Il y a plus de deux ans, on m’a proposé des incitations [...] pour que je me taise. “Dites-nous simplement ce que vous voulez” ».

« Je suis retourné les voir et je leur ai dit : “Si je peux avoir ce que je veux, je pense que la lettre de démission de l’actuel premier ministre serait un bon début”. Et nous ne sommes pas allés plus loin ».

« On m’a offert la carotte, je ne l’ai pas prise, alors, vous devez avoir le bâton ».

M. Bridgen a expliqué que sa punition, à savoir son renvoi du Parti conservateur et la destruction de sa réputation, était aussi « une leçon pour les autres : si vous parlez, voilà ce qui va vous arriver ».

« Et cela les a effrayés », a-t-il ajouté. « Entre la coercition, les pots-de-vin et la corruption, la grande majorité des représentants élus font des choses qui ne sont certainement pas dans l’intérêt du public ».

« Et, vous savez, le symbole de notre parlement est une herse : la porte métallique à l’intérieur du pont-levis du château, la dernière défense du château ».

« J’ai bien peur que notre château ne soit déjà pris ; le donjon a été infiltré. Je veux bien monter sur les murailles pour défendre le château. Mais toutes les flèches me frappent dans le dos. Elles viennent de l’intérieur », conclut-il.

« Je pense qu’il n’est pas exagéré de dire que les hommes politiques du monde entier ont commis un acte de trahison à l’encontre du peuple », a déclaré M. Bridgen à un moment de l’entrevue.

« Ce dont nous avons besoin, c’est de poursuites pénales à l’encontre des responsables des crimes de la crise du COVID », a-t-il ajouté, car « les gens vont devoir rendre des comptes ».

M. Bridgen, qui a déclaré avoir été blessé par la deuxième dose de vaccin COVID d’AstraZeneca qu’il a reçue, a commencé à s’élever contre le discours dominant sur le COVID il y a environ deux ans et a organisé le premier débat sur la surmortalité au sein du Parlement britannique. Il a été exclu du Parti conservateur en avril 2023 pour avoir critiqué les injections COVID et est aujourd’hui député indépendant.



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