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Les parents canadiens sont invités à ne pas envoyer leurs enfants à l’école le 1er juin 2023 pour protester contre le « mois de la fierté »

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Melanie Van Alphen/Twitter

27 mai 2023 (LifeSiteNews) — Le principal groupe pro-vie et pro-famille du Canada exhorte les parents canadiens à garder leurs enfants à la maison le 1er juin pour protester contre la promotion du « Mois de la Fierté » dans le système d’éducation publique.

Le 25 mai, l’organisation pro-vie et pro-famille Coalition nationale pour la Vie (CNV) a annoncé la première journée nationale annuelle de Refus du drapeau de la fierté, qui aura lieu le 1er juin, alors que les écoles arboreront le « drapeau de la fierté » pour marquer le début du « mois de la fierté » homosexuelle.

« Le groupe de pression LGBT cause de réels dommages aux enfants, notamment par la pandémie de confusion sexuelle qu’il a créée en utilisant le système scolaire pour endoctriner l’idéologie du genre », a déclaré Jack Fonseca, directeur des opérations politiques de CNV, à LifeSiteNews.

« Les écoles sont le jouet personnel des militants LGBT depuis un certain temps maintenant, et nous en voyons le résultat : une contagion sociale de jeunes enfants et d’adolescents qui demandent des bloqueurs de puberté, des hormones de sexe opposé, et même l’amputation de parties saines de leur corps », a-t-il averti.

« Nous devons commencer à contester pacifiquement leur pouvoir et à affirmer nos propres droits parentaux sur l’éducation morale de nos enfants », a recommandé M. Fonseca.

« Nous ne pouvons pas laisser les groupes de pression gays et transgenres continuer à dominer nos enfants, à oblitérer nos droits parentaux et à semer la confusion dans l’esprit de nos enfants, ce qui leur causera des dommages durables », a-t-il insisté.

Pour ceux qui souhaitent participer à la lutte contre l’agenda LGBT mais qui n’ont pas d’enfants scolarisés dans les écoles où le drapeau de la fierté sera hissé, CNV a prévu quelques « prières » au conseil scolaire de Toronto et aux bureaux de divers évêques catholiques à Hamilton, Toronto et Ottawa. Pour plus d’informations sur les horaires et les lieux, cliquez ici.

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La CNV met également à la disposition des parents, des élèves et des personnes concernées un document imprimable contenant les détails de l’événement, qu’ils pourront distribuer pour sensibiliser le public à cette manifestation.

Le mouvement a pour but d’unir les efforts des parents et des personnes concernées dans tout le pays, car de plus en plus de personnes voient la nécessité de résister pacifiquement à l’agenda LGBT imposé aux enfants dans les écoles.

Au début du mois, plus de 400 élèves, soit environ un tiers du corps étudiant de l’école élémentaire Eagle Heights de London, en Ontario, sont restés à la maison lorsque l’école a hissé des drapeaux « de fierté » pour marquer la Journée internationale contre l’homophobie, la biphobie et la transphobie.

L’école a connu des absences similaires en février, lorsque le drapeau de la « fierté » a été hissé pour célébrer la « Journée de l’arc-en-ciel ».

Fonseca a salué cette décision en déclarant : « Les parents ont dit un grand NON aux enseignants qui lavaient le cerveau de leurs enfants avec une idéologie homosexuelle et transgenre. Le risque d’être traités d’“homophobes” par les médias grand public était manifestement moins important pour ces mères et ces pères aimants que la nécessité de protéger les âmes immortelles de leurs enfants d’accepter le mal comme étant le bien et le bien comme étant le mal ».

D’autres écoles primaires de London, en Ontario, ont fait état d’un faible taux de fréquentation ce jour-là, notamment les écoles primaires Ashley Oaks, Sir George Etienne Cartier, Westmount et Sir Isaac Brock. À l’école publique Arthur Ford, 375 élèves étaient absents, et 300 élèves manquaient à l’école publique Wilfrid Jury.

Au cours des derniers mois, un nombre croissant de personnes ont défendu les valeurs pro-vie et pro-famille, notamment le lycéen Josh Alexander qui a été suspendu pour avoir dit que Dieu a créé deux sexes, masculin et féminin.

De même, le mois dernier, un groupe de jeunes Canadiens a protesté devant le York Mills Collegiate Institute de Toronto contre un spectacle de drag queens organisé par l’école.

Au début du mois, la conseillère scolaire pro -LGBT Wendy Ashby a démissionné du Waterloo Catholic District School Board après que plus de 3 000 parents aient demandé sa révocation.

« Le lobby LGBT est passé d’une phase de tolérance à une phase de suprématie », a averti M. Fonseca. « Les suprémacistes LGBT constituent une menace majeure pour le Canada. Ce drapeau de la fierté n’est pas un symbole d’“inclusion” comme ils nous le disent de manière trompeuse ».

« C’est un symbole de conquête, de la même manière que les drapeaux ont été utilisés par les armées conquérantes tout au long de l’histoire », a-t-il ajouté. « Lorsqu’ils font flotter le drapeau homosexuel et transgenre sur nos écoles, ils revendiquent ce territoire comme conquis ».

« La journée nationale de Refus du drapeau de la fierté est une mesure modeste mais significative que nous pouvons prendre pour nous opposer à la revendication de propriété que les militants LGBT ont faite sur nos enfants », a déclaré M. Fonseca.

« Nous exhortons tous les parents et grands-parents à s’organiser [pour garder les enfants à la maison] le 1er juin 2023 et à faire en sorte que ce Refus ait lieu dans leur école chaque année par la suite, jusqu’à ce que l’éducation morale des enfants nous soit rendue », a-t-il ajouté. « Participez s’il vous plaît ! »



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