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Les étudiants commencent à résister à la propagande LGBT qui leur est imposée

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : WavebreakMediaMicro/Adobe Stock

29 mai 2023 (LifeSiteNews) — Le collège Lakeridge dans l’Oregon a récemment rencontré un problème intéressant : des garçons arrachaient les distributeurs de tampons des murs de leurs salles de bain et les jetaient dans les toilettes. L’école a officiellement demandé aux garçons de cesser de détruire les produits menstruels gratuits qui leur sont fournis, et a donné aux parents des ressources sur « les menstruations, les produits menstruels, la sexualité et la santé » afin de les aider à expliquer à leurs enfants que les menstruations sont normales pour une « personne qui a un utérus ».

Pourquoi y a-t-il des distributeurs de tampons dans les toilettes des garçons ? La loi de l’Oregon de 2021 sur la dignité menstruelle impose à toutes les écoles publiques de fournir des produits menstruels à tous les élèves, quels que soient leur sexe, leur âge, leurs capacités et leur statut socio-économique, afin de promouvoir « l’intimité, l’inclusion, l’accès et l’éducation ». L’impact éducatif de l’installation de distributeurs de tampons dans les salles de bains des garçons est bien sûr d’informer les enfants que les garçons peuvent avoir des règles, ce qui revient à dire que les filles peuvent être des garçons.

« Chaque fois que les distributeurs sont enlevés, l’école doit consacrer du temps et des ressources pour les remettre en place afin de se conformer à la loi sur la dignité menstruelle », indique un courriel envoyé par les responsables de l’école. « Nous demandons à nos élèves de respecter les biens de l’école et d’être sensibles aux besoins de tous nos élèves ».

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La majorité des jeunes ont été entraînés par le mouvement LGBT en pleine expansion et ont adopté avec enthousiasme la nouvelle idéologie de la multiplication des identités. Cependant, une minorité non négligeable de jeunes commence à en avoir assez d’être constamment gavés d’idéologie LGBT.

Au début du mois, par exemple, des élèves de l’école secondaire du Chêne-Bleu à Pincourt, au Québec, ont applaudi un adolescent qui a arraché le drapeau de la « Fierté » qui avait été accroché dans leur école et l’a jeté par terre, le piétinant une fois qu’il a touché le sol. Le même jour, selon LifeSiteNews, des élèves de l’école internationale Phare ont lancé une pétition demandant que tous les drapeaux et affiches LGBT soient retirés de l’école ; les responsables de l’école ont refusé, mais un militant LGBT s’est inquiété du fait que de plus en plus d’élèves rejettent l’idéologie LGBT.

Ce n’est pas le seul exemple de résistance au « Mois de la fierté » au Canada : « Plus de 400 élèves de l’une des plus grandes écoles primaires de London (Ontario) — environ un tiers de l’effectif total — sont restés chez eux mercredi, un jour où le drapeau arc-en-ciel flottait dans tout le district scolaire alors que le conseil public de la région saluait la Journée internationale contre l’homophobie, la biphobie et la transphobie ». Au grand dam des militants LGBT, le gouvernement provincial du Nouveau-Brunswick a promis de revoir sa politique scolaire en matière de LGBT après avoir reçu des centaines de plaintes.

Bien que la plupart des Canadiens soient favorables ou apathiques à l’égard de nombreux aspects de l’agenda LGBT, l’agressivité même de l’évangélisme du mouvement et la prise de contrôle quasi totale des écoles commencent à susciter la colère de nombreuses personnes de bon sens qui, autrement, auraient complètement ignoré la question. Il en va de même pour les enfants, qui ont protesté contre les salles de bains unisexes et d’autres politiques LGBT, arraché les distributeurs de tampons des murs des salles de bains des garçons, et qui en ont parfois tellement marre qu’ils sont restés à la maison pendant les journées LGBT obligatoires et ont arraché des drapeaux. Personne ne leur a demandé s’ils soutenaient une liste de croyances idéologiques qui ne cesse de s’allonger — les drapeaux de ces mouvements ont été hissés à la demande des activistes et au nom de la sécurité des jeunes.

Certains d’entre eux se défendent. Tant mieux pour eux.



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